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Douze Fessées pour Minuit

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’étais nerveuse. Comme chaque 31 Décembre, je stressais à m’en ronger les ongles. C’était le soir du Réveillon et j’avais eu la bonne idée de proposer notre appartement pour faire la fête ! J’avais commencé à le regretter deux ou trois jours auparavant, réalisant qu’il fallait faire les courses ainsi que le ménage, et que mon cher fiancé ne m’y aiderais certainement pas. Nous étions ensemble depuis presque quatre ans maintenant, et mon côté obsessionel, ainsi que son côté flemmard, m’avaient obligé à m’habituer à plus ou moins tout faire par moi-même. Eliott était grand, environs un mètre quatre-vingt dix pour à peine 80kg. Il avait de très beaux yeux marrons et des cheveux épais de la même couleur. De mon côté, j’étais bien plus banale: du haut de mon mètre soixante-dix, j’avais de très long cheveux bruns ondulés qui faisaient ma fierté, ainsi que des yeux noisettes en amende. Nous nous étions rencontré lors d’une soirée grâce à plusieurs amis que nous avions en commun. Très vite le courant était passé et nous nous étions installés ensemble, sans prendre le temps de plus profiter de notre jeunesse.
Le soir du réveillon arriva très vite et j’étais une réele pile électrique, impossible à calmer ; tout devait être parfait. Je passais un dernier coup d’aspirateur, vérifiant au passage que nous ne manquions de rien, en alcool comme en petit fours. Eliott râlais depuis le canapé :
— Chérie, arrête de t’agiter comme ça, s’il te plait. Tout est prêt, rien ne dépasse alors souffle et viens t’asseoir avec moi.— Non, j’ai encore un million de choses à vérifier ! Bon, laisse moi réfléchir. La vaisselle est faite, les voisins sont prévenus, la décoration est en place... Tu as descendu les poubelles ?— Non, dit-il en soupirant. J’ai oublié, je le ferais tout à l’heure, me lanca-t-il en se réinstallant dans le canapé.— Tout à l’heure nos invité seront la, descend-les maintenant, dis-je en le tirant du canapé. Tu pourrais y mettre du tien, tes amis seront la aussi et c’est moi qui fait tout !
Il s’éloigna en soupirant et en gromellant que parfois mon côté perfectionniste était trop envahissant et qu’il n’avait pas signé pour cela. Je sentis l’angoisse monter : en avait-il marre d’être avec moi ?
Quelque heures plus tard, la soirée battait son plein ! Il y avait une quinzaine d’invité, dont l’un de mes plus proches amis : Morgan. C’était un garçon plus vieux que moi de quelques années, à l’époque, le copain d’une fille de ma classe de terminale que j’avais déjà vu sans plus m’y intéresser. Je l’avais recroisé alors qu’Eliott et moi étions déjà ensemble depuis deux ans et j’avais réalisé qu’il me plaisait énormément. Sentiment réciproque qu’il se faisait une joie de me rappeller dès qu’il avait un peu trop bu ! Malgrès une attirance réciproque et une persévérance admirable de la part de Morgan, je n’avais jamais craqué et trahis la confiance d’Eliott. Ayant commis mon lot d’erreur dans le passé, j’aimais à penser que mon fiancé avait su voir quelque chose en moi et que les sentiments qu’il me portait m’avaient donné la force de changer et de devenir quelqu’un de reponsable et intègre.
Je m’avancais vers le buffet et m’apprêtais à me resservir un verre lorsque ma main rencontra celle de Morgan. Il s’excusa en souriant et se proposa de me servir un mélange d’alcool et de diluant à la couleur étange. J’acceptais, trop absorbée par l’étincelle qui brillait dans ses yeux.
— Tu passes une bonne soirée ? Demandais-je.— Excellente ! Les gens sont très sympas, d’ailleurs j’ai rencontré ton ami, celui qui travail pour le journal de la ville, il m’a proposé un rendez-vous pour éditer un article sur mon entreprise.— C’est formidable ! M’exclamais-je, ravie pour lui.— Oui, ça l’est, sourit-il. Ou est Eliott ? Je n’ai pas eu l’occasion de lui dire bonjour depuis que je suis arrivé.
Je jetais un coup d’œil circulaire autour de moi, à la recherche de ma moitié que je finis par trouver sur la terrasse, en pleine partie de bière-pong, enlaçant la taille d’une fille qui m’étais totalement inconnue. Il riait aux éclats et se rapprochais de ladite fille, probablement car l’alcool faisait son effet et qu’elle lui permettait de garder l’équilibre. Je reportais mon attention sur Morgan, embarrassée que mon copain se comporte de la sorte.
