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Doriane

Chapitre 4

Lesbienne
La confirmation Je l’écoute et continu de lui titiller l’anus, je sens son corps se raidir, elle jouit en me serrant la tête entre ses cuisses. –Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je ne m’arrête de la titiller que quand je sens son corps se détendre, ses fesses descendent lentement sur le lit, ses cuisses me libèrent, mais je n’en ai pas encore fini avec ce corps, je veux le sentir exploser sous ma langue. Je remonte sur son vagin, le lèche, mordille ses lèvres, les aspirent avec mes lèvres, elle recommence à bouger du bassin. Elle ouvre en grand ses cuisses, ma langue peut glisser sans obstacle entre ses lèvres de son anus à son clitoris que j’évite soigneusement. Je sens que son corps se tend de plus en plus mais je ne veux pas la faire jouir tout de suite, je veux lui rendre ce qu’elle m’a fait. Au bout d’un bon quart d’heure de léchouille, je sens son corps au bord de la tétanie, tous ses muscles sont tendus au maximum. Je remonte lentement de l’anus à son clitoris que j’aspire entre mes lèvres en le titillant avec ma langue. Elle explose dans un gigantesque orgasme, elle ne s’appartient plus, elle est secouée comme un prunier, elle se tend et se détend au rythme des spasmes de son corps. Je l’imagine planant au fin fond de l’univers, emportée par un plaisir extrême, se laissant submerger par ce tsunami qui l’emmène au paradis. Jamais je ne me suis senti si heureuse, je viens de faire jouir une femme avec ma bouche, je viens de lui donner un immense bonheur, j’en ressens une profonde sensation de plénitude. Lentement son corps se détend, je lui lèche le vagin, je veux m’abreuver de ce merveilleux liquide qui s’en échappe, je me suis découvert une passion pour lui. Quand elle est entièrement revenu à elle, je remonte le long de son corps pour me plaquer sur lui. Je tombe sur un visage resplendissant de bonheur, elle n’a jamais été si jolie, elle me sourit les yeux pleins d’amour. J’en ai un coup au cœur, je m’effondre sur elle en larme. Je sens ses bras m’enlacer. –Que t’arrive-t-il ma chérie ? Je ne peux répondre, je pleure à chaudes larmes. Il me faut un certain temps pour me calmer, je redresse la tête pour la regarder. –Je ne sais pas, mais je peux te dire que je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie de femme. J’ai été submergé de joie de t’avoir donné tant de plaisir. –Viens m’embrasser mon amour. Je me penche sur elle, nos lèvres se soudent une nouvelle fois pour un merveilleux baiser. Au bout d’un certain temps, je relève la tête pour m’allonger à côté d’elle, je me tourne vers elle, pose mon bras sur ses seins, ma tête sur son épaule et m’endors d’un seul coup. Quand je me réveille, je suis toujours dans la même position, elle me regarde avec un regard d’une infinie tendresse. J’avance ma tête pour échanger un long baiser. Je finis par me redresser et sortir du lit, je l’aide à se lever.  –Tu n’as pas bougé, j’ai dormi combien de temps ?–Un petit quart d’heure, j’ai passé mon temps à te caresser les fesses, tu ne bougeais pas, tu dormais profondément.–Bon, si on allait sur la terrasse, j’ai envie d’exposer mon corps au soleil.–Ok, mais je vais avoir une jambe bien bronzée et une autre blanche.–Ça te changera du pubis et des seins.–Oui, ils vont bronzer, et je compte sur toi pour t’en occuper, j’aimerais éviter les coups de soleil dessus.–Ne t’en fais pas ma chérie, je m’en occuperais. –Tu as bien dit ma chérie ?
