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Au dortoir

Chapitre 1

Un garçon bien déluré

Gay
J’étais interne dans un lycée privé en classes préparatoires aux grandes écoles. Tout commença, en début d’année scolaire, par un épisode assez particulier dans les vestiaires du gymnase. L’entraineur analysait pour l’équipe d’une douzaine d’élèves, les fautes commises lors du match qui venait de se dérouler. L’un d’entre nous, un petit brun, nommé Jules, n’était visiblement pas intéressé, et bavardait sans arrêt avec son voisin. L’entraineur l’interpella :
— Jules, viens ici, au milieu de tes coéquipiers, et fais-nous un résumé de ce que je viens de dire
Jules s’avança, et n’arriva à bredouiller que de vagues concepts.
— Tu te fous de ma gueule ! Je fais ça uniquement pour vous faire progresser, et tu n’en tiens aucun compte ! Tu mérites une correction. À genoux !
Jules s’exécuta. L’entraineur le poussa dans le dos, le faisant mettre à quatre pattes. Il se plaça au-dessus de lui, immobilisant ses reins entre ses jambes, et commença à lui donner la fessée. Jules pouffait de rire. Voyant cela, l’entraineur se déchaina. Il attrapa la ceinture du pantalon de jogging de Jules et le lui baissa à mi-cuisses, en entraînant le slip avec, et Jules se retrouva cul nu, bien exposé à la vue de tous. L’entraineur reprit brièvement sa fessée puis laissa Jules, secoué par un fou rire, le cul à l’air. Il resta ainsi un moment, le temps que son fou rire s’arrête.Je contemplai ce spectacle avec intérêt, quand je sentis mon voisin Kevin, un blond costaud, me donner un coup de coude, et me chuchoter à l’oreille :
— Il semble aimer montrer son cul. J’aimerais bien le tripoter mais je ne sais pas s’il se laissera faire, il faudrait être à plusieurs. Ça t’intéresserait de participer à ce genre de séance ?
J’acquiesçais de la tête et Kevin me promit d’organiser la chose.Qui eut lieu le soir même … Notre dortoir était cloisonné en petites chambres individuelles, séparées du couloir par un simple rideau. Au fond, une salle avec des douches et des lavabos. Nous faisions notre toilette en pyjamas, quand Kevin passa derrière Jules et lui baissa le pantalon aux chevilles. Ce dernier pouffa et remonta son pantalon. Kevin l’interpella aussitôt.
— Allez, Jules, ne fais pas ta chochotte ! Tu nous as bien montré ton petit cul dans les vestiaires, et tu semblais aimer ça, et nous aussi. On veut juste le revoir ! Et le toucher peut-être un peu aussi !
Et il saisit Jules par le cou, et, docilement, ce dernier se laissa tomber à quatre pattes. Kevin lui retroussa la veste du pyjama sur ses reins et baissa son pantalon aux chevilles. Il demanda à l’un d’entre nous de se positionner au-dessus de Jules et de bien lui écarter les fesses avec les mains. Nous eûmes la vision d’une raie légèrement poilue, dans laquelle se nichait une rondelle brune et frémissante. Je jetais un coup d’œil à mes camarades. Ils avaient tous une belle bosse sous leur pantalon, certains laissant dépasser leur queue par leurs braguettes. Pendant ce temps, Kevin avait attrapé un savon, et le mouillait bien sous un filet d’eau.Il se positionna ensuite derrière Jules, et fit lentement aller et venir le savon dans la raie de son cul. Jules avait arqué les reins pour mieux s’offrir. Kevin abandonna le savon, et appuya un doigt contre l’anus de Jules. Le doigt entra sans effort.
— Putain les mecs, il a un sacré troufignon ! Et bien souple, avec ça ! Je ne dois pas être le premier à passer par là !
Je voyais, sous le ventre de Jules, sa bite bien bandée. Je m’agenouillai, et allai le branler doucement. Kevin me fit un clin d’œil et annonça à la cantonade qu’il allait y mettre deux doigts. Il ne fit pas que les mettre, il les fit aller et venir.Devinant ce qui allait suivre, je me relevai, Kevin fit jaillir sa queue bien dure hors de son pantalon, la positionna contre la rondelle de Jules et l’enfonça doucement mais fermement. Je ne sais pourquoi, à ce moment-là, je tournai la tête vers la porte donnant sur le dortoir. Je vis le surveillant de nuit, nous contemplant, la bouche ouverte, une main dans la braguette de son pantalon. Aucun risque à craindre de ce côté-là. Pendant ce temps, Kevin nous faisait part de ses impressions.
— Un vrai trou à bites ! Ça glisse comme dans du beurre ! Tu as dû t’en prendre des queues déjà, mon salaud. T’es une bonne chienne ! Serre mieux ton trou ! Ouais, c’est vachement bon comme ça !