— Je crois que ce n’est pas trop le moment d’aller le saluer il à l’air... occupé, dis-je en baissant la tête pour cacher ma honte.
— Morgan me regarda avec compassion en se pinçant les lèvres ; il passa un doigt sous mon menton et releva mon visage :

— Je suis désolé, ça me fait de la peine de te voir comme ça. Tu mérites mieux que lui, c’est clair. A ta place, je ne m’emmerderais pas avec ce type. Tu es jeune, dit-il en caressant ma joue, puis en fixant mes lèvres. Et si jolie...
L’une de mes amies, ivre elle aussi, s’interposa entre nous et se mis à hurler, en s’accrochant à Morgan pour ne pas perdre l’équilibre, qu’il ne restait plus qu’une heure avant la nouvelle année et que Geoffrey proposait un Strip Poker dans la cuisine, pour « terminer 2016 nus et en beauté ». Je profitais du détournement d’attention pour m’éclipser dans la salle de bain afin de me passer de l’eau sur le visage. Que m’arrivait-il ? Et à quoi Eliott jouait-il ? Qu’est ce que c’était que ces façons de se frotter à une inconnue de la sorte, juste sous mon nez? Pourquoi n’avait-il pas fait attention à moi de la soirée ? Et que m’avait fait Morgan pour que je me sente si excitée ? Je fermais les yeux un instant et repensais à l’expression de son visage, juste avant que nous ne soyons interrompus. Combien de fois l’avais-je imaginé nu contre moi, sanglant mes poignet pour me garder à sa Mercie, offerte à lui totalement? Je me représentais, nue et soumise à cet homme, exécutant ses moindres désirs, qu’il me demande de m’agenouiller pour le sucer, de m’allonger sur ses genoux pour qu’il me fesse, ou de me mettre à quatre pattes pour qu’il me prenne. Mon corps entier le réclamait. Je glissais ma main sous ma jupe puis dans ma culotte tout en m’appuyant sur le lavabo, et réalisais que j’étais complètement trempée quand tout à coup, la porte s’ouvrit et je vis le visage de Morgan dans le miroir.
Mes yeux s’écarquillèrent, je sortais ma main de ma culotte et fis volte-face, essayant de sauver la situation.
— Morgane, je...
Mon ami se précipita sur moi, plaqua une main sur ma bouche, l’autre à l’arrière de mon crâne et m’écrasa contre le mur en s’appuyant de tout son poids sur moi. J’étais totalement coincée.
— Chut... Tais-toi. Je vais retirer ma main de ta bouche et m’asseoir sur la baignoire. Toi tu vas descendre ta jupe, et reprendre la ou tu en étais. Je ne veux pas t’entendre ma belle, chuchota-t-il en me regardant droit dans les yeux.
Il retira lentement sa main de mon visage, s’assurant que je n’essayerais pas de parler, verrouilla la porte de la salle de bain puis s’assit tranquillement sur le rebord de la baignoire et attendit en me fixant. J’étais confuse, des bouffées de chaleurs me traversaient. Que risquais-je si j’essayais de sortir de la salle de bain ? Mais plus important encore, pourquoi avais-je envie de lui obéir ? Mes idées se mélangeaient, barrant le passage à toutes pensées cohérentes. Morgan n’était pas le seul fautif, l’alcool y était sûrement pour quelque chose aussi.
— J’attends, menaça-t-il.
Avant même que je ne puisse y réfléchir, mes mains descendirent ma jupe et ma culotte, puis mes doigts se mirent à jouer avec mon clito. C’était incroyable, inédit. Je me tenais debout, adossée au mur de ma salle de bain à me caresser devant Morgan en ne le quittant pas des yeux, comme fasciné par son expression. Je rentrais un doigt en moi, puis deux et me mordais la lèvre pour éviter de gémir trop fort.
— Je t’interdit de venir, me menaça l’homme qui profitais du spectacle. C’est moi qui choisirais quand tu pourras. En attendant, tourne toi contre le mur, montre moi ton cul, et continue de te caresser, salope.
