Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 10 Commentaires

Le dortoir 2

Chapitre 1

Gay
Voici une suite de l’histoire « le dortoir », publiée par Emil le 25 février 2023, avec son aimable autorisation.
Souvenez-vous de ma première fois avec Louis, pion d’une vingtaine d’années, gardien de notre sommeil, nous élèves de terminale de ce pensionnat pour garçons, dormant dans le grand dortoir collectif. D’abord une bonne entente avec ce pion, genre grand frère aidant. Puis des émotions, y compris physiques, après des moments partagés à me faire travailler dans son étroite chambrette du bout du dortoir. Fatalement, comme mes condisciples, de rapides branlettes le soir dans le lit, la pénombre me rappelant son corps, son odeur, sa présence. Et malgré moi des éjaculations provoquées par le souvenir du sourire de Louis le pion, du contact de ses mains, de la douceur de sa voix.Une nuit, dans le dortoir endormi, une main s’est glissée sous les couvertures pour me déboutonner et me caresser. Une main qui excite mes tétons, se glisse dans mon pantalon de pyjama, se saisit de mon sexe tout raide. Jamais une autre main que la mienne ne m’avait branlé ! Et quand la bouche de Louis se met à remplacer sa main en suçant mon gland puis en avalant toute ma queue, je ne résiste pas plus de deux minutes, en parfait puceau, avant de jouir en éjaculant sur son visage. Il se retire, je fais une rapide toilette, je m’endors, tout mon être possédé par des rêves de belles bites dressées.Le lendemain soir je dois obéir à ses consignes : dormir nu, le rejoindre en traversant le dortoir dans le plus simple appareil, à pas de loup. Mort de trouille mais totalement excité, je m’exécute, non sans m’amuser des grincements sans équivoque que fait un sommier du côté de Gaston, un garçon un peu austère de la classe. De quel droit pourrais-je critiquer une douce branlette nocturne, moi qui m’endors chaque soir les couilles vides ?Rejoindre Louis le pion qui m’attend nu à sa table est une épreuve dont la récompense sont de longs baisers, de délicieuses caresses, de merveilleux frottements de nos bas-ventres excités… Et puis un doigt qui vient titiller mon anus, percer ma rosette, s’enfoncer dans mon conduit. Un délice ! Je ne me soustrais pas à son invitation à me mettre à quatre pattes sur le lit. Je sais ce qu’il va me faire. J’en ai terriblement envie.Il prépare soigneusement mon petit cul vierge, prend son temps pour me dilater progressivement, s’enfonce peu à peu en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes cuisses. C’est d’abord douloureux. Je suis bousculé, emmanché, transpercé, et heureux de lui avoir céder mon cul. Et le pistonnage démarre, son ventre frappant mes fesses. Mon corps entier est éruptif, brûlant, transpirant. J’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Il se saisit de ma queue en feu, me branle, me fait jouir…Il est sorti de moi. Sans jouir ? Nous nous câlinons. Jusqu’à ce qu’il approche son sexe de ma bouche, me force à le sucer. Ma première fellation ! Il jouit abondamment dans ma gorge et sur mon visage. J’aime !Après un moment tendre à reprendre des forces, je le quitte pour retraverser le dortoir, nu, souillé, l’anus dilaté, le cul douloureux. Toujours les grincements d’un sommier. Je suis presque sûr que c’est celui de Gaston. Quelle endurance ! Moi qui éjacule toujours précocement au bout de quelques minutes… Je vais tout au bout, dans les sanitaires, faire un brin de toilette. Et quand je reviens, non, je ne peux pas me recoucher loin de Louis ! Je traverse encore le dortoir, souhaite en silence à Gaston de bien jouir, retrouve Louis endormi, me glisse sous ses draps. Dormir contre le corps chaud d’un homme ! Dormir avec Louis qui a si bien fait de moi un homme !C’est la sonnerie qui nous réveille. Mes camarades ouvrent les yeux ! Vite, Louis me tend un pyjama et en enfile un autre. Il sort en premier pour pénétrer dans le dortoir. Il fait barrage de son corps, et, quand il croit que la voie est libre, me pousse dans la pièce vers mes camarades qui s’ébrouent en se réveillant.Pas de chance, Gaston s’est redressé et me regarde, l’air indéfinissable… En tentant de garder contenance, je file aux toilettes pour me soulager. Un grand mur en béton, un caniveau, j’urine abondamment avant que d’autres gars viennent se placer autour de moi.Les regards se promènent. Nous sommes tous pareils : nous adorons comparer la taille de notre sexe semi-excité avec celui des autres. Pas de commentaire. Des sourires complices. Ce ne sont que de banales histoires de mecs !Sauf que Gaston vient se mettre entre le gars de droite et moi, nous bousculant légèrement, alors qu’il avait toute la place un peu plus loin. Il s’excuse vaguement et sort de son pantalon une superbe saucisse bien épaisse quoi que partiellement molle. L’autre élève glousse. Moi je pique un fard, plus gêné que jamais au moment de secouer mon pénis pour faire tomber la dernière goutte.Des gars sont comme moi en pyjama. D’autres sont déjà vêtu de leur slip blanc ouvert taille haute, le seul sous-vêtement autorisé dans ce pensionnat. Le brossage matinal des dents et la toilette sommaire démarre. Je me mets torse-nu et fais comme les autres. L’eau tiédasse sur mon visage me protège de la honte autant qu’il me purifie l’âme perturbée par mes errements nocturnes.Alors que je suis penché en avant, la tête dans le grand lavabo collectif, j’entends dans mon dos la voix de Gaston s’étonner que je porte un nouveau pyjama. Un autre gars que je n’identifie pas lui dit de la fermer. D’abord étonné, je finis par comprendre que l’autre s’imagine que j’ai connu un accident nocturne et que j’ai dû me changer, ce qui est déjà arrivé à chacun d’entre nous. C’est ma septième année de pensionnat. Il est des règles induites qu’on ne doit pas transgresser, on ne se moque pas des petits accidents : solidarité de garçons !La voix de Louis tonne pour nous faire accélérer. Je sèche mon visage et file à mon lit entre des dizaines de fesses nues, en cours ou complètement recouvertes. Je n’ai que le temps d’ouvrir mes draps pour plier et poser ma veste de pyjama. Je retire mon bas de pyjama pour, nu, comme nous en avons tous l’habitude, ranger le pantalon dans le lit. Je blêmis en m’apercevant que je pose le pyjama de Louis au-dessus de mon pyjama à moi. Je tourne la tête et je vois le regard de Gaston posé sur mon oreiller.A nouveau je suis pétrifié de honte. Il a vu les deux pyjamas. Il a forcément tout compris ! Fébrilement j’attrape mon slip. Je tente de l’enfiler. Dans ma précipitation je perds l’équilibre et tombe, cul nu, slip aux chevilles, sur le lit de mon voisin qui éclate de rire.Un « ça suffit ! » tonitruant de Louis bloque toute velléité d’hilarité générale. Je bredouille une vague excuse, me redresse et réussis enfin à enfiler mon sous-vêtement. C’est juste avant d’entrer dans le premier cours de l’après-midi que Gaston se colle à moi pour me glisser à l’oreille :— Ne t’inquiète pas, ce n’est certainement pas moi qui dirais quoi que ce soit !Je n’ai pas le temps de réagir que nous sommes entrainés vers nos tables. Ce n’est que le soir, après l’étude puis le diner, dans cette seule heure quotidienne où nous pouvons vaquer librement à l’activité de notre choix que Gaston revient vers moi et m’entraine dehors.
