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Le dortoir

Chapitre unique

Gay
Élève de terminale, j’ai aujourd’hui dix-huit ans et suis pensionnaire dans une institution religieuse pour garçons. Nous sommes hébergés en collectif. Une grande salle d’étude pour faire nos devoirs est confiée à la férule d’un jeune curé peu amène. Au dortoir, la nuit, le pion est un jeune mec brun aux yeux bleus d’une vingtaine d’années, musclé et sportif. Ce n’est pas une beauté, mais sa capacité à être aimable et généreux le rend lumineux à mes yeux. Je l’apprécie et nous nous entendons bien. De temps à autre, je le sollicite pour réviser une partie de mes cours et il s’en acquitte avec gentillesse. Nous nous retrouvons souvent pour cela dans son étroite chambrette au bout du dortoir. La configuration des lieux nous oblige à nous frôler au moindre mouvement. Même s’il n’y a rien d’ambigu dans sa gestuelle, je suis ému de ces contacts et laisse sans doute paraître mon trouble. Mais rien ne se passe et il reste très professionnel.
Pourtant, une nuit sans lune, alors que je cherche vainement le sommeil yeux fermés, je sens une présence près de mon lit. Sans doute un condisciple insomniaque ! Quel n’est pas mon étonnement lorsque je sens une main se glisser sous les couvertures et commencer à déboutonner ma tenue de nuit. Je n’ose rien manifester, conscient du scandale qui résulterait du réveil de tout le dortoir. Je tressaille quand il commence à caresser mon torse. Lorsqu’il dit : « Calme toi, ce n’est que moi ! » je reconnais la voix du surveillant aux yeux bleus. J’aime le contact de sa main douce et me tortille de plaisir. Il baisse la couverture qui gêne son évolution et s’attaque à exciter mes tétons. Je suis très sensible à ce niveau et pousse un petit cri vite calmé par une main autoritaire. L’autre glisse sur mon ventre et entre dans mon pantalon de pyjama. J’ai honte de ma queue terriblement dressée qu’il commence à branler. Il la dégage du tissu et j’imagine que n’importe quel condisciple du dortoir pourrait me voir. Mais le plaisir est trop fort et je continue mes petits bruits de gorge étouffés. Sa bouche a remplacé sa main autour de ma queue et sa langue, autant que ses lèvres, s’appliquent à mon bonheur. Je suis émerveillé de son savoir-faire. Mon corps entier vibre sous la caresse. Il me suce comme un dieu. Puceau et sans expérience, je ne sais retenir longtemps le plaisir. Au bout de deux ou trois minutes, de longs jets de foutre ne tardent pas à inonder son visage et mon ventre à chaque tressautement de ma bite. Je suis KO ! Je ne sens plus ses lèvres. Je tends les bras pour le trouver. Rien ! Il a disparu me laissant, honteux, gérer mes souillures et le désordre de ma tenue. Je me rends discrètement aux lavabos pour me nettoyer un peu des liqueurs dispersées. Au passage, je constate que personne n’est éveillé et témoin de ma disgrâce. Ma nuit s’avère tourmentée, pleine de rêves de corps nus aux bites dressées.
Le lendemain, à la fin de l’étude du soir, il m’attire à part en me prenant par la main. Je tressaille, troublé et honteux, et n’ose le regarder lorsqu’il dit d’une voix douce : « Je peux t’apprendre bien d’autres choses et te faire découvrir le plaisir sans limite. Si tu le veux, rejoins-moi vers minuit dans mon antre. S’il te plaît, laisse ton pyjama sur ton lit… Tu verras, c’est super d’être nu au milieu de tous ces jeunes endormis. Le risque ajoute au plaisir… ! ».  Je meuble mon attente en ôtant ma vêture et reste là totalement et terriblement nu sous la couverture. Je la repousse doucement prêt à braver la fraîcheur de la nuit. Je ne sens rien tant je suis bouillant d’excitation. Un coup d’œil à ma montre, puis deux, puis trois et mon cheminement commence. La respiration de mes condisciples me paraît régulière et atteste de leur sommeil sauf un énervé qui ne cesse de bouger en faisant grincer son sommier métallique. J’avance à petits pas, mes mains protégeant mon bas ventre déjà bien tendu. Je suis inquiet d’être surpris en allure aussi obscène, apeuré par cette nuit noire ou tout peut arriver, ou quiconque peut soudainement surgir du néant et révéler à tous mon impudeur. Je sens une humidité légère au bout de ma bite et j’en suis encore plus troublé. Une lumière faible sourd entre les rideaux de la loge de mon nouvel amoureux. Je me précipite et entre sans frapper pour échapper au pire. Il lève les yeux sur moi, amusé.
