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Douleur et plaisir ébènes

Chapitre 1

Acte I : renoncer

Gay
Acte I : Douleurs et plaisir ébène
Depuis combien de temps étais-je attaché dans ce coffre de voiture ? Depuis quand tout cela avait-il commencé et dans quelles circonstances ? Nous sommes vendredi en fin d’après-midi. Ma femme et les enfants prolongent leurs vacances sur la côte atlantique. Je décide de finir au plus vite les dossiers en cours pour foncer ensuite à la salle de cross fit que je fréquente régulièrement et finir la soirée dans un bar libertin du XVIe arrondissement parisien, un endroit confidentiel, mais une charmante collègue m’y a introduit il y a quelques mois. Elle m’accompagnera ce soir pour aller au bout de nos limites. Je suis prêt à explorer ce nouvel aspect de ma personnalité.
Je suis donc en plein rush pour finir rapidement les dossiers en cours. Les bureaux sont presque déserts. Un homme de ménage passe dans mon bureau avec l’aspirateur qui fait un bruit d’enfer. « Ce n’est pas possible, il n’a pas de matériel encore plus bruyant !! » Mais moi, j’ai besoin de concentration. « Il va bientôt finir !!» Je l’ignore, mais lui montre mon agacement. Il revient quelques minutes plus tard pour vider les poubelles et nettoyer les bureaux. Je suis seul dans l’espace de travail et je lève finalement les yeux sur lui pour lui montrer mon impatience : « Qu’il finisse vite ou je l’explose !! ».
C’est un beau black à la peau ébène et aux lèvres pulpeuses. Il est grand et musclé. C’est sûr qu’il ferait une forte impression s’il était ce soir à ma partie fine parisienne. Trop énervé et pris par mon travail, je lui hurle de partir : « Bon, c’est fini ce bordel ! Tu peux pas faire ce boucan plus tard !! Merde !! Y en a qui travaille ici !! Dégage !! » Il me regarde alors fixement d’un air sévère. Il fait un pas vers moi, ses muscles se tendent puis se ressaisit et sort de la pièce sans me quitter du regard et sans rien répondre.
Les heures passent et à 19h30, je boucle mon dernier dossier, ferme mon ordinateur portable et me dirige vers les ascenseurs donnant l’accès au sous-sol où est garé mon coupé d’une grande marque allemande.
Personne dans les couloirs, personne dans l’ascenseur. J’atteins le 3e sous-sol. Je passe alors dans le couloir où se trouve le local ménage. La porte est entrouverte, et après une hésitation, je décide de rentrer pour m’excuser de mon attitude auprès de l’employé de tout à l’heure. Il est en train de se changer. Il a enlevé sa combinaison et ne porte plus qu’un boxer de coton blanc qui dessine parfaitement son anatomie. J’apprécie les beaux corps, et cet homme possède vraiment tous les attributs d’un Appolon.
Je n’ai pas eu le temps de m’excuser dans ce petit local exigu, que l’homme me tire de ma rêverie par un coup de pied porté au ventre qui me plie en deux et m’envoie à terre le souffle coupé. Ensuite, une baffe monumentale vient compléter le tout. « Qu’est-ce que tu viens faire dans mon local ? » me hurle-t-il. Il tient sa revanche, « Tu ne vois pas que tu me déranges !! ».
Je suis à terre, il est penché sur moi, une jambe de chaque côté. Il me bloque, toute fuite est impossible. L’homme n’est vêtu que de son boxer blanc et je ne peux m’empêcher de fixer son chibre de belle taille qui épouse parfaitement le tissu de coton. Il le remarque, rigole bruyamment. « C’est ça que tu regardes; c’est pour ça que tu es entré ici; c’est ça que tu veux, hein !! Salope !! » Je suis toujours le regard, penché sur son entrejambe; et il m’est impossible de lui répondre si ce n’est que quelques balbutiements incompréhensibles, mélange d’excuses et de confusion.
Il me prend par les cheveux et me traîne dans le fond du local puis va fermer la porte de l’intérieur. « C’est mieux comme ça, on sera plus tranquille ! » Il revient vers moi, je suis toujours sonné à terre. Mon costume est en vrac, et ma chemise est défaite. Il prend mes cheveux et plaque ma tête contre son boxer. Ma bouche touche son gland et mon nez s’enfonce dans l’abondance de ses poils pubiens. « Voilà, respire bien l’odeur de l’homme, mon gars, tu vas kiffer ta race, salope ! Tu la ramènes moins, maintenant, hein, Monsieur le Cadre supérieur !! Tu vas y goûter à la bite de Black ! Elle va t’exploser la gueule, bâtard ». Il enlève alors son boxeur d’une main, l’autre me maintient dans cette position servile. Son sexe, désormais en érection, m’explose à la figure. Il est de très belle taille, avec un diamètre également appréciable. Les testicules sont bien rasés. Le gland est épais et noir.