Seul à seul, alors que je sens l’affolement me saisir à nouveau, il pose sa main sur mon avant-bras et me redit que ce n’est certainement pas lui qui dirait quoi que ce soit. Son regard est ferme, sincère, amical. Je décide de le croire.Nous entamons une marche dans le parc en discutant de nos derniers cours. C’est bien la première fois que nous nous parlons autrement que pour les banalités d’usage. Il m’explique qu’il a dû intégrer ce pensionnat car il a eu l’année précédente des soucis avec ses camarades de classe. Il me demande de l’aider à s’intégrer, moi qui suis pensionnaire depuis des années. Je m’y engage.C’est brusquement, à l’abri de toute oreille, qu’il me demande :— Il t’a sucé ? Tu l’as sucé ? Vous vous êtes contenté de vous branler mutuellement ?C’est dit de manière si abrupte que je prends la mouche.— Et toi ? Tu t’es branlé pendant combien d’heures en te frottant la queue contre le matelas ?— Assez longtemps, c’est vrai ! réplique-t-il en riant franchement. Depuis plusieurs nuit je me suis dit que c’est peut-être un moyen d’attirer l’attention d’un gars comme nous ! Tu vois, avant même cette nuit où tu t’es amusé avec Louis, je t’ai imaginé posant ta main sur mes fesses nues puis venir m’embrasser…— Tes fesses nues ?— Oui, j’adore me branler après avoir retiré mon pantalon de pyjama. J’écarte la couverture et j’attends qu’un beau garçon vienne me caresser les fesses… Ce n’est encore jamais arrivé… J’enrage ! Que font mes voisins ? Je n’en peux plus ! Surtout quand je vous imaginais en train de vous sucer mutuellement avec le pion ! Alors, raconte, vous vous êtes sucé ?— Euh… Oui…— C’est bon, hein ! Moi j’adore ! Si tu veux je te suce tous les soirs. J’adore la liqueur mâle. Tu peux jouir dans ma bouche, j’avale tout, je nettoie ta queue. Et hop, une sucette, tout propre, tu peux remettre ton bas de pyjama !J’éclate de rire en voyant ses mimiques mimant la fin de la gâterie. Constatant que je me détends, il enfonce le clou :— Mais j’ai une condition, hein, c’est que tu me laisses peloter ton joli petit cul ! J’adore mater ton cul nu ! Tu sais que tu as l’un des plus beaux de la classe ? Pas aussi mignon que celui de Clément, mais pas loin !— Clément ? m’étonne-je, avant de rire de plus belle, réalisant qu’effectivement le Clément a un très joli fessier bien rebondi que j’ai pris grand plaisir à mater à plusieurs reprises.— Toi et moi on est pareils ! On mate les petits culs des gars ! Et leur queue aussi ! Elle t’a plu la mienne ce matin ? Tu m’as super excité, tu sais ?— Je… J’avoue ne pas avoir trop regardé… J’étais un peu… embarrassé…— Tu ne crains rien de moi, je t’assure, au contraire ! Je te suce quand tu veux ! Et tu me suces quand tu veux… N’imagine pas que je sois un garçon totalement déluré ! Tu es bien le premier ici à qui j’ose parler de plaisirs entre garçons… Je suis comme toi, assez timide sur ce sujet-là… Sauf dans l’action !— Tant mieux !— Alors… Tu l’as enculé, le Louis ? Il t’a enculé ?— Euh… Oui. Je me suis fait prendre…— Génial ! Et alors ? C’était comment ? Moi je n’ai jamais enculé personne. Et personne ne m’a jamais enculé. Je suis puceau du cul. C’est mon drame personnel ! Je rêve tellement de me faire prendre ! J’ai tellement envie de lutiner un joli petit cul comme le tien ! Ça doit être hyper jouissif, non ?Son enthousiasme exubérant m’amuse. Moi qui avais honte de m’être fait sodomiser, quand bien même tout mon corps crie son besoin de l’être à nouveau, voilà que c’est lui, le petit gars débridé, qui avoue le même désir ! Sans l’avoir encore connu… C’est maintenant moi le grand, celui qui l’a fait…— Ben… D’abord ça fait assez mal… Même si Louis m’avait bien préparé…— Comment ?— Avec ses doigts… Mouillés…— Entre tes fesses ? C’est ce que je fais quand je me branle ! J’adore ! J’éclate de rire. D’autant plus qu’il mime un majeur en pleine action de dilatation anale…— Oui… Progressivement… Puis il a mis plein de salive sur sa queue et s’est enfoncé.— C’est douloureux ? Moi ça me fait un peu peur…— Peur, toi ? Ah… Oui, c’est d’abord douloureux. Mais en même temps c’est bon. D’abord douloureux et bon. Puis de plus en plus bon… Je ne sais pas comment dire. Il faut le vivre…— J’ai hâte ! Tu m’enculeras ?— Euh… Peut-être… Si tu veux… Et puis tu sais, au bout d’un moment la douleur est remplacée par une immense vague de chaleur. C’est divin ! Surtout quand il commence à bouger en toi ! J’ai adoré ! Tellement que j’étais hyper excité… Et que j’ai joui très vite… Trop vite…— Dommage ! Tu sais, quand j’ai commencé à me palucher, je jouissais tout de suite. Et puis j’ai appris à prendre le temps… J’imagine que quand on t’encule, ou que tu encules, c’est la même chose… On apprend avec le temps à se retenir…— Sans doute.Nous poursuivons cette conversation particulièrement intime, sans plus aucun tabou, chacun racontant à l’autre comment et où il se masturbe. Entre deux éclats de rire, il y a entre nous une amusante complicité animale. Mais pas de sentiment. Je m’en rends compte