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Down on Highway 89

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Down on Highway 89.

Nous étions tout un groupe d’amis qui avions l’habitude de partir en vacances ensemble, le groupe fluctuait selon les années, certains le quittaient, d’autres s’y joignaient, mais un noyau, dont je faisais partie, restait fidèle au poste, et c’est avec plaisir, que nous nous retrouvions, d’années en années.Nous étions tombés d’accord, cette année là, pour un séjour, en juillet, dans le sud L’Utah, près de la réserve indienne de Uintah and Ouray. Les formalités pour séjourner dans la réserve même s’avérèrent décourageantes par leur complication, et Dave, le gars qui s’occupait magistralement de l’organisation avait déniché plusieurs locations de bungalows sympas et pas chères, à Spanish Fork dans un décor de rêve: un hébergement impeccable !J’y partais cette année là, avec ma copine du moment, Jenny, une jolie coquine, avec laquelle je ne m’ennuyais pas.
Nous prîmes l’avion jusqu’à Salt Lake City, et de là, un Grey Hound devait nous amener à Spanish Fork où se trouvaient les bungalows.Nous étions donc partis, empruntant la Highway 89, plus pittoresque que la 221, bien que cela nous rallongeât de trois quarts d’heure. En cette période de vacances, les touristes se déplaçaient beaucoup et le bus était bondé, l’ambiance à bord était bon enfant, décontractée et joyeuse.
J’avais eu avant de monter dans le bus, une altercation avec un des occasionnels du groupe qui était accompagné par une femme d’une beauté stupéfiante, Marnie. Étant une grande amatrice de jolies femmes, j’étais sous le charme de la belle Marnie, ce que je cachai soigneusement à Jenny. Ce Ralph, puisqu’il s’appelait ainsi, avait proposé à quelques uns, et surtout quelques unes, de la MDMA , un cocktail personnel détonnant, qui vous faisait « baiser comme des bêtes » selon ses termes. Il en avait proposé à ma jolie Jenny qui s’en était immédiatement ouverte à moi. J’étais de suite allée le voir le priant de ranger sa camelote et de nous ficher la paix avec ça, faute de quoi, je me chargeais d’en toucher deux mots à Dave, ce qui probablement aurait pour conséquence son exclusion du groupe... Il n’avait pas aimé et en macho qu’il voulait se montrer, m’avait insulté en ricanant, me traitant accessoirement de « sale gouine » et de « mal baisée ».
Alors que nous longions le Lac Utah, traversant des paysages d’une beauté stupéfiante, au milieu de nulle part, le chauffeur nous annonça par microphone qu’il était à la recherche d’une aire de stationnement, le moteur du bus donnant tous les signes avant-coureurs d’une panne imminente.
Dans tout le bus, ce fut un tollé général, déception, irritation et chez certains même colère: un type se mit à râler disant que s’il perdait une seule nuit d’hôtel, il attaquerait la compagnie, ce qui nous fit doucement rigoler. Le chauffeur rassura tout le monde: il allait appeler et la compagnie enverrait un autre bus très rapidement. Il fallait juste s’organiser et passer le temps jusqu’à son arrivée.Après tout ça n’était pas si désagréable de pouvoir prendre l’air et se dégourdir les jambes... le chauffeur ayant ouvert les portes pratiquement tout le monde descendit du bus.Dans un brouhaha où se mêlaient protestations, plaisanteries, rires et commentaires grognons, les passagers se retrouvèrent dehors.
Nous bavardions, certains avaient sorti bières, gourdes et sacs et buvaient, grignotaient histoire de passer le temps, quand le chauffeur se mit à la porte du bus et nous annonça:
— Mesdames et Messieurs, mauvaise nouvelle: le planning m’annonce qu’aucun bus ne sera disponible avant six heures, nous sommes en période de vacances et..
Le reste de ses paroles se perdit dans tohu-bohu de protestation et de mécontentement, quand cela se fut un peu calmé, le chauffeur présenta à nouveau ses excuses et celles de la compagnie et rentra se mettre à l’abri de la vindicte populaire dans son véhicule.

Une certaine morosité s’était déjà emparée de certains, et l’ambiance dans le groupe, n’était plus du tout la même qu’au départ.Nous attendions depuis plus d’une heure et de petits groupes s’étaient formés, discutant , déambulant, tâchant de faire contre mauvaise fortune bon cœur, après tout ça n’était pas dramatique!
