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Dormir avec Maman.

Chapitre 3

Inceste
Fou de joie, je bondis hors de mon lit. J’enfilai mon pyjama, me dirigeai torse nu vers sa chambre. La lumière était éteinte, mais sa silhouette bien dessinée sous le drap.
— Allez, dépêche-toi, viens vite te coucher...
Je me glissai dans son lit, attendis que mes yeux s’habituent à l’obscurité. Elle avait laissé les persiennes ouvertes, le clair de lune donnait à la chambre des reflets bleutés. Maman respirait vite, de façon désordonnée ; elle n’en menait pas plus large que moi. Je posai ma main sur ses reins, et j’en eus le souffle coupé. Elle était à poil ! Si elle s’était déshabillée avant de m’appeler, il ne fallait pas être fin limier pour comprendre ce que cela signifiait. Je lui caressai le dos de manière circulaire, d’abord timidement, puis avec des gestes de plus en plus appuyés, en élargissant le cercle à chaque passage. Quand ma main se retrouva sur ses fesses, je les palpai, passai de l’une à l’autre en m’imprégnant de l’extrême douceur de sa peau, du velouté de sa chair moelleuse. Je l’avais déjà touchée de cette manière, mais elle dormait quand c’était arrivé, alors que cette fois, elle était réveillée. Et toute nue. Je bandais comme un cerf.
Comme elle se laissait toujours faire, ma main descendit, s’insinua dans la fourche de ses cuisses, et mon cœur s’arrêta. Elle était trempée ! A l’idée que je faisais mouiller ma mère, je perdis toute retenue. Je posai ma main sur sa chatte, repliai les doigts dans son vagin et me frottai comme un petit chien en rut contre sa cuisse nue ; il ne me fallut que quelques secondes pour éjaculer. Maman ne disait toujours rien, mais elle se mit à onduler du bassin vers ma main. Elle donnait de furieux coups de reins, et mes doigts entraient et ressortaient de son vagin, au rythme de ses ondulations, dans un clapotement obscène qui me rendait fou.
— Oh Mon Dieu, Michel, qu’est-ce que tu me fais faire ? Qu’est-ce qu’on fait ? C’est de la folie !
Je ne savais pas quoi dire, je me doutais même qu’aucune réponse ne lui conviendrait, alors je me tus. Je n’avais pas débandé ; sans réfléchir, je pris sa main et la posai sur mon sexe. Elle rabattit l’élastique du pyjama sous mes couilles, commença à me masturber délicatement, presque tendrement. Elle ne pouvait pas s’empêcher de se comporter comme une maman, même dans une situation comme celle-ci, pourtant si éloignée de ce qu’une mère est en droit d’offrir à son enfant. J’appuyai sur sa tête, poussai son visage vers le bas pour qu’elle comprenne ce que j’attendais d’elle.
— Tu n’as pas honte ? murmura-t-elle, sur un ton de doux reproches.
Je pensais qu’elle refuserait, mais, et j’en fus surpris, elle se laissa glisser docilement, me lécha les mamelons et le ventre au passage, tout en s’installant de manière à me redonner l’accès à sa chatte. Je frissonnais de bonheur.
— Caresse-moi, Michel... touche-moi pendant que je...
Elle ne finit pas sa phrase, prit ma queue dans sa bouche, se mit à la téter du bout des lèvres. Je lui agrippai la vulve, lui frottai maladroitement les petites lèvres et le clitoris pendant qu’elle me suçait de plus en plus voracement.
— Oh putain... Oh putain, Maman, qu’est-ce que c’est bon... Tu fais ça si bien... Putain, que c’est bon !
Je bredouillais, délirais, ne savais plus où j’habitais ; mes doigts baignaient dans son intimité.
— Calme-toi, mon chéri, tout va bien.

Elle alternait, faisait tourner sa langue onctueuse autour de mon gland, avant d’enfourner mon sexe tout entier, l’avaler goulûment. Je soulevai la tête, la regardai, les yeux exorbités ; mes doigts s’agitaient frénétiquement.