très vite. Et, curieusement, moi qui suis un sentimental, je m’en moque. J’ai juste envie de sucer à nouveau, d’ouvrir encore mes fesses, de jouir abondamment. Gaston n’est pas aussi beau que Louis qui est bien plus élancé, athlétique. Il est, lui, plus râblé, massif, tout en muscle, très poilu. Et j’ai le souvenir d’une belle saucisse qu’il avait déballé à côté de moi ce matin…Au loin nous voyons Louis qui donne à tous l’instruction de rentrer pour la toilette et l’extinction des feux. Parce qu’il regarde particulièrement dans notre direction, Gaston rigole et me laisse. En passant près de mon pion préféré, après nous être grandement souris, Louis me dit à voix basse que nous ne nous verrons pas ce soir, qu’après avoir dépucelé mon joli petit cul, il fallait lui laisser deux jours pour se remettre. Mais il me prendra à nouveau demain soir après que je l’aurai sucé. Bien que frustré par ma grosse envie de lui, ce programme me fait sourire. J’ai tellement hâte de lui ouvrir encore mes fesses ! Même si elles sont encore un peu douloureuses… Et je souris d’autant plus quand il me donne comme instruction de ne pas me toucher cette nuit, car il veut toute ma liqueur demain en bouche ! J’ai toujours aimé ce moment de la journée où, dans le dortoir en effervescence, je vois autour de moi des camarades nus, d’autres se déshabillant ou enfilant leur pyjama, certains partant se doucher avec une serviette autour des reins. De la chair, des fesses, des poils, des verges ! Et aussi l’odeur âcre des garçons ayant sué toute la journée, les chuchotements, les inévitables rires étouffés… Oui, cette ambiance-là, entre gars, est mon moment préféré !Nous sommes tous pudiques, à cacher nos pénis, nos couilles qui pendent, nos poils pubiens. Cela, en montrant nos fesses aux autres, comme si elles étaient moins indécentes que nos bas-ventres… Ces fesses… Que j’ai aimé les ouvrir à Louis qui est là, au milieu de nous, à nous faire activer. Je sais maintenant qu’il les regarde, nos fesses, qu’il les regarde, nos sexes, qu’il en a une terrible envie ! Et que c’est moi qu’il a choisi ! J’en suis totalement fier !Tous pudiques. Et pourtant je connais les fesses de chacun de mes camarades. Je connais le pénis de chacun d’eux, je sais qui a les couilles qui pendent et qui les a remontées, qui en a une plus lourde que l’autre, quel est la forme de chaque verge, quelle est sa taille… On ne peut rien se cacher dans un dortoir collectif où on s’habille et se déshabille les uns à côté des autres, où on va se soulager devant la même longue pissotière en se reluquant, où on prend une douche les uns au milieu des autres…Gaston qui passe près de moi en slip m’interroge du regard. Dans un murmure je lui réponds un « pas ce soir » désespéré. Je m’attends à ce qu’il s’en réjouisse. Mais non. Il prend un air grave, comme si l’information était terrible… Il me fait une mimique désolée. Penserait-il à mon plaisir plus qu’au sien ?Je le regarde faire demi-tour, retourner près de son lit, hésiter, enlever son slip et le poser en évidence sur sa couverture. D’où je suis, à quatre lits du sien, je peux voir la trace jaunâtre sur le devant. Personne ne rit de cela. Nous avons tous la même en fin de journée… C’est bien à cela que sert un sous-vêtement.Alors, tranquillement, l’air de rien, Gaston traverse le dortoir tout nu pour aller dans le bloc sanitaire ! Les discussions s’arrêtent. Les regards se tournent vers lui. Les souffles se coupent : c’est bien la première fois qu’un de nous ose faire ce court trajet dans le plus simple appareil !Ses poils noirs nombreux, sur tout le corps, ses muscles râblés, dégagent une puissance incroyable. La frontière entre les poils de son ventre et ceux de son pubis est à peine marquée. Son large torse est incroyablement velu. Et des poils apparaissent entre ses fesses. D’un coup Gaston me semble être le symbole de la virilité et de la force ! Surtout que je suis certain que c’est pour m’impressionner, et me faire le désirer, qu’il s’exhibe comme cela.Je m’amuse de ce camarade, en face de moi, qui a arrêté le geste de descendre son slip. Bloqué à mi-cuisses, son regard passe du corps nu de Gaston au visage impassible de Louis. Il quête une réponse. Et pourtant le pion ne dit rien, ne montre rien.Qui ne dit mot consent… Chacun réalise l’autorisation muette qui nous est donnée : nous pouvons dorénavant être nus les uns devant les autres ailleurs que sous la douche collective ! Nous pouvons bouger tout nus. Pour certains c’est scandaleux. Pour la plupart c’est une libération !Alors que je fais mine de retirer à mon tour mon slip pour emboiter le pas à mon nouveau complice, je lis une imperceptible désapprobation dans le regard du pion. Louis ne veut pas. Mon corps nu n’appartient qu’à lui. D’accord. J’accepte d’obéir. Mais il a intérêt demain à me faire intensément jouir !Il n’y a finalement qu’un autre camarade qui se déplace nu jusqu’aux douches. La plupart sont en slip. Quelques-uns ont enfilé leur pantalon de pyjama. Mais