Je m’exécutais, faisant maintenant face au mur, écartant mon cul avec mes mains pour lui dévoiler mon petit trou. Je claquais mes fesses une ou deux fois puis mes doigts reprirent le chemin de mon clito, le caressant doucement puis de plus en plus vite, tout en exposant mon derrière. Je n’avais rêvé de ce genre de scènes que dans mes fantasmes et n’en revenais pas de mon manque de pudeur. Je me sentais excitée et prête à satisfaire ses moindre désirs...
Au bout de quelques minutes, Morgan se leva et vint se coller à moi en agrippant mes fesses, en les claquants.. Puis il saisit une poignée de mes cheveux, plaqua une main sur ma bouche et me conduisit dans la pièce voisine où il me jeta sur le lit avant de verrouiller les deux portes. La chambre était plongée dans le noir, à peine éclairée par les lumières de la rue qui perçaient entre les volets fermés. Morgan tournait autour du lit, ne me quittant pas des yeux et je me sentais comme une proie face à son chasseur.
— Met toi à genoux, les bras en l’air, me dit-il sur un ton qui m’excita encore encore plus.
Je m’exécutais immédiatement. Ses doigts froids soulevèrent mon débardeur en éfleurant ma peau, avant qu’il ne m’ordonne d’ouvrir la bouche pour y fourrer le bout de tissus. Puis, il défit sa ceinture et attacha mes bras dans mon dos avant de me basculer au bord du lit, couchée sur ses genoux.
— J’ai toujours su que derrière tes airs de gentille petite femme rangée se cachait une saloperie de grosse chienne, susurra-t-il en caressant mes fesses. Si tu savais ce que je rêve de te faire...
La première claque tomba, suivit de plusieurs autres. Je m’efforçais de ne faire aucuns bruits mais au bout du vingtième coup, mes fesses, rougies et brûlantes, commencèrent à me lancer et de petits cris s’échappèrent de ma bouche pourtant baillonée. Morgan me redressa et traîna mon corps jusque derrière la porte, avant de se poster en caleçon, à hauteur de mon visage.
— Ecoute-moi bien, cochonne: Je vais t’enlever ce truc et tu vas ouvrir ta bouche de suceuse pour me bouffer la queue. Fais ça bien, ou je te met à quatre pattes et ce sera 40 fessées de plus. Compris ?
Je hochais la tête, le yeux levés vers lui, puis entrepris de descendre son caleçon avec mes dents avant d’enfoncer dans ma bouche le membre qui s’offrait devant mon visage, droit, raide, et dur comme de la pierre. L’exercice n’était pas facile ; les vas-et-viens me faisaient perdre l’équilibre et je ne pouvais m’aider de mes mains. Mon amant m’asséna soudainement une grande gifle sur la joue :
— Suce, salope ! Montre que tu aimes ça !
Il posa ses mains à l’arrière de mon crane et baisa ma bouche, avant de s’enfoncer le plus loin possible, tout au fond de ma gorge ce qui me fit déglutir et tousser. Il se retira, attendit que je reprenne mon souffle et me balança sur le lit en écrasant mon visage contre les draps.

— Je vais sortir deux minutes. Toi tu restes la et tu fais pas un bruit, chuchota-t-il en replaçant le tee-shirt dans ma bouche. Quand je reviens, je veux te voir à quatre pattes, la tête dans les draps et ton petit cul de pute bien offert. Gare à toi sinon.
Il déposa de légers baisers de ma nuque jusqu’à mes reins puis écarta mes fesses, caressa doucement mon anus avant de cracher dessus et de me donner une fessée. Puis il sortit en verrouillant la porte derrière lui. Je ne sait combien de minutes se sont écoulées après que je me soit mise à genoux, les fesses en l’air et penchée en avant comme il l’avait demandé. Mon cœur battait à tout rompre, je ne désirais qu’une chose : Commencer la nouvelle année en étant son jouet.
Soudain, un bruit de verrou retentit dans la chambre et la porte s’ouvrit sans que je ne puisse distinguer qui entrait dans cette pièce. Je fut rassurée en entendant la voix de Morgan :
— Ton copain fait dodo sur les nibards d’une fille, le pauvre ne tient pas l’alcool ; il n’a même pas remarqué ton absence. Heureusement pour toi, j’ai trouvé quelqu’un d’autre pour jouer avec nous.
Une paire de jambe masculines vêtues d’un jean passa devant mes yeux, sans que je ne sache qui cela pouvait être, ni que je m’en soucies vraiment d’ailleurs. Mes pensées se bousculaient, la seule chose qui m’importait, c’était de savoir ce qu’ils allaient faire de moi. Morgan se tenait juste derrière moi, il me tira par les cheveux pour amener mon oreille à hauteur de sa bouche avant de chuchoter :
— Il est la pour m’empêcher de te torturer comme j’en ai tant envie, dit-il avant de me lécher la joue.
