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Drague avec mes fesses

Chapitre 7

Zoophilie
Nous nous déshabillons et allons prendre une douche chaude, pour nous réchauffer mais surtout pour laisser nos mains se balader sur les courbes qui nous entourent. L’eau chaude coule sur nos trois corps serrés pendant que nos mains s’égarent. Une demi-heure après, nous sommes sur le divan. Je suis sur le dos, Sandrine sur moi tête-bêche et Carole qui nous caresse toutes les deux. Nos langues s’activent à tel point que nous jouissons assez rapidement. Sandrine se lève pour aller prendre un verre d’eau, Carole la remplace sur mon corps. De nouveau mon corps exulte sous ses caresses, comme le fait exulter le sien sous les miennes. Nous sommes épuisées, nous allons dans ma chambre pour nous jeter sur mon lit côte à côte. Nous finissons par nous endormir les unes à côté des autres. La nuit a été agitée et très jouissive, nous nous levons le matin tout de même un peu fatiguées par le manque de sommeil réparateur. Après avoir déjeuné, je vais prendre une douche. Sandrine me suit et nous nous lavons mutuellement en nous caressant, de sorte que nous jouissons l’une après l’autre. Quand Carole nous rejoint, nous nous occupons d’elle et la faisons exploser dans un terrible orgasme. Nous sortons de la salle de bain, Carole regarde sa montre.
–Bon, ce n’est pas tout ça, mais je dois aller chez ma sœur Marie, pour garder son chien, je dois le garder toute la journée, elle va au baptême de la fille d’une de ses amies dont elle est la marraine. –Un baptême le samedi ? –Ce n’est pas un baptême chrétien, son amie est juive, je ne sais pas comment ça s’appelle dans sa religion, mais c’est l’équivalent du baptême chrétien. –Ça s’appelle Zeved Habat pour une fille. –Peut-être. –C’est sûr, j’ai beaucoup d’amies Séfarades, et j’ai souvent assisté à ce genre de cérémonie, elle a quel âge ? –Un mois. –Ce sont eux aussi des Séfarades, leurs coutumes veulent qu’ils baptisent les filles un mois après la naissance lors de l’office du samedi. –C’est quoi les Séfarades. –Les juifs originaires d’Afrique du Nord au contraire des ashkénazes, les juifs d’Europe centrale. –Ok –Tu vas t’ennuyer. –Comme une ratte morte, je n’ai rien à faire chez elle, juste lire un peu. –On peut venir avec toi ? –Bien sûr, ça me ferait même très plaisir. –Tu préviens ta sœur ? –Pas la peine, mais je dois passer chez moi pour me changer. –Pas de problème, j’ai tout ce qu’il faut pour nous trois, venez.
Nous allons dans mon dressing et chacune choisit une tenue qui lui plait. Carole dans une robe parme mi-cuisse près du corps, Sandrine dans une jupe moulante bleue mi-cuisse aussi et corsage blanc, moi dans une robe un peu ample rouge avec de gros boutons devant. Carole enfile son manteau ainsi que Sandrine. Je fais comme elles et enfile un long manteau en cuir. La température est montée par rapport à la veille, il fait nettement plus doux, dans les sept-huit degrés. La sœur de Carole n’habite pas très loin, une demi-heure en voiture. Quand nous arrivons chez elle, nous tombons sur une jeune femme entre vingt et vingt-cinq ans en robe courte assez moulante, pas très grande, blonde, très bien foutue, mais on voit les traces de sa culotte et de son soutien-gorge, je ne trouve pas ça spécialement esthétique, mais chacun ses goûts. En revanche, son chien n’est pas une miniature, c’est un malinois, Farouk. Il est imposant, mais très doux et affectueux, il vient tout de suite se frotter à nous pour se faire caresser. Marie est à la bourre, elle doit partir tout de suite, juste le temps de nous expliquer ce qu’il faut faire avec Farouk.
–Vous le laissez sortir dans le jardin deux fois dans la journée, ça ne risque rien, la maison est entourée de troènes. Mais ne le laissez pas aller dans une chambre, je lui interdis, il reste dans la cuisine ou le salon. Je serais de retour vers dix-neuf heures. –Ok, ne t’en fais pas, on va s’occuper de lui.

