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Doriane

Chapitre 5

Lesbienne
Calliope Les journées suivantes se sont bien passées, nous nageons dans le bonheur, les couples se sont formés définitivement, plus de contact avec Doriane ou Luce, je suis complètement accaparée par Camille, je ne peux passer deux minutes sans elle, c’est devenu ma drogue. Vers la fin août, elles sont obligées de changer leurs plâtres, leurs muscles ont fondus et les plâtres bougent. Mais les vacances ont une fin, il va falloir s’organiser surtout que Luce entre en fac et doit aller à Toulouse toute la semaine et ne rentre que le vendredi soir par le train. Doriane attend la fin de sa guérison pour la rejoindre et commencer son année universitaire.  Avec l’aide de la sécu, nous engageons Calliope, une garde malade, qui passe ses journées chez nous, nous la logeons. Le jour où elle arrive, elle est un peu étonnée de nous voir nues autour de la piscine, mais ça ne la dérange pas, elle est aussi naturiste et très vite elle nous imite pour se baigner. Le soir du premier jour, je la prends à part au bord de la piscine. Je la détaille un peu mieux, elle ne s’est pas rhabillée, c’est une magnifique fille de vingt-cinq ans, grande, intégralement bronzée, un magnifique bonnet C haut et très ferme, un ventre plat, un pubis bien rebondi et lisse, un cul d’enfer et des jambes interminables. Un canon de chez canon, mais très agréable à vivre et toujours souriante. –Dis donc, ce n’est pas courant ton prénom, d’où vient-il ?–C’est un prénom qui vient de la mythologie grecque, Calliope est la muse de la poésie épique, elle est fille de Zeus et de Mnémosyne, c’est, entre autres, la mère d’Orphée et la femme d’Apollon, son quatrième mari.–Très bien, tes parents sont grecs ?–Non, professeurs d’histoire antique, c’est leur passion, ils parlent grec ancien entre eux.–Je vois, en tout cas, ils ne t’ont pas raté, tu es magnifique, la digne représentante d’une muse, voire d’une déesse.–Merci. Doriane rejoint très vite Luce à Toulouse malgré ses plâtres, elle ne peut pas vivre sans elle plus de quelques heures. Elles viennent passer le week-end, mais je sens que ça ne va pas durer, nous sommes devenues transparente pour elles. Elles finiront par ne venir qu’une fois par mois. Fin septembre, on enlève le plâtre de Camille, elle a perdu la moitié de la masse musculaire de sa jambe. Calliope finit par faire partie de la maison, elle est tout le temps là prête à rendre service. Il faut une longue rééducation à Camille et des massages quotidien qu’elle fait à la maison. Doriane a elle aussi enlevé ses plâtres, elle a elle aussi besoin de rééducation, ses poignets sont un peu rouillés après deux mois d’immobilisation, elle le fait à Toulouse. Nous louons une table de massage mais Calliope doit amener Camille à sa rééducation tous les jours, heureusement que ce n’est pas très loin. Une masseuse vient s’occuper de la jambe de Camille, elle fait voir à Calliope comment faire pour la masser. Au bout de quelques jours, Calliope masse Camille régulièrement en fin de journée. Un vendredi après-midi, je rentre plus tôt que prévu, je laisse Alice fermer la boutique, je suis restée une bonne partie de la matinée accroupie à ranger des vêtement dans des tiroirs et j’ai mal aux cuisses. Une fois à la maison, à poil et dans l’eau, Calliope est dans la cuisine, elle prépare du thé. Je sors de l’eau au bout de quelques minutes pour m’allonger toute mouillée sur Camille, elle pose ses mains sur mes fesses.  –Ça va ma chérie ?–Oui, sauf que j’ai mal aux cuisses, je suis restée accroupie pendant des heures et j’en subie les conséquences.–Tu veux que Calliope te masse les cuisses ?–Elle saurait le faire ?–Bien sûr, elle me masse la jambe tous les jours, à tel point que je pense arrêter avec la masseuse, ça fait double emplois.–Ok, après le thé. Calliope arrive avec le thé, des tasses, des gâteaux et du pain et du beurre, je suis étonnée.