–Oui, mais ça ne veut rien dire de particulier, seulement que je suis très bien avec toi. J’ai adoré ce qui vient de se passer, mais il ne faut pas en tirer de conclusions trop hâtives. Viens, je t’amène à la piscine. Je l’enlace et l’aide à marcher jusqu’à la piscine, je l’allonge sur un transat et vais piquer une tête. Luce et Doriane sont déjà dans l’eau, Doriane a ses bras levés, ça lui donne une drôle d’allure. Je viens vers elle. –Ça va ma chérie ?–Oui maman, ça va mais je commence à fatiguer, je vais aller m’allonger sur un transat, mes épaules me font mal. Elle sort de l’eau, je regarde Luce, elle semble très heureuse, je viens vers elle. –Et toi, ça va aussi à voir ton air enjoué.–Oui, je n’ai jamais été si heureuse de ma vie, voilà six ans de ma vie qui se concrétisent heureusement.–Tu as attendu ce moment depuis six ans.–Oui, depuis que j’ai douze ans, je m’endors tous les soirs en pensant à Doriane, en voyant son corps parfait et en m’imaginant le caresser.–D’autant que tu la voyais nue assez souvent.–Oui, quand nous passions des après-midi entières dans la piscine et c’était un supplice, c’est pour ça que de temps en temps je déclinais l’invitation de Doriane, ça aurait été trop dur pour moi. J’aime ta fille depuis toujours, nous sommes des amies d’enfance, mais j’ai su que c’était un amour sans limite, un amour viscéral que quand j’ai eu douze ans.–Et pourquoi ne lui as-tu pas dit ?–Parce que j’avais trop peur qu’elle le prenne mal, elle fréquentait des garçons, je préférais souffrir en secret que de la perdre définitivement.–Et Doriane a réalisé l’amour qu’elle te portait que beaucoup plus tard, elle ne m’en a parlé que tout à l’heure quand nous étions ensemble.–Je sais, elle me l’a dit, mais tu sais, j’aime ta fille et je veux partager ma vie avec elle, j’espère que tu n’es pas contre.–Pourquoi veux-tu que je sois contre, d’autant que je réalise doucement que moi aussi j’aimerais bien partager un bout de chemin avec une femme.–Camille ?–Oui, Camille, je n’ai jamais été aussi bien avec une personne qu’avec elle. Je réalise que notre relation ne m’apporte que du bonheur.–Alors fonce, dis-lui ce que tu ressens, j’ai la nette impression qu’elle n’attend que ça.–Je sais, mais je ne veux pas m’emballer, elle reste là pendant au moins deux mois, sans compter la rééducation, nous avons le temps, je veux d’abord être sûre de moi, je ne veux pas lui donner de faux espoirs. Nous sortons de la piscine, l’heure a tourné, il est temps de préparer le repas, nous décidons de laisser les « cassées » se détendre et allons le préparer avec Luce. Un quart d’heure plus tard, nous nous installons sur la terrasse pour diner. Cette journée aura été très instructive pour moi. Ma fille découvre la vérité sur sa naissance et je réalise qu’une femme peut ne pas me laisser indifférente, et même me donner un plaisir que je n’ai jamais connu. Je regarde Camille autrement, je suis surprise d’en éprouver un certain plaisir, cette fille est entrée dans mon cœur par effraction, mais je ne veux pas qu’elle en sorte.  Après le repas, j’aide Luce à tout ranger et aide Camille à s’assoir sur le divan du salon, je m’assoie à côté d’elle. Nos hanches se touchent, elle se colle contre moi. –J’aime sentir ton corps contre le mien. –Je dois avouer que moi aussi, j’aime sentir ton corps contre le mien, c’est tout nouveau pour moi. Luce et Doriane s’assoient sur le divan d’en face, Luce enlace ma fille et l’embrasse longuement, sa main gauche glisse sur une de ses cuisses, elle remonte vers le sexe mais s’arrête juste avant. Doriane donne un coup de rein en avant, elle veut sentir cette main sur son sexe mais Luce ne bouge pas. Au bout de quelques minute, elles se séparent, essoufflée. Doriane se lève et vient vers moi.  –J’aimerais que Luce reste ici ce soir, je n’ai pas envie de la voir retourner chez elle, je veux la garder avec moi.–Bien sûr ma chérie, elle peut passer la nuit ici, et plus si elle veut.–Elle pourrait s’installer avec nous ?–Si tu le désire, je ne suis pas contre, d’autant que moi, je garde Camille pour moi. A ces mots, Camille se jette sur moi pour m’embrasser passionnément. Notre baiser dure longtemps, sa main gauche glisse sur mes seins et mon ventre, je sens le désir monter en moi, j’ouvre un peu mes cuisses, mais pour rien, sa main remonte sur mes seins pour les caresser. Je me donne à ce baiser, je sens mon cœur exploser de bonheur, je commence à penser que cette fille va marquer ma vie au fer rouge, et je le veux. Quand nos bouches se séparent, Camille pose sa tête sur mon épaule.  –Tu vois, tu y viens, je t’attends mon amour, je suis très patiente.–Ok Camille, commençons d’abord par voir comment ça se passe entre nous la nuit, tu accepterais de partager mon lit cette nuit ?–Tu te moque de moi en posant cette question.–Oui, je me moque de toi, alors, allons-y, je suis crevée. Je me lève et aide Camille à se lever et à aller dans la salle de bain. Elle veut prendre une douche, je l’allonge dans la douche à l’italienne, je pose sa jambe plâtrée sur un petit escabeau légèrement en hauteur. Je règle la douche et commence à la mouiller. Je lui savonne le corps entier, elle se laisse faire en fermant les yeux, je sens au bout d’une minute son ventre commencer à onduler. Je lui écarte la jambe valide pour ouvrir son sexe, je ne peux résister à l’appel de ses lèvres roses qui semblent n’attendre que ma bouche. Je la dépose dessus et lèche avec gourmandise son vagin afin de récupérer sa cyprine qui coule à flot. Il ne lui faut qu’une vingtaine de secondes pour jouir en posant ses mains sur ma tête pour appuyer mes lèvres encore plus sur son sexe.  Je sens que je me liquéfie, je ne suis pas loin de l’orgasme, mon sexe est en feu, n’en pouvant plus, je viens me mettre au-dessus de sa tête et descendre mon sexe sur sa bouche. Elle m’agrippe les hanches pour me plaquer sur elle. Sa langue s’active sur mon clitoris, il ne me faut que quelques secondes pour exploser dans un magnifique orgasme. Une fois revenue à moi, je l’aide à se relever et l’essuie. Quand nous sommes toutes les deux sèches, elle m’enlace pour échanger un nouveau baiser ardent. Je réalise que je prends de plus en plus de plaisir à sentir sa langue venir danser avec la mienne, je fais tout pour prolonger ce baiser, mais Doriane entre dans la salle de bain avec Luce. –Bon, je crois que vous vous êtes assez amusées, à notre tour. Nous nous séparons en souriant, je prends Camille par la taille pour l’emmener dans ma chambre, Luce et Doriane se précipite dans la douche. J’allonge Camille sur le lit, elle se laisse faire en souriant, je la sens heureuse de ce qui se passe. Elle doit sentir elle aussi que mon attitude vis-à-vis d’elle change, elle sent que je ne suis pas indifférente, que je m’attache de plus en plus. Je m’allonge à côté d’elle, je pose ma tête sur son épaule, elle pose une main dessus et me caresse la joue. Je suis complètement crevée, j’ai du mal à maintenir mes yeux ouverts. –Je suis bien avec toi, je crois que je m’attache de plus en plus.–Ne t’emballe pas mon amour, tu découvres l’amour entre femme, je sais que tu vas finir par m’aimer, mais laisse toi aller et laisse toi venir à moi à ton rythme, je suis d’une infinie patience, je t’aime et je t’attends.–Je sais ma chérie, je sais, mais je ne peux rester indifférente à ce qui s’est passé aujourd’hui, je sens que ma vie bascule dans une direction que je n’avais jamais envisagé.