Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 164 J'aime
  • 9 Commentaires

Douce séduction

Chapitre 1

Inceste
Je voudrais confesser une envie qui devient de plus en plus pressante et en même temps embarrassante.
Divorcée et habitant seule, avec ma fille, nous vivons depuis quelque temps dans un climat de plus en plus érotique.
Si depuis toujours notre impudeur totale l’une envers l’autre était naturelle et était liée à notre éducation, aujourd’hui cela doit beaucoup plus à l’exhibitionnisme qu’à un simple mode de vie.
Mais quand cela a-t-il commencé à dégénérer ?
C’était un peu après ma dernière séance d’épilation définitive chez mon esthéticienne préférée. (Une splendide brune de 25 ans.)
Je m’étais rendu compte que ma fille venait presque systématiquement à la salle de bain lorsque je faisais ma toilette. Je savais qu’elle avait toujours aimé et envié ma poitrine, un 95 D que je porte tels des obus et souvent libres d’entraves, mais j’avais compris qu’il s’agissait d’autre chose. Intriguée, je l’avais observée en coin lorsqu’elle me rejoignait et je m’aperçus qu’elle était fascinée par mon minou redevenu, grâce au laser, une chatte de petite fille.
Tous les prétextes étaient bons à son observation. Y compris de venir faire pipi à la salle de bain alors qu’une autre toilette est disponible un étage plus bas.
Ou de grimper dans la douche sous prétexte de me frotter le dos.
Vers la même époque, il y avait eu mon anniversaire et elle m’avait offert un peignoir, très court, et dont le haut, en tulle ne cachait pas grand-chose de mes seins. Je compris évidemment, pourquoi elle avait choisi un modèle aussi court et aussi pourquoi elle se levait désormais aussi tôt que moi pour prendre ensemble le petit-déjeuner.
J’étais très fier que ma jolie fille trouve sa mère si attirante et c’est ainsi qu’inconsciemment et pour son plus grand plaisir, j’ai commencé à en rajouter.
Nous étions en été, mes bains de soleil intégraux devinrent de plus en plus fréquents et toujours lorsqu’elle était à la maison. Presque toujours, elle venait s’asseoir près de moi, pour discuter entre filles ou lire ses cours. Elle ne s’allongeait pas, mais s’asseyait nue sur une chaise du côté de mes pieds afin d’avoir, j’en suis certaine, la plus belle vue possible lorsqu’elle me parlait. D’ailleurs, depuis quelque temps elle ne croisait plus jamais les jambes, que du contraire... J’en profitais pour l’examiner aussi et me faire câliner. C’était ma chère fille qui étendait, de plus en plus lentement je dois dire, l’huile solaire à chacune de mes expositions (c’est le cas de le dire) au soleil.
Un matin, elle est descendue dans un tee-shirt dont elle venait d’aérer’ le haut afin de laisser apparaître ses jolis petits seins. Alors que je souriais gentiment de son enfantillage, la question fusa. Elle avait rassemblé tout son courage et me demanda : « Maman, puis-je aussi m’épiler à l’orientale comme toi ? » Je lui répondis qu’elle était un peu jeune pour l’épilation définitive, mais que je lui offrais la première séance de ‘cire’ chez mon esthéticienne. Ensuite, si elle ne changeait pas d’avis, ce serait sur le budget de son argent de poche. Elle fut enchantée de ma réponse.
Elle m’apporta mon portable et je pris rendez-vous pour le lendemain.
Lorsque Esther arriva dans son petit tablier blanc ultra-court, dim-up et haut tallons blancs, ma fille était encore dans sa chambre. Nous en avons profité pour prendre l’apéritif à nous deux. Il faut dire que nous sommes devenues amies depuis mes 9 séances d’épilation définitive. Elle est superbe mon esthéticienne préférée. Bien sûr épilée, jamais de petite culotte quand elle vient chez moi et tout à fait partante pour tout. Avec cela des superbes seins, presque aussi gros que les miens et terriblement fermes vu son jeune âge. Son truc à elle ce sont les pénétrations extrêmes. Elle adore le champagne, je me demande si ce n’est pas davantage pour pouvoir jouer avec la bouteille que par goût œnologique.
J’avais donc préparé une bouteille dans le seau à glace. Après nous avoir servi un verre, elle me demanda si elle pouvait examiner ma chatte. Sorte de service après-vente, me dit-elle. Comme je portais une minijupe en cuir et pas de culotte, je n’eus qu’à écarter les jambes. Elle examina ma chatte et mon anus en détail. Esther ne put s’empêcher de commencer à me lécher goulûment le clito.
Je partis en vrille directement, depuis le temps que je me faisais allumer par ma fille et que je freinais mes envies. Lorsqu’elle eut fini, je me rendis compte que ma fille était dans la pièce, elle avait vu sa mère jouir et arroser de jus le visage d’Esther. J’ai cru décerner un brin de jalousie dans son regard, mais elle fit la bise à Esther directement avec engouement, sans même lui laisser le temps de s’essuyer le visage avec un kleenex.
Esther étala une grande serviette de bain sur le canapé d’en face et alluma le chauffe-cire. Ma fille, sans aucune pudeur, se déshabilla, plutôt lentement et en me regardant. D’ailleurs nos regards n’allaient plus se quitter pendant toute la séance. Elle prit du plaisir malgré (ou à cause) la douleur, elle tenait à me faire partager cet instant. Je pense que par cet acte elle voulait redevenir petite fille, pour me plaire davantage.Esther quant à elle était enchantée d’avoir une aussi jeune patiente, cela la changeait des bourgeoises de 60 ans. J’étais assise en face d’elles et Esther s’était très bien arrangée pour que chaque fois qu’elle se baisse, son tablier d’infirmière ne cache rien de son intimité luisante de plaisir.
Diffuse en direct !
Regarder son live