Marie s’en va.
–Quel âge a-t-elle ? –Vingt-cinq ans, elle bosse dans une grosse boite en tant que responsable de bureau d’étude. –A son âge ? –Elle a eu le bac à seize ans comme toi, puis math sup, math spé et une grande école d’ingénieur, sup-aéro à Toulouse, elle travaille pour un sous-traitant aéronautique d’Airbus. Je peux te dire qu’elle gagne très bien sa vie. –Elle vit seule ? –Elle ne veut pas se marier. –Des mecs ? –Des mecs, des femmes, tout ce qu’elle trouve, elle est bi. –Mmmmmmmm
Nous nous installons dans la maison de Marie pour la journée. Carole nous fait visiter la maison assez grande.
Je vais faire des courses avec Sandrine car Marie n’attendait que Carole. Le fait d’avoir à garder le chien change notre emploi du temps, nous décidons de faire comme si nous étions chez moi, la maison étant bien abritée des regards. Il fait très chaud dans la maison.
–Quelle chaleur. –Marie vit toujours à poil, c’est pour ça qu’elle a fait mettre une clôture de troène très haute et l’hiver, elle met le chauffage à fond. –Ça tombe bien, nous allons faire comme elle.
Tout le monde se déshabille et nous commençons à nous faire plaisir sur le divan. Je m’occupe du sein gauche de Carole pendant que la langue de Sandrine se promène entre mes fesses. Soudain Farouk se lève et vient vers nous. Il s’arrête devant nous, s’assoit et nous regarde faire. Nos effluves de filles en chaleur doivent l’exciter car je vois son sexe sortir petit à petit de sa gaine. Carole se redresse. Sandrine le regarde intensément.
–Qu’est-ce qui lui prend ? –Il a envie de se faire une de nos petites chattes. –J’en étais sûre, ma sœur s’envoie en l’air avec son chien, maintenant, je comprends pourquoi elle ne peut pas rester plus de deux jours sans un chien. –Tu n’as jamais essayé ? –Tu plaisantes. –Et toi Sandrine ? –Moi, j’ai déjà essayé avec ma mère. –Décidemment, tu ne fais rien sans ta mère. –Elle ne voulait plus d’homme dans sa vie après ce que lui a fait mon père, alors elle s’est orientée vers son chien et ça lui plait beaucoup. –Mais comment a-t-elle pu ? –Un après-midi, je suis rentrée plus tôt de la gym, mon prof était malade. Quand je suis entrée à la maison par le jardin, comme je le faisais quand je rentrais trop tard. En montant vers ma chambre, j’ai vu maman dans le salon, à quatre pattes avec notre chien sur le dos. J’ai mis un certain temps à comprendre ce qui se passait, mais la situation m’a excitée. Je suis redescendu en silence jusqu’à ce que le chien la libère, je savais que ça pouvait durer un certain temps pour avoir vu notre chien saillir une femelle. –Et tu as fait quoi ? –J’ai juste demandé à ma mère pourquoi. –Et elle t’a donné les raisons que tu viens de nus exposer. –Oui. –Et qu’as-tu fait. –Je lui ai demandé si je pouvais essayer. –Qu’est-ce qu’elle a dit ? –D’accord, mais je suis là pour te guider. –Et toi, ça t’a plu ? –Oui, c’est différent des hommes et beaucoup plus endurant, le plus génial, c’est quand il t’introduit son bulbe et te remplit de sperme. –Tu veux lui faire plaisir ? –Ça ne vous dérangerait pas ? –Moi non, et toi Carole. –Moi non plus. –Vous pourrez essayer après. –Pourquoi pas. –Je te le dirais après avoir vu comment ça se passe. –J’ai une autre idée, asseyons-nous sur le bord de divan les cuisses écartées, et voyons qui il choisit pour un broutage de minou.
Nous nous installons comme préconisé par Sandrine, côte à côte, les jambes bien ouvertes.
–Allez mon chien, viens voir tes tantines.
Farouk se lève et vient vers Carole. Je vois qu’elle appréhende, mais elle le laisse faire. Farouk pose son museau sur sa vulve, elle sursaute. Il renifle sa vulve et sort sa langue pour lui lécher l’entrejambe du périnée au clitoris. Elle est parcourue par un frisson.
–Ouha, c’est super.
Farouk continu de la lécher, Carole est de plus en plus dans un état second, elle se concentre sur cette langue qui la fait monter doucement au paradis des plaisirs. Je vois la bite de Farouk complètement sortie, il donne de petits coups de reins dans le vide. Carole ne résiste pas et explose dans un superbe orgasme.
–AAAAAAHHHHHHHH, il me fait jouir le salop, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Farouk donne toujours des coups de reins dans le vide, Sandrine se met à côté de lui, à quatre pattes. Farouk lèche toujours Carole, mais quand celle-ci referme ses cuisses après avoir joui trois fois coup sur coup, il se retourne vers Sandrine et vient poser sa truffe entre ses fesses. Je vois sa bite sortir encore plus et il lui monte dessus. A priori, il sait ce qu’il fait car il l’empale d’un seul coup de reins et lui plante son vit jusqu’à la garde.
– AAAAAAHHHHHHHH, putain, quelle bite, vas-y mon Farouk, baise-moi, défonce-moi, fait moi exploser la chatte.
Je suis un peu surprise par ce langage, mais la situation m’excite, je me jette sur Carole, l’allonge sur le divan et me positionne en soixante-neuf. Ses mains m’attirent vers sa bouche et une langue experte s’agite sur mon clitoris. Je jouis en quelques secondes, sans même avoir eu le temps de poser ma bouche sur son sexe.
–Ooooooooooooh oui, oui, oui.
Sandrine me répond.
–Ça y est, il me remplit, il se vide en moi, oh quelle bite, quelle bite elle gonfle, quelle bite.
Dans mon délire, je vois Sandrine replier ses bras et poser sa tête sur le sol. Elle présente sa vulve grande ouverte au bulbe de Farouk qui s’enfonce encore plus en elle jusqu’à disparaitre complètement entre ses lèvres. Il s’immobilise, juste secoué par de petits sursauts. Il la remplit de son sperme. Sandrine repart dans un nouvel orgasme.
–Oui, oui, oui, encore, encore.
Je reviens un peu à moi et m’occupe de la vulve de Carole qui ne tarde pas elle non plus à jouir une nouvelle fois. Au bout de quelques minutes, je me redresse, Farouk est toujours planté dans la vulve de Sandrine qui est encore le cul en l’air et la tête sur le sol. Je me lève, j’ai envie de prendre une douche, je suis en nage.
–Je vais prendre une douche les filles. –Tu sais ou c’est ? –Oui, ne t’en fait pas. –Il y a des serviettes dans le petit meuble en bas, prends-en une. –Ok. .../...
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