si Louis, mon pion préféré, m’a interdit de marcher nu, il ne peut rien me dire dans le bloc sanitaire ! La première chose que je fais est d’ôter mon slip que je suspends à une patère. Je rejoins Gaston devant le lavabo qui commence à se brosser les dents. Ensemble, nos verges et testicules ballotant, nos petites fesses à vue, nous nous activons, profondément amusés. Et nous sommes loin d’être les seuls puisque, peu à peu, une douzaine de gars, avant ou après la douche, se mettent à faire comme nous. Quel bonheur partagé d’être cul nu devant les autres garçons !Cela me semble tellement merveilleux que je sens une chaleur envahir mon sexe. Tout à coup je n’ai plus qu’une obsession : ne pas bander ! Ne pas bander devant mes camarades !Comment faire ? Je sens ma verge se gonfler. J’y projette, faussement maladroit, un peu d’eau froide, ce qui fait rigoler Gaston, pas dupe, qui a le même problème que moi et qui, immédiatement, fait pareil.Nous filons sous la douche. Heureusement qu’elle est toujours tiède ! Pas de quoi se réchauffer les sangs ! Regarder ailleurs ! Je n’y arrive pas… Tout autour de moi les garçons sont aussi excités que nous. Ce ne sont plus des petites verges savonnées que j’entrevois, mais des sexes partiellement gorgés du sang du désir…Comment avons-nous fait ? Aucune queue ne s’est redressée à l’horizontale. Toutes sont restées gonflées, mais souples. Et je ressens un immense bonheur quand je reviens, nu, entouré d’une demi-douzaine de garçons, dans le dortoir, sous les yeux admiratifs des autres. Sous l’impulsion de Louis aussi, qui nous presse de passer sous nos couvertures en acceptant notre nudité.Nos camarades regardent-ils nos anatomies masculines avec le même désir que je ressens en voyant les fessiers des autres se contracter et décontracter en marchant ? Ou bien n’admirent-ils que notre audace ?Enfiler mon pyjama est un supplice. Je commence par le haut. Rester les fesses à l’air le plus longtemps possible ! C’est quand je saisis mon pantalon que je réalise que le pyjama de Louis n’est plus là. Il a dû le reprendre discrètement dans la journée. Un échange de coups d’œil me le confirme. L’honneur est sauf. Il n’y a plus de trace de notre corps à corps de la veille.Le dernier regard de Louis avant d’éteindre la grande lumière blafarde est pour moi. Je lis autant de détresse chez lui que je n’en ressens. Il a autant envie que moi de remettre cela ce soir. Mais il a raison, il faut que mon conduit se repose… La lumière éteinte, Louis parti, peu de garçons trouvent le sommeil rapidement. Plus personne n’essaie d’être discret. La douce musique des prépuces lubrifiés qui vont et viennent sur les glands emplit le dortoir. Des grincements de sommier. Le froissement des tissus qui glissent sur la peau. Une odeur très masculine flotte dans l’air. C’est à croire que tout le monde se masturbe !Quelques cris orgasmiques étouffés… Peu à peu les sons s’apaisent. Les respirations bruyantes de gars endormis se mélangent aux dernières pignolades. Le dortoir a exulté. Mes camarades s’endorment.Suis-je le seul à avoir retiré entièrement mon pyjama ? A avoir repoussé la couverture pour ressentir ce petit bonheur simple d’être nu, dard pointé vers le ciel ? Il m’est impossible d’être habillé !Je résiste difficilement au besoin de me masturber. Juste quelques caresses fugaces. Mais j’ai les bourses trop lourdes. Je revis ce terrible et magnifique moment où Louis est entré en moi, est resté en moi, s’est activé en moi. Je veux connaitre cela à nouveau !Une somnolence salace commence, entrecoupée de sursauts plein de fougue, ma main s’emparant de mon sexe toujours raide. Louis me perfore, me ramone, me soumet, me besogne dans les positions les plus acrobatiques sous les yeux exorbités et enflammés de Gaston. Gaston… Je l’imagine par moment à la place de Louis… Je m’imagine en lui… Je me rêve entre Louis et lui… Qui devant ? Qui derrière ?Un léger mouvement d’air me fait brusquement rouvrir les yeux. Un frôlement. Une présence dans le noir le plus complet du dortoir…Un tissu se pose sur mon visage. Un bâillon ? On veut m’enlever pour me violer ? Non. Juste un tissu posé. Un tissu… Une odeur… Une délicieuse odeur… Un parfum que je connais si bien… Un parfum très masculin…Des lèvres se referment sur le lobe de mon oreille. Je frémis, mais ne refuse pas cette tendresse qui se met à le suçoter… Secondé par un bout de langue. Je hume le parfum pour m’en emplir les poumons. Je réfrène difficilement un grognement de bonheur…Une voix susurre à mon oreille :— Sueur, sperme, urine… Ce n’est qu’un slip que j’ai gardé sur moi pendant trois jours… Dans lequel j’ai juté chaque nuit depuis la rentrée… Avec lequel je m’essuie la queue après chaque jute. Il est pour toi… Tu aimes ?Je n’ai pas le temps de lui répondre que j’adore. Les lèvres de Gaston se pose sur les miennes, font pression, les écarte. Sa langue entre dans ma bouche. La mienne vient instantanément à sa rencontre et la combat. La lutte est douce. La lutte est