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Douce vengeance, amère récompense

Chapitre 2

Divers
Lundi matin, j’arrive angoissée mais triomphante au bureau. C’est tout moi ça. Toujours dans le doute. Quoi qu’il en soit, j’ai décidé malgré ma promesse, de ne pas rendre les photos à Valérie. J’ai trop aimé la soumettre à ma volonté. Comme je sens qu’elle n’est pas encore brisée. Je décide de m’y atteler. Un week-end de réflexion m’a permis de savourer cette première victoire. Je ne veux pas m’en contenter. Je veux gagner la guerre, pas une simple bataille.
J’en parle à Dario, qui n’émet pas de résistance. Apparemment, cette soirée lui a plu à lui aussi. Philippe m’en veut. Ce n’est pas grave, ça passera.
Valérie reste la tête basse toute la semaine et plusieurs collègues s’en étonnent. Je garde aussi profil bas pour rester discrète. Mais j’ai hâte d’être au week-end.
Enfin vendredi soir ! Philippe est sorti au cinéma seul. Il ne sait rien de cette soirée. Nous avons trois bonnes heures devant nous. Nous buvons une coupe de champagne avec Dario, en attendant Valérie. Ça y’est ! On frappe à la porte. Dario met sa cagoule. Je fais entrer Valérie. Elle ne dit rien. C’est bien. Elle commence à connaître sa place, cette garce. Cette fois, c’est moi qui commande.
— Tu vas commencer par me lécher les pieds à nouveau. J’ai chaud, je n’ai pas eu le temps de me doucher.
Elle me regarde haineusement mais s’exécute. Dario se trouve derrière elle. Il reluque son cul depuis un bon moment. Je vois une bosse dans son pantalon. Ça me déçoit. Mais je ne peux lui en vouloir. C’est vrai que Valérie est une très belle femme. Et en ce moment elle est à quatre pattes devant lui, avec une jupe courte sans culotte, comme nous le lui avons ordonné. Il ne peut s’empêcher de lui coller les mains aux fesses. Valérie sursaute puis se reprend et continue de me lécher les pieds.
— Sara, commence-t-il, je n’en peux plus de voir ça. J’ai envie de … enfin ! Tu vois quoi. — Non, dis-je ! On était bien d’accord là-dessus. — Mais, s’il te plaît ! Qu’est-ce que ça change à présent ?— Non, c’est…— Alors laisse tomber ! Je m’en vais. Ça suffit pour moi !
Paniquée à l’idée de le perdre et de me retrouver seule avec Valérie je réfléchis à toute vitesse.
— Bon ! Mais pas comme ça.
Je reprends un peu d’assurance.
— Tu as entendu espèce de chienne, lancé-je à Valérie. Tu vas rester bien sage et faire ce qu’on t’ordonne.
Dario sourit et s’assied sur le canapé. Son masque toujours sur le visage. Il baisse son pantalon et sort son sexe, épais et dur. Il lui fait signe de s’approcher. Valérie me supplie de n’en rien faire. Elle s’excuse pour tout ce qu’elle m’a fait. Des larmes lui coulent sur les joues. J’ai l’impression que la soirée m’échappe.
— Suce moi connasse, lui ordonne Dario.
Ça va trop loin. Mais je ne sais que dire et je n’en reviens pas que Dario ose s’exhiber ainsi devant moi. Je reste néanmoins assise à côté de lui, terriblement excitée. Les lèvres de Valérie se posent sur son sexe en érection et l’engloutissent progressivement. La scène dure plusieurs minutes et j’en ai la culotte mouillée. J’ai envie de me masturber mais je n’ose bouger. Puis Dario pousse un long râle et je comprends qu’il est en train de jouir dans la bouche de Valérie, qui se retire vivement et se retourne. Une étrange sensation s’empare de moi. Je suis partagée entre le dégoût et l’envie. Dario se relève, remonte son pantalon et me sourit.
Cette soirée m’a tant émoustillée que je fais l’amour à quatre reprises avec Philippe durant le week-end.

