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Drague avec mes fesses

Chapitre 11

Zoophilie
–Je dois te dire quelque chose. –Grave ? –Peut-être. –Vas-y. –J’ai un chien, je dois le récupérer demain au plus tard, sinon mon ex le met en fourrière, il l’a gardé parce que l’hôtel ne voulait pas de chien, mais il ne veut pas le garder au-delà de demain, mardi, il est en fourrière. –C’est quoi comme chien ? –Un dogue allemand. –Quoi ? –Un dogue allemand, mais tu sais, ce sont de très gros chien, mais ils vivent dans des appartements sans problème, ils ne demandent que de l’amour, ils n’ont pas besoin de grands espaces. D’autant que tu as un grand appartement. –Il est où ? –Chez mon ex, à dix minutes d’ici à pied. –Téléphone-lui, on va le chercher.
Je suis dans tous mes états, un chien à la maison, surtout un dogue allemand, il doit avoir une méga bite, j’espère qu’il est dressé, mais je n’ose pas le demander à Elodie.
Une demi-heure plus tard, nous sommes devant l’appartement de son ex, la porte s’ouvre et le chien sort sur le palier, une gamelle et un sac suivent, la porte se referme.
– Ça, c’est un accueil chaleureux. –Ne t’en fais pas, c’est un con.
Le chien fait la fête à Elodie, il ne l’avait pas vue depuis deux jours.
–Au fait, il s’appelle comment. –Hector. –Pas banal pour un chien.
–Tu ne trouves pas qu’avec sa gueule, il ressemble à un major d’homme ? –Si tu le dis.
Nous rentrons chez moi, Elodie installe Hector dans un coin du salon. Ce chien est très affable, il est calme, doux, assez câlin. Il vient souvent se frotter à Elodie pour se faire caresser. Je ne vois aucuns des signes qui prouveraient autre chose que de l’affection entre eux. Mais j’ai vu la gaine sous son ventre, et elle est vraiment grosse, j’imagine quel sexe pourrait en sortir. Elodie voudrait prendre une douche. Je lui donne tout ce dont elle a besoin et retourne au salon. Je m’installe sur le divan, les jambes ouvertes. Je me caresse un peu, juste de quoi humidifier un peu mon sexe. J’appelle Hector. Il se lève et vient vers moi. L’odeur de ma cyprine l’interpelle et son museau vient se poser entre mes cuisses, juste sur ma vulve. Il renifle et sort sa langue qui vient se glisser entre mes lèvres, jusqu’à mon clitoris. Au début, ce ne sont que quelques coups de langue, mais très vite le rythme s’accélère et je monte très vite dans les tours pour exploser dans un magnifique orgasme. Ceci ne m’a pas empêché de remarquer sa bite hors de son fourreau, et quelle bite.
–Tu ne peux pas t’en empêcher, il faut que tu te fasses une petite chatte par jour.
C’est Elodie qui vient de rentrer dans le salon.
–Excuse-le, j’espère que tu ne lui en veux pas. –Tu plaisantes je pense, en fait, j’espère qu’il va se faire ma petite chatte tous les jours, d’autant que moi, je ne travaille pas, je suis entièrement à sa disposition. –Tu aimes l’amour zoo ? –Oui, j’ai découvert ce week-end l’amour zoo et je dois te dire que j’aime beaucoup, ceci ne m’empêchant pas d’aimer faire l’amour avec des hommes comme des femmes.
Je me lève, l’attrape par les épaules, la fais basculer sur le divan et me jette sur son sexe. Ma langue s’active sur son clitoris pour la faire exploser de bonheur en moins de trois minutes. Hector nous regarde, je suis agenouillée devant le divan à m’occuper du sexe d’Elodie quand je sens Hector me monter dessus. Son sexe bat contre mes cuisses, il donne des coups de reins dans le vide. Je tends ma main vers lui, et au prix d’un bel effort, je réussis à guider sa bite dans mon sexe. Il me possède d’un seul coup. Sa bite est légèrement plus longue et plus large que celle de Farouk, il me remplit bien. Cette pénétration me déconcentre et j’abandonne la vulve d’Elodie pour me concentrer sur ce braquemart qui me défonce. Elodie se dégage et nous regarde médusée. Hector est infatigable, il ne s’arrête pas et me besogne pendant plus de trois minutes. Il ralentit le rythme pour m’enfoncer son bulbe et se vider en moi. Je regarde Elodie, elle semble étonnée.