–Et ça te fait peur ?–Pas du tout si c’est avec toi que je dois faire ce bout de chemin.–J’espère que ce sera le chemin tout entier.–Oui, moi aussi, mais je suis crevée, j’ai envie de dormir dans tes bras juste pour voir, enlace moi s’il te plait. Elle m’enlace et me serre dans ses bras, je suis bien contre sa peau si douce, je me sens en sécurité, elle pose ses lèvres sur mon front, je ferme les yeux et m’endors comme une masse. Au milieu de la nuit, je me réveille, elle dort en me tenant toujours dans ses bras. J’ai rêvé que nous nous marions en même temps que Luce et Doriane. J’essaye de me projeter dans l’avenir et je ne peux l’envisager sans elle, je comprends qu’elle va partager ma vie. Après une longue réflexion je finis par m’endormir toujours enlacée par les bras de Camille.  Le lendemain, je me réveille vers sept heures et demie, un peu trop tard pour ouvrir le magasin à l’heure. Je suis toujours dans ses bras, elle dort encore, je ne bouge pas pour ne pas la réveiller mais surtout pour profiter du contact de sa peau que j’aime de plus en plus. Elle finit par se réveiller, je me lève, j’ai un début de crampe dans le mollet droit, elle me regarde en souriant. –Tu as bien dormi mon amour ?–Agathe, tu viens de dire mon amour. –Oui mon amour et je le répète mon amour, j’ai réalisé que tu ne peux que faire partie de ma vie, je t’aime, cette nuit m’a fait comprendre que je ne pourrais pas vivre sans toi.–Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse de l’entendre. Et pour te répondre, oui, j’ai bien dormi en te sentant contre moi. J’ai passé ma première nuit avec la femme que j’aime et je compte en passer beaucoup d’autres avec elle, tu n’y vois pas d’inconvénient j’espère ?–Pas du tout mon amour. Je me penche pour m’allonger sur elle et poser mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser, ses mains glissent sur mon corps pendant que je la serre contre moi. Quand nos lèvres se séparent, je me redresse et me lève, elle me regarde, elle a l’air tellement heureuse que je ne peux m’empêcher de me pencher de nouveau sur elle et lui déposer un baiser sur chacun de ses seins en les titillant d’un coup de langue. Elle essaye de me faire basculer sur elle, mais je résiste.  –Il est tard, je vais faire le petit déjeuner, repose toi encore un peu, je viens te chercher dès que tout est prêt.–Ok amour.–Que prends tu au petit déjeuner ?–Juste café bien fort et tartines beurrées.–Ristretto.–Ok, mais double dose.–Pas de problème, à tout de suite chérie. Je téléphone à Alice pour la prévenir que je serais en retard et qu’elle doit ouvrir le magasin. Je vais dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner, Luce est déjà là, je vois même des croissants et des baguettes fraîches. –Tu es déjà sortie ?–Oui, je me suis réveillée à six heures et demie et plus moyen de me rendormir, j’ai décidé d’aller acheter de quoi faire le petit déjeuner.–Excellente initiative.  Nous finissons de préparer le petit déjeuner, quand tout est prêt, je vais chercher Camille et Luce Doriane. Nous déjeunions joyeusement, nous sommes heureuse de ce qui ce passe, nous sentons toutes que c’est le début d’une nouvelle vie. J’arrive en retard au magasin, c’est samedi, une grosse journée. Alice est adorable, elle compense encore une fois, heureusement que c’est le dernier jour d’ouverture avant un mois de fermeture pour les vacances. Quand je rentre le soir, tout est prêt, Luce a assuré, elle ne me cache pas qu’il ne faudrait pas que ça dure longtemps, elle est épuisée. Je lui dis que je suis en vacances pour un mois, ça la rassure.
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