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Doriane

Chapitre 3

Lesbienne
Camille Luce se redresse et fait lever Doriane. Elle l’enlace, se colle contre elle et pose sa bouche sur la sienne. Elles échangent un long baiser, Luce caresse le corps de Doriane, ses mains glissent sur son dos et ses fesses. Quand elles se séparent, je vois des larmes couler le long des joues de Luce, elle regarde Doriane avec beaucoup d’amour. –Tu ne sais pas depuis combien de temps j’attends ce moment ma chérie, je t’aime Doriane, je t’aime comme une folle, et toi, tu ne le vois pas.–Excuse-moi Luce, mais tu n’as rien fait pour me le faire comprendre, je ne te le reproche pas, j’ai fait la même chose, moi aussi je crois que je t’aime, je ne sais plus que penser.–Viens ma chérie. Luce prend la main de Doriane et se dirige vers la maison, elles disparaissent dans la salon me laissant seule avec Camille. J’en profite pour faire un peu mieux connaissance. –Alor Camille, nous voilà seules, je peux te poser quelques questions ?–Bien sûr.–D’abord, quel âge as-tu ?–Vingt-sept ans et toi ?–Juste un de plus que toi, et que fais-tu dans la vie ?–Je suis ingénieure aéronautique, je travaille chez un sous-traitant d’Airbus, et toi ?–Moi, je suis propriétaire d’un magasin de fringue.–Tu me plais Agathe, mon cœur s’emballe à chaque fois que je pose mes yeux sur toi, j’ai envie de te rendre heureuse, de faire vibrer ton magnifique corps, de faire en sorte que tu ne puisses plus te passer de moi.–On se calme Camille, je ne suis pas lesbienne et je ne pense pas le devenir de sitôt.–Je sais mais tu ne peux pas m’empêcher de ressentir ce que je ressens pout toi, j’espère que j’arriverais à te convaincre de changer d’avis vis-à-vis du saphisme. Tu n’as pas aimé ce que je t’ai fait tout à l’heure ?–Oui bien sûr, j’ai adoré, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie, même avec Doriane, c’était plus fort avec toi.–Et tu n’aimerais pas recommencer ?–Oui j’aimerai recommencer, j’ai trop aimé ce que vous m’avez fait toutes les deux, mais ça ne veut pas dire que je deviendrai lesbienne.–Et tu me laisseras recommencer avec toi ?–Oui.
–Allons dans ta chambre.–Ok, je t’aide. Je la fais lever, lui enserre la taille et l’aide à marcher. Comme tout à l’heure, elle en profite pour laisser sa main glisser sur mes fesses, je dois dire que j’adore sentir sa main me caresser. Arrivées dans la chambre, elle s’allonge sur le ventre. –Allonge toi sur le dos perpendiculaire à moi. Je m’allonge devant elle, sa bouche se pose sur ma cuisse. Elle arrive à remonter un peu pour pouvoir embrasser mes deux jambes. Ses lèvres se promènent sur mes jambes, mes cuisses, mon pubis, mon ventre, mes seins. Une fois qu’elle a tout embrassé, elle redescend en me léchant la peau. Je suis parcourue d’un immense frisson qui me traverse le corps. Elle arrive sur mon pubis qu’elle lèche consciencieusement, elle n’oublie par un seul millimètre carré de ma peau. Je commence à onduler du bassin, je ferme les yeux pour me concentrer sur mon corps et l’écouter se réveiller pour, je le sais, finir dans un gigantesque feu d’artifice. J’ouvre un peu mes cuisses, je veux qu’elle se glisse entre elles pour plonger sur mon sexe, mais elle ignore ce geste et descend le long de mes jambes. Sa langue continue de me lécher partout, elle finit par arriver sur mes pieds. –Mets-toi sur le ventre chérie. Machinalement, je lui obéi. Sa langue se pose sur mes talons, les lèche et remonte le long de mes jambes. Je commence à me liquéfier, je sens ma cyprine couler entre mes cuisses de nouveau serrées. Quand sa langue arrive sur mes fesses, deux mains les écarte un peu et elle se glisse jusqu’à ma rondelle. Le contact de cette langue humide sur mon anus m’électrise, mon bassin ondule, je monte un peu mes fesses, sa langue se déchaine sur ma rondelle. Je sens une boule se former dans mon ventre, je suis parcouru de centaines de décharges électrique, mon corps se tend, mes muscles se contractent, j’explose dans un sublime orgasme, c’est la première fois que je jouis de cette manière, c’est différent, mais sublime.  –Retourne toi chérie. Encore une fois, je m’exécute sans broncher, je suis sous l’emprise de cette sublime fille et j’en suis heureuse, je reste les yeux fermés. Sa langue se pose sur mon sein gauche, elle titille mon téton déjà bien tendu, ses dents le mordillent, je recommence à monter dans les tours. Elle passe à l’autre et l’honore de la même manière. Elle descend sur mon ventre pour finir sur mon pubis. J’ouvre mes cuisses en grands, je veux qu’elle s’occupe de mon sexe, ça fait plus d’une demi-heure qu’elle me fait languir, je n’en peux plus. Elle réussit à se positionner entre mes cuisses, sa bouche se pose sur mes lèvres, sa langue se glisse dans mon vagin, elle lape mon jus d’amour. Sa langue me titille tout le sexe sans venir sur le clitoris, elle veut me faire encore languir mais je ne réagis pas, je veux la laisser maîtresse de mon corps, c’est elle qui le fera exploser quand bon lui semblera. Je ne sais combien de temps Camille est restée sur mon sexe et mon anus, mais tout à coup, mon corps a explosé dans un gigantesque feu d’artifice, je suis tétanisée par le plaisir qui envahi mon corps, j’ouvre la bouche, j’ai le souffle court, je suis dans une espèce de bulle de béatitude suprême. Je m’arque boute, donne des coups de rein pour sentir encore plus cette merveilleuse bouche qui me donne tant de plaisir, c’est le trou noir. –Comment te sens tu ma chérie ? J’ouvre les yeux sur le merveilleux visage de Camille qui me sourit. Je ne veux pas répondre, j’ai envie d’autre chose, je passe ma main derrière sa tête et l’attire à moi. Nos lèvres se soudent pour un très long baiser. Elle se laisse tomber sur mon corps, je sens ses seins sur les miens, son pubis contre le mien. Mes mains se promènent sur son dos et ses fesses, c’est tout ce que je peux caresser, mais ça me suffit, j’en ressens un bonheur sans nom. Pour la première fois de ma vie, je suis parfaitement heureuse de faire ce que je fais. Je ne veux pas que ce moment s’arrête, je la serre contre moi, je veux que nos corps ne fassent plus qu’un, mais je sens que je l’étouffe, je relâche ma pression. Elle lève la tête, je lis de l’amour dans son regard, elle semble elle aussi heureuse. –Merci Camille, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie, tu m’as fait connaitre un plaisir que je ne pouvais pas imaginer.–De rien ma chérie, je suis à ta disposition pour te faire connaitre ce plaisir de nouveau quand tu veux. Je t’aime Agathe, j’en suis sûre, je veux te rendre heureuse, j’aimerai tant partager ta vie.–Doucement Camille, tu sais très bien que je ne suis pas lesbienne, j’aime ce que tu me fais, je dois dire que j’ai même adoré, mais je ne suis pas prête à devenir une adepte de Sapho. Nous allons vivre quelque temps ensemble, cela nous permettra de faire plus ample connaissance. Je ne veux présumer de rien, je laisse la vie suivre son cours, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent, sans aucun à priori.–Ok, mais je peux continuer à t’appeler ma chérie ?–Si tu veux, je n’y vois pas d’inconvénient. Maintenant, il faut quand même commencer à penser au repas, il ne va pas se faire tout seul.