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La douche

Chapitre 1

Gay
Week-end de Pâques, je pars en randonnée avec ma moto. Seul! Ma femme n’aime pas ça ! Le rendez-vous de départ est prévupar le club organisateur dans un café, à 15 kilomètres dechez moi, ce samedi matin à 7 heures.
Accueil, poignées de mains, présentation, café, et à 8heures 30, heure du départ, nous sommes quatorze personnes,onze hommes et trois femmes (passagères sans doute) poursept motos. Nous voilà jetés sur les routes pour les troisjours du week-end…
Par les belles petites routes de provinces, sinueuseset pittoresques à souhait, nous avalons sans peine les500 kilomètres prévus pour la journée, entrecoupés, bienentendu, de pauses boisson/pipi et du repas de midi. A 19 h 15 environ, nous arrivons au gîte d’étape. Les organisateursont bien fait les choses… Une petite auberge noyée dansla verdure, le long d’un ruisseau qui passe dans le beaujardin de l’hôtel. Les chambres sont propres et accueillantes.Nous occupons les sept chambres de la maison, l’hôtel estdonc rien qu’à nous. Cool ! Étant donné que ce sont des chambres de deux personnes,je suis curieux de voir avec qui je passerai ces deux nuits.Je suis le premier dans la chambre et je m’aperçois qu’ily a un lit à deux places. En égard au fait que je suis bi (mais
ça ne se voit pas, bien sur) cela ne me dérange pas outre mesurepourvu que le partenaire soit propre et sympa, auquel casça pourrait plutôt me plaire…
Mon compagnon de chambre fait son apparition. Il s’étaitprésenté comme Claude, quarantaine, sympa, ouvert, yeuxbleus, petit ventre sous le cuir noir et les joues mangéesde barbe naissante. Il se montre étonné qu’il n’y ait qu’ungrand lit mais, avec un sourire, il me dit : « Bah ! A la guerrecomme à la guerre ! ». Repas du soir en commun dans la grande salle, très gai etde bonne qualité. Vers 22 heures, on se quitte et tout lemonde rejoint les chambres. Demain, rendez-vous à 8 heuresen bas pour le petit-déjeuner. Quand j’arrive dans la chambre, Claude est déjà dans lasalle de bains et j’entends couler la douche. Je me mets en slip afin d’être prêt à y aller à mon tour.
Lorsqu’il sort, je m’aperçois de deux choses : d’abordqu’il est entièrement nu (et pas mal foutu) et qu’il a lesexe rasé à part un petit trapèze inversé sur le pubis. Toutnaturellement, il va et vient dans la chambre en faisantce qu’il a à faire, son sexe de bonnes proportions ballottantentre les jambes et qui, s’il attire mon regard, ne m’intéressepas autant que les deux belles fesses bien rondes et cambrées(rasées aussi) et qui lui font quasiment un cul de fille…Et ça, j’aime !

Quand je reviens de la salle de bains, j’ai mis un mini-slipqui met en valeur la taille de mon sexe… enfin je crois. Lui,il est allongé, nu, sur le lit et il lit un magasine de motos.

Je m’étends à côté de lui, sans le toucher, et me couche surle ventre pour lui cacher mon érection naissante, due àcette nudité étalée sans complexe.