 –Pourquoi du pain et du beurre.–Parce que j’aime beaucoup manger un peu à cette heure-ci.–Ok, bon appétit. Nous nous installons sur la table de la terrasse, j’aide Camille à s’installer, elle n’est pas encore totalement autonome.  –Calliope, Agathe a mal aux cuisses, tu ne pourrais pas la masser ?–Bien sûr si elle me fait confiance.–Pas de problème, Camille m’a dit que tu la massais tous les jours.–Oui, Giselle m’a montré ce qu’il fallait faire, maintenant, Camille est assez bien rétablie, je peux la masser sans danger.–Ok, tu pourras t’occuper de mes cuisses douloureuses. Après le thé, Calliope m’invite à m’allonger sur le dos sur la table de massage, j’écarte un peu les jambes pour lui laisser assez d’espace pour me masser. Elle commence à me masser, ses mains glissent fermement le long de mes cuisses, je suis surprise que ça ne me laisse pas indifférente, je sens une chaleur s’installer entre mes cuisses. Ses doigts remontent vers le haut, instinctivement, j’écarte un peu plus mes cuisses, Camille le voit. –Oh là, je vois que les mains de Calliope ne te laissent pas indifférente, je vois que tu brille de plus en plus, ça t’excite mon amour ? Calliope arrête le massage, je suis rouge de honte, je ne peux pas lui répondre, j’en suis incapable. Camille vient vers moi en boitant, ses lèvres viennent se poser sur les miennes, nous échangeons un tendre baiser, une de ses mains glisse sur mon ventre pour venir entre mes lèvres intimes s’enfoncer dans mon vagin. –Oui, ça t’excite, tu es complètement liquéfiée, laisse toi aller mon amour. Son doigt excite mon clitoris, je suis tellement excitée que je jouis en quelques secondes. Calliope nous regarde, elle a l’habitude de nous voir nous donner du plaisir, ça ne la choque pas, mais je trouve qu’elle a un drôle d’air. Quand je suis redescendue de mon nuage, Camille se tourne vers Calliope. –Vas-y, tu peux terminer ton massage, et vas-y franchement, ça devrait la détendre.–Ok. Calliope pose ses mains sur mes genoux et les fait remonter vers ma taille, de nouveau, j’ouvre un peu trop mes cuisses. Ses doigts viennent buter sur mes lèvres intimes, j’ai un frisson. Calliope me regarde droit dans les yeux, elle recommence plusieurs fois jusqu’à toucher mes lèvres, je sens mon sexe s’humidifier de nouveau. Au bout de cinq ou six fois, un de ses doigts se glisse entre elles. J’ai un réflexe, je donne un petit coup de rein en avant. Camille se penche à son oreille et lui murmure quelque chose que je ne comprends pas. Le doigt de Calliope s’enfonce un peu dans mon vagin, il en ressort pour accompagner sa main le long de ma cuisse. Je ferme les yeux et ouvre encore un peu mes cuisses, ses mains remontent vers mon sexe. L’une d’elle se pose sur lui, un doigt s’enfonce dans mon vagin pendant qu’une bouche se pose sur mon sein gauche et titille mon téton avec sa langue. Je pense que c’est Camille, mais une autre bouche se pose sur mon sein droit pour me titiller le téton. Elles sont complices, je me laisse aller, c’était prévisible, Calliope est vraiment trop belle pour nous laisser indifférentes, mais je ne pensais pas qu’elle puisse entrer dans le jeu. La bouche quitte mon sein gauche pour aller se poser sur mon sexe. Une langue se glisse entre mes lèvres et commence à me laper la cyprine que je laisse couler à flot. Je suis complètement dans un autre monde, mais ça ne m’empêche pas de réaliser que ce n’est pas la langue de Camille, d’autant que l’autre bouche se pose sur la mienne, et là, je reconnais bien sa langue jouant avec la mienne. Des mains m’écartent les cuisses en repliant mes jambes sur mon ventre, la bouche se pose sur mon anus, une langue vient le lécher en essayant de s’introduire dedans. Je suis parcourue d’un