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Douce vengeance et soirée rocambolesque

Chapitre 1

Un début de soirée assez spécial

SM / Fétichisme
Ce texte est une grande première pour moi dans le monde de l’écriture, je pense plus écrire par besoin d’écrire que par besoin sexuel, mais après tout, pourquoi ne pas allier les deux !Sur ce, bonne lecture et surtout... soyez indulgent, j’attends vos retours. ;)

Vendredi soir, encore une journée de boulot épuisante pour l’homme blasé que je suis... 30 ans et déjà fatigué d’une vie que je trouve morne et sans intérêt, ou plutôt sans goût. Après quelques années d’études que j’ai eues avec mention, je suis entré dans le (fameux) cercle infernal de l’emploi, qui nous fait bosser le plus possible pour espérer nous faire clamser avec la retraite... enfin... je dis ça, mais évidemment, je m’y plie comme je peux, après tout, puis-je, comme tant d’autres, y faire quelque chose ?
Quoi qu’il en soit, il est vers les vingt heures quand je décide, enfin, d’éteindre ce maudit PC, qui me détruira très certainement les yeux avant que ma patronne m’accorde cette incroyable promotion au poste de sous-larbin en chef, quoique, ce n’est pas très compliqué...
Je suis assez acide avec ma chère «supérieure hiérarchique», car celle-ci, cette chose, cette immondice, cette petite raclure qui à mes yeux ne vaut pas mieux qu’une vermine (du type bourdon asiatique, mais en plus maléfique) est horrible. Pas dans le sens laide, non, elle est assez sexy d’ailleurs, un petit cul bien ferme, des petits seins bien proportionnés, des yeux... bref, vous voyez le tableau. Le problème, le GROS problème, c’est qu’elle est incroyablement dédaigneuse, snob, d’une arrogance à faire pâlir les meilleurs politiciens des temps modernes. Elle ne peut s’empêcher de lancer des remarques tout simplement abjectes à ses employés, très certainement afin de maintenir une sorte de «domination psychologique», sur ces derniers.
La dernière fois, elle me faisait encore la remarque sur le fait que je ne m’habillais pas de façon assez «classieuse» (à lire avec un accent de pimbêche). Je me suis évidemment retenu de lui éclater à la figure, lui arguant que je travaillais uniquement sur mon ordinateur en bureau, donc que personne ne me voyait, et que je ne comptais pas donner du travail aux mini-esclaves de Xi Jinping qui ont officiellement trente-deux ans et qui, biologiquement (donc véritablement), en ont huit.
A cause de tout cela : cette peste, ma routine, mon poste, je commençais à en avoir sérieusement gros sur la patate. Ajoutez à cela mon caractère assez volcanique et mon régime sexuel digne des plus grands moines tibétains (AKA l’abstinence forcée par manque de demoiselles), eh bien on se retrouvait avec quelqu’un qui n’en avait plus rien à foutre, et qui était à ça de partir devenir un shamane dans les steppes de Mongolie.
C’était sans connaître le destin, ce petit blagueur qui avait autant, sinon moins, de maturité que mon petit cousin, et ce pour mon plus grand plaisir.
Ce fut en passant devant les toilettes de la société pour me rendre vers l’ascenseur, je pensais alors être le dernier dans l’étage, que j’entendis de petits bruits. Le lecteur perspicace aura sans aucun doute compris de quoi il s’agissait, mais continuons, pour le fun ! J’essayais de me concentrer pour détecter d’où pouvaient provenir ces petits bruits animaliers. Quand mon petit côté chauve-souris m’apprit qu’ils provenaient des toilettes pour dames, je me mis en tête d’aller «jeter un coup d’œil», qui sait, peut-être qu’une pauvre employée faisait un malaise en ce moment même ! Un malaise qui paraissait, certes, bien agréable, mais un malaise tout de même ! «Quel héros !» devez-vous vous dire, je sais, je sais, mon héroïsme (ou érotisme) n’a pour égal que ma fulgurante humilité !