Au bout de quelques minutes, je l’entend poser le magasine.Il se tourne dans le lit et me demande : « Après 500 kilomètres,tu n’as jamais de tiraillements ici ? » et en même temps,il pose doucement la main sur le creux de mes reins. Ça mefait comme une décharge électrique…et je crois qu’il s’enaperçoit…. Mais il n’en laisse rien voir.
« Bah si, quand même un peu… lui dis-je… et je rajoute, perfidement: mais c’est vrai que la chaleur de ta main me fait du bien !
Il remonte doucement la main jusqu’à mon cou, en une longuecaresse, et me dit : « et là ? Aussi ? »… Ce à quoi je répond :« oui… tout le dos ! ». « Attend, je vais t’arranger ça ! » etil commence à me palper, caresser et frôler le dos, trèsdoucement et très lentement… Je suis aux anges. Sa main, au creux de mon dos, dévie un peu vers le côté et j’aià nouveau une décharge électrique voluptueuse qu’il nepeut ignorer. D’ailleurs, il insiste et passe d’un côtéà l’autre et provoquant ces sensations.
Il revient au creux de mes reins et entame une caresse circulairequi, bizarrement, s’agrandit à un point que parfois, unou deux de ses doigts viennent se glisser sous l’élastiquedu slip.
Le mouvement s’élargissant, c’est bientôt la main quipasse sous le tissu et qui n’en sort plus. Il me caresse lesfesses et un doigt glisse, au passage et sans doute par hasard,dans la fente médiane. Je tourne la tête vers lui et il mefait un sourire : « bouge pas… Laisse toi aller ! ». Je ne demandeque ça… et je laisse aller…

Un doigt maintenant s’insinue entre mes fesses et vientme taquiner la rondelle… Hmmm ! C’est boooon ! Je lève lebassin pour qu’il puisse mieux avoir accès et il en profitepour me baisser le slip, mais comme celui-ci accroche monsexe en érection, il doit aller le faire glisser et en profitepour me le palper… Il me retire le slip et je suis nu, commelui.

Il vient me chevaucher les jambes et, se penchant sur mondos, m’embrasse les épaules et me caresse de la langue.Celle-ci se fait tantôt dure, tantôt molle, dessine descercles puis repart en ligne droite et couvre tout le hautdu dos avant de descendre le long de ma colonne vertébrale.

Arrivée aux hanches, elle s’égare de droite et de gauche,me déclenchant de véritables décharges électriques,puis, revenant au centre, elle reprend vers le bas de suivrela colonne vertébrale.

Elle arrive maintenant au sillon fessier et s’insinueentre les deux globes. Il s’est reculé en descendant etses mains me malaxent les fesses en les écartant, ce quipermet à la langue de descendre jusqu’à la rosette.

Je gémis de bonheur lorsqu’il y arrive et qu’il commenceà me l’agacer avec des mouvements tournant, parfois dela pointe de la langue (qui s’insinue un peu dans mon petittrou) ou parfois, la langue devenant toute molle, d’unegrande caresse langoureuse et large.

Je profite d’un moment où il se redresse pour glisser unoreiller sous mon ventre et offrir encore plus mon postérieurà ses caresses. Sensation froide… Il me met du lubrifiant…j’en suis certain… On va passer aux choses sérieuses.

Effectivement, je sens quelque chose me pénétrer doucementet en tournant… Il m’a mis un doigt, sûrement. Son doigtrentre doucement, commence des mouvements tournantsqui m’arrachent des râles de plaisir… Aie ! Là, ça a faitmal ! Bon, il a rentré un deuxième doigt… Un peu de patience…La douleur ne va pas continuer…

Effectivement, le mal se dissipe et le plaisir revient,plus impétueux encore !

Mon œillet doit être tout dilaté maintenant… J’appréhendeun peu ce qui va se passer car au repos, son sexe me paraissaitdéjà bien proportionné… Je ne l’ai pas vu bandant mais j’aiun peu peur…

Les doigts s’en vont et je sens la taupe approcher du terrier…

Mes appréhensions étaient vaines… Là où deux doigts passaient,son sexe rentre sans forcer et je le sens m’investir le ventre,sans douleur mais avec des pulsations de plaisir intense.