féroce. La lutte est délicieuse ! D’autant plus qu’une main virile vient enserrer mon dard et le presse. Mon sexe dans sa main ! Sa langue dans ma bouche ! Et tout cela au milieu du dortoir endormi !Le bruit de succion de notre viril baiser me semble assourdissant. Gaston quitte mes lèvres pour descendre lécher mon cou. Sans lâcher mon éperon douloureux. Je gémis légèrement. Les lèvres poursuivent leur descente, s’arrête sur un téton, le fait durcir, le travaille, l’étire… Un téton ; puis le second. Oh que c’est bon !C’est bon, mais frustrant... Ce n’est pas sur cet appendice-là que j’ai besoin de ses lèvres. Il le sait. Il en joue. Il me fait bouillir !Enfin il ne bouge plus. Ses lèvres sont juste au-dessus d’un téton qui se dresse vers elles. Mais Gaston est immobile. Que fait-il ?Bien sûr… Il écoute… Il dresse l’oreille. Tout le monde dort-il ? Je fais comme lui. Je n’entends rien. Je me concentre sur la respiration de chacun de mes camarades, en partant de la droite, tentant de les passer tous en revue… Non… Ce ne sont que des sons ensommeillés… Nous sommes les seuls éveillés. Sans doute parce que je suis le seul à ne pas avoir expulsé l’irrépressible laitance mâle… Et lui ? S’est-il branlé ? M’en a-t-il gardé ?Un mouvement. Ses lèvres retrouvent les miennes. Notre baiser est plus calme, plus serein, plus profond. Et ma main s’écarte du matelas, heurte sa cuisse, la contourne, vient se poser sur une fesse… Dieu qu’elle est ferme ! Qu’elle est soyeuse !Quel bonheur de la pétrir tout en s’embrassant ! Il tient toujours mon sexe, je caresse sa fesse, nos langues font alliance… Veut-il que je le… Mes doigts passent dans sa raie. Il écarte immédiatement les jambes, m’ouvrant son doux sillon !Son anus attire d’emblée un de mes doigts… Je joue avec sa corolle. Hummm, que j’ai envie d’y enfoncer ma queue !Une main se pose sur la mienne, la prend, l’élève. Gaston entraine mon doigt vers nos lèvres. A peine les a-t-il touchées qu’il se met à le sucer. Je glousse. Trop fort. Attention à ne réveiller personne ! Je comprends. Avec lui j’humecte largement mon doigt. Et l’envoie retourner entre ses fesses puissantes pour y enfoncer une phalange. Puis deux. Il grogne dans ma bouche. Il aime cela. C’est terriblement animal. Moi je sais ô combien c’est bon ! Un doigt, une bite, nos fesses sont faites pour être comblées !Nous jouons un petit moment à lubrifier mon doigt pour qu’il s’enfonce de plus en plus. Entièrement. Avant de s’activer dans son fondement. C’est magnifique à faire ! Mais que j’aimerais être à sa place !C’est brusquement qu’il quitte mes lèvres, bouge, lâche mon dard et vient l’avaler à moitié. Surpris, je laisse échapper un gémissement. D’autant que sa langue entre en action en léchant à l’intérieur de sa bouche mon gland ruisselant de mon bon jus de garçon. Il me suce ! Gaston me suce ! Et moi je ne retire pas mon doigt d’entre ses fesses !Rapidement il grimpe sur mon lit pour se mettre tête-bêche au-dessus de moi. Le sommier grince. Il passe une jambe par-dessus mon corps, me présente ses fesses. Je ne vois rien. Je devine. Je percute plus fort encore cet anus totalement dilaté alors qu’il me pompe de plus en plus ardemment.Spontanément ma langue alterne avec mon doigt dans son fondement. Pourquoi ai-je cet impérieux besoin de lécher son sillon, son anus, l’intérieur de sa corolle dans laquelle ma langue est aspirée ?Mais cela ne dure pas. Je suis trop excité. Je suis au bord de l’explosion. J’essaie de le lui faire comprendre. Pour qu’il se retire. Mais son visage pompant ne s’écarte pas. C’est dans sa bouche que je libère tout ce flot de sève qui bouillait en moi ! Je jouis, le corps secoué de spasmes, le nez entre ses fesses, les lèvres autour de son anus, sa corolle distendue étouffant mon râle de jouissance.Je jouis en éjaculant de multiples répliques, jusqu’à ce que mon corps, libéré, se détende enfin. Mon visage quitte ses fesses. Ma tête retombe sur mon oreiller, sur son slip ensemencé que je pose sur mon nez. Ma main caresse machinalement sa fesse. L’orgasme a été trop puissant, je pars…Je le sens bouger. Je ne sors des limbes que quand ses lèvres retrouvent les miennes. Les lèvres de Gaston. Mon Gaston, qui m’a si bien fait jouir ! Le cœur en fête je les ouvre. Pour aussitôt accueillir sa langue, et aussi un flot de salive au goût sublime. Mon sperme ! Gaston a gardé mon sperme en bouche et vient le partager avec moi ! Quelle superbe attention ! Nous nous embrassons longuement, dégustant cette saveur qui met nos papilles en feu. Un baiser gourmand ! C’est délicieux !Il retourne deux fois lécher ma hampe et mon gland pour les nettoyer encore. Et partager en bouche sa récolte. Que je suis heureux de n’avoir pas refusé notre intime conversation de l’après-midi, quand nous nous sommes tout dit de nos désirs de garçons, ce qui nous a autorisé à tout nous faire de plaisirs entre garçons !Ses lèvres se retirent à nouveau. Il susurre à mon oreille :— Viens me sucer dans mon lit !Comment refuser ?