Je décidai donc de très délicatement pousser la porte de ces toilettes, la petite dame pourrait faire un infarctus en plus de son malaise si je lui faisais trop peur, ce serait dommage... Mais quelle ne fut pas mon bonh... hum hum... horreur en voyant ma patronne, assise sur le lavabo, les cuisses largement ouvertes, en train d’enfoncer la tête de la pauvre petite stagiaire de 18 ans entre ses jambes. Je fus tiraillé entre :
1: Regarder l’avancement de la manœuvre avec du pop-corn.2: Aller chercher masque et tuba pour tenter de sauver la pauvre petite d’une noyade certaine.
Dans mon grand altruisme, je préférai sortir mon portable pour prendre un petit souvenir de cette fortuite rencontre, une petite vidéo quoi ! Tandis que j’enregistrais ces moments devant lesquels nous rigolerons, tous ensemble, dans un lointain futur, ma patronne s’en donnait à cœur joie !
Alors que la petite Amélie, bien que dégoutée semble-t-il, faisait de son mieux pour lécher la fente de la diablesse, cette dernière ne cessait d’enfoncer cet enfantin visage dans son con, tout en l’insultant copieusement :
— Plus profond ta langue ! Plus ! Oh oui c’est bon comme ça, t’es une bonne pute toi hein, tu vas boire toute ma mouille comme une gentille petite soumise, hein ma petite chienne ? Réponds !— Oui Madame, j’espère faire de mon mieux.— Tu le veux ton poste ? Tu vas bien t’appliquer à me lécher la foufoune et à faire tout ce que je te dis. Dirige ta langue vers mon petit trou.
La petite Amélie n’avait pas l’air très contente de ce qui semblait être sa première expérience lesbienne, et lui lécher le cul ne l’enchantait guère.
— Madame, pitié non, pas ça, j’ai un petit copain.— Lèche je t’ai dit petite pute, et remercie-moi !— Mais...
Une paire de gifles vola.
— Bien Madame, merci...
Je vis la petite langue dessiner de petits ronds autour de l’anus de la patronne, de plus en plus petits, avant de s’engouffrer dedans. La petite mettait du cœur à l’ouvrage et léchait bien, comme pour le nettoyer.
— Vas-y ma chienne, enfonce bien ta langue dedans, lèche-moi bien le cul, ouiiiiiiiiiii.— Oui Madame !
Elle commença à la pénétrer avec sa langue par le cul, la patronne gémissait très très fort, tout l’immeuble aurait pu l’entendre. Elle prit alors la petite par les cheveux et poussa l’humiliation plus loin encore en imprimant des mouvements de va-et-vient sur le visage de la petite. Cette dernière ne faisait rien pour se dégager et faisait tout pour faciliter les desseins de sa maîtresse. D’ailleurs, de là où j’étais, je pouvais voir qu’Amélie mouillait un peu, elle aimait être utilisée comme sex-toy, la saaaaaaaalooooope.
— Alors ma petite pute, t’aimes ça ?— Oui Madame ! répondit Amélie, les joues rouges de honte.— Et de quoi ! Fais des phrases !— J’aime être votre petite pute.— Et tu aimes faire quoi avec ta langue pupute.— J’aime être une chienne docile et boire votre mouille Madame.— Et avec mon cul ma petite gouine ?— J’aime vous lécher la rondelle pour la rendre bien propre.— Qu’est-ce que tu es devenue, dis-moi ?— Une petite gouine soumise...— Tu aimes ça ?— Oui, beaucoup Madame...— Et ton petit copain ?— Eh bien...— A partir de maintenant, tu lécheras plus de chattes que tu ne suceras de bites, est-ce clair ?— Oui...— Mets-toi à quatre pattes petite pute.
Amélie se pencha au sol et se mit dans la position désirée, elle tendit bien la croupe et creusa bien le dos, elle voulait être obéissante, à croire qu’elle était née pour être soumise, je réprimais un ricanement, à ma plus grande honte. Cependant, je ne pouvais le nier, la docilité de la petite stagiaire me faisait bander fort, très fort même.
— Maintenant ma petite chienne, tu vas me lécher les pieds pour bien montrer ta soumission pour ta maîtresse.
Amélie tenta, semble-t-il, d’opposer une vaine opposition...
— Mais Madame...— Quoi ???— Je ne suis pas lesb...— Ta gueule ! Tu es ce que je te dis d’être, tu es à moi ! Compris ?— Oui...— Tu es quoi ?— Une lesbienne...— Et tu préfères lécher de bonnes chattes pleines de mouille ou sucer des bites, dis-moi ?— Lécher des chattes...