Pourtant, en arrivant au bureau lundi, je ne suis pas fière. Je suis consciente d’avoir exagéré avec Dario et Valérie. Nous avons abusé sexuellement d’elle. Nous l’avons violée en quelque sorte. J’ai peur. Peur qu’elle nous dénonce.
Elle est déjà à sa place lorsque j’arrive. Je pensais qu’elle se porterait malade. La regarder me rend mal à l’aise. C’est encore pire lorsqu’elle me sourit narquoisement. J’ai l’impression qu’elle a repris le dessus. Elle ne me fait aucune remarque et je m’angoisse, seule dans mon coin. Dario, lui, est absent. J’en suis plutôt soulagée. En fin de journée, Valérie vient vers moi et pose un billet sur mon bureau.
— Dans trente minutes. Au café du coin de la rue. Seule.
Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit. Ce message m’étonne. Que peut-elle vouloir me dire ?J’en aurais le cœur net. Elle va sûrement me menacer de nous dénoncer aux flics si on recommence.
Au café, je la retrouve au fond de la salle. Dario est avec elle. C’est donc bien ça, elle va nous menacer. Il a pourtant l’air détendu. Je m’assieds en le regardant du coin de l’œil. Son sourire ne me met pas à l’aise.
— Eh bien ! Commence Valérie. Tu croyais vraiment t’en tirer comme ça ?
Devant mon silence, elle enchaîne.
— Tu vas nous écouter bien gentiment maintenant. — Je…— Tais-toi ! tu n’as rien à dire ! Crois-moi !
Je reprends mes habitudes face à elle et baisse le regard. Dario prend la parole.
— Tu n’as quand même pas cru que j’allais faire ça à Valérie pour assouvir ta vengeance ? J’ai toujours su que tu étais naïve, mais là tu frises la bêtise. Comme tu vois, Valérie et moi sommes ensemble. Elle m’a donc simplement fait une fellation vendredi soir. Comme tant d’autres fois. Cette fois, tu regardais, c’est la seule différence. Par contre, tu n’as certainement pas fait attention à la petite caméra que j’avais posée sur la table, toute occupée que tu étais à me regarder me faire pomper. Nous avons donc une jolie vidéo dans laquelle un homme masqué, ton conjoint, abuse et viole une fille devant toi malgré ses supplications. Manifestement, cette situation te plait et tu diriges même la scène. Je pense que cela peut bien valoir quelques mois de prison, si ce n’est plus. Pour toi et ton Philippe.
Abasourdie, je ne trouve rien à dire. Valérie enchaîne, un sourire victorieux aux lèvres.

— Dorénavant, les rôles sont inversés. Tu recevras nos instructions et tu obéiras, au doigt et à l’œil. Tu me comprends bien ma chérie ?
Je suis sous le choc. Je ne sais que dire. Mon cerveau ne peut pas réfléchir. J’ai l’impression qu’un gouffre béant s’ouvre devant moi. Je suis prise. Je ne vois pas d’échappatoire. Après ce qui me semble une éternité, je ne peux que bredouiller un misérable oui.
— Très bien ! Et pour commencer, tu vas rentrer chez toi, te déshabiller et te masturber jusqu’ à ce que ton copain rentre. Il doit te surprendre. Par contre, tu ne dois pas faire l’amour avec lui. Interdiction totale. Si tu désobéis, nous le saurons. Rappelle-toi quelles pourraient en être les conséquences.
Je rentre donc chez moi et j’obéis. Je me déshabille complétement et je m’installe totalement nue sur le sofa. Philippe ne devrait pas tarder à rentrer de son jogging. Je n’en ai pas du tout envie, encore choquée par ce qui vient de me tomber dessus et la manière dont la situation s’est retournée, mais je commence à me masturber. Je me caresse doucement, l’esprit ailleurs. Je n’arrive pas à croire à la trahison de Dario. Ce n’est pas possible. Comment a-t-il pu me faire ça ? Depuis le temps que je le connais. Cette sorcière de Valérie à réussi à le retourner contre moi.
