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Ce doux réveil d'été

Chapitre 1

Erotique
CE DOUX RÉVEIL D’ÉTÉ Dans le matin d’été, je me réveille par la lumière et le frais du matin qui pénètrent doucement dans ma chambre, par mes volets entrouverts, comme ma fenêtre. Mes yeux mis clos, voient une silhouette étendue à mes côtés, un sourire tatoué sur mes lèvres, voyant cette fabuleuse femme dormant profondément sur le côté, sa tête sur ses bras, une jambe ferme et bandée remonte vers sa poitrine, je la vois frissonner, par cause de l’air frais venant se poser sur sa douce, fragile et délicate peau a l’odeur d’un mélange de cerises et des accords de violettes, un doux parfum qui ramenait le printemps léger pour soulager la chaleur écrasante d’été.La voyant frissonner je me suis approché aussi doux qu’une plume pour voir si ça n’allait pas la sortir de son sommeil, quand j’ai penché légèrement mon visage près de son cou, j’ai vue qu’au contact de la chaleur de ma respiration dans son cou, un frémissement, son cou, toujours aussi délicatement parfumé, un parfum qui inhiberait n’importe quels sens, perdu dans une osmose olfactive, je rouvre mes yeux bruns pour voir avec surprise qu’elle avait été prise de violents frissons, marquant ses mamelons qui n’ont pas pris longtemps a dressé ses magnifiques tétons d’un brun rosé pointant fièrement vers le ciel tels un élan de féminisme.A cette vue de cette femme paisible, mon être et mon corps à commencer à entrer dans un combat de résistance à mes pulsions d’un fort plaisir, son bassin collé à mon entre-jambes ne m’aidait pas, je sentais le désir ce durcir, j’ai donc décidé de m’écarter de ce corps qui criait au péché, mais la vue n’en étais que plus belle. Une magnifique vue sur sa chute de reins, qui descendais avec sensualité jusqu’à son dessous de fine dentelle noire, qui épousait parfaitement ses formes rondes et ensorcelantes, j’ai donc décidé de m’éloigner encore une fois pour voir la magnifique peinture qu’elle ferait, mais toujours à portée de ma main, cette même main qui a commencé à effleurer son dos du bout de la pulpe de mes doigts, je ne sais pas quelle sensation elle a ressentie mais les frissons perdus sont revenus de plus belle la faisant contracter ses muscles, sans pour autant la sortir des bras de Morphée.Mes doigts effleurant toujours son dos sont venus à la rencontre de sa fine dentelle, mon désir étant de plus en plus dure, tel que ma main commençait à saisir avec une douce force ses formes succulentes, ce qui lui a fait remonter sa jambe déjà relevée, j’ai pu saisir à pleines mains ses muscles charnus excitants. Innocemment j’ai descendu ma main plus bas, au niveau de la double épaisseur de sa lingerie, et j’ai constaté avec étonnement que cette partie de son dessous était fiévreuse, j’en ai donc déduit que madame n’était surement plus dans les bras de Morphée, mais je n’ai fait comme si de rien n’était, en continuant mon jeu dans l’espoir de voir cette fine lingerie embuée à son paroxysme.
Commençant à caresser le plus délicatement et le plus subtilement l’entre-jambes de cette dernière, le mien commençait à être douloureux de désir, mais je ne craquais pas, le plaisir de cette sublime femme était bien plus important que le mien, quoi de plus beau de voir une femme prendre du plaisir ? La voir s’épanouir quel sentiment de satisfaction pour moi, j’avais l’impression de lui être redevable de la sorte car elle était tellement parfaite, pour moi c’était la moindre des choses que je puisse faire.Une fois sorti de mes pensées je me suis aperçu que le faible tissu n’avait plus de sécheresse. À ce moment j’ai décidé de glisser un doigt en crochet pour écarter ce tissu de trop maintenant. J’ai pu m’apercevoir que le désir coulait d’elle et elle s’en est aussi rendu compte car, d’un coup, elle a ouvert les yeux, a croisé les miens, et elle m’a fait comprendre qu’aucun mot ne devait sortir de nos bouches. J’ai obéi. Un peu perdu j’ai décidé de l’installer doucement et confortablement sur le dos et de lui enlever cette fine dentelle humide, me positionnant alors au-dessus de son intimité. J’avais une vue plongeante sur son sexe, un sexe lisse avec juste une légère toison brune en triangle sur son mont de Vénus, comme une flèche qui appelle l’invitation. J’ai donc remonté mon regard pour croiser le sien, je me suis lentement approché de son visage aux joues rosies, et