J’avais remarqué que la belle Marnie et Ralph s’étaient mis en retrait du groupe, je les cherchai, et les aperçus s’éloignant vers le fond de l’aire, pour disparaître derrière des buissons. J’étais toujours très intéressée par la jolie fille et leur petit manège m’intriguait, ajoutez à cela ma passion pour tout ce qui touche au sexe, il n’en fallait pas plus pour que je me mette sur le sentier de la guerre.
Je les retrouvai, enlacés, à deux pas de la lisière derrière un fourré.Marnie avait passé ses bras autour du cou de Ralph, qui la tenait par la taille et l’embrassait passionnément... Je souris en pensant que la belle avait bien besoin de se changer les idées, elle venait d’apprendre qu’elle devait redoubler sa deuxième année et que son père lui coupait les vivres, refusant de lui payer appartement et frais de scolarité: une bagatelle de soixante quinze mille dollars: la catastrophe! Cachée derrière un petit muret à moitié éboulé, je m’apprêtais à m’éclipser discrètement, quand j’entendis sa voix.
— Oh! Fuck me darling ! (Baise moi, chéri!) J’ai envie que tu m’encules !

Pour tenir un tel discours, elle devait être sacrément en manque...Ou alors, Ralph lui avait fait prendre sa saloperie de mixture. Je le voyais sourire, dominateur, sûr de la tenir en son pouvoir.
— Oui ! ...Oui, petite chienne, je vais te prendre le cul, je vais te le défoncer, ma salope !
Il la retourna brutalement, et relevant sa légère robe sur ses reins, arracha son string qu’il jeta à terre, dévoilant le cul somptueux de la belle MarnieSans prévenir, d’un doigt, il força son anneau, le tourna, entra en elle et le ressortit pour mieux s’y enfoncer encore, accentuant ses coups.Marnie gémit sous la douleur, mais supplia :
— Oh ! Oui...Encore... !— Tu es vraiment une petite pute... Tu aimes ça, hein, salope ? Dis que tu aimes ça !— Ooh... ! Oui ! Oui ! J’aime... Encore !
Soumise, sa voix tremblait d’excitation.
— Oh ! Chéri, j’aime que tu m’enfonces ton doigt dans le cul, encore, s’il te plaît..— Supplie moi !— S’il te plaît, enfonce moi ton doigt !— Mieux que ça, petite pute !— Encule moi fort, remets moi ton doigt! Fuck my ass, please! (Baise moi le cul, je t’en prie!)
Et ce furent trois doigts, que Ralph enfonça sans ménagement, dans l’antre de la belle, qui poussa un long râle de douleur et de plaisir.Fascinée par le spectacle que m’offraient la belle suppliciée et son bourreau, je mouillais trempant l’entrejambe de mes jeans.
J’étais excitée au plus haut point et ressentis l’envie de partager ce moment de pur cinéma X avec ma chérie... Alors, sur la pointe des pieds, à regret, je dois dire, je laissai les deux amants, à ce qui ne devaient être, du moins je l’espérais, que de brûlants préliminaires.Je contournai le muret et m’éclipsai.Je retrouvai Jenny l’air soucieux, assise sur son sac à dos. Je caressai ses cheveux.
— Ah ! Tu es là... ! Où étais-tu passée?
Elle se laissa aller, posant sa jolie tête contre ma jambe. En chuchotant, je fis part à Jenny de la scène torride, à laquelle je venais d’assister. Elle se montra très intéressée. Et avec un sourire coquin :
— Oh, oh ! Mais moi aussi, j’ai très envie de jouer la voyeuse !
Je la pris par la main et la guidai. Nous nous installâmes derrière le muret de pierre sèches. Ma jolie Jenny, souriait, une lueur lubrique dans ses beaux yeux.Il me paraissait impossible que les deux amants ne nous aient pas vus, le sentiment de notre présence, ajoutant peut-être, un piment érotique supplémentaire à leurs ébats. Quoiqu’il en soit, ils ne firent aucun cas de nous.Marnie était appuyée des deux mains à un mur, cambrée, reins creusés, jambes écartées, Ralph s’était accroupi derrière elle, et écartant des deux mains, les magnifiques lobes fessiers de la belle, fouaillait son anneau, de sa langue. Marnie gémissait, le suppliant de ne pas s’arrêter.Après un long moment, Ralph se redressa , débouclant son ceinturon, il déboutonna son jeans et le baissa , produisant son vit en érection. Il en frappa les jolies fesses de Marnie.
— Retourne toi, petite salope...suce moi !