énorme frisson, j’ai envie qu’elle aille plus loin, mais je ne peux pas lui dire, ma bouche est pleine d’une merveilleuse langue. Comme si elle l’avait compris, sa langue est remplacée par un doigt gras de ma cyprine qui s’enfonce dans mon fondement. Il se retire pour aller se lubrifier dans mon vagin avec un de ses frères. Les deux doigts s’enfoncent à leur tour dans mon anus, ils font des va et vient rapide, je sens mon sphincter se détendre. Ils se retirent pour revenir avec un autre frère et détendre encore plus ma rondelle. Calliope comprend qu’elle peut aller jusqu’au bout, elle met sa main en pointe pour l’enfoncer dans mon vagin et la lubrifier. Je sens cette main me pénétrer entièrement, mes lèvres se referment sur son poignet, elle fait quelques va et vient puis se retire et se présente sur ma rondelle brune. Camille me libère pour venir poser sa bouche sur mon pubis, sa langue me lape un peu de cyprine, elle se lèche les babines en me regardant. –On y va, je l’enfonce ?–Oui, défonce moi, j’ai envie, vas-y mais doucement, c’est la première fois que je recevrais une main entière dans le fondement, n’insiste pas si je te dis que j’ai mal.–Tu es vierge de l’anus ?–Non, mais l’objet le plus gros que j’ai reçu là ne faisait que deux centimètres de diamètre.–Ne t’en fais pas, je serais la plus douce possible. Je sens des doigts glisser sur mon anus en étalant une matière grasse, je réalise que c’est Camille qui me badigeonne l’anus avec du beurre. –Comme ça, ce sera plus facile. Les doigts de Calliope appuient sur mon anus, il s’ouvre lentement pour laisser entrer l’invitée qui se glisse dedans doucement mais sûrement. Mon sphincter se referme sur son poignet. Elle fait des va et vient lents et de plus en plus profonds. La langue de Camille me titille le clitoris, je ne peux résister longtemps, mon corps est pulvérisé par une énorme explosion atomique, je ne sais plus où je suis, ce que je fais, qui je suis. Je me laisse aller a cette impression de bonheur infini, à ce moment inoubliable que j’espère revivre encore souvent. Quand elles sentent que je reviens à moi, la bouche de Camille revient sur la mienne pour échanger un long baiser, la main de Calliope se retire doucement. Je suis complètement lessivée, je reste sans bouger sur la table de massage. Calliope reprend son massage. Au bout d’un quart d’heure, elle arrête et vient déposer un rapide baiser sur mes lèvres.  –Je suis à ta disposition quand tu veux pour un autre massage.–Ne t’en fais pas, je m’en souviendrais. Je me lève, Camille vient s’allonger à ma place, elle regarde Calliope. –Je suis jalouse, tu ne m’as jamais fait ce que tu viens de faire à Agathe, tu peux me le faire ?–Si elle est d’accord.–Si je comprends bien, c’est Camille qui t’a demandé de me faire ce que tu m’as fait.–Oui, elle m’a dit à l’oreille « Fais la jouir, elle en a envie ». –Elle a eu raison, vas-y, elle aussi en a envie.  Calliope ouvre les cuisses de Camille, replie ses jambes sur son ventre et plonge sur son anus. Je vois mon amour se tortiller sous la langue de Calliope, je me penche sur sa bouche pour l’embrasser, ma main gauche se promène sur son ventre et ses seins. Calliope se redresse, elle passe sa main entre mes fesses pour récupérer du beurre et en enduire l’anus de Camille. elle présente sa main entre ses fesses, je la vois s’enfoncer dans son sexe, elle soulève ses fesses pour faciliter la pénétration de cette main dominatrice. Je reste sur ses lèvres pendant que Calliope retire sa main pour l’enfoncer d’un seul coup dans l’anus de Camille. Elle se raidi, je pense que le mouvement de Calliope a été un peu rapide, mais je sens que rapidement, la gêne se transforme en plaisir, elle le concrétise en donnant