Nous nous levons. Nous tâtonnons tout en nous tenant par la main. Nous avançons, tentant de nous diriger vers son lit. Mais après quelques mètres, il murmure à mon oreille :— Pipi…Aïe ! Le bloc sanitaire est à l’autre bout du dortoir.Je n’ai pas le temps de réfléchir que je sens son corps pivoter. Il m’entraine fermement avec lui pour repartir dans l’autre sens. Je souris. Que c’est bon de marcher nu dans mon dortoir, au milieu de tous mes camarades ! C’était divin quand j’étais retourné me coucher après la douche. Mais là, main dans la main avec mon Gaston qui vient de me sucer, d’avaler ma semence et de la partager largement en m’embrassant, la verge décalotté et moite de bonheur quand lui (je vérifie) a la queue toujours aussi droite et dure, c’est totalement jouissif et excitant !Il fait tellement sombre qu’à trois reprises nous heurtons des lits, les faisant grincer, retenant à grand peine nos fous rires : l’excitation est telle que nous sommes incapables de nous diriger droit. En plus Gaston vient plusieurs fois s’emparer de mon visage pour m’embrasser vigoureusement ! Au milieu du dortoir ! Devant tous nos camarades ! Bon, heureusement qu’ils dorment…Nous finissons par arriver devant le bloc sanitaire. Nous repoussons la porte que nous refermons soigneusement. Nous allumons la lumière de la cabine des toilettes la plus reculée. Enfin nous pouvons nous regarder. Gaston est impressionnant avec tous ses poils bruns, et surtout son gros sexe que surplombe un imposant champignon luisant ! Un gros, très gros sexe, mais pas très long.Aussitôt il s’agenouille pour reprendre ma queue en bouche et la sucer avec une gourmandise affichée. Il tente de me faire rebander, mais le résultat n’est que très partiel. Il y met tant d’ardeur que j’en ris et finis par le repousser. Il tombe, cul sur le sol, jambes écartées et relevées entourant son majestueux sceptre phallique. Nous éclatons d’un rire joyeux et simple.Je l’aide à se relever pour, tout en pétrissant son beau cul poilu, l’entrainer devant le mur de la pissotière. Aussitôt je me soulage, contrairement à lui qui reste coincé par son érection. Il ne met que quelques secondes avant de se décaler dans mon dos, de coincer son imposant phallus contre la raie de mes fesses, de repousser ma main pour s’emparer de ma verge gonflée et de la diriger, me faisant joyeusement pisser de droite à gauche tout en embrassant mon cou.Il ne reste que quelques gouttes quand il me demande :— Tu aimerais que je te la mette ? Entièrement entre tes fesses ?— Elle est grosse !— Elle est bonne !— Trop grosse !— Je suis certain qu’elle peut rentrer. Celle de Louis y est bien arrivé !— Elle est plus fine. Et plus longue. Et cela a déjà été assez douloureux. Au début.— Ah ? Comment on va faire alors ?— On verra bien. Mais pour l’instant je voudrais que tu ne me pisses pas sur la raie…— Tu as raison. Conclut-il en se reculant pour se remettre en position.Les yeux brillants de désir, je le regarde. Il a les mains sur les hanches, queue à l’horizontale, essayant de se libérer de son besoin urinaire. Il ferme les yeux. Il pousse. Rien ne sort. Je m’esclaffe. C’est trop marrant !Je pose une main sur ses fesses pour les malaxer. Il me dit d’arrêter car cela ne fait qu’amplifier son érection. Nous rions de plus belle. Il a l’air vraiment stupide, immobile, queue raide, incapable de se soulager. Mais il est si beau, si puissant, si viril ! Surtout quand son bassin se met à balancer lubriquement d’avant en arrière, imitant un coït tranquille.Il est vrai que j’ai une folle envie de me jeter à ses pieds pour me mettre à quatre pattes afin que cet engin somptueux vienne en moi au lieu de rester stupidement orphelin à l’air libre !J »écarquille les yeux en constatant que ce n’est pas de l’urine qui se met à sortir, mais une coulure translucide, épaisse, gluante… Il mouille. Il mouille d’être nu à bander devant moi. Il mouille du souvenir de la fellation qu’il m’a offerte. Il mouille de la saveur séminale qu’i doit encore avoir en bouche, puisque j’ai moi-même encore ce savoureux arrière-goût de ma jouissance. Il mouille du plaisir qu’il a ressenti quand mon doigt a farfouillé son cul.Je ne peux qu’avancer un doigt, récolter ce nectar, le porter à mes lèvres, le déguster en grognant de plaisir… Pour très vite recommencer, portant mon doigt dans sa bouche pour qu’il le suce avec la même avidité. Et à nouveau je récupère de cet mouille de garçon dont je m’humecte les lèvres avant de l’embrasser goulûment.C’est délicieux. C’est trop peu. D’instinct je m’abaisse. D’instinct il pivote vers moi, frottant son gland poisseux contre ma joue avant de l’enfourner dans ma bouche. Quel délice de suçoter ce bonbon liquoreux ! Déglutir ce suc mâle !Jaloux face à mon plaisir, il me relève de force pour m’emboucher et profiter lui aussi de ce dessert de rois. Que ces baisers gourmands sont bons !A plusieurs reprises je m’abaisse la bouche grande ouverte pour moissonner le flot ininterrompu de son suc. Napper mon palais. L’embrasser à nouveau en le laissant me lécher la paroi buccale de l’intérieur. Reprendre son bonbon entre mes lèvres !Tout cela est bien beau, mais après plusieurs dégustations de sa gelée royale, le problème reste entier : Gaston est toujours en complète érection, mains sur les hanches, pieds écartés, somptueusement viril, magnifiquement velu, surtout sur son superbe cul, mais toujours incapable de pisser !Mon regard tombe alors sur un verre à dent posé sur le bord du grand lavabo sur notre droite. Au moment où l’idée me traverse l’esprit, je réalise que le premier des grands lavabos est perpendiculaire à la pissotière. Bien placé, on doit pouvoir admirer tous les pénis pissant en enfilade ! Bien vu ! Je laisse Gaston face à son mur (peut-être va-t-il enfin y arriver ?) pour aller vérifier l’angle de vue. Je le fait se déplacer le long du mur. Voilà, c’est au deuxième emplacement qu’on a la meilleure vue ! C’est là que je vais dorénavant faire ma toilette…Comme il est toujours penaud, sexe dressé sans réaction, je rempli le verre d’eau froide et fonds vers lui. Il me supplie de ne pas le faire. Je lui affirme que si, que je vais le faire. Il m’échappe une première fois, mais pour