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Douceur maternelle

Chapitre 1

Inceste
J’ai toujours été attirée par les hommes. Cela n’a jamais fait aucun doute pour moi, je suis hétéro. Et j’ai de la chance, j’ai du succès avec les hommes. J’ai 25 ans, et je profite d’être une jolie petite rouquine pour arriver à mes fins. Toutefois, en ce moment, je suis célibataire. J’ai eu besoin de prendre un peu de distance ; le boulot, les rencontres, les amis, les loisirs... difficile de tout gérer en même temps. L’été approchant, je n’avais toujours pas de plan pour les vacances. Donc quand ma mère m’a proposé de venir prendre du repos dans sa maison de campagne, j’ai fini par dire oui, faute de mieux. Évidemment, ce n’est qu’après une semaine de solitude que j’ai réalisé que ces vacances étaient un peu monotone. Certes, ma mère possédait une jolie maison, isolée en bordure de forêt, ce qui était idéal pour le calme et les promenades, mais je m’ennuyais un peu. J’avais, heureusement, la jouissance de la piscine, rafraîchissante en cette période de canicule. Un après-midi, tandis que je bronzais sur un transat, ma mère me proposa donc d’aller me baigner, et j’acceptais car le soleil tapait fort. Vêtue d’un simple maillot deux pièces noir, j’entrais avec soulagement dans l’eau fraîche, suivie par ma mère. "Elle est bonne non ?" me demanda-t-elleJe me retournais pour lui répondre, mais avant que je puisse ouvrir la bouche, j’eus comme un énorme coup de soleil soudain : pour la première fois, je regardais ma mère sous un oeil nouveau, et je n’arrivais pas à me défaire des pensées qui tempêtaient dans mon crâne. Ma mère avait alors la cinquantaine, une femme à la peau mate, aux cheveux sombres, plutôt mince, mais dotée d’une belle poitrine, retenue par un bandeau. L’eau était fraîche, et je devinais ses tétons dressés à travers le tissu. Malgré l’eau froide, je sentais mon bas ventre se réchauffer. Je tentais de me reprendre, mais ma mère se rapprochait de moi, sans doute amusée de me voir bégayer."Ma chérie, tu as dû prendre chaud, tu es toute rouge", rit-elle
"Oui maman, sans doute", dis-je en tâchant de cacher mon embarras.Nous nageâmes en silence quelques minutes. J’avais un mal fou à ne pas laisser traîner mon regard sur son corps. Heureusement, rapidement ma mère se lassa, et me dit qu’elle retournait se laisser sécher sur son transat. Je passais les quinze minutes suivantes à nager en me concentrant sur mes mouvements. Je sortis à mon tour de la piscine, et retournait sur la terrasse, où m’attendait un magnifique spectacle. Ma mère était allongée sur le dos sur son transat, entièrement nue, son maillot de bain roulé en boule par terre sur les dalles. Sa peau humide luisait des rayons du soleil, et je me sentis de nouveau extrêmement excitée. Ma mère m’entendit arriver."Ma chérie, j’espère que cela ne te gène pas, j’avais vraiment envie de faire disparaître mes marques de bronzage, mais si tu pouvais aller chercher la crème solaire quand même, parce que sinon je attraper des coups de soleil à des endroits sensibles !" rigolait-elle.Je me hâtais d’aller chercher la précieuse crème, et une idée germa dans ma tête. Je revins vers la terrasse, et je m’accroupis à côté du transat de ma douce maman. "Je vais te l’étaler maman, ne t’en fais pas", lui dis-je
"Enfin ma chérie, non, je vais le faire, ça n’est pas bien compliqué" protesta-t-elle.Mais j’avais déjà recueilli une bonne quantité de crème blanche dans le creux de mes mains, et je commençais à lui étaler sous la gorge. Elle semblait tenue, mais elle se relaxa rapidement sous mes gestes experts. Je prenais mon temps, mais lentement, je me rapprochais de son décolleté. J’entendais son souffle s’accélérer un peu, et, encouragée, je commençais à appliquer la crème sur le bords de ses seins du plat de la main. Sa poitrine était souple, un vrai bonheur, même si elle avait quand même cinquante ans. Je me disais que j’espérais avoir une aussi belle poitrine à son âge. Ma mère gardait ses yeux fermés, mais elle laissa échapper un petit gémissement tandis que je laissais mes doigts s’aventurer sur un téton, puis sur les deux. Ils se dressèrent alors que je les faisais rouler entre mes doigts. "Ma chérie... qu’est-ce qui te prends ?" me demanda-t-elle"Tu es belle maman, j’ai juste envie de te faire du bien..." lui répondis-je.Ostensiblement, elle avait écarté légèrement les cuisses alors que je lui prodiguais mes caresses. Je délaissais alors un de ses magnifiques seins pour glisser une main vers son entrejambe, que je découvris moite et chaude. Je roulais mes doigts sur son clitoris durci, elle gémit de plaisir.Je l’embrassais à pleine bouche, sa langue venant répondre à la mienne, ses mains m’enveloppant, glissant sur mes hanches, mes seins, puis je sentis sa main dans ma culotte de maillot, son majeur se glissant dans ma fente. Elle se redressa soudain.
"Laisse-moi te procurer du plaisir ma chérie, tu es tellement magnifique... tu le mérites..." me dit-elle.Elle me fait m’allonger au bord du transat, les jambes écartées après que j’ai ôté mon maillot de bain, les pieds sur le sol, et entreprit de s’agenouiller entre mes cuisses. Rapidement, elle commença un cunnilingus magistral, comme je n’en avais encore jamais connu. Sa langue experte s’affairait tantôt sur mon clitoris, puis elle entrouvrait ses lèvres pour embrasser mon sexe comme s’il s’agissait d’une bouche, sa langue pénétrant mon vagin. Je prenais un plaisir encore inégalé. Après une dizaine de minutes de ce traitement, j’eus un orgasme puissant, qui me laissa haletante pendant quelques secondes. Sans dire un mot, je me redressais, et demandais à ma mère de se mettre à quatre pattes à ma place. Quand ce fut fait, je me plaçais derrière elle, admirant ses courbes, ses seins pendants sous elle, et je caressais ses fesses offertes. Enfin, je commençais à la besogner avec deux doigts. Elle était tellement humide, je glissais sans difficulté dans son vagin. Elle baisait ma main en reculant son adorable cul.
"Oh oui ma chérie, continue, c’est tellement bon !" me disait-elle."Baise bien ma main, maman, déhanche-toi" lui demandais-je.Quand son vagin fut bien écarté, j’introduisis un doigt de plus, et lui limait la chatte avec application. Elle appréciait. Je me penchais alors sur elle, et tandis que je la baisais de la main, je me mis à la peloter. Je pinçais ses seins doux, les malaxait... Enfin, je la sentis se raidir, puis jouir bruyamment. Je ne retirais ma main qu’après avoir fini de ressentir les dernières pressions de sa paroi vaginale sur mes doigts.
Nous nous embrassâmes longuement après cela, savourant ce moment tabou qu’aucune de nous ne regrettait. Les vacances s’annonçaient bien.
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