Puis un tissus passa devant mes yeux et se fut le noir complet. Je ne pouvais ni parler, ni voir. Pendant un cours instant, personne ne me toucha. Je sentais parfois une main soupeser mes seins, ou pénétrer mon intimité mais rien de plus. Puis deux paire de mains me firent basculer sur le dos, et quelqu’un écarta mes cuisses avant de me pénétrer violemment. Un autre, claquais mes seins, de plus en plus fort. La voix de Morgan perça le silence, et je compris que c’était lui qui me pénétrait.
— Tu crois qu’elle aime ça, cette pute ?...
Aucuns bruit ne se fit entendre, je n’osais moi-même pas bouger de peur de ne pas y être autorisée et d’être sanctionnée. Je compris que mon second amant, l’homme au jean, répondais silencieusement à Morgan pour que je ne puisse pas identifier sa voix. Quelqu’un me retira mon bâillon puis serra ma gorge pendant que l’autre continuait de me pénétrer. Le manque d’air me fit tourner la tête. Mes seins devenaient douloureux a force d’être claqués. On me relâcha enfin et Morgan reprit la parole :
— Dis que tu aimes ça salope, dis que tu es une bonne chienne soumise, ou la prochaine fois, il t’étrangleras jusqu’à ce que tu t’évanouisses.— Oui ! Oui, j’aime ça, continue de me prendre avec ta grosse queue ! Hurlais-je sans même réfléchir.— Tu vas l’avoir ma grosse queue... Mais d’abord... dit-il en se retirant.
Je sentis deux pinces se refermer sur mes seins et pincer violemment mes tétons, ce qui m’arracha un cri. Les deux hommes me remirent ensuite à quatre pattes, toujours les mains attachées dans le dos. Morgan m’ordonna d’ouvrir la bouche et le pénis de l’homme au jean s’y engouffra pendant que mon premier amant se remettait à me pénétrer en levrette, frénétiquement d’abord puis plus lentement. Il attarda ses mains sur mes fesses, les écartas, les claquas, puis se mit a me doigter l’anus.
— C’est dommage. Un si joli cul, pourtant si vide.. Dit moi salope, ton copain il t’as déjà enculé ? Je paris que tu adorerais ça, qu’on te prenne le cul comme une chienne. J’ai une idée...
Il récupéra un objet qui traînait sur le lit pour ensuite le positionner à l’entrée de mes fesses.
— Je vais t’enfoncer un énorme Plug dans le cul, je suis sur que ça te plaira d’être prise par tous les trous, grosse cochonne. Continuer de sucer, et je ne veux pas t’entendre.
La seconde d’après, le sex-toy forçait le passage de mon anus, pendant que Morgane se remettait à me prendre. Le début fut extrêmement douloureux pour mon derrière, peu habitué à être stimulé mais une fois le godemiché bien en place, je sentis, l’excitation monter, monter...
— Je vais te claquer le cul douze fois, et à la treizième, tu auras le droit de jouir. Ne vient pas avant ou je t’attacherais, te baillonnerais et te défoncerais le cul toute la nuit avec ma queue cette fois. C’est compris, petite conne ? Je commence...
La première claque s’abattit sur mes fesses, stimulant au passage mon anus, toujours occupé par le godemiché, une vague de plaisir me traversa ; je devais tenir encore onze coups.
— Deux... Trois... Quatre....
Les fessées tombaient une à une sur mes deux fesses brûlantes et probablement bien rouges. Mes seins se balançaient alors que mes tétons suppliaient toujours qu’on les relâchent... Je luttais contre mon envie de venir...
— Huit... Neuf... Dix...
L’homme au jean enfonça sa queue tout au fond de ma gorge et éjacula en maintenant fermement ma tête ce qui m’empêcha de tout recracher. J’avalais pour la première fois la semence d’un homme.
— Douze... TREIZE ! Vas-y, jouis salope, jouis pour moi !
La dernière claque tomba, stimulant le Plug anal bien coincé dans mon cul, Morgan s’agrippa à mes hanche et s’enfonça au plus profond de ma chatte pour éjaculer, et je pu enfin jouir, secouée par une vague de plaisir tel que je n’en avait jamais connu, pendant que derrière la porte, les invités criaient en cœur « Bonne année! ».
FIN.
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