Il finit par se retirer, après avoir déchargé avec des gémissements de plaisir. Jules remonta son pantalon, et se releva, nous signifiant ainsi qu’il n’avait aucune envie de se faire enculer à la file. Nous terminâmes notre toilette et regagnâmes nos lits. Bientôt le surveillant éteignit les lumières. Mais le dortoir comportait de larges baies vitrées par lesquelles arrivaient des lueurs nocturnes, et nous n’étions pas dans le noir, mais dans la pénombre. Le souvenir de la rondelle de Jules m’obsédait. Je n’y tins plus, me levai et me faufilai jusqu’à son box.
— Tu as l’air d’avoir aimé te faire mettre par Kevin … — Oui, c’est vrai, j’aime bien ça … — Ça me dirait bien d’essayer si tu en as envie.
Pour seule réponse, Jules, rejeta ses draps, se mit à plat ventre, dénuda ses fesses et les écarta avec ses mains. Je me couchai sur lui et ma bite bandée n’eut aucun mal à trouver l’entrée, bien lubrifiée par la séance avec Kevin. C’était ma première fois. Qu’est-ce que c’était bon, doux, moite chaud, caressant … Je m’efforçais de ne pas jouir trop vite, mais malgré mes efforts ce fut trop bref à mon goût. Intrigué par sa disponibilité, je restai avec lui bavarder un peu à voix basse.
— Ça fait longtemps que tu fais ça ? — Depuis l’été dernier seulement. Mais j’ai tout de suite aimé et je l’ai souvent fait depuis. Tout a commencé quand j’ai rencontré, le long d’une rivière, un jeune pêcheur. Il avait fixé sa canne, et attendait le poisson, allongé dans l’herbe. Je me suis agenouillé devant lui, le lui demandant si ça mordait, et nous avons commencé à bavarder. Il était en short. Il a écarté un peu les jambes, et j’ai vu le bout de sa bite qui dépassait du short contre sa jambe. Voyant mon regard, avec sa main, il a sorti sa bite et ses couilles. Je lui ai caressé un peu la bite, puis les couilles. Et puis j’ai glissé un doigt vers sa rondelle. Tout en me laissant la tripoter, il m’a débraguetté, s’est penché et m’a sucé un peu la bite. Puis il s’est couché sur le côté et a baissé son short, exhibant son cul. Il m’a fait coucher derrière lui, m’a attrapé la bite et s’est empalé dessus. Je suis bien sûr revenu le lendemain, et il était là, à m’attendre. Cette fois, il a voulu m’enculer. Au début j’ai eu un peu mal, mais j’ai bien vite réalisé que si j’aimais bien enfiler le trou du cul d’un autre garçon, j’adorai me faire bien bourrer le mien.
Par la suite, il m’a présenté à d’autres copains à lui, dont certains étaient des hommes. Et, à la fin de l’été ma meilleure expérience a été chez un mec, être l’objet sexuel de trois hommes dans la quarantaine. C’était génial ! Le lendemain, dans les couloirs du lycée, certains d’entre nous s’amusaient à passer la main au cul de Jules. Il a fait arrêter ce petit jeu tout de suite, disant qu’il était à leur disposition en soirée, mais que là, en pleine journée, on risquait trop de se faire surprendre. Nous fûmes bien sûr d’accord. Il nous accorda quand même une petite gâterie à la récréation. Adossé contre un mur, dans un coin discret, il avait défait le haut de son pantalon, et, à tour de rôle nous nous plaçâmes à côté de lui, la main fourrée dans l’arrière de son pantalon pour lui doigter son trou accueillant.
Le soir il me chuchota qu’il allait d’abord se faire enculer par Kevin, mais qu’ensuite il me rejoindrait pour un nouveau petit jeu. Une fois bien baisé, il revint et m’entraîna face au box du surveillant, me fit agenouiller devant lui et je commençai à le sucer. Il poussait des gémissements qui attirèrent bientôt le surveillant. Le premier moment de surprise passé, il nous entraîna dans son box. Il plaça Jules à quatre pattes sur son lit, lui dénuda le cul et commença à le doigter. Sa bite ayant jailli hors de la braguette du pyjama, je me penchai pour le sucer. Bientôt, il grimpa sur le lit, se positionna et enfila Jules. Il saisit ma main et la plaça sur son cul nu. Au contact, je le sentis poilu, je glissai ma main dans sa raie des fesses et trouvai vite sa rondelle. J’entrai un doigt sans peine, et commençai à le doigter. Il ne tarda pas à jouir dans le cul de Jules, et nous renvoya, en nous faisant promettre de revenir le lendemain soir, car il voulait se faire enculer par nous.
Je regagnai ma chambre, rêveur, et me masturbai doucement. Les nuits de cette année scolaire allaient être très excitantes, entre l’expérience de Jules, la lascivité du surveillant, l’enthousiasme de Kevin à fourrer les culs des mecs. Je m’arrêtai à cette idée. Je n’allai pas passer ma vie vierge du cul. C’était décidé, demain soir je demanderai à Kevin de me dépuceler le cul ! Et puis … l’entraîneur, il avait visiblement aimé déculotter Jules. Et, si …
Fin
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