–Je viens avec toi.–Tu ne pourras pas faire grand-chose.–Non, mais je serais à côté de toi, je pourrais te regarder et admirer ton merveilleux corps.–Ok, allons-y. Je l’aide à se lever et la soutiens pour l’amener à la cuisine mais elle est déjà occupée, Luce et Doriane préparent le repas. Dès que j’ai installé Camille, Doriane se précipite sur moi pour m’enlacer en collant son corps contre le mien. –Maman, maman, je suis amoureuse, j’ai enfin rencontré la personne qui va partager ma vie. Je vois Camille nous regarder d’un drôle d’air. –Calme toi ma chérie, calme toi, si tu veux me parler de Luce, je te fais remarquer que ça fait dix ans que vous vous connaissez.–C’est vrai, mais je viens juste de réaliser que je l’aime d’amour, ce n’est plus mon amie, c’est ma femme, et je suis sa femme.  Je remarque que Camille semble complètement pommée. –En fait Camille, Doriane est ma fille, je l’ai eu à dix ans, mais je dois t’expliquer. Je lui raconte toute l’histoire jusqu’à la découverte de Doriane. Elle semble un peu étonnée mais pas spécialement surprise. Elle regarde Doriane. –Tu as de la chance de n’avoir que dix ans de différence avec ta mère, moi, j’en ai quarante-deux, ça représente presque deux génération. J’ai des copines dont la grand-mère était plus jeune que ma mère. Ça n’a été qu’incompréhension toute notre vie commune, nous vivions dans deux mondes différents, elle ne me comprenait pas, et je ne la comprenais pas. Profite en le plus possible surtout que tu viens juste de le découvrir.–Mais tu sais, j’ai toujours considéré Agathe comme ma mère de substitution, elle a pris la place de celle que je croyais être ma mère quand j’avais neuf ans. Maintenant, je sais que c’est la réalité et j’en suis très heureuse. J’aide les filles à préparer le repas, Camille se débrouille pour se placer derrière moi et me caresser les fesses. Je dois dire que je ne fais rien pour l’en empêcher, bien au contraire, je recule légèrement pour qu’elle ai plus de surface à caresser. Elle se colle à moi, ses mains remontent sur mon ventre pour venir s’emparer de mes seins. Elle les caresse, les soupèse, titille mes mamelons pour les faire s’ériger. Elles redescendent sur mon ventre pour venir se glisser entre mes cuisses. Un doigt s’active sur mon clitoris, il va se lubrifier de temps en temps entre mes lèvres liquéfiées pour revenir de plus belle dessus. Je pose mes avants bras sur le plan de travail, elle en profite pour glisser sa langue entre mes fesses. Je la sens lécher mon anus, j’ai une décharge électrique qui me parcoure le corps, elle continue sa masturbation et son léchage. Je ne résiste pas longtemps et joui debout sous le doigt de Camille et sa langue sur ma rondelle. Elle me plaque contre elle pendant que je jouis. Quand je reviens à moi, Doriane m’enlace et m’amène à la table de la terrasse pour m’assoir. –Ne bouge plus maman chérie, on s’occupe de tout avec Luce.  Luce aide Camille à s’assoir à côté de moi, une seconde plus tard, sa main gauche se pose sur ma cuisse. –Juste pour sentir ta peau, je deviens accro.–Ok, mais tu me laisse manger normalement.–Bien sûr ma chérie. Le repas se passe bien, Camille me caresse la cuisse de temps en temps, mais n’insiste pas. Juste après, je me sens un peu lasse, je décide d’aller faire une sieste, je regarde Camille qui me supplie des yeux. –Ok Camille, si tu veux, tu peux venir avec moi, mais j’ai envie de dormir tu comprends ce que ça veut dire ?–Te laisser tranquille, je te promets que tu pourras dormir, je ne ferais rien pour t’en empêcher.