Et comme pour appuyer ces mots, elle commença à docilement suçoter un orteil, je voyais ses lèvres entourer l’objet et le sucer comme s’il s’agissait d’une verge, l’enfonçant le plus profondément possible. Puis, elle prit le pied à deux mains et entreprit de le lécher la plante du talon aux orteils, avant d’y revenir pour les remettre dans sa bouche. Elle regardait alors sa maîtresse dans les yeux, très certainement consciente du degré de soumission dont elle faisait preuve.
— Tu vois, ce n’était pas si difficile.— Oui Madame.— Tu es une petite soumise tu sais, et je sais que tu aimes ça, avoue !— Eh bien...— Avoue.— Oui j’avoue ! J’aime être traitée comme une salope... mais pas avec une femme, je préfère les hommes.— Eh bien, tu apprendras à référer les femmes maintenant ! Allez, retourne sucer mon clito.
Bien docilement, Amélie revint sucer le petit clito de sa maîtresse qui la remercia d’une petite tape sur la tête, comme on le ferait pour un animal de compagnie docile.
— Regarde-moi !
Amélie sortit son petit visage recouvert de fluides et surtout de mouille pour voir ce que voulait sa maîtresse, ne se doutant pas de quelle nouvelle lubie pouvait bien lui être passée par la tête.
— Ouvre la bouche ma petite chienne.
Consciente qu’elle devait satisfaire celle qui la dressait, cette dernière suivit l’ordre. Elle reçut un crachat que sa dresseuse lui intima d’avaler. Elle obéit à l’ordre abject et ouvrit la bouche d’elle-même pour montrer son obéissance, en fin de compte, peut-être était-elle fière ?
— Alors, tu aimes ça ? — J’aime me soumettre... maîtresse...— Dès que je t’ai vue, je l’ai su. Je vais faire de toi ma nouvelle esclave sexuelle, tu seras mon nouveau sex-toy. Dis que tu en es contente.— Je suis contente que vous m’utilisez pour vous nettoyer la chatte et le cul maîtresse.— C’est bien, je vois que tu fais des efforts ma petite pute et... mais bordel Philippe, qu’est-ce que vous foutez, reposez ça immédiatement !
Elle était en train de devenir rouge comme une pivoine et tenta de se cacher tant bien que mal tandis que moi, tel un Batman français, je faisais mon apparition dans cette drôle d’histoire.
— Désolé patronne, je me suis envoyé la vidéo de vos exploits par mail, par «accident;» vous savez ce que c’est les mails... on peut pas les supprimer... dommage... Quoi qu’il en soit, vous abusez de vos stagiaires et...Ô doux Jésus, mais bordel de merde...— Quoi ?— Vous m’expliquez pourquoi ses yeux sont complètement dilatés ???
Je connaissais déjà la réponse, mais ne voulais pas y croire. Comment cette catin pouvait en être arrivée là??? Et moi qui me demandais comment la pauvre Amélie pouvait être devenue aussi soumise en une soirée...
— Eh bien ceci, mon cher Philippe, ceci, c’est... heu... et bien... voyez-vous...— Oui, je vois très bien !!! Et vu ses pupilles et ses facultés cognitives dignes d’un Pikachu de niveau 5, la petite Amélie ne doit pas bien voir, elle !!— Eh bien c’est... heu... le futur !!!— GNEIN ? Le futur, mais putain, qu’est-ce que vous me sortez encore ??— Eh bien, mon cher Philippe, notre entreprise est en réalité une firme de... heu... la CIA qui développe... mmmm... des...
Mais elle me prend vraiment pour un con en fat, bon là, elle déblatère son monologue, j’ai envie de lui en foutre une et...à bah merde, elle était tellement insupportable que je lui en ai foutu une sans m’en rendre compte. La faute à pas de chance.Je décide donc d’enjamber le Bulbizare qui me sert de patronne, qui est pour l’instant KO, pour aller secourir le Pikachu qui est en plein débat sur l’immigration des tagliatelles dans la péninsule Italique, avec son reflet dans le miroir...Bordel, la soirée va être trèèèès longgguueee je sens...
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