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La double sexualité de mon père.

Chapitre 1

Inceste
Récit tiré d’une situation réelle qui m’est arrivée récemment avec les mêmes protagonistes.
Je me présente, Aurélien 20 ans, hétéro en pratique, mais bisexuel dans l’âme ...
Mon père qui se prénommait Christian, était marié avec ma mère depuis une vingtaine d’années. Âgé de 45 ans, il continuait à être un mâle séduisant, même si avec ma mère, leur relation était parfois un peu tendue. Il lui arrivait parfois de ne pas rentrer à la maison le soir après son travail, prétextant passer la soirée avec des amis et qu’il préférait dormir chez l’un d’entre eux par mesure de précaution, afin de ne pas rouler sous l’emprise de l’alcool. Ma mère en avait maintenant l’habitude et ne lui demandait plus de se justifier.
Un jour, je rentrais à la maison plus tôt que prévu, ayant terminé les cours à une heure inhabituelle. Je le passais seul, mon père et ma mère devaient être à leur travail respectif. J’ai été surpris lorsque j’ai entendu la TV fonctionner. Je pensais à un oubli. Je me dirigeais donc vers le salon lorsque j’aperçus de loin sur l’écran un film gay. J’ai alors marqué un temps d’arrêt et en retournant ma tête vers le canapé, une surprise totalement inattendue. Mon père était en position de 69 avec un autre homme. Lui en dessous s’occupait de la verge de son ami, David, pendant que ce dernier plantait sa langue dans la rondelle plissée et bien ouverte de mon père.
Mais je dois avouer que cette scène ne me provoqua pas de dégoût, bien au contraire. Une certaine excitation commençait à naître dans mon boxer. Ma bite était en érection pendant que j’étais en train d’observer ces deux beaux mâles prendre du plaisir mutuellement. Je ne savais pas mon père bisexuel, mais ceci expliquait ses absences répétées. Les deux gémissaient sous leurs caresses buccales, l’excitation était à son maximum. Mon téléphone se mit à sonner, chose que je n’avais pas prévue. Les deux amants interrompirent leur jeu amoureux et mon père marqua un temps d’arrêt en me voyant les observer. Mes deux étaient assis sur le canapé, leurs queues raides qui pointaient. La situation le fit perdre mes repères. J’avais jusqu’à présent eu de relations qu’avec des filles, bien qu’il m’arrivait souvent de fréquenter des tchats gay et de regarder des films homos pour me vider. Il y a des moments dans la vie où l’irraisonnable prend le dessus.
Sans réfléchir et faisant abstraction des bonnes mœurs, je me suis approché d’eux et saisis chacun de leur membre dans mes mains. Je faisais de mon mieux pour les branler simultanément, décalottant leur gland turgescent de plaisir. Je voyais mon père pris d’une certaine honte, mais il se laissait envahir par le plaisir de l’instant, tout comme son ami. Leurs bites étaient bien raides, lourdes et magnifiquement veinées. Un vrai régal de les avoir en main. Je me mis alors à genoux et je commençais à lécher le pourtour du gland de l’ami de mon père. Mon père me caressait l’arrière de la nuque rejoint par les mains de celui que je suçais. Je m’occupais en alternance des deux glands. Le fait de savoir que je suçais mon père me faisait perdre toute la notion du temps. Progressivement, je prenais en bouche plus de cm de leurs bâtons, jouant avec leurs freins, malaxant et gobant dans le même temps leurs couilles imberbes.
Oubliant que j’étais son fils, mon père me planta vigoureusement son membre en fond de gorge, me faisait avoir un haut de cœur. Pour lui, je n’étais plus son fils, mais juste une salope bouffeuse de queues. J’avais salivé un maximum et c’était au tour de son ami de goûter à mon nouveau talent de suceur. Mon père me regardait faire avec envie tout en m’encourageant dans mes gestes. Comme pour mon daron, je lui lubrifiais la queue en salivant un maximum dessus.