–Ok, allez, viens. Je l’aide à se lever, nous allons dans ma chambre, je l’allonge sur le dos et m’allonge à côté d’elle. Elle me regarde en souriant. –Dors bien ma chérie, moi aussi je vais dormir, à tout à l’heure. Contre toute attente, elle s’endort en quelques minutes. Elle est là, à côté de moi, allongée sur le dos, les jambes légèrement ouvertes, d’où émerge la tête de son clitoris un peu gonflé. Je vois ses seins monter et descendre au rythme de sa respiration. Je ne peux m’empêcher de regarder ce corps parfait qui ne demande qu’à être aimé. Je vois une splendide femme, sereine, libre, aimante qui dort à côté de moi, abandonnée, pratiquement offerte. Mon cœur bat de plus en plus fort dans ma poitrine, que m’arrive-t-il ? Je finis par m’endormir, la tête pleine des images de Camille m’offrant son magnifique corps. Je me réveille assez vite, je ne dors en général qu’une trentaine de minute quand je fais une sieste. Je me tourne vers Camille, elle dort toujours, son visage est détendu avec un léger sourire. Cette fois, je ne peux m’empêcher de me tourner vers elle et de poser ma main sur son ventre. Je sens un léger frisson lui parcourir le corps. Ma main glisse sur sa peau, elle tourne la tête et ouvre les yeux. –Oui ma chérie, caresse moi, j’en ai tant envie. Je m’approche d’elle pour venir poser ma bouche sur la sienne. Nos langues s’aiment une nouvelle fois, mais cette fois, c’est moi qui suis dessus et qui mène le bal. Ma main arrive sur son pubis, elle se glisse entre ses cuisses pour atterrir sur une vulve détrempée. Mon doigt tente une pénétration de son vagin, mais elle resserre ses cuisses, je comprends que c’est un « no doigt land », je le retire, elle ouvre de nouveau ses cuisses. Mon doigt remonte sur son clitoris et tourne dessus, son bassin commence à onduler, son baiser est de plus en plus intense, je sens qu’elle va jouir bientôt. D’un seul coup, son corps se tend, ses fesses montent de quelques centimètres pour mieux m’offrir son clitoris que je continue s’exciter avec mon doigt. J’ai l’impression qu’elle commence à étouffer sous mon baiser, je la libère, elle prend une grande inspiration, passe sa main derrière ma tête pour me plaquer à nouveau sur sa bouche. Elle jouit, pendant une longue minute, son corps est parcouru de spasmes, sa peau s’hérisse comme si elle avait la chair de poule, son ventre est crispé. Quand je sens qu’elle se détend, je libère sa bouche pour poser un baiser sur son menton, son cou, ses seins, son ventre. J’arrive vers le saint des saints de son corps. Je retrouve cette odeur douçâtre, ma langue glisse sur son pubis, elle le lèche pour descendre encore un peu et donner juste un petit coup sur son clitoris. –Oui ma chérie, oui, aime moi. Ma bouche se plaque contre son vagin, ma langue se glisse entre ses lèvres, je lui lape son élixir d’amour, j’adore ce liquide crémeux, je m’en baffre. Je redescends vers son anus, ma langue lui titille la rondelle, je passe mes mains sous ses fesses pour la soulever un peu, elle écarte au maximum sa jambe encore valide me libérant assez de place. Je remonte le long de ses lèvres, ma langue effleure son clitoris, elle donne un coup de rein en avant. Je ne veux pas la faire jouir tout de suite, je veux profiter de ce merveilleux corps encore un peu. Après un bon moment entres ses lèvres et son vagin ruisselant, je redescends sur son anus. Ma langue se déchaine sur sa rondelle en essayant de s’enfoncer dedans, elle se tortille dans tous les sens en donnant des coups de rein pour que je la pénètre encore plus. –Oui ma chérie, oui, tu vas me faire jouir du cul, oui, continue.
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