Il commence un lent va-et-vient, très doux et de faibleamplitude, toujours le sexe bien au fond de moi… J’en ronronnede bonheur…

Puis il ressort presque, à ma grande déception mais c’estpour mieux m’empaler d’un coup, brutalement, et je sensses couilles cogner contre moi en même temps que j’ai lasensation qu’il va me transpercer…

Puis il reprend ses mouvements lents et doux pour tout àcoup recommencer son assaut brutal que je finis par attendreet espérer… Ses mouvements commencent à s’accélérer etje sens palpiter sa queue au fond de moi… Sa jouissance approche…Je le sais…. Je le sens….Je l’attends…
Ses mouvements deviennent de plus en plus rapides et demoins en moins réguliers…. Ils se désorganisent sous l’influencede son plaisir qui monte et il ne contrôle plus aussi bienses gestes…

Soudain, il se crispe sur mes épaules, rentre tellementson sexe en moi que j’ai l’impression que ses couilles vontsuivre et une sensation brûlante m’inonde l’intérieur,déclenchant en moi une folle vague de volupté…

Il s’écroule sur moi, inerte, comme le cheval mort de lachanson de Johnny…

Je ne bouge pas et je goûte cet instant délicieux ou noussommes liés l’un à l’autre, par sa queue et par le plaisir…

Un long moment se passe, uniquement marqué par le bruitde nos respirations…

Puis il se redresse, me fait une longue et tendre caressesur le dos avant de tirer sur mon épaule gauche pour me fairecomprendre que je dois me retourner… Ce que je fais… Maisalors, ma queue tendue à tout rompre se dresse dans toutson orgueil… Et sa bouche plonge immédiatement pour l’engouffrer.

Après en avoir avalé la majeure partie, il la ressort etdu bout des lèvres, me décalotte le gland et sa langue, sihabile et si agile recommence son jeu de « langue molle,langue dure » selon l’endroit où elle passe… Pointue ettendue quand elle m’agace le filet, elle devient largeet molle pour entourer le gland d’une vaste caresse mouillée…C’est un véritable délice…
Je veux le caresser, lui rendre un peu de ce plaisir qu’ilme donne mais il me dit, à nouveau : « ne bouge pas… Laissetoi faire… ». Puis il enfonce de plus en plus mon sexe danssa bouche… Je viens lui caresser le fond du palais avec mongland… Je sens le plaisir commencer à se rassembler dansmes couilles…
Il a dû le sentir aussi… Il quitte ma bite et se met à genouxsur moi…
Il avance à genoux en me chevauchant et quand il est à bonnehauteur, il se redresse, présente ma bite à son petit trouet s’empale de lui-même sur mon sexe qui rentre sans problème,comme une épée dans son fourreau.
Commence alors la chevauchée fantastique et comme il estface à moi, je peux lire sur son visage tous les sentimentsde plaisir, de bonheur et de jouissance qu’il ressent…C’est encore plus érotique et je sens que je ne vais pas tenirtrès longtemps…
Il doit le sentir aussi car il me chevauche à une cadenceinfernale et très vite j’explose en lui en longues gicléesbrûlantes qui semblent ne plus devoir finir….
Il reste droit sur moi pour garder le plus longtemps possiblemon organe en lui et c’est seulement bien après, quand jecommence à débander, que ma bistouquette sort de lui etse recroqueville entre mes jambes…
Il se couche sur moi et nous nous lançons dans un grand baiserpassionné où les langues ne restent pas inactives, enlacéstous les deux et ne faisant plus qu’un pendant un long moment…
Nous nous rendons enfin à la salle de bains et nous prenons,ensemble, une douche ou l’un lave l’autre, non sans agacerieset caresses multiples… Dois-je dire que je profite de mamain savonneuse pour lui explorer l’entre-fesses…à songrand plaisir d’ailleurs….
Puis nous nous retrouvons au lit et je viens lui coller ledos, bien serré contre lui, encastrés l’un dans l’autrecomme des petites cuillères, ma main sur son sexe au reposet c’est ainsi que nous nous endormons…
Si nous ne bougeons pas de la nuit, me connaissant et connaissantmes érections matinales, il risque d’y avoir du sport encoreau réveil…
Mais, d’ici là, dormons…
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