J’introduis machinalement un doigt dans mon sexe quand la porte s’ouvre. Je n’ai même pas eu le temps de réfléchir à ce que j’allais dire à Philippe tant mon cerveau fonctionne mal et tourne en boucle.
— Eh ben ! Wouah ! C’est ce que j’appelle un accueil ! S’exclame-t-il.
Il faut que je réagisse vite et bien.
— Je n’en pouvais plus de t’attendre. Notre week-end était si … mmm…comment dire ?
J’essaie d’avoir l’air coquin avant de rajouter.
— Malheureusement je me suis laissée aller et j’ai aussi un peu froid. Je vais aller prendre une douche chaude. — Mais…
Je ne lui laisse pas le temps de continuer.
Philippe essaie bien de venir me rejoindre sous la douche, mais je lui fais comprendre qu’il ne doit pas insister. Je ne sais pas trop s’il prend ça pour un jeu ou s’il est un peu vexé. Je crois que pour l’instant je ne m’en suis pas trop mal sortie. Je me sèche lorsque mon téléphone vibre. Je regarde et mon cœur fait un bon dans ma poitrine. C’est Dario !
— Trouve un prétexte pour sortir ! Dans dix minutes.
Je panique. Je m’habille en vitesse. Philippe est assis au salon. Je lui dis en empoignant mon sac à main que j’ai malheureusement oublié mon téléphone au bureau et que je vais le chercher. J’en ai pour une petite heure. J’espère que ça suffira.
Dario m’attend devant mon immeuble.
— Bonjour Sara ! Tu vas bien ?
Quelle phrase ! Comment ose-t-il ? Je le gifle.
— Ce n’est pas bien ça ! Pas bien du tout ! Tu vas devoir le payer. — Espèce de salaud immonde. — Allons, allons. Ne monte pas sur tes grands chevaux. Tu seras moins fière dans quelques minutes.
Je n’ai rien à répondre. Seul mon mépris doit se lire sur mon visage. Dario m’emmène à sa voiture, de l’autre côté de la rue. Je m’assieds sur le siège passager.
— Très bien. Qu’est-ce que tu attends ?— Comment ça ? — Descends mon pantalon ! Je trouve que tu parles trop. Je vais te donner de quoi te taire.— Que je… Non ! Dario, s’il te plaît. On n’est pas obligé de faire ça. S’il te plaît !— Tu parles trop décidément ! Se contente-t-il de dire.
J’ouvre donc sa braguette sous laquelle se trouve une grosse bosse dure, puis je descends son pantalon et son caleçon rouge. Son sexe se dresse d’un coup. J’ai le visage à une vingtaine de centimètres et je sais ce que je vais devoir faire. Je n’en ai aucune envie. Dario appuie doucement sur ma tête et, malgré une brève mais inutile résistance, je me laisse guider. Mes lèvres se déposent sur son sexe et j’ouvre la bouche pour laisser son gland s’introduire en moi. Il est chaud et dur. Je le suce pendant quelques minutes comme ça, en espérant ne pas me faire surprendre. J’ai terriblement honte en sentant ce sexe pénétrer au fond de ma gorge. Je commence à en craindre l’issue. Cela ne manque pas d’arriver. Encore quelques coups de langue et Dario éjacule dans ma bouche. Je sens son sexe se contracter et les giclées de sperme me donnent la nausée. Il anticipe ma réaction.
— Tu ne craches rien. Tu te retires lentement et tu me montres ce que tu as dans la bouche.
Je m’exécute. J’ai la bouche ouverte devant lui, remplie de son sperme qui commence à couler par les commissures de mes lèvres.
— Très bien ! Reste encore un peu comme ça. Ça te va merveilleusement bien et je veux en garder un souvenir.
Il sort son téléphone.
— Là ! Ne bouge pas.
CLIC CLAC !
— Avale tout maintenant.