des coups de rein pour s’empaler encore plus. Calliope s’active de plus en plus vite dans l’anus de Camille, elle se penche sur son sexe pour lécher son clitoris pendant qu’elle la sodomise avec son bras. Je lève la tête et suis stupéfaite de constater qu’il s’enfonce presque jusqu’à son coude, deux fois plus qu’avec moi. Je regarde Camille, mon air doit être assez expressif car elle me regarde en souriant. –Ne sois pas étonnée mon amour, j’ai l’habitude, je me suis fait défoncer la rondelle très souvent, j’adore sentir un gros membre dans le fondement, j’avais même un gode gonflable jusqu’à plus de dix centimètres de diamètre, et je l’ai beaucoup utilisé. –Ça se voit, vas-y, jouis, j’adore sentir ton corps vibrer de plaisir.  Je repose mes lèvres sur les siennes, je sens son corps se tendre de plus en plus, il finit par se raidir, je suis obligée de libérer sa bouche, elle veut s’exprimer. –Oh oui, oui, vas-y, défonce moi le cul, je jouis, je jouis, oui, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Son corps est secoué de spasmes de plaisir, je sens qu’elle n’est plus avec nous, elle est dans son trip, seule et heureuse. Lentement elle se détend, je sens ses muscles se ramollir, elle ferme les yeux pour vivre pleinement son bonheur. Nous la laissons revenir à elle à son rythme, nous allons dans la cuisine pour préparer le repas.  –Tu aimes les femmes ?–Oui, en fait, je suis lesbienne exclusive, aucun homme ne m’a touché.–Tu es toujours vierge ?–Oui, et je veux le rester, je ne veux pas que quoi que ce soit pénètre mon sexe, je veux le garder serré, je veux le sentir quand je glisse mon doigt dedans.–Je n’aime pas les hommes, mais je dois dire que j’aime sentir un objet me pénétrer, ce ne sera jamais un homme, mais j’ai pas mal de gode, nous aimons bien ça avec Camille.–Je n’ai pas envie de connaitre cette sensation, je veux rester comme je suis née.–Ok.–Je dois dire que jusqu’à aujourd’hui, je ne pouvais pas me laisser aller, sinon, je vous aurais bouffé la moule depuis longtemps. –Pourquoi ne l’as-tu pas fait ?–Par respect pour votre amour, je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise.–Tu as eu raison, mais ça devait être difficile de voir le sexe de Camille sans pouvoir le toucher.–Oui, j’en ai pleuré le soir dans mon lit.  Camille nous rejoint en boitant, je me précipite pour l’aider. –Alors les filles, on complote dans mon dos ?–Non, on parle de la virginité de Calliope.–Tu es vierge ?–Oui, et je veux le rester.–Pas de problème ma chérie, mais on pourra quand même s’occuper du reste de ton corps ?–Bien sûr, j’adore l’ambiance de cette maison, et surtout être avec des filles, en plus, je suis lesbienne pure et dure.–Et tu as résisté quand tu me massais ?–Oui, mais ça a été dur, heureusement que maintenant tout est clair, je vais pouvoir vous donner du plaisir, si vous le voulez bien évidemment.–Nous le voulons bien, je dirais même plus, nous l’exigeons. Elle prend Camille dans ses bras, l’amène vers moi pour nous enlacer ensemble. Elle, pose ses lèvres sur nos lèvres, nos nuques, nos joues, ses mains nous caressent en s’attardant un peu sur nos fesses. –Ça t’intéresserait de rester avec nous ?–Oui, beaucoup, je crois que je suis tombée amoureuse, je suis si bien avec vous, j’appréhende de devoir vous quitter.–Alors, tu es la bienvenue. Calliope s’est installée définitivement chez nous, elle est devenue une part entière de notre couple, elle nous est indispensable. Nous vivons toutes les trois ensemble et dormons dans le même lit, j’en ai acheté un rond et très grand. Tout se passe bien, nous sommes très heureuses, pour rien au monde nous ne changerions de vie, et rien ne l’exige.
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