— Ouvre ta gueule salope et pompe mon dard !
J’hésite, mais cette expérience nouvelle et libertine me trouble. Une gifle appuyée vient me sortir de ma torpeur. « Alors sale pute, tu vas l’ouvrir ta gueule ? » J’ouvre doucement la bouche, l’homme ne bouge pas, il me présente son sexe en érection. Il attend que ce soit moi qui l’approche pour le prendre entre mes lèvres. Je ferme les yeux et introduis son sexe épais dans ma bouche. Je ne peux l’avaler entièrement, mais sa main pousse l’arrière de ma tête. Je résiste, prêt à vomir lorsque j’entends le bruit d’un appareil photo.
J’ouvre les yeux. Le mec m’a pris en photo en pleine fellation ! Je me retire rapidement, mais reçois un nouveau coup au ventre qui me jette à terre. Je ne peux atteindre la porte de sortie. Il est derrière moi. « Ecoute-moi, connard ! Tu as intérêt à bien me comprendre et à m’obéir si tu ne veux pas que la photo et le petit film que j’ai pris arrivent à tes collègues de bureau et à ta femme. C’est Béatrice, non ? Ah ouais !! On en trouve des informations dans les poubelles que je vide tous les jours. »
Piégé, je le supplie alors d’effacer cette photo et le film. « Oh ! Tu vas faire quoi ? Tu vas pleurer ? Tu regrettes d’avoir été un gros bâtard avec moi tout à l’heure ? C’est trop tard, tas d’merde; les photos, elles viennent de partir sur le Whatsapp d’un ami. C’est pratique d’avoir le wifi dans tout l’immeuble. En attendant, on va faire une petite promenade en voiture et tu vas être bien gentil et bien soumis...Tu te fous à poil et tu mets tes fringues dans ce sac de sport !! » Il part, je reste seul dans le local. J’enlève mes vêtements, et les place dans le sac de sport, en espérant que cela le calme et qu’il efface les preuves. Il revient et s’approche de moi, la démarche conquérante et un sourire ironique aux lèvres. Avec son téléphone, il me montre la vidéo où les yeux fermés, j’aspire son chibre gonflé d’excitation. « Alors, t’as compris, salope ? me dit-il; lève-toi, et tu me suis. »

— Je ne vais pas te suivre à poil !! T’es dingue ou quoi ?
Au moment où il s’apprête à me battre, je me laisse tomber par terre en criant « Non, arrête, s’il te plaît », tout en me protégeant le visage. Il me regarde avec mépris. « Tu vas me suivre à quatre pattes, comme un chien, jusqu’au bout du couloir, me dit-il, ma caisse est garée devant la porte, tu grimpes dans le coffre, compris ? »
Je m’exécutais, me blottis dans le fond du coffre. Avec des liens en nylon, il me lia les pieds et les mains ; ouvrit le sac de sport pour y prendre son boxer et me l’enfonça dans la bouche. Il claqua le coffre, démarra et roula ...
Pendant combien de temps ? Je l’ignore, mais maintenant, vous savez comment cela a commencé.
Enfin, la voiture s’arrêta. Je restai quelques instants sans bouger avant que le coffre ne s’ouvre. Il me libéra les pieds en coupant les scellés qui m’entravèrent. Je sortais nu du coffre de la voiture, complètement abattu et désorienté, les mains attachées derrière le dos. Nous étions dans un garage fermé d’une habitation, certainement d’un pavillon. « Allez, à la douche ». Il rigole fortement et m’entraîne vers la salle de bain. Il se dévêtit. Entièrement nu, il était vraiment un bel homme à la musculature bien dessinée et un visage émacié. Nous entrâmes tous les deux dans la grande douche à l’italienne. « A genoux la pute, tu vas te laver à terre pendant que moi je serai debout ! ». Je me lavais et me rinçais. Il en fit de même. Il me saisit soudainement par les cheveux pour me relever.
— On va te laver de l’intérieur maintenant, tu vas être bien propre et bien net pour me servir.
