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double fistage

Chapitre 1

Hétéro
Enfin la villa en construction voisine de la mienne est terminée. Fini les bruits du chantier, fini les cris et engueulades entre ouvriers. Les voisins aménagent sans bruit. Le seul désagrément est le départ en trombe du nouveau voisin tous les matins vers 7 heures. Sa femme ne travaille pas, enfin dehors, j’ignore ce qu’elle fait après son bain, l’après midi dans leur piscine où il me semble qu’elle est toujours nue. En tout cas ils sont bien polis: ils disent toujours bonjour aux voisins. Je la rencontre souvent au centre du village quand, au lieu d’aller faire mes courses en ville, je me sers chez les commerçants du coin. Je suis ce qu’on appelle un capitaliste: je vis de mes rentes tout simplement. Je semble inoccupé, alors que j’ai une foule d’activité, entre autre l’amour. J’aime bien jouir. C’est la chose la plus normale chez un homme. Bon an mal an j’arrive tout de même à me farcir une bonne trentaine de femmes; jeunes femmes célibataires et souvent des femmes mariées que je préfère: elle savant bien faire l’amour simplement pour le plaisir. Un jour, sans chercher à la regarder je vois ma nouvelle voisine se dirigeant vers la piscine. Elle porte un genre de peignoir de bain ouvert. La pudeur ne doit pas être son fort. J’aperçois sa poitrine avec des seins extraordinairement beaux. Je reste pour voir la suite: elle enlève son peignoir pour montrer le reste. Elle porte un genre de string, disons un bébé string tellement il ne cache rien. A vue de nez il couvre simplement le début des lèvres de son sexe. Quand elle se tourne je peux voir que ce « vêtement » est retenu par deux ficelles qui semblent maintenir le peu de tissu. Sa vue seule, aussi peu habillée me donne la trique. S’en est même gênant tellement je bande. Tans pis, même si elle me voit je ne peux m’empêcher de sortir mon vit pour me toucher. Ma bite se régale dehors, on dirait qu’elle a sa vie propre. Je la prends dans ma main droite et fais les aller et venue normales. Je ne tiens pas longtemps: j’éclabousse la terre en face de moi. J’ai à peine le temps de me rebrailler quand j’entend la voix de la voisine: — Venez si vous voulez prendre un bain;— Maintenant?Je n’ose pas lui dire que je viens de me branler en la regardant, j’invente une occupation:— Non, merci pas maintenant, j’ai un rendez vous, demain si vous voulez.— Je compte sur vous demain vers 15 heures.— D’accord. Ouf, je me sens soulagé. Je n’allais pas aller chez elle la bite en berne. Demain tout sera OK, à condition que cette nuit je ne me branle pas trop. Ca commence mal, dès le dîner avalé je bande en pensant à demain. Tant pis j’ai trop envie de me caresser. Je me mets nu, totalement nu et pense à son corps. J’aimerais la lécher, la baiser, l’enculer. Je lui ferai en plus tous ce qu’elle voudra. Je jouis quand je suis assis sur ma chaise, la bite qui gicle dans un verre pour que je vois la quantité de sperme que je fabrique. Je le laisse dans le frigo pour ne pas qu’il sèche. Avant de me coucher j’ai encore envie: je vais passer mon érection sous la douche froide. J’arrive péniblement à me calmer. Par contre le lendemain matin je fais comme un ado: je bande dès mon réveil. Je file à nouveau sous la douche, cette fois j’ai mis l’eau chaude, je la fait couler sur la queue qui n’a toujours pas débandé. Le plaisir est instantané, ma pine bande encore plus, le prépuce vers le bas le jet coule directement sur le gland. Je le fait aller et venir jusqu’au pubis pour revenir s’attarder sur ma bite. Je ralentis mes mouvements, je veux faire durer le premier orgasme de la journée. Jour long aujourd’hui. Ce n’est pas possible elle m’a envoûté tellement j’ai envie de son corps contre le mien. Je sors de chez moi pour aller sonner chez elle. Elle ouvre très vite. Je l’attendais habillée; elle ne porte que son string mini. En femme d’intérieur accomplie, elle m’invite pour prendre un café. Je suis sur un divan, je peux la voir dans la cuisine, préparer le café: ses fesses sont parfaites. Elle vient nous servir, ses seins sont presque contre mon visage. J’aurais pu les embrasser au passage. Elle s’installe dans un fauteuil, juste en face de moi. Je la détaille des pieds à la tête: beau brin de fille. Une paire de seins qui est montant, des aréoles brunes sans plus. Elle se tient très mal les jambes écartées. Si je ne vois pas le début de sa chatte, je peux voir le reste, il me semble apercevoir son petit cul. Elle remarque bien sur que je bande encore. — Vous êtes plus excités qu’hier?