j’ai commencé à déposer de tendres baisers sur ses lèvres charnues, doucement, tendrement, puis je lui ai demandé l’accès à l’aide de ma langue. Elle n’a montré aucune résistance. Nos langues dansaient sur un rythme d’une passion douce et délicate. Une fois ce baiser de feu fini je me suis niché dans son cou dans un soupir commun, encore cette délicate odeur de cerise et de violettes. Mes lèvres et ma langue jouaient un air de piano de sa jugulaire à sa clavicule, comme pour jouer d’une mélodie de frissons pour son être. Je me suis relevé après ses frissons multipliés pour replonger et reconnecter nos regards ce qui était notre seul moyen de communication. Puis je me suis perdu dans ses seins fermes et ronds, ma langue dansait toujours sur elle, avec ses tétons, le gauche sensuellement puis le droit avec plus de fougue et dans l’élan je me suis éperdu de son corps tendu de désir. Je suis donc descendu embrasser son corps en essayant de ne rater aucun centimètre carré de sa peau. J’arrive doucement à son ventre accueillant, dessinant un chemin de baiser. Je me suis pris à faire le tour de son nombril, un nombril qui montre fièrement son ornement d’un diamant pas plus gros qu’une tête d’épingle.
Ensuite sur le chemin de baisers qui se dessinait dans ma tête j’arrive au point de non-retour, son bas ventre pour arriver sur sa cuisse, je sens son désir, ses mains se perdent dans mes cheveux, je sens ses ongles griffer ma nuque, j’ai déposé un baiser sur son intimité lisse et gorgée de désir, dans son long soupir et sa cambrure j’ai compris qu’elle n’attendait que ça, j’ai donc pris délicatement entre mes dents son bouton de rose préalablement décapuché par ma langue habile, je tourne et retourne ma langue dans une danse sensuelle et douce à la recherche du bon rythme et de l’endroit de plaisir intense de cette somptueuse femme, une fois trouvé, son bassin a accusé un rythme provocant. Mes mains se sont glissées de part et d’autre de son corps pour la tenir dans une étreinte d’amour, tandis que ses doigts devenaient fous de part et d’autre de mon crâne. La folie et le désir n’allaient pas tarder à exploser en elle. J’ai donc pris l’initiative de décoller mes lèvres de son intimité gorgée de désir pour replonger mon regard dans le sien. Je voyais le feu brûler dans ses yeux, elle s’est redressée près de moi, a glissé ses mains de part et d’autre de mon bassin et a fait chuter le tissu qui me faisait tant de mal. Elle m’a pris dans ses bras et s’est laissée tomber en arrière, moi toujours emprisonné dans son étreinte. Dans cette chute d’amour, nos intimités se sont effleurées, nous en avons frissonné malgré la chaleur lourde et écrasante qui règne déjà dans la pièce. Dans un regard nous nous sommes parlé, nous avons compris que c’était le moment de vivre le plaisir ensemble. J’ai donc effleuré une fois de plus, mais cette fois-ci volontairement, sa fente embuée et accueillante. La voir frissonner et se mordre la lèvre dans un soupir qui criait “ je n’en peux plus, vas-y”, mes bras de part et d’autre d’elle, j’ai commencé à avancer ma colonne de chair dans son puits d’amour, un gémissement commun a résonné dans nos cœurs et nos corps, sans pour autant que j’arrête mon ascension. Une fois nos pubis collés, et ses ongles plantés entre mon dos et les reins, ses yeux criaient au pêcher. J’ai donc commencé à faire de doux mouvements au rythme de ses soupirs, de plus en plus vite, au rythme cette fois-ci au mouvement de son bassin qui ondulait de plaisir sans pouvoir être contrôlé. Le désir était à son paroxysme. Dans un dernier soupir j’ai senti ses muscles qui m’entouraient et se contractaient, et dans un râle commun nous atteignons notre feu d’artifice et toute les tensions accumulées dans nos muscles se sont envolées, me retirant, me couchant à ses côtés, et la prenant dans mes bras je lui embrassais le front, puis d’une main remontant son menton pour lui dire “ je t’aime “ avec les yeux et d’un doux baiser échangé rempli d’un amour inconditionnel. Après de longues minutes, nous avons décidé de regarder par la fenêtre encore vêtue de nos tenues d’Adam et Eve. Voyant le soleil frappé son zénith nous nous regardons avec amour malgré cette chaleur assourdissante et reprenons nos esprits, cette sensation d’état second après l’amour sensationnel que nous avons vécu.

FINLa vierge délaissée.
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