J’ai un haut le cœur en sentant cette substance me couler dans la gorge. Il me laisse partir. J’attends encore une dizaine de minutes avant de rentrer chez moi rejoindre Philippe qui a sûrement envie de me faire l’amour et que je vais repousser tant j’ai honte de moi.
Le lendemain, je ne vais pas travailler. J’ai dit à Philippe que je ne me sentais pas bien. Il est parti pour plusieurs entretiens d’embauche sans rien dire, toujours vexé d’avoir été encore repoussé. Je m’allonge sur mon sofa et commence à penser à un moyen de me sortir de cette situation. Il faut que je récupère la vidéo et aussi, idéalement, la photo d’hier soir.Je ne tiens pas en place, je me lève, me rassieds, me coule trois cafés. Je ne trouve pas de solution.Je m’apprête à sortir pour me changer les idées quand mon téléphone vibre. Un message de Valérie.
— Pourquoi n’es-tu pas au bureau ? Après ce que tu as reçu hier soir, tu devrais être en forme !
Mon téléphone vibre à nouveau.
— J’attends une réponse…
Quelle salope ! Elle se repait de mon humiliation. Dario a dû lui raconter, et pire, lui montrer la photo. Je me contente d’écrire :
— Je suis malade, j’ai de la fièvre.
Réponse immédiate.
— Peu importe ! Ce soir, on vous baise tous les deux ! Prépare ton copain. Il va passer une soirée inoubliable. On sera chez toi à 22h.
Ce n’est pas possible. Je m’étrangle en lisant ça.
— Non, s’il vous plaît ! Ne faites pas ça. Je ferais tout ce que vous voulez. — Tu fais déjà ce que l’on veut ! 22 heures, porte ouverte…
J’angoisse le reste de la journée. Je n’ai pas d’alternative. Je dois tout avouer à Philippe. Libre à lui d’accepter ensuite. Je me ronge les ongles jusqu’au sang quand enfin, vers 18 heures, Philippe rentre.
— Salut chérie ! Me dit-il avec un grand sourire. Manifestement, il m’a pardonné.
Devant mon mutisme et mon air défait, il s’approche et m’embrasse.
— Quelque chose ne va pas ?— Je… non. Enfin oui. C’est horrible ! J’ai… on va…
J’éclate en sanglots. Il me faut bien dix minutes pour me reprendre. Je lui explique la situation depuis le début, en omettant la fellation dans la voiture. Mon cœur se fend devant son silence et son air abattu, quand enfin il se reprend.
— Ce n’est pas possible. On ne peut pas laisser faire ça. Allons tout balancer à la police. — On ne peut pas. J’y ai déjà réfléchi. Pas après ce qu’on a fait à Valérie. Et sur la vidéo, la police pensera que tu es l’homme masqué. Ils ne nous croiront jamais. Les preuves sont de leur côté.
Nous parlons à peine pendant l’heure qui suit. Philippe tourne dans le salon comme un lion en cage. Par moment il frappe le mur, quand enfin il me dit :
— Je t’avais prévenue que c’était une mauvaise idée, et cette enflure de Dario. Je vais lui casser la gueule. Je ne le ferai pas ce soir, mais il ne perd rien pour attendre. — Alors… qu’est ce qu’on fait ?— On est bien obligé d’obéir… pour l’instant.
À 22 heures. Personne. 22h30, toujours personne. Il est 23 heures. Philippe commence à croire que c’était un canular et se détend un peu.23h30. La porte s’ouvre d’un coup. Valérie et Dario entrent chez nous sans demander la permission. Je les regarde d’un air méchant, les poings serrés. Sara est derrière moi.
— On se détend mon gros ! Me lance Dario. On ne vous veut que du bien. — Espèce d’enflure, je vais te...— Allons, du calme ! T’emballes pas. Tu n’as que deux choix. Tu obéis ou pas. Tu connais les conséquences n’est-ce pas ?
Je me tais, les mâchoires crispées. Je vais obéir, pour l’instant, mais j’aurai ma revanche.