Mes deux baiseurs de bouche me regardèrent, leur pine fièrement bandée et luisante en main, me déshabiller sensuellement devant eux. On voyait bien leur envie d’aller plus loin avec et en moi. Je ne pouvais plus faire marche arrière et je savais que mon cul vierge ne le serait plus à la fin de la journée. Mais quoi de plus beau que de se faire dépuceler par la queue de celui qui vous a donné la vie ? Les deux me crachèrent de gros molards au visage et dans la bouche.
Mon père me demanda si j’étais bien sûr de moi de vouloir sauter le pas, ce que je répondis par l’affirmatif avec ma tête et de lui demander d’être celui qui me fera découvrir le plaisir anal avec un homme. Je sentais que ça le rendait fier. Son copain m’installa à quatre pattes et le cul relevé vers lui afin qu’il me le prépare pendant que j’allais de nouveau astiquer le gros chibre de mon père. Je sentais mes deux globes s’écarter et une langue venir titiller mon œillet. J’essayais de me relâcher au maximum afin de permettre à cette langue de s’enfoncer au plus profond de moi. Il rentra le bout de sa langue, ce qui le faisait pousser un petit râle de plaisir tout en l’appliquant sur la queue que j’avais en bouche. Après dix bonnes minutes de léchage intensif de ma rondelle, il remplaça sa langue par des doigts qu’il avait au préalable lubrifiés. Ma rondelle était assez souple du fait qu’il m’arrivait souvent de me goder dans ma chambre.
Ses doigts, quatre en tout, fouillaient profondément ma grotte humide de plaisir. Je mouillais bien du cul et j’étais maintenant prêt à recevoir le mat de chair de mon père. Ses doigts froids distendaient mes chairs et me procuraient à chaque fois des frissons.
Mon père avait dans sa main un préservatif qu’il commença à dérouler sur son pieu. Je l’arrêtai, lui disant que ce n’était pas nécessaire, que je voulais le sentir palpiter au fond de moi sans protection. Je me mis au-dessus de ses jambes, lui faisant face et me tenant à ses épaules et je commençais à glisser le long de sa bite que David tenait à sa base. Son gland avait franchi les premiers centimètres de mon sphincter et la douleur s’accentua lorsqu’il fallait faire passer le corps du pénis. L’excitation aidant, je me fis glisser d’une traite, me provoquant une brûlure indescriptible que mon père essaya de calmer en me roulant une pelle bien baveuse. Sa langue langoureuse chercha la mienne et son haleine empreinte de sexe me faisait chavirer de bonheur, me faisant presque oublier la douleur.
Il profitait de l’occasion pour commencer ces va-et-vient dans mon boyau en ébullition, me faisant sentir ses lourdes couilles et fraîchement rasées contre mes fesses pendant que David écartait mon trou à son maximum pour faciliter mon enculage. La douleur s’estompa au fur et à mesure de son limage et je commençais à ressentir le réel plaisir qu’il me procurait. Je ne contrôlais plus rien, je m’abandonnais totalement à lui, il me faisait sauter sur sa bite et il déculait par moments avant de me la replanter d’un coup sec, me provoquant une onde de choc dans tout le corps. Mon père me faisait me mettre sur le côté, posa ma jambe gauche sur ses épaules et continua sa frénétique sodomie pendant que son compagnon de baise me proposa de m’occuper de sa teub. J’avais deux queues pour moi seul. On ne pouvait pas rêver mieux pour un dépucelage. Nos deux corps ne faisaient plus qu’un et sa queue faisait partie intégrante de moi. Nous étions tous les trois fusionnels dans la baise.
Mon père n’affichait aucun signe de fatigue, il était d’une telle endurance qui a dû combler ma mère pendant leurs ébats sexuels. Mais cette fois-ci c’était à mon tour d’être sa femelle. Je l’encourageais à me saillir comme une véritable pute et mes mots lui firent redoubler d’intensité.
