Je me prénomme Paul, j’ai 28 ans, suis brun, sans barbe ni moustache, un mètre soixante douze pour 78 Kg, commercial export dans l’électronique. Je suis marié et nous avons un petit garçon de deux ans. Mon épouse travaille et on ne peut pas dire que nous soyons dans le besoin. Nous venons de prendre un pavillon en proche banlieue. Maison sympa, quartier sympa et un joli jardin. Nous sommes séparés des voisins par un grillage et partiellement des haies de fusains. Les voisins sont plutôt des voisines, veuves et âgées. L’une des voisines, Noémie, est une mamie de 86 ans, cheveux poivre et sel, un mètre soixante cinq avec un corps bien proportionné. Ce printemps elle est en blouse et vieilles mules dans son jardin, tout le temps a désherber, planter, tailler … D’ailleurs pour tailler, c’est la bavette qu’elle taille le mieux nous entreprenant sur tout ce qui fout le camp et le ‘ou vas-t-on ?‘ souvent en fin d’après midi ou le week end. Et puis c’est sympa cette voisine qui vient chercher un œuf ou un oignon lorsqu’elle a oublié d’en prendre assez. Nous lui taxons tantôt un peu d’huile ou des herbes de son jardin. L’autre samedi mon épouse était partie chez sa mère avec le petit. Je peux pas saquer la vioque et je restais don seul à la maison. Vers dix heures le téléphone sonne. La voisine ? : ‘Monsieur mon voisin j’ai un service a vous demander.‘ … ‘Oui ?‘ … ‘ Je suis bloquée, je ne peux pas me lever, je suis assise dans le salon.‘. Nous avons les clefs, juste au cas ou, je fonce chez elle. Elle est en chemise de nuit de coton, assise sur une chaise, près du téléphone, dans son salon. Je cherche une solution puis entreprend de la mettre debout. Une fois à la verticale elle m’explique qu’il serait mieux qu’elle soit dans son lit et que le médecin lui a prescrit des trucs et qu’il y a des pommades qu’elle a pas pu s’appliquer elle même. Je l’aide péniblement à monter à l’étage et l’allonge sur son lit. Je ne l’avais jamais détaillé. Visiblement il lui manque un sein. Ses chevilles ne sont pas très épaisses mais ses pieds sont assez vilains, un peu déformés. Elle me regarde comme un animal blessé. — ‘Vous voulez que je vous mette votre pommade ? C’est ou ?‘. Dans le dos ?! Je l’aide à ôter sa chemise de nuit. Elle n’a effectivement qu’un sein, gros et lourd, pendant jusqu’à son sexe dans cette position assise. Elle n’a pas de culotte et en l’aidant à s’allonger je vois son sexe encore velu. Puis je la tourne, elle est nue, sur le ventre et son cul me fait grave envie. Je lui met de la pommade et m’applique à faire pénétrer l’onguent en lorgnant sur son cul. Je pense qu’elle n’est pas dupe et me dit : ‘Christine va vous gronder de m’avoir tripoté.‘. Je lui explique que lorsque je raconterai, je zapperai ce détail pour éviter tout problème. Une fois que j’ai fini de la soigner, je la redresse et lui enfile sa chemise de nuit puis l’allonge doucement en profitant de toucher son sein au travers du tissus. Ensuite je la couvre et téléphona à son fils pour qu’il se pointe fissa.Le mercredi suivant elle a besoin de moi pour changer une ampoule et pour régler son magnétoscope. Le week end suivant elle vient tailler mes rosiers. La vie continue.
Deux mois plus tard, Christine part avec le petit chez une tante dans le midi. Je suis de nouveau seul. Mon épouse a demandé à la voisine de me surveiller pour que je ne fasse pas de bêtise. Le soir même du départ de ma Chérie je suis invité à dîner chez la voisine. Elle a une blouse bleue à fleurs et deux boutons sont détachés laissant apparaître son sein. A chaque fois qu’elle va dans sa cuisine je me touche la queue au travers de mon jean. Après le repas elle veut jouer au Scrabble. Je cherche des termes sexuels juste pour rigoler. La tisane à la fleur d’oranger me rappelle mon enfance. Elle gagne facilement et je joue l’indigné, moi je suis plus fort aux cartes. Elle rigole, se lève, trottine jusqu’à un buffet et extirpe un jeu de carte du tiroir. ‘Alors on joue à quoi ?‘ … Sans réfléchir je dis belote. Je prend vite le dessus et suggère d’intéresser la parte. Elle est d’accord si il s’agit de gages. Son premier gage consiste a faire le tour de la table à cloche pied. Le second a imiter une poule … On rigole et elle me sert un digestif … Du coup, le troisième gage pompé sur les soirées fondues c’est ‘tout nu dans l’escalier‘. Je la laisse gagner et je me déloque avant de monter quelques marches mais quand je me retourne j’ai une trique infernale. Elle me considère gravement puis dit : ‘Vous avez fait exprès de perdre !‘. Je suis penaud, embarrassé … J’avoue. Elle sourie et déboutonne sa blouse : ‘alors j’ai perdue aussi.‘ Elle monte les marches qui nous séparent et nous voilà en plein baiser langoureux. Putain, une gonzesse de 86 piges m’explose ! Je ne me pose pas de question existentielle et nous voici au lit. Je fais l’Amour à une Femme de plus de 50 ans mon aînée et j’aime. Nos corps fusionnent, je ne sais pas pourquoi. Je trompe une femme de moins de 30 ans qu’elle, une cochonne qui m’explose la bite, se déchaîne avec moi pour me repaître de cette peau fripée, ce ventre mou et ce sein amputé … ! Putain Paulo, tu déconnes ?! Après avoir vidé mes couilles je me pose des questions, je culpabilise, je me renferme. Merde c’est quoi ce trip ? J’ai moins de trente piges et je suis en train de foutre en l’air mon couple pour un vieux trou dont je n’ai rien à foutre. Quoi que ?!