— Oui c’est vrai. Elle m’a vu quand je me branlais les yeux fermés. — J’avais envie de vous.— Tu crois que je n’ai pas envie de toi et de ta bite?— Et ton mari?— Laisse le où il est, en se moment il dit se payer sa secrétaire, une belle garce. Je le sais parce qu’il me l’a dit. On ne se cache rien.— Si on baise tu le lui diras?— Bien sur on ne se cache jamais nos plaisirs. Et puis assez parlé. Elle se lève pour venir contre moi. Je sens son corps chaud contre le mien. Je me penche à peine pour prendre sa bouche. Nos langues et nos salives se mélangent allègrement. Je pose une main sur sa cuisse, elle ouvre immédiatement ses jambes. Elle a la peau douce: je monte vers son string: je sens sa cyprine avant d’y être. Elle se soulève pour être nue. Je trouve facilement son bouton, bouton aussi chaud que le reste de sa chatte. Je la masturbe en voulant la faire jouir. Sans l’abandonner je pose ma langue sur la chatte. Je vais entrer dans son con. C’est un délice de goût et d’odeur. J’oublie son clitoris pour me consacrer à son vagin. J’y entre les doigts les uns après les autres. Elle écarte complètement son compas. — Oui, vas-y fistes moi.— Là où je suis?— Oui, pourquoi te voudrais mettre ta main en entier dans le cul.? Je n’ai jamais fais par derrière.— Il faut essayer. — Pas les deux à la fois.— Tu n’a jamais baiser avec une bite dans le con et l’autre dans le cul?— Si, c’est pas pareil.— Essaye avant.Elle se résout à le subir. Je me déshabille, elle prend ma bite dans la bouche. J’ai rarement eu une fellation aussi bien faite, avec sa langue, ses lèvres et ses mains, elle emploie toutes ses connaissances. Je ne lui dit rien jusqu’à la fin. Tout le sperme économisé depuis ce matin part dans sa bouche. Elle lâche ma colonne, tire sa langue pour monter ma semence, elle l’avale en une seule gorgée, avant de m’embrasser sur le bouche. Nos goûts se mélangent dans nos bouches. Je lui demande si elle a ne solution huileuse, j’en ai besoin pour le fistage double. J’enduite mes doigts de salive, j’y ajoute sa cyprine bien abondante:— Vite entre tes mains dans mes trous.— Doucement princesse. J’arrive, je commence par le premier. J’entre à ma façon, le poing fermé, formant une sorte de bite avec le pouce replié sur l’index plié, les autres doigts touchant la paume de la main. J’ouvre son entrée avec son aide. J’entre très doucement, petit à petit ma main pénètre entièrement dans son vagin. Je l’ai à peine mise qu’elle commence à gémir de plus en plus fort. Je force un peu pour entrer le reste; J’en suis au poignet, ma main a totalement disparu dans son ventre: elle ne gémit plus, elle commence à crier:— C’est bon, mon dieu que c’est bon, continue, même si je jouis, n’arrête pas, oui, c’est bon, même si j’ai mal. Je jouis. Je vais encore jouir.— Attends ce n’est que le début, je ne te l’ai pas encore mis dans le cul.— Tu ne vas pas oser, tu vas me défoncer l’anus.— C’est justement ce que je vais te faire.Je fais couler un peu d’huile sur son anus. Ma main est bien graissée. Je dispose mes doigts comme tout à l’heure. Je lui demande de bien ouvrir son cul, elle écarte les fesses à deux mains. J’ai juste la place pour deux doigts. Je commence par mettre le début du pouce pour ouvrir encore un peu son anus. Je sens qu’il s’ouvre gentiment. Elle doit se faire enculer souvent. Je force encore plus que pour son con. J’arrive après un bon moment de patience (comment ferait-on l’amour sans patience) enfin je suis en elle jusqu’à mon poignet. Je reste immobile un moment avant d’aller et venir. J’arrive doucement à lui mettre ma main et la moitié de mon avant bras. Alliée à mon autre main, elle la fait jouir longuement. Pour elle c’est une bonne découverte. Elle crie sans arrêt son bonheur d’être ainsi pénétrée. Je suis bien obligé de sortir de son ventre. Elle en voudrait encore. Comme je ne veux pas aller en elle une autre fois; je préfère attendre que tout entre dans l’ordre. Elle prend ma bite pour me donner une bonne sensation. Elle me branle encore mieux que moi. Un dernier baiser pour la route (j’habite à 30 mètres) et rendez vous demain plus tôt: elle veut jouir d’avantage. Je suis à sa disposition entière. Demain je commencerais
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