— Oui ! Oh oui Maman, vas-y, suce-moi ! Bouffe-moi la queue ! Oui, comme ça, ne t’arrête surtout pas.— Tais-toi, Michel, laisse Maman faire, mais surtout ne dis rien.
Sa bouche était chaude, profonde ; sa langue agile, mouillée. C’était délicieux. Merveilleux. Tellement bon que j’aurais accepté de donner dix ans de ma vie pour avoir la chance de vivre un moment pareil.
— C’est trop bon, Maman, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
Elle me léchait le frein, aspirait le gland en creusant les joues ; en même temps, elle donnait de petits coups de reins d’avant en arrière, frottait sa fente sur ma main. Je n’en revenais pas qu’elle mouille autant ; mes doigts étaient tout gluants.
— Attention, Maman, ça vient ... ça va sortir !— Ne t’inquiète pas pour moi.
J’éjaculai dans sa bouche, en poussant un long râle de soulagement. Je n’imaginais pas qu’il était possible de ressentir autant de plaisir. Je n’en soupçonnais même pas l’existence. Elle déglutit la longue giclée, puis émit un cri rauque à son tour ; les parois de son vagin se contractèrent autour de mes doigts toujours profondément enfouis dans sa chatte. Je ne le compris pas sur le moment, mais elle venait de jouir elle aussi. Elle resta la joue couchée sur mon ventre.
— Ça va, Michel ?— Oh Mon Dieu, Maman... Oh putain !— Je sais, mon chéri, je sais...
Elle se mit à jouer avec mes couilles, les soupesa dans la paume de sa main. Elle les goba, les aspira une après l’autre ; sa langue allait et venait dessous, léchait le périnée. C’était divin. J’eus à nouveau une érection. Elle referma sa main autour. La main qui portait son alliance. Je ne voyais que ça tout à coup : son alliance. L’anneau, symbole de fidélité à son mari qu’elle était en train de bafouer avec moi.
— Seigneur, Michel, comment est-ce possible ? Comment peux-tu déjà bander aussi dur ?
J’avais envie de lui répondre qu’il m’arrivait de me branler plusieurs fois d’affilée en imaginant ce qu’elle venait de m’offrir dans la réalité, et que par conséquent, avoir des érections à répétions était le minimum qu’elle pouvait attendre de moi, mais j’avais décidé de me taire une bonne fois pour toutes.
Elle reprit mon sexe dans sa bouche, en s’installant cette fois de manière à pouvoir me regarder dans les yeux. La vision de sa bouche charnue, distendue par ma grosse érection, avait un côté surnaturel. J’avais du mal à réaliser que Maman était en train de me sucer la queue dans son lit, au beau milieu de la nuit. Je la regardai avec une telle intensité qu’elle dut se sentir gênée ; elle ferma les yeux. Comme j’avais déjà joui deux fois, elle me suça longtemps avant que j’éjacule à nouveau, mais je n’avais plus de sperme à lui donner, elle avait épuisé toutes mes réserves. Comme à regret, elle se tourna alors de l’autre côté du lit, m’indiquant par la même occasion sa volonté de dormir. Elle s’assoupit tout de suite. La savoir toute nue, juste à côté de moi, me remplissait de joie, me comblait de fierté. Je n’avais plus de désir sexuel, elle m’avait vidé dans tous les sens du terme, mais j’étais heureux qu’elle partage son lit avec moi.
Je mis longtemps à trouver le sommeil, incapable de réaliser pleinement l’énormité de ce qui venait de se passer. Le lendemain, je me réveillai tard. Elle était déjà levée, m’avait laissé faire la grasse matinée dans son lit. Après une nuit de sommeil, j’avais les idées claires, pourtant je dus littéralement me pincer pour admettre que je n’avais pas rêvé. J’avais branlé ma mère, l’avais fait jouir en la doigtant. Elle m’avait sucé, avait avalé mon sperme. C’était incroyable, mais pourtant c’était vrai, c’était arrivé. J’avais un peu d’appréhension à l’idée d’aller la retrouver, mais quand je la vis, toutes mes craintes se dissipèrent. Elle préparait notre repas en sous-vêtements, avec une petite culotte si moulante qu’on distinguait le renflement des lèvres de sa chatte, ainsi que sa raie du cul quand elle se retourna, et un soutien-gorge qui donnait tout son sens à l’expression « du monde au balcon ». Lourds, pleins, abondants ; ses seins étaient incroyablement appétissants. Nos activités nocturnes semblaient lui réussir.