Il place alors un embout plastique à la place du pommeau de la douche et me l’introduit dans l’anus. Il le fit pénétrer par des va-et-vient progressifs tout en regardant mon visage se crisper sous la douleur. L’embout força mon rectum et il mit sa lourde main sur ma bouche pour étouffer mon cri. « Tu vas aimer ça, TPMP !! Il continua jusqu’à ce que l’eau qui ressortit de mes entrailles soit limpide. Il enleva l’embout d’un coup rapide et je tombais par terre épuisé. « Pose tes lèvres sur mon gland, bitch », me commanda-t-il. Je le fis à contrecœur, mais au moins sous la douche, il n’avait pas son portable. J’approchai les lèvres et touchai son gland. » « Prends-le dans ta bouche tendrement ». Il me plaça alors le dos au mur sur le carrelage froid. Il me regardait avec son regard rempli de mépris et m’envoya un mollard sur la figure. « Bouge pas d’un pouce, salope ». J’étais bloqué de nouveau. Il me saisit la tête avec ses deux mains puissantes, son gland épais dans la bouche.
Je sentis alors un liquide chaud. Je le regardais rigoler et continuer sa pression pour que je ne bouge pas « avale tout mon jus, salope ! Je l’ai gardé toute la soirée pour toi ! » Je crachais et avalais l’urine qui coulait puissamment de son sexe en semi-érection. Il finit par retirer sa bite de ma bouche et me pissa sur la tête et tout le corps.
Il rigolait encore en se séchant et me lança sa serviette. « Dépêche-toi de te sécher; et rejoins-moi dans le salon. Magne-toi, j’aime pas attendre. T’arrives à quatre pattes sinon je te dérouille, compris, bitch ? »
Lorsque j’arrivai dans le salon, il jouait avec mon téléphone qu’il avait piqué dans ma veste de costume. « C’est pas malin de mettre sa date de naissance comme code pin ! » Il prit une nouvelle photo de moi, lavé, à 4 pattes devant lui, le maître des lieux.
— Allez la chienne, je vais bien t’équiper.
Il me plaça devant lui, m’attacha les mains derrière le dos; puis me plaça sur le sexe et les testicules une cage de chasteté, m’empêchant toute érection. « Voilà, maintenant, je suis tranquille ». Il m’enfila une joke-strap. Il se mit sur le canapé pour mater un film de cul lesbien. En voyant ses images, je ne pus contrôler mon érection, mais la cage de chasteté m’empêchait de bander et les petites pointes métalliques à l’intérieur de l’appareil s’enfonçaient dans la chair de ma verge à chaque début d’érection. Je me tordais de douleur. « C’est bien la pute, t’en as pour ton compte. J’espère que tu morfles bien. Viens me sucer pendant que je mate ces deux meufs se bouffer la chatte. »
Complètement soumis, j’avançais à genoux jusqu’à son entrejambe et suçais son chibre dur et gorgé de vie. « Commence par sucer mon gland, ma petite fente avec ta langue puis pompe tout mon dard.» Je m’appliquais à faire tout ce qu’il me disait, mais je ne pouvais prendre tout son sexe en bouche malgré sa main qui forçait l’arrière de ma tête. Ses râles étaient puissants et il aimait ce que je lui faisais. Son sexe se tendit encore davantage, prêt à exploser de jouissance quand il se retira et me cracha un mollard dans la bouche restée ouverte. « Pour l’instant, avale ça, salope; et viens me lécher le cul maintenant ». Sur le canapé, il écarta et leva ses jambes, m’offrant son anus à lécher. Je le lapai et introduisis ma langue comme je le ferai à une femme. Il jouissait. « TPMP », dit-il. Je ne comprenais toujours pas, mais continuais à lui faire du bien pendant que ma cage comprimait et martyrisait mon sexe de ses picots acérés.
— Montre-moi ton cul bitch; que je le travaille un peu.
Je montais sur le canapé, la tête sur sa queue et mon anus à portée de ses doigts qu’il me fit lécher avant de les introduire en moi. Il commença lentement et je pris du plaisir au début, car c’est bien la première fois que l’on m’introduisait quelque chose dans cette partie de mon anatomie. Il accéléra le mouvement de son majeur. Il le faisait tourner et bouger de plus en plus vite. Il mit ensuite deux puis trois doigts. La douleur présente au début s’estompa au fur et à mesure que mon anus se détendait et accueillait ses doigts.
— Prépare-toi, car ce n’est qu’un début.
Il me lança sur le sol et je tombai à quatre pattes. Devant moi était placé un grand miroir posé sur le sol dans lequel je voyais ma position inférieure et le maître derrière moi me regardant fixement. « Prépare-toi à me faire du bien, salope. Tu vas t’ouvrir à moi et te soumettre sinon tu vas vraiment en baver ! »
Il cracha deux gros mollards sur sa queue et un dernier pour m’humidifier l’intérieur de mon cul. Je sentis alors son gland s’enfoncer dans mon sphincter. Il ne bougeait plus, me prenant comme une chienne par-derrière et me regardant fixement et fièrement dans le miroir. La victoire de l’homme viril et puissant sur son inférieur. « TPMP » dit-il, en s’enfonçant un peu sans ouvrir totalement mon sphincter interne. Je serrai les dents pour ne pas crier, mais mes yeux commençaient à se charger de larmes tellement la douleur était forte. Il se retira d’un seul coup pour aller chercher un tube de gel. « Pour ne pas t’abîmer, je vais bien huiler ma queue pour qu’elle te baise bien profond ».