Il avait empoigné son chibre et le tendait en avant. La belle blonde se retourna, et enfourna le gland violacé dans sa bouche avide, le suçant avec des bruits de gorge suggestifs. Ralph s’était emparé du nœud de son catogan et forçait avec des gestes brutaux, la jolie bouche sur son dard dressé. Elle le branlait à gestes lents, avec douceur et force, enserrant la hampe fermement. Je la voyais téter le gland, qui distendait ses lèvres. Elle commença ensuite de lents et doux mouvements de succion, Ralph soufflait et ahanait, la tension d’un plaisir grandissant s’emparant de lui. Il avait enserré le beau visage de ses mains, et le serrait de plus en plus fort, de manière convulsive. Les balancements qu’il imprimait à son bassin, se faisaient plus violents et plus désordonnés. Il se tendait, il montait, montait encore, se raidissait. Ses ahanements se faisaient plus furieux.
Il eut un long râle et éjacula, libérant sa semence, en emplissant la bouche ravie, de la belle Marnie, qui gémissait de lubricité.
Jenny, excitée par le spectacle, me caressait le sexe à travers mon jeans. Elle me murmura :
— Eh, bien, petite salope! Il n’y a pas qu’à moi que ça fait de l’effet ! Tu mouilles comme une chienne!
Elle se pencha vers moi et nous nous embrassâmes .
— Touche moi...je suis trempée !
Je passai ma main sous la robe légère, écartai le string arachnéen, et posai mes doigts sur son joli petit con ruisselant de mouille.
— Mmm ! Je t’adore... tu es délicieuse, ma chérie !— Reste ! Oh ! Caresse moi ! Caresse, moi encore … pendant que...— C’était bien mon intention, chérie !
Pendant ce temps Ralph s’adressait à Marnie.
— Aah... ! Salope ! Que tu me suces bien ! J’aime te jouir dans la bouche, chienne ! Toi aussi, tu aimes ça... Hein ? Dis le ! Dis le ! Salope !— Oui, chéri ! Oh ! Oui !, j’aime ça !— Suce moi, encore, chienne ! Continue ! Refais moi bander... Je vais te prendre le cul, maintenant.
Et la belle Marnie, se remit à sucer le vit de son amant, s’appliquant à lui redonner une pleine vigueur. Alors qu’elle geignait de plaisir lubrique tout en suçant et branlant Ralph, celui-ci avait pris ardeur et sortant brutalement sa queue de la jolie bouche, il retourna sa maîtresse, la fit se pencher et se cambrer et retroussant sa robe, il écarta ses fesses d’ivoire, restant un instant en contemplation devant la perfection mauve de son petit trou du cul. Il s’approcha de sa rosette offerte, écarta encore ses fesses, et y plongea sa bouche. Il l’embrassait furieusement, enfonçant sa langue dans son antre, l’y dardant à plusieurs reprises, il y déposa sa salive puis se redressa. Marnie feulait et gémissait de plaisir.
Jenny que je caressais et dont je masturbais doucement le petit bourgeon turgide, était totalement prise par l’érotisme de cette scène et son souffle court et haché, ses gémissements me disaient à quel point elle était excitée. Elle prit ma main et la posa sur ses fesses. Je l’entendis me chuchoter quelques mots, que je ne compris pas... Ç’aurait été dommage ! Elle m’ordonna, à nouveau:
— Fourre moi tes doigts dans le cul !— Princesse, tes désirs sont des ordres et tu ne pouvais m’en donner de plus doux...
J’introduisis mon médius et mon annulaire joints, dans sa douce chatte, baignée de cyprine, puis les ressortis, tout aussi doucement, je les présentai à la tendre petite armille sur laquelle je poussai légèrement, en éprouvant la délicate souplesse, et les enfonçai lentement. Jenny, gémissante, attentive à son plaisir, fermant les yeux, me chuchota un « Ooh ! » plein de douce langueur et me supplia :
— Continue.. Je t’en supplie, encore... ! Je vais jouir... Encore... ! Mets en un autre! Dans ma chatte aussi... !
Obéissant à la douce injonction, je m’exécutai et alternant douceur et délicatesse, me mis à caresser, doigter, branler les plus beaux trésors que l’on puisse espérer posséder. Le baiser de sa bouche tendre et suppliante ne faisant qu’ajouter à mon émoi...