Il est assis, totalement nu, à son bureau. Il me fait signe de ne plus bouger. Je m’exécute, ému et tremblant. Il se lève et s’approche. Son corps se colle au mien, ses lèvres rejoignent les miennes et sa langue glisse entre elles. Je ne sais rien faire d’autre que d’ouvrir la bouche pour faciliter l’invasion. Je cambre mes fesses pour éviter le contact de mon sexe durci avec son bas ventre. Il les empoigne pour corriger ma posture avec ces mots : « Aucun souci ! Détends-toi ! ». Commence alors une longue séance de tendres caresses que je finis timidement par imiter. Nous restons ainsi, debout, bite contre bite, sein contre sein, joue contre joue, lorsqu’un de ses doigts entre en mes fesses et commence à caresser mon trou. La sensation est sublime et mon cœur s’accélère. J’ondule du bassin et nos sexes frottent doucement l’un contre l’autre. Je sens le bout du doigt entrer et bouger en moi. Puis il remonte jusqu’à ma bouche pleine de salive pour s’humecter et redescend me pénétrer mieux. Il coulisse doucement dans mon cul et renforce mon émoi. Je couine faiblement sans l’avoir décidé ; c’est si bon ! Il me bâillonne d’un baiser. Après quelques instants de ce jeu, il m’installe à quatre pattes sur son lit, enduit copieusement sa queue de salive et la présente entre mes fesses. Il peine à dilater mon trou et l’expérience est d’abord plutôt douloureuse. Il prend son temps, entre dans mes viscères par petits mouvements de va et vient qui me dilatent peu à peu. Lorsqu’il ressort, la sensation furtive de m’ouvrir vers le vide me perturbe et j’ai plaisir à être à nouveau envahi. Sa queue remonte en mon cul peu à peu avec force. Quelques mouvements plus tard, il est complètement en moi et je sens ses couilles entre mes cuisses.
J’ai honte d’avoir si facilement cédé alors que je me voyais un avenir hétéro avec quelque jolie fille du bourg. A 18 ans, elles sont presque toutes belles ! Pourtant, ce que je peux vivre ce jour-là me ravit. Sa longue queue envahit mes viscères. Je suis bousculé, emmanché, transpercé et heureux d’être ainsi traité. Que dis-je heureux, complètement transporté par cette aventure sublime ! Il appuie fortement ses mains sur mes hanches pour pouvoir profondément remonter dans mon cul. A chaque mouvement, ses bourses heurtent bruyamment mon scrotum dans un grand « splasch » ; son ventre frappe mes fesses. J’écarte mes cuisses du mieux que je peux pour lui faciliter la tâche. Mon corps entier est éruptif, brûlant, transpirant. Mon bas ventre est douloureux et attend que l’on s’occupe de ma queue tendue à l’excès. Heureusement, mon amant réglera le problème de sa main en quelques va-et-vient. Mon corps entier vibre de plaisir au point qu’il s’en étonne et me susurre : « Tu es sûr que c’est la première fois ? ». Je tends mes bras vers l’arrière pour lui prodiguer quelque discrète caresse. Je ne sais si c’est la branlette ou la sensation de son plaisir en moi qui déclenchent mon orgasme, mais j’ai un mal de chien à le rendre discret, à ne pas hurler, tant il est intense. Il murmure : « Quelle chance ! C’est rare qu’une première fois soit aussi réussie… ». Je suis, instinctivement, bien de son avis… Lorsqu’il sort de moi, nous nous effondrons tous deux sur le petit lit, l’un dans les bras de l’autre. Les câlins vont bon train, les baisers aussi. Du coup, l’excitation monte à nouveau et sa bite s’approche de mes lèvres. J’ai un mouvement de recul, car elle sort de mon cul, mais ce n’est pas une option possible. Il entre et commande « suce ! ». Je m’applique maladroitement en essayant de me rappeler comment il a pratiqué la veille. Je creuse et allonge ma langue pour mieux la recevoir. Mes lèvres s’arrondissent autour de son organe. Je tête avec application en imprimant de larges mouvements de va-et-vient. Ses mains enserrent ma tête et me guident. Lorsqu’il explose, il s’enfonce brutalement vers ma gorge, m’obligeant à avaler une partie de son foutre. Il murmure : « Quel bonheur ! ».
Nous nous endormons  un petit moment comme cela, salis et repus, couverts de nos foutres, mais heureux et fourbus, étroitement lovés l’un contre l’autre dans le petit lit. Mon cul, dont j’ai découvert une fonction de plaisir, reste douloureux et dans un premier temps dilaté. A mon réveil, quelques minutes après, je dois me rendre aux toilettes pour expulser les miasmes de mon initiation. Nouvelle traversée du dortoir mort de peur. Je sens maintenant le froid de la nuit sur mon corps humide. Je marche jambes écartées pour soulager mon fondement encore imprimé de cette intrusion amoureuse. Je me sens ridicule dans cette posture. Les grincements de sommier sont toujours là, la peur aussi. Mon sexe est seulement à moitié dressé et ma honte est intacte.  A mon arrivée aux WC, je suis surpris par un pet si sonore que je le pense capable de réveiller plusieurs condisciples. Je reste là, silencieux et craintif, l’oreille aux aguets… Mais rien ne se passe. Après avoir effacé au papier toilette le plus gros des effluves, je me décide à regagner mon lit. Mais plus j’avance dans les travées du dortoir et moins j’en ai envie. Je veux retourner me blottir contre lui. J’en ai viscéralement besoin. Alors je m’impose ce supplément de route et de risque et me couche à ses côtés sans un bruit  Il dort déjà et bouge à peine. Je rayonne à ses côtés, fier de ma conquête et peine à m’endormir.
Le lendemain matin, la sonnerie du lever va nous surprendre ainsi, conscients de notre déshonneur si nous nous risquons hors de la pièce en cette tenue. Nos esprits embrumés et l’étroitesse du local ne nous aident pas à la discrétion. Nous cherchons quelques solutions pour nous rendre présentables, dans le noir, maladroits et bruyants, au risque de signaler à tout un dortoir nos prouesses de la nuit et nos penchants sexuels. Il me prête un pyjama, enfile le sien ; reste à sortir de la pièce sans que je sois vu. Il s’avance le premier et se poste devant la porte. Au bout d’un moment, il me fait discrètement signe de sortir. Je suis sauvé ! Que non… Je vois quelques lits plus loin, un de mes condisciples qui s’ébroue en regardant la scène. Mais ceci est une autre histoire…
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