mieux se retrouver coincé entre la pissotière et moi. Je lance le contenu de mon verre sur son bas ventre. Il étouffe un cri douloureux. Son engin vibre. Et alors qu’il tente de faire disparaitre la sensation de froid en respirant et inspirant à pleins poumons, enfin le flot jaunâtre se libère.Il a tout juste le temps de pivoter vers le mur pour se soulager sans en mettre partout.Je fais devant lui la danse de la victoire. Il se bidonne en essayant de contrôler son jet en se saisissant de sa verge tout juste amollie. Et moi je suis heureux : jamais je n’aurais pensé un jour voir chez un autre cette situation que, comme tout garçon, j’ai déjà vécu. Et quel autre !Regarder de manière totalement impudique ses couilles, ses fesses, sa verge en train de se soulager est une fabuleuse vengeance après toutes ses années à faire semblant de ne pas regarder mes camarades dans la même position ! La même position, mais pas cul nu, mais pas avec une queue bandée !Alors que j’ai reposé le verre et que je reviens vers lui, il secoue une dernière fois son formidable engin. Nos regards se croisent. Une envie conjointe. Une pulsion commune. Nous n’avons pas besoin de nous parler pour que je m’agenouille devant lui en ouvrant grand la bouche.Un gland énorme entre dedans. Je réalise que son membre est presque plus gros que ma bouche. Quand je suçotais son gland pour en récolter le nectar, je n’allais pas jusqu’à l’enfourner entièrement. Là son sexe occupe toute ma bouche ! Il pousse un peu, heurte ma glotte. Je retiens un spasme de rejet. Je m’accroche. Je pompe. Je veux le sucer !Et comme lui ne rêve que de se faire sucer par moi…Je fais tout ce que je peux pour lui donner du plaisir. J’ai le sentiment que c’est mon rôle, que c’est la tâche qui m’est assignée : sucer un garçon est si naturel, si bon ! Je suis en totale harmonie avec lui, avec moi, avec son sexe dans ma bouche ! Le sexe des garçons est fait pour être dans la bouche des garçons ! Et pourtant, je n’ai découvert cela qu’hier soir !Je pompe sans réfléchir, émerveillé de cette virilité tout entière à ma merci. Je me sens animal. Je me sens moi-même, un suceur de bite ! Je suis le maître. Son sexe est à ma merci !D’un coup je me souviens qu’il est long à jouir, qu’il se branle très longtemps sur son matelas avant de pouvoir éjaculer. Est-ce qu’il va me butiner les lèvres pendant une heure ? Je prends une position plus confortable, à quatre pattes, dos cambré, son sexe en bouche, ma tête contre son ventre, mes mains accrochées à ses fesses.De fil en aiguille je nous imagine être toujours en pleine gâterie quand, au réveil, nos camarades, nus, entreront dans le bloc sanitaire. Être surpris ainsi, à sucer Gaston, devant tous les gars se rassemblant autour de nous et se mettant à bander et à se branler en nous voyant faire ! Moi aussi je rebande à bloc : c’est si bon de lire le plaisir dans les yeux de Gaston tout en le suçant !Pour accélérer sa libération, je commence à pétrir ses fesses. Oh qu’elles sont douces ! C’est génial de peloter son cul poilu !Profitant d’une échappée de son sexe hors de ma bouche, j’humecte largement un de mes doigts en le regardant. Pas besoin de parler. Ses yeux brillent de désir. Ses pieds s’écartent. Il offre son cul à mon envie exploratoire. Son sexe revient dans ma bouche en même temps que mon doigt entre dans ses fesses. C’est en cadence que je le suce et le doigte. Il en grogne de plaisir ! Moi aussi…Que diraient les gars en nous voyant, mon doigt dans son cul ? Certains s’offusqueraient, sûrement. Cela ne se fait pas ; c’est sale… Mais, j’en suis certain, aucun ne critiquerait ma fellation : sucer une queue, c’est si naturel !Nous avons la même pensée avec Gaston qui me dit, dans un grognement sourd :— C’est bon… Tu imagines si les gars nous surprenaient, là ?— J’adorerais ! réplique-je sans réfléchir.Ma tête fait maintenant des mouvements de balancier en le pompant nerveusement tandis que mon doigt fait pression à l’intérieur de son conduit qui se dilate de plus en plus. Gaston ajoute :— Et si Louis venait m’enculer pendant que tu me suces…C’est le coup de grâce. Cette pensée le libère. Un puissant jet de sperme vient percuter ma gorge qui déglutit d’instinct pour avaler le tout. Il éjacule en rafale une impressionnante quantité de foutre dans ma bouche. Comment autant de jus peut-il avoir été produit et gardé dans ses couilles ? Elles étaient grosses, rondes et lourdes, d’accord, mais ce sont des litres de sperme qu’il me semble jouir dans ma bouche !J’ai un haut le cœur. Un jet a percuté ma glotte. Et le goût de son sperme n’est pas vraiment agréable. Autant sa mouille du début m’avait semblée sucrée et envoutante, autant son éjaculation est salée, avec un affreux goût métallique… Mais c’est moi qui l’ai fait jouir ! Je l’ai soulagé ! Avec mes lèvres, ma langue, ma bouche… Mon doigt… Je n’ai pas pensé à regarder les expressions de son visage à ce moment-là. J’étais trop absorbé par l’absorption de son sperme… Mais je me promets de recommencer De boire son jus. De le soulager aussi souvent qu’il le voudra. Ici, dans les sanitaires. Mais en scrutant son visage !Il me redresse pour m’embrasser. Il déguste la saveur mâle. Il me dit que c’est bon. Il me demande si j’aime. Je lui réponds que je vais m’habituer…Je me rabaisse pour bien nettoyer son bout. J’admire la superbe courbe que fait son sexe bien épais. Que j’ai envie de le faire durcir en bouche et de le pomper encore ! Je me contente sagement de coups de langue autour de son gland, le long de sa hampe, sous ses bourses bien dures qui remontent…C’est lui qui met un terme à mon bonheur gustatif. Il embouche mon sexe bien raide pour le nettoyer à son tour. Il en avait besoin… Mais il ne fait pas durer le plaisir, se relevant pour me prendre par la main et m’entrainer vers la cabine éclairée. Nous jetons un regard attentif sur le cheminement vers la sortie. Il éteint au moment où il me semble remarquer une anomalie. Gaston m’entraine aussitôt vers la porte.Je la touche en premier. Je vérifie. Ce que j’ai cru apercevoir se confirme : la porte n’est plus fermée, mais juste repoussée… S’est-elle ouverte toute seule ? Quelqu’un l’a-t-il ouverte et nous a-t-il vu ?