— Très bien ! Voilà qui est dit, continue Dario. A toi ma chérie.
Valérie s’avance, regarde notre appartement un long moment avant de parler.
— Philippe, tu vas t’asseoir là-bas sur le sofa, et tu enlèves tes vêtements, sauf ton caleçon. Sara, tu restes ici et tu te déshabilles lentement, de manière provoquante.
Je m’exécute et Sara aussi. Nous voilà bientôt tous les deux en petite tenue. J’ai envie de frapper ces deux personnes et en même temps de voir Sara se déhancher maladroitement me donne envie de la prendre.
— Enlève ta culotte maintenant, dit Valérie à Sara.
Sara s’exécute et se retrouve nue, les mains devant le sexe. Elle est rouge de honte.
— C’est bien ! A quatre pattes ! Et pose ta tête sur le sol que l’on voit bien ton cul.
Valérie s’adresse alors à moi.
— Et toi maintenant ouvre grands tes yeux. Tu vas voir ta femme se faire baiser devant toi.
Je me lève d’un bon. Mais Valérie s’approche de moi et me repousse sur le sofa. Elle s’assied à côté de moi et met sa main dans mon caleçon.
— Et toi Sara, pendant que Dario te sautera. Tu pourras me regarder m’occuper de ton mec.
Valérie n’y va pas par quatre chemins et je me retrouve la queue dans sa bouche. J’avoue que je trouve ça excitant et pour tout dire… délicieux. Mais au moment où ce salopard de Dario s’agenouille derrière Sara et qu’elle se crispe d’un coup, j’ai de la peine à tenir et j’ai envie de tout exploser. Sara doit être dans un état similaire au mien puisque des larmes roulent sur ses joues couleur cendres. Je peine à réaliser à ce moment qu’elle voit son ennemie en train de sucer son mec en se faisant prendre par son ami qui l’a trahie.
— Arrête de le sucer, lance Dario. J’ai envie qu’il vienne voir de près quand je vais enculer sa copine.
Cette phrase horrible me secoue et je vais bondir mais je sens une pression des dents de Valérie sur mon sexe qui me retient comme un chien au bout de sa laisse. Quand elle me sent calmé elle me lâche et m‘oblige à approcher de Dario, qui, au cri que pousse Sara vient sûrement de s’introduire dans son anus. Je dois rester là, à côté de ma femme qui se fait enculer en sanglotant, à regarder le va et vient de cette ordure. Enfin, mais puis-je le dire ainsi ? Il pousse un râle et je comprends qu’il est en train de jouir. Ces quelques secondes me semblent une éternité. Je vois finalement son sexe humide ressortir de ma chérie. Il se relève et va se rhabiller. Je crois en avoir fini quand Valérie me dit d’attendre ici, à quatre pattes.
— Sara ma chère, commence-t-elle. Tu vas maintenant t’accroupir et laisser ressortir l’offrande de Dario. Et toi Philippe, tu vas regarder.
Je suis brisé, humilié, obligé de regarder la semence de ce mec sortir de ma femme. Une petite flaque s’est répandue sur le parquet. Sara est autorisée à se relever mais pas moi.
— Maintenant, tu lèches, ordonne Valérie. — Non ! Hurle Sara. — C’est le dernier cadeau que l’on vous offre et les réjouissances seront terminées, vous serez libres, dit Dario. Profitez-en !
Je suis écœuré. Même avec mon sperme, il ne me serait jamais venu à l’idée de faire ça. Je ne peux pas. Je m’avance néanmoins. J’ai le visage à quelques centimètres à peine, mais je ne peux pas. C’est plus fort que moi. Un pied se pose sur ma tête et me donne l’impulsion finale. J’ai les lèvres qui baignent dans le sperme de cet homme.
— Avale tout on t’a dit.
J’ouvre la bouche et lape le sperme par terre sur mon parquet. Je lèche tout et suis pris de soubresauts. Je me précipite aux WC en vomissant sur le trajet.
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