Après une bonne demi-heure de labourage, il ralentit son rythme et proposa à David de prendre le relai dans mon cul. Lui-même ne prit aucune protection avant de me fourrer sa teub. Le travail de mon paternel avait fait son effet, il m’enfila sans trop de souci en levrette, malgré le fait que son gland était un peu plus volumineux. Mes deux étalons étaient membrés quasi similairement. Il me pénétrait de tout son poids, touchant ma prostate de son gland. Je m’accrochais tant bien que mal à la moquette pendant que mon père était en train de sucer la rondelle de David et le stimulait en lui pinçant les tétons. Mon papa était en admiration devant ce spectacle, sa bite raide comme la justice, ses deux énormes testicules pendantes et son gland gorgé de sang laissant perler quelques gouttes de precum sur le sol. Mon enculeur était lui aussi endurant. Quant à ma jouissance, elle se faisait de plus en plus proche et augmentait au rythme de son martèlement de mon anus.
Encore quelques va-et-vient et je sentis ma queue se contracter et dégorger une bonne quantité de sperme. Jamais je n’avais joui autant. Mon excitation était toujours bien présente. David me releva tout en me faisant cambrer et prendre appui contre le mur. Mon père et son ami alternaient leur visite dans ma chatte en laissant échapper un « plop » à chacune de leur sortie. Mon trou du cul devait être bien dilaté et endolori. Je n’étais plus qu’un trou à bites, ils profitent à fond de leur chienne, ne laissant aucun répit à mon conduit anal.
Mes jambes avaient du mal à me soutenir, nos corps ruisselaient de transpiration. Mes deux compères commençaient à montrer quelques signes de faiblesse, m’indiquant que leur jouissance était proche. J’étais à genoux entre mes deux hommes, alternant le pompage de leur teub et de leurs couilles. Pour me montrer encore plus salope, je les prenais parfois tous les deux en bouche, à me désaxer la mâchoire. Le contact de leurs deux engins dans ma bouche les excitait au plus haut point. Leur méat était abondant. Chacun me tenait la nuque avec une main m’obligeant à m’empaler jusqu’à leur base. Dans un râle bestial, les deux queues, dans un ultime assaut, tressaillir et se raidir et leur gland déversèrent une rasade impressionnante de foutre épais, crémeux et chaud en plusieurs giclées au fond de ma gorge. Je me délectais de leurs jus et j’avalais le plus que j’ai pu relâchant le surplus par terre.
Je leur tirai les dernières gouttes et nettoyais leurs bites des traces de sperme comme un affamé. J’étais impressionné de leur endurance et de leur faculté à rester bander. Mon père m’embrassa à pleine bouche pour me remercier. C’était un honneur pour moi de lui faire ce cadeau. Nous nous affalions tous les trois sur le canapé en totale transpiration. Le salon sentait le cul et la bite. Je me suis blotti entre les deux. Mon anneau culier restait béant et les braquemarts de mes amants gardaient une rigidité impressionnante, tout comme la taille de leurs bourses, semblant encore pleines, ce qui me fit penser qu’ils avaient encore de la réserve pour une seconde partie de baise torride.
Ils n’en avaient pas encore terminé avec moi. Ils m’installèrent à genoux entre eux deux en le demandant de garder la bouche grande ouverte. Leurs pines pointaient dans ma direction et ils se mirent à m’uriner dessus. J’avais maintenant le droit à une bonne douche de leur nectar doré. Je me délectais de l’urine qui venait s’abattre dans ma bouche de suceuse en essayant d’en boire la plus grande quantité possible. Ce mélange de sperme et de pisse dans ma bouche me rendait fou. Ils me regardèrent d’un air vicieux en rigolant. Je me sentais totalement dégradé(e) et souillé(e), mais j’étais en plein kiff.
Ma relation intime avec mon père ne faisait que commencer pour le plus grand plaisir de chacun ...
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