Pendant ce temps, Ralph qui s’était redressé, s’approcha de sa belle qui cambrait son magnifique fessier vers le mandrin dressé et, la tenant par la taille d’une main, il aboucha son gland turgescent à son anneau délicat. Nous pouvions entendre ses ahanements de contentement, pendant ces préparatifs.Il lui saisit la taille des deux mains, et dans un râle, enfonça d’un coup, son chibre, jusqu’aux couilles. Cette pénétration violente, et soudaine, fit exploser en elle, un orgasme soudain, et intense. Elle restait empalée sur son mandrin, tétanisée et tremblante de jouissance. Il resta enfoncé dans son ventre. Marnie gémissait, tordue de volupté. La bouche ouverte, sur un souffle qu’elle cherchait, les yeux révulsés derrière ses paupières closes, elle râlait, et gémissait son plaisir.
— Oui, ma chérie! Oui! Prends la bien dans ton joli cul, salope ! Oui, petite chienn !
Il ressortit son chibre, et l’empoignant par les hanches, il l’y attira, à nouveau, pendant qu’il poussait, de toutes ses forces, sur celui-ci. Sa queue enfonça la mignonne rosette, la dilatant à l’extrême. La belle Marnie haletait sa douleur, et son plaisir, quand Ralph ressortit son mandrin, lentement, pour s’enfoncer à nouveau, plus fort encore, dans son étroit fourreau, puis, à nouveau, encore, et encore.Tout en continuant à jouir de la scène qui s’offrait à nos yeux, je n’en continuai pas moins à m’occuper des doux trésors de ma belle la faisant gémir et râler d’une jouissance que je sentais monter. Elle murmura entre ses dents serrées:
— Oh... ! Encore !Continue... ! Oh... ! Je vais jouir !
De son côté, Marnie, submergée par des vagues de jouissance qui la faisaient geindre, se tendait, cambrée, sur le gourdin qui la fouaillait. Ralph éructait des mots crus, des insultes, crispé sur sa jouissance.
— Tiens, petite salope ! Prends-la, ma grosse queue. Ah ! T’aimes ça, hein ! T’aimes que je t’encule à fond, chienne ! Tiens, petite pute...! Tiens... !— Ooh ! Oui, chéri  ! Vas y … ! Encule moi ! Oui... !
Elle accompagnait, maintenant, les mouvements du bassin de son amant, et enfonçait son fondement sur son chibre, allant au-devant des assauts qu’il lui infligeait. Les ondes de jouissance se succédaient, éclatant dans son ventre, la submergeant de volupté lascive et endiablée.
Marnie était affolé de plaisir lubrique, qu’elle manifestait par des râles, de plus en plus violents. Alors, il y eut un changement chez son amant, il eut un raidissement de tout son corps, les pénétrations se faisaient lentes, crispées, accompagnées de feulements rauques, de plus en plus prolongés.
A ce moment, il se retira presque entièrement, puis dans une étreinte brutale, il attira sa belle maîtresse à lui, l’enfonçant jusqu’aux couilles sur son mandrin avec un long râle . Il éjaculait, secoué de spasmes, déchargeant à longs jets, tout son sperme en elle.
Chaque jet de sperme, de son amant, provoquaient des ondes de jouissance chez la belle, qui la manifestait, par de longs et profonds gémissements.Ralph qui finissait de jouir, retourna la belle Marnie et appuyant sur sa nuque, lui fit prendre en bouche, sa mentule, trempée de leur plaisir . La belle, avec un feulement lubrique, engloutit le mandrin, encore turgide, et se mit à le sucer avec avidité.
Ma jolie Jenny était encore toute excitée, mais nous sentions toutes les deux que la fin de la récréation allait bientôt être sifflée, aussi après l’avoir encore une fois passionnément embrassée, j’ abandonnai, bien malgré moi, ses adorables trésors, et discrètement, nous nous retirâmes, laissant les deux amants achever leurs ébats. Alors que nous retournions vers le parking, ma belle coquine, toute excitée m’embrassa sauvagement. Ajoutant, après coup, avec son beau sourire:
— Toi, je ne sais pas où on sera , hein? Mais tu peux être sûre que tu n’es pas prête d’être tranquille, ce soir !
J’éclatai de rire.
— Ma chérie...rien ne me fera plus plaisir!
Je l’embrassai.
A leur retour dans le groupe, Marnie m’adressa un long regard et un de ses beaux sourires. Je lui souris en retour, et avec un clin d’œil lui envoyai un baiser. Je n’en avais pas fini avec elle...
Deux heures plus tard, un bus arriva, applaudi par les voyageurs. Nous reprîmes la route.
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