Noémie regrette, du moins elle le dit et moi je culpabilise comme un con … Le lendemain, invité par mes parents, je rentre tard, il y a de la lumière chez Noémie, je lui fait l’Amour encore. La semaine s’est passée ponctuée d’éjaculation dans cette maîtresse. Christine est revenue, l’omerta a servi tout le monde … Trois ans ont passé sans rien. Charles, le fils de Noémie téléphone un soir, Catherine a pris l’appel, c’est grave, sa mère va pas bien, il arrive. Nous sommes déjà chez la voisine, elle est vautrée sur le sol, l’odeur est insupportable, elle s’est chié et pissé dessus. Catherine m’aide a la monter à l’étage, Noémie continue de se chier dessus. Mon épouse est à son chevet tandis que je fais le ménage. Charles se pointe et fait une remarque sur une tâche restée sur le sol. Je coince le con et le baffe. Le lendemain Chris est d’astreinte en attendant le toubib. Lorsqu’elle rentre à la maison, elle explique : ‘Noémie va être admise dan une maison, tu connais son con de nain ? J’ai promis que nous serons là jusqu’à son départ.‘. Je sais pas trop. Le soir, il faut coucher Noémie, Chris est avec moi, nous la changeons, … elle a fait ses besoins et mon épouse ne supporte pas ça, pour elle s’est synonyme de dégueuler. Je nettoies bien avec le coton et du truc pour bébé ? Samedi matin, Chris qui ne se doute pas de mon infidélité me dit d’aller laver la voisine. Noémie est dans son lit, je me penche sur elle, elle ouvre les yeux et me fait un grand sourire. Je descend à la cuisine lui faire un thé puis lui monte son petit déjeuner. Une fois qu’elle a terminé je l’aide à se lever et atteindre la salle de bain. Je la dénude et l’assois sur le chiotte. Elle se met à chier et ça m’excite, je sors ma queue et lui enfile dans la bouche, elle suce goulûment. Elle a fini de caguer j’interrompt la fellation et lui torche les fesses. Au passage je lui glisse un doigt. Ensuite je l’aide à se mettre dans la baignoire et entreprend de la laver. Je la savonne partout et insiste entre ses cuisses. On rince le tout et j’entreprend de lui laver les dents. Enfin je la sèche et la reconduit dans sa chambre, je choisi des vêtements et l’habille mais je prend soin de ne pas lui mettre de culotte. Enfin je l’aide à descendre et je l’installe dans un transat de son jardin en la positionnant pour voir sous sa blouse de chez moi. Je rentre à la maison, je suis très excité, j’en informe mon épouse.
Elle rigole, l’autre voisine est partie à la campagne et personne ne nous verra du jardin, nous allons nous éclater sous les yeux de Noémie. Je positionne Cath qui agrippe le grillage mitoyen et je vois que Noémie a relevé ses jambes et les a écarté pour me donner une vue imprenable sur son sexe. Le petit est dans sa chambre et ne nous entendra pas, je pénètre l’anus de ma chère et tendre à la hussarde. Elle gueule. Je m’active en matant l’entre jambe de la vioque. Catherine se trémousse et jouie rapidement. — Bouffe moi la queue !‘. Elle se met à genoux et m’engouffre, Noémie s’est glissée la main entre les jambes et se branle, ma femme me pompe comme une pute jusqu’à ce que je lui crache mon jus dans la bouche. La voisine a l’air déçue … Catherine me dit qu’elle va aller la finir. Trois minutes après Noémie est nue et Catherine lui bouffe la chatte. Notre voisine jouie assez vite et veut bouffer Cathy. Ma môme se fait brouter la fente par la vieille. — ‘Viens‘ Dis-t-elle. Lorsque je les ai rejoint elle me demande si j’aurais envie de baiser Noémie. J’ai repris vigueur. Nous aidons Mamie a quitter le transat et nous l’installons par terre. Je la baise tandis que mon épouse m’encourage en me flattant les fesses. J’ai envie du cul de Mémère, je lui remonte ses jambes sur mes épaules et change de trou. Catherine : ‘Mais tu l’encule mon cochon !‘. Je démonte le fion de Noémie et l’embrasse sur la bouche, elle a le goût de Catherine, putain que c’est bon. Soudain je sens un doigt glisser dans mon cul, je tiens plus, je me vide dans l’intestin de mon amante puis me retire. Catherine ne veut rien perdre et lui bouffe le cul. Nous sommes rassasiés. Je regarde mon épouse, elle sourie … — ‘Comme ça tu ne te prendra pas le choux pour me cacher que tu l’as déjà baisée !‘ m’assène Cathy. Le lundi matin une ambulance est venue chercher Noémie pour l’amener dans une maison. Nous avons promis de lui rendre visite le week end suivant. Nous n’avons pas pu … Noémie nous avait quitté.