Je le sentis en moi, mon sphincter à moitié ouvert dans mes entrailles lubrifiées. « TPMP, ça veut dire : Tout Pour Mon Plaisir, bitch ! » et d’un coup de reins sec et décidé, il entra d’un mouvement de bassin l’ensemble de son chibre en moi. Mon sphincter s’ouvrit entièrement et son gland tapa dans mon rectum totalement nettoyé. Je hurlais de douleur et m’effondrai devant le miroir. Il continuait ses coups de boutoir puissants et ses râles dominants. Il s’admirait dans le miroir et il aimait cela. Je sentais la pression de son sexe gonflé dans mes entrailles. Parfois, il le sortait complètement et me l’introduisait d’un seul coup fort et profond. Il savait que cela me faisait mal, mais lui prenait son pied. Il commençait à transpirer et son corps d’ébène luisait. Au bout d’un temps qui me sembla interminable, il me retourna sur le dos. Me faisant face, il souleva mes jambes et me pénétra avec frénésie.
Je me tordais de douleur tellement ses coups étaient puissants. « J’aime bien ton petit cul bien serré, il me donne beaucoup de plaisir ». Il continua à se retirer entièrement puis de tout son poids s’enfoncer de nouveau jusqu’à la garde et tournait son sexe en moi. Il ne me regardait plus, il s’admirait face au miroir. Je n’étais plus qu’un receveur servant son seul plaisir. Toutefois, son membre frottant ma prostate me procura une jouissance extrême vite interdite par ma cage enfermant mon sexe.
Enfin, il se lâcha et se retira précipitamment de moi. Il me fit face. « Ouvre bien ta bouche salope, tu vas goûter à mon jus ». Si tu en gâches une goutte, tu vas dérouiller. » Il se branla debout face à moi qui ouvrai la bouche et qui tirai la langue pour que son foutre glisse directement au fond de ma bouche tout en le regardant jouir. En se branlant, il continuait à m’insulter.
Enfin sa délivrance arriva. Je sentis son gland taper ma langue et se durcir. Il se cambra, ses fesses se contractèrent et il déchargea sa semence sur ma langue offerte. Il jouissait fortement; ses jets arrivaient directement au fond de ma bouche. « Avale, salope ! » râlait-il. Ma bouche était remplie de son sperme épais et odorant. « Je t’ai gâté, hein, ma salope. Avale tout et nettoie bien mon gland avec ta langue. » Je lapais son gland toujours dur et sa queue jusqu’aux poils pubiens. Il était nu devant moi, les deux pieds ancrés au sol, sûr et fier de lui.
— Ah, ma salope, tu m’as bien fait jouir. A ton tour maintenant. Il retira ma cage de chasteté. Toujours au sol, il me mit du gel sur ma queue et commença à me branler. C’était bon ce qu’il me faisait bien que parfois, il me décalottait un peu trop fortement. J’allais jouir la première fois quand il s’arrêta brusquement. « Doucement, ma chienne, ton maître va te récompenser bientôt !
— Oui maître, lâchais-je dans un relent de jouissance.
Il continua son stratagème à trois reprises. J’étais dans un état d’excitation extrême. Il se mit debout et me plaqua devant lui face au miroir tout en me branlant. Cette fois-ci, il me laissa cracher tout mon foutre qu’il récupéra dans un verre placé au bout de mon méat. Il continua à me branler après l’éjaculation riant de me voir me tordre de douleur à la suite du plaisir qu’il m’avait donné. « Allez, ma chienne, donne-moi jusqu’à ta dernière goutte ! » Enfin, il s’arrêta, prit le verre et le porta à ma bouche pour le boire. « Allez, bitch; avale ton jus tout frais, et lèche bien ton verre pour ne pas en laisser une goutte ».
Il me laissa ensuite à terre devant le miroir pendant qu’il se rhabillait. Il revint avec un plug « queue de chien » qu’il m’introduisit jusqu’à la garde dans mon anus encore humide « Voilà, comme ça, tu es une bonne chienne ». Il me remit ma cage de chasteté et me couvrit cette fois le visage avec une cagoule aveugle. « Allez, ma chienne, on va se promener un peu, ta soirée n’est pas finie. Je retournais dans le coffre sans broncher par peur des coups qui pouvaient tomber. La voiture démarra, nous partîmes dans la nuit.
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