Elle était rayonnante, visiblement pas dérangée du tout par notre relation incestueuse.
— Bonjour, mon chéri.— Salut Maman, tu vas bien ?— Très bien, merci, et toi ? — J’ai passé la meilleure nuit de ma vie !
Elle arrêta de s’affairer, me jaugea du regard.
— Ce que nous avons fait n’est pas bien... Tu le sais, n’est-ce pas ?— J’ai trouvé ça super, moi.— Tu es mon fils, Michel, c’est défendu !— Et alors, ça te dérange, toi ?— Pas vraiment.— Alors quoi ?— Et si quelqu’un l’apprenait ?— Je ne dirai rien à personne, Maman ! Promis, juré, craché.
Elle fit comme si elle pesait le pour et le contre, puis elle me sourit d’un air entendu.
— Nous avons pris beaucoup de plaisir cette nuit, pas vrai ?— Oh oui, Maman, surtout moi.— Moi aussi, crois-moi.— Et alors ?— Eh bien, je me disais... Si tu es d’accord, si tu n’as pas de remords, on peut continuer... mais ce sera notre secret... Tu promets ?
Des remords ! Se moquait-elle de moi ? Je ne m’étais jamais senti aussi épanoui de toute ma vie. Ivre de joie, je m’approchai d’elle et la pris dans mes bras. De délicieux frissons me chatouillèrent le creux des reins quand son pubis s’écrasa sur le mien. Je glissai mes mains dans sa culotte, les plaquai sur ses fesses. Nos bouches se rencontrèrent, nos langues se mélangèrent. On échangea un long baiser profond, qu’on eut beaucoup du mal à interrompre. Un coup c’est elle qui revenait à la charge, un coup c’était moi, et le baiser se poursuivit avec encore plus de ferveur. Un vrai baiser d’amoureux. Avec Maman. Je n’avais jamais imaginé qu’un jour j’embrasserais ma mère de cette manière.
Ensuite, agenouillée à mes pieds, elle me tailla une pipe au milieu de la cuisine. Elle me tenait la queue dans sa main gauche, serrée à la base, et elle l’avalait, jusqu’à ce que sa bouche vienne buter contre ses doigts refermés ; elle n’arrêtait pas de sucer pendant que les doigts de sa main droite me caressaient sous les couilles. La voir faire à la lumière du jour était encore plus excitant que ce qu’elle m’avait offert la veille, d’autant plus qu’elle y prenait manifestement beaucoup de plaisir. Beaucoup de femmes pratiquent la fellation uniquement dans le but de satisfaire leur partenaire, mais ma mère, comme elle devait me l’avouer plus tard lors d’une confession ahurissante, adorait sucer des queues. Elle prenait son pied rien que d’avoir une bite dans la bouche. Elle avait un orgasme quand elle sentait le gland envahir son palais, et un autre, encore plus puissant, quand le sperme fusait et qu’elle déglutissait les giclées de foutre gras.
Rares sont les femmes qui apprécient le goût de la semence. Même la plus talentueuse des suceuses fait souvent la grimace quand il est question d’avaler. Rien de tel chez Maman qui disait se régaler. Le bruit de succion décuplant mon excitation, j’éjaculai dans sa bouche ouverte ; elle se pourlécha, me nettoya la queue à petits coups de langue appliqués, comme une chatte qui nettoie ses petits, jusqu’à faire disparaître la dernière goutte de sperme, me laissant commencer la journée, repu et anéanti de plaisir...
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