Nous sortons de la pièce d’eau et ensemble, main dans la main, retraversons le dortoir en sens contraire. Toujours en nous heurtant joyeusement à des lits. Mais cette fois c’est moi qui ai la queue droite quand la sienne (je vérifie) est toujours gonflée, molle et courbe.Arrivés devant mon lit, Gaston m’enlace, colle son ventre contre le mien, pose ses mains sur mes fesses, fait pression, m’embrasse. Je réponds de la même manière, combattant sa langue, tripotant sans vergogne son adorable cul soyeux. Quand il enfonce un doigt entièrement entre mes fesses, je lui rends la pareille. Bouche unie avidement, doigt dans le cul, si la lumière s’allumait d’un coup nous aurions l’air malin au milieu du dortoir ! J’imagine les gars sauter, nus, hors de leur lit pour chanter à je ne sais qui un joyeux anniversaire… La honte…Je repousse les assauts de mon Gaston, lui souhaite une bonne nuit dans le creux de l’oreille, et rejoins mon lit. Je ne l’entends pas se mouvoir. Reste-t-il là à deviner mon corps excité, ou bien est-il retourné lui aussi se coucher ?Je sens en tâtonnant mon pyjama. Comment le remettre après ce plaisir partagé ? C’est impossible ! Je décide de dormir nu. Excité, je me dis que ce serait particulièrement plaisant de sortir nu de mon lit au réveil, en bandouillant ou en bandant, nous verrons bien, devant les camarades…Je pose la tête sur l’oreiller. Je la tourne. Mon nez plonge dans le slip de Gaston. Quel merveilleux parfum ! Il est d’autant meilleur que j’ai eu l’honneur de goûter sa saveur ! De l’avaler ! Humer l’odeur intime du garçon qui m’a sucé et que j’ai sucé ! Quel pied !Je remonte la couverture sur moi. Le corps fébrile, il m’est impossible de m’endormir. Je reste les yeux ouverts dans le noir à imaginer ce qu’à partir de maintenant va être ma vie avec Gaston, à nous sucer l’un l’autre jusqu’à nous soulager en bouche, peut-être à lui ouvrir mes fesses, j’espère à m’enfoncer dans les siennes… Rien que de penser à sa grosse bite dans mes fesses, cela me fait peur ! Il est si énorme son sexe ! Je me rassure en me disant que celui de Louis devrait détendre mon conduit, l’habituer à me faire enculer… Peut-être le préparer à recevoir celui de Gaston…Louis. Je l’avais oublié pendant que j’avais le sexe de Gaston dans la bouche ! Je réalise d’un coup que j’ai bien plus aimé quand c’est le pion qui m’a baisé… Pourquoi ? Il a pourtant été direct et autoritaire alors que Gaston m’a laissé le choix et y est allé gentiment… Gaston… Un ami pour l’hygiène… Louis… Un amant pour mon plus intime plaisir ! Louis… Nu, il est bien plus beau, élancé, que Gaston, tout massif… J’ai brusquement envie d’aller je rejoindre… Me faire mettre à nouveau ! Un bâillement élimine cette envie. Je jette un œil vers la porte de sa chambre. Je souris : demain je la franchirai et je me ferai prendre à nouveau ! Oui, laisser Louis le pion jouer avec mon corps et jouir dans mon cul, ou dans ma bouche, comme il voudra !Ai-je rêvé ? Il me semble voir un faible rai de lumière apparaitre, comme si on ouvrait la porte qui donne sur la chambre du pion… Un rai de lumière, une forme humaine, une ombre, la forme de la courbe des fesses, la suggestion d’une bite bien droite… Louis vient-il de passer du dortoir à sa chambre ou bien mon désir de lui a-t-il travesti la réalité ? Je frémis. De gêne s’il nous a vu. D’excitation à l’idée de ce qu’il fera de mon corps… J’ai tant envie de me blottir à nouveau contre sa peau ! J’ai tant envie de me mettre à nouveau impudiquement à quatre pattes devant lui, à cambrer mon dos, à écarter mes fesses, à le supplier de me posséder ! Mes paupières lourdes se referment. Il est temps de plonger dans des rêves. Des rêves fougueusement érotiques !
Diffuse en direct !
Regarder son live