Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 147 J'aime
  • 0 Commentaire

La douanière

Chapitre 2

Lesbienne
Je suis sa voiture jusqu’à Bourg Madame, pas loin de l’Espagne, à plus de 20 kilomètres de l’Andorre où nous venions de baiser pas mal de temps. Elle habite un tout petit immeuble au centre de la cité. Je trouve une place pour me garer presque à ses cotés. Je n’avais pas remis mon string, j’avais encore la chatte mouillée, d’abord par ce qu’elle m’avait fait, ensuite à cause de sa promesse de me fister. Je la suis jusqu’à chez elle. A peine entrées nous nous embrassons longuement. Nous avons encore envie l’une de l’autre. Pour moi, mise à part les débuts de notre relation un peu spéciale: fouille, le reste était rare. Elle commence à ma déshabiller, je me laisse faire, elle a peu de travail pour arriver à ce que je sois comme Eve. Je suis bien serrée contre elle, je sens les boutons de son uniforme contre moi : c’est excitant. Ce qui l’est encore plus est de sentir ses mains sur mes fesses, elle peut ainsi me serrer encore plus. Je voudrais moi aussi la toucher, la caresser, même ses fesses, ses seins, ses hanches, bref tout ce qui fait une femme. A force de chercher l’accès je trouve enfin son premier bouton du blouson. Je le défais et passe la main à l’intérieur : elle est chaude, je ne veux plus partir de là. Heureusement qu’elle se recule un peu pour caresser ma poitrine. J’arrive ainsi à lui enlever le blouson et le soutien gorge. Même si elle me caresse, je peux à mon tour toucher sa paire de nichons. Ils sont durs. Avant de l’embrasser sur la bouche je lui demande son prénom, nous avons baisé en oubliant la moindre des politesses, connaître le prénom de son amante. Elle c’est Cathy et moi Charlotte, au moins dans nos souvenirs nous sauront comment s’appelle notre chérie d’un soir.— Cathy, ma belle, si nous allions nous coucher.— Attends déshabilles moi avant.J’enlève son blouson suivi de son soutien gorge. Le pantalon est vite à ses pieds. Elle aussi a oublié de remettre sa culotte. Nous sommes à égalité. Avant de nous coucher, elle sort son matériel : un nécessaire à baiser pour fille seule. Maintenant nous sommes complètement allongées contre l’autre. C’est plus confortable que son bureau. Aussitôt nous recommençons notre jeu : nos mains parcourent longuement le corps de l’autre. Elle est douce au possible. La seule chose à lui reprocher est l’odeur de ses aisselles. Je m’y fais très bien, c’est une odeur naturelle que la civilisation a bannie. Nos lèvres parcourent nos corps, nous arrivons vite sur les chattes. Je pensais être la seule mouillée, mais non, elle, est trempe. Ma bouche retourne là où elle aime, j’entre dans son rectum. Cathy aussi met sa langue dans mon cul. Nous arrêtons vite ce début de 69 pour nous aimer autrement avec ses jouets. Elle me laisse le choix entre un plug anal, un gode vibrant ou non. Je choisis le gode vibrant, pour elle ce sera un chapelet de billes de plus en plus grosses. Avant de me les donner pour les lui mettre, elle les enfile dans son con bien mouillé. J’entre la plus petite bille ans son anus, puis l’ensemble, à chaque fois que j’entre une bille, je vois son petit trou s’élargir et se refermer quand elle passe. Je pousse les huit autres jusqu’à ne faire ressortir que le lien qui les rassemble. Je la laisse ainsi un bon moment, je m’attache à lécher son bouton. J’ai beaucoup de plaisir à sucer sa cyprine, j’apprécie la douceur de sa chatte, j’y entre deux doigts, je la branle ainsi jusqu’à ce qu’elle explose. Qu’elle explosion, je crois que c’est la première fois depuis que nous nous connaissons qu’elle jouit autant, elle arrive à en crier de plaisir. Je vais la faire venir autrement, elle a les jambes écartées, je tire le cordon des billes. Je vois apparaître au fond la première, je la fais doucement sortir de son anus. Je la vois jouir, je recommence avec la seconde, je vois bien encore son anus s’ouvrir lentement pour laisser le passage et se refermer à peine plus vite quand je finis de la sortir. Cathy n’en peut plus. — Baise moi avec le gode— Et moi ?— Je te baiserais aussi.C’est facile quand on est en position de 69 de pénétrer une fille avec un gode. En plus c’est excitant de voir le gode entrer dans la chatte de l’autre. Nous sommes tellement chaudes que nous ne résistons pas longtemps à l’orgasme. Il est presque simultané. Cathy se remet droite, contre moi. Elle passe une main sur mon sexe . Elle se met en position accroupie pour me mettre un doigt dans le vagin :— Je vais te fister, n’est pas peur, ça fait beaucoup de bien.— Vas y, fistes moi.Elle entre un deuxième doigt puis tous les doigts y compris le pouce. Elle entre en forçant un peu toute sa main. Je regarde curieuse de la suite. Elle met une bonne partie de son bras dans mon con. J’ai peur quand je sens qu’elle va et vient dans ma chatte très lentement. Quel drôle de plaisir, il me semble avoir une bite de cheval dans la minette. Elle oublie un tout petit moment ses mouvements pour tourner sa main dans mon sexe. C’est là que je prends mon pied. Je pense qu’elle va sortir ses doigts, mais elle reste dans mon ventre, cette fois elle me fait jouir en allant et venant. Je ne voudrais pas qu’elle arrête. Je voudrais même qu’elle me fasse la même chose dans le cul. Qu’elle baiseuse, de plus elle me branle bien... Quand elle s’arrête je suis à bout de force : je dors sur place, totalement vidée. Je me réveille tard le lendemain, elle est toujours à mes cotés : elle se masturbe en me regardant. En guise de réveil on peut faire plus mal. Je la suis dans sa recherche de plaisir solitaire. Évidemment nous finissons par un 69, avec un gode dans le cul.En partant je me dis que pour une fouille douanière j’en ai tiré d’excellents moments.
Diffuse en direct !
Regarder son live