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Drague avec mes fesses

Chapitre 3

Lesbienne
Je remets ma jupe, mon corsage et mon blouson, elle ne met que son manteau et son corsage, elle n’a plus de pantalon. Nous prenons le métro, la ligne 4 puis la ligne 1 à Châtelet, Carole toujours derrière moi photographie mes fesses à l’air, mais c’est moins intéressant dans le métro, nous descendons à Georges V pour faire des courses sur les Champs, Carole veut acheter une ou deux jupes pour faire comme moi. Nous entrons dans une boutique un peu branchée qu’elle connait, ma tenue fait sensation, toutes les vendeuses me regardent. Il n’y a pas beaucoup de choix, ce n’est pas tout à fait la saison des jupes courtes, mais il y a deux modèles de jupe qui peuvent l’intéresser et trois corsages. Carole entre dans une cabine d’essayage, elle ne tire pas complètement le rideau.  –Reste devant, mais ne cache pas trop.  Je comprends son manège, me mets devant l’ouverture sans complètement boucher la vue. Elle se déshabille complètement, elle est nue devant moi, et visible d’une bonne partie du magasin. Je la détaille encore une fois avec plaisir elle est très belle avec ses beaux seins hauts et fermes, ses belles hanches et ses superbes fesses, je suis de plus en plus sous le charme. Elle me sourit, enfile une jupe et un corsage. Elle sort pour se regarder devant une glace, côté gauche, côté droit, à priori ça lui convient. Elle termine en faisant un tour complet sur place, ce qui dévoile complètement ses fesses et son pubis lisse. Elle me regarde en souriant. Je pense que si elle se promène habillée comme ça avec moi sur les Champs, ça va le faire.  –En plus, on peut s’amuser.  Elle retourne dans la cabine, et se déshabille, une fois nue, elle me fait signe d’entrer. J’entre, elle se met à genou, me soulève la jupe et se jette sur ma chatte. Sa langue se glisse entre mes lèvres, elle me mordille le clitoris, me le suce, me l’aspire à tel point que je joui en la plaquant sur mon sexe en moins de deux minutes. Tout ça, le rideau pas entièrement fermé. Elle se redresse.  –J’aime ton jus, j’en reprendrais bien une dose un peu plus tard. –A ta disposition, mais j’aimerais te rendre la politesse. –Plus tard, il faut choisir le blouson.  Elle se rhabille, prend les deux jupes et deux corsages, mais aucuns blousons présentés ne lui plaisent. Nous décidons d’aller dans un autre magasin, après plusieurs essais, elle trouve un blouson très confortable et chaud. Elle entre dans une cabine d’essayage, ne tire pas complètement le rideau et se déshabille entièrement. De nouveau, elle est nue devant moi et visible de la moitié de la boutique. Je vois qu’elle est comme moi, elle aime se montrer.   –Tu a besoin d’être à poil pour essayer un blouson ? –Non, mais je ne peux pas l’essayer avec mon manteau. –Ok.  Je rentre dans la cabine et m’agenouille devant elle, je pose mes mains sur ses fesses, l’attire à moi et pose mes lèvres sur son sexe. Je la lèche, glisse ma langue entre ses lèvres, remonte jusqu’au clitoris que je suce, aspire, mordille jusqu’à ce que je la sente exploser dans un superbe orgasme. Ses mains caressent mes cheveux. Je me redresse, elle m’attire à elle et nous nous embrassons tendrement. La vendeuse ouvre le rideau, nous sommes enlacées, elle nue et moi en micro jupe avec une main sur les fesses, elle sourit en nous voyant.  –Bonjour mademoiselle, vous allez bien aujourd’hui ? –Très bien Céline, je te présente mon amie Julie. –Bonjour mademoiselle. 
–Bonjour Céline.  Je sors de la cabine, Céline aide Carole à s’habiller, mais ses mains trainent vraiment trop sur son corps, elle la caresse sans rien oublier, y compris le sexe. Carole ressort de la cabine en corsage et micro jupe, elle enfile le blouson qui lui va à merveille. Elle demande un grand sac à Céline pour y mettre les affaires qu’elle portait et de pouvoir laisser son sac qui est assez encombrant, ce qu’accepte volontiers Céline. Elle se regarde dans la glace une nouvelle fois.  –Super cet ensemble.   Nous sortons du magasin sous les yeux ébahis des autres vendeuses.   –Tu la connais bien ? –Oui, à chaque fois que je viens ici, nous nous amusons un peu, elle est très belle et est une redoutable brouteuse de minou. –Je vois.  Nous marchons bras dessus bras dessous sur les Champs, je vois pas mal de personnes derrière nous, elles n’en croient pas leurs yeux. Au bout d’un moment nous arrivons à la station Charles de Gaule Etoile, nous décidons de prendre le RER. Le premier qui se présente est pour Boissy Saint-Léger, ça fera l’affaire. Il y a deux femmes derrière nous sur le quai, elles se tiennent à quatre ou cinq mètres en nous observant, ce doit être pour avoir plus de recul. Le RER arrive, j’entraine Carole vers un autre wagon, les femmes nous suivent. Nous montons dans le train, il n’y a presque personne, nous montons les escaliers en faisant bien valser nos jupes, les femmes nous suivent toujours. L’étage n’est occupé que par une personne tout au début. Nous allons vers le fond du wagon, Carole en profite pour poser une main sur mes fesses en me soulevant la jupe. Je choisi une banquette entièrement libre pour nous assoir face à face. J’écarte les jambes pour montrer mon sexe à Carole, elle fait la même chose. Nos sexes sont visibles par tout le monde.  –Il brille ? –Oui, et le mien ? –Le tien aussi. –C’est un peu normal après ce que nous venons de vivre.  C’est à ce moment qu’une des femmes s’assoie à côté de moi, l’autre femme à côté de Carole. Son manteau lui couvre les jambes jusqu’au mollets. La femme en face de moi me regarde.  –Vous avez une bien belle vulve mademoiselle, et à priori, qui demande à ce qu’on s’occupe d’elle si je me fie à ce que je vois. –Et vous voyez quoi ? –Deux magnifiques lèvres très brillantes enserrant un clitoris qui ne demande qu’à s’exprimer, je me trompe ? –Pas vraiment.  Elle me sourit tout en posant la main sur la cuisse de Carole qui ne bouge pas. L’autre femme fait de même avec moi, je ne bouge pas. Leurs mains glissent vers le haut de nos cuisses, elles ne rencontrent aucun obstacle vu la longueur de nos jupes. La main de la femme arrive sur mon pubis, elle se plaque dessus, l’autre femme fait de même à Carole. Elles nous font exactement le même chose à chacune de nous.   –Quelle douceur cette peau, je peux prospecter plus loin ? –Bien sûr.  Sa main, comme celle de sa compagne, descend un peu pour arriver sur mon sexe. Son majeur s’insinue entre mes lèvres de plus en plus humides, il s’enfonce le plus loin possible, son pouce me titille le clitoris. Je vois Carole légèrement onduler du bas ventre sous les mêmes caresses de l’autre femme. Je commence aussi à onduler du bas ventre en écartant le plus possible mes cuisses, comme Carole. La femme nous regarde.  –Vous aimez vous exhiber ? –Oui –Devant un certain nombre de personnes ?  Je regarde Carole qui opine de la tête.  –Oui –Alors suivez nous, nous allons dans un coin super, ne vous en faites pas, c’est très cool.  Nous nous regardons, je vois à l’air de Carole qu’elle est partante.  –Ok, c’est où ? –Il faut descendre à Châtelet les Hales. –Ok.  Elles nous pistonnent avec leurs doigts, je commence à monter dans les tours, mon ventre se crispe, mais le train ralenti, nous sommes arrivés. Elles se regardent, nous libèrent et se sucent le doigt.   –Délicieux.  Tout le monde se lève, je suis un peu dans les vaps, et je remarque de Carole est comme moi, nous n’étions pas loin de jouir toutes les deux. Nous sortons de la station. Nous discutons en marchant, elles s’appellent Jeanne et Hélène. Nous les suivons dans le quartier Châtelet-les-halles pour arriver devant un sexshop. Nous entrons, je suis surprise par la chaleur qui règne dans la boutique. Il y a un peu de monde, l’entrée de quatre femmes éveille l’attention, ce n’est pas habituel. Il y a tout de même deux autres femmes, au total une petite douzaine de personnes. Tout de suite, Jeanne va vers le vendeur.  –On peut faire comme d’habitude ? –Bien sûr Jeanne, c’est libre, tu vas avoir des spectateurs. –Et en plus, j’ai de nouvelles adeptes.  Elle se tourne vers Hélène.   –On y va.  Hélène la rejoint, elle se mettent devant le comptoir et commence à déboutonner leurs manteaux. Au fur et à mesure que les boutons se défont, elles dévoilent leur peaux nues. Je réalise qu’elles sont nues sous leurs manteaux. Elles se déshabillent lentement, comme dans un strip-tease. Quand elles sont nues, elles se tournent et donnent leurs manteaux au vendeur. Elles sont superbes, et comme nous, épilées. Hélène vient vers Carole.  –Tu te sens de faire la même chose ? –Oui, bien sûr, et je suis sûre que Julie aussi. –Bien sûr. –Allons-y.  Nous allons nous mettre devant le comptoir et commençons un strip-tease d’enfer, seulement, nous ajoutons une variante, c’est moi qui déshabille Carole et c’est elle qui me déshabille, nous nous déshabillons alternativement. Je vois deux hommes qui se masturbent, mais restent à distance respectable. Au bout de quelques minutes, nous sommes quatre femmes nues dans un sexshop devant cinq hommes et deux femmes. Jeanne va vers une des femmes. Elle semble avoir dans les cinquante ans.  –Et toi ? –Non  Elle se tourne vers l’autre.  –Et toi ? –Pourquoi pas.  Elle vient se mettre devant le comptoir et se tourne vers le monde. Elle doit avoir à peine plus de vingt ans. Elle me regarde et me fait signe de venir vers elle. Je comprends ce qu’elle veut et lui enlève son manteau. Je déboutonne son corsage lentement en la caressant. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et dévoile une très belle poitrine bien ferme. Je passe mes mains sur ses seins pour écarter les pans de son corsage et lui enlever avant de m’attaquer au pantalon. Je fais glisser le zip, écarte les pans de la ceinture et le fais glisser vers le bas. Je découvre un string blanc légèrement taché entre les jambes. Je la regarde, elle me sourit en haussant les sourcils. Le dégage son pantalon, le pose sur le comptoir et pose mes mains sur ses hanches. Mes mains se glissent entre l’élastique et sa peau, les paumes plaquées sur ses hanches. Elles se resserrent sur le haut des fesses et glissent vers le bas en caressant ses deux magnifiques globes de chair et dévoilant un pubis lisse. Je la sens frissonner. Je lui caresse les fesses et ses jambes jusqu’aux chevilles. Elle lève ses pieds, je me redresse et pose son string sur le comptoir. Jeanne vient vers elle. …/… 
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