–Tu ne l’as jamais fait ? –Non, il me léchait la vulve, c’est tout. –Et bien je crois qu’il avait envie d’autre chose, mais tu ne l’as pas vu. –C’est évident. –Tu voudras essayer ? –Je ne sais pas, en tout cas, pas maintenant, mais prends ton pied, d’autant qu’Hector a l’air d’apprécier.
Je reste agenouillée devant le divan pendant plus de dix minutes, juste le temps de jouir trois fois. Le bulbe d’Hector finit par se résorber et me libérer. Je me redresse pour aller prendre une douche. Quand je reviens dans le salon, Elodie n’est plus là, je vais dans sa chambre et la trouve au lit, allongée nue et découverte sur le drap, sur le point de s’endormir. Je me penche sur elle, dépose un baiser sur ses lèvres et me retire. Hector est dans un coin du salon, il dort déjà. Je vais me coucher un peu à regret, j’aurais bien aimé que la soirée soit plus animée.
Le lendemain matin, j’entends du bruit dans la cuisine. C’est Elodie qui prépare le petit déjeuner. Elle doit aller au boulot, mais quand je rentre dans la cuisine, elle est nue. Je l’entoure de mes bras, plaque bien mon pubis contre ses fesses et lui pose un baiser dans le cou.
–Tu vas bien ma chérie ? –Oui, j’ai très bien dormi.
Elle se retourne pour me faire face, pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser torride. Je réponds à sa langue qui s’affole sur la mienne tout en parcourant son sublime corps. Sa main se glisse entre nous et vient se poser sur mon pubis, un doigt s’insinue entre mes lèvres et s’enfonce doucement dans mon vagin. Je l’imite tout en continuant notre baiser. Hector est venu vers nous. Son museau se pose sur ma cuisse gauche. Nous nous séparons, Elodie me prend par la main et m’entraine dans le salon. Elle s’allonge de tout son long avec la tête au bord de l’extrémité gauche. Elle m’attire sur sa vulve, je suis obligée de m’allonger sur elle pour poser ma bouche sur son sexe. De ce fait, je suis allongée sur elle, agenouillée au bout du divan. Je sens sa langue se poser sur mon clitoris quand la masse d’Hector s’abat sur mon dos. Il ne tarde pas à trouver le chemin du bonheur et m’empale d’un seul coup.
–Putain, quel spectacle, sa bite qui te transperce.
Hector s’active pendant qu’Elodie me broute le minou, je ne tarde pas à partir dans un merveilleux orgasme. Elodie m’aspire le clitoris et je repars de plus belle.
–C’est superbe, il faudra que je filme cette boule qui enfle. Attention, il va te la mettre. –Je n’attends que ça.
J’ai à peine fini ma phrase que son bulbe s’enfonce en moi et commence à grossir jusqu’à me dilater au maximum le vagin. J’aime, je dirais même, j’adore sentir cette énorme boule en moi, j’ai l’impression d’être possédée par un être surnaturel. Ça dure plus de dix minutes. Elodie se dégage et va vers sa chambre. Quand Hector me libère, Elodie est déjà habillée et prête à partir. Sa tenue est assez sexy. Jupe à dix centimètres au-dessus des genoux légèrement fendue sur le côté, corsage beige laissant deviner des seins nus.
–Tu m’excuses ma chérie, mais je suis un peu à la bourre, ne t’en fais pas, j’ai promené Hector tout à l’heure, tu dormais, une promenade d’un quart d’heure cet après-midi sera amplement suffisant. Bonne journée, je rentre vers dix-sept heures, tu seras là ? –Bien sûr, mais tu sais, on voit ton string te marquer les fesses, ce n’est pas très beau. –Et que veux-tu que je fasse ? –Que tu l’enlèves. –Tu oublies que je vais bosser là. –Non, mais pour moi, l’esthétique est primordiale. –C’est vraiment moche ? –Très moche, extrêmement moche.
Elle glisse ses mains sous sa jupe, fait glisser le string le long de ses jambes, l’enlève et me le donne.
–Ça va comme ça ? –Parfait, vraiment parfait, tu es sublime. –J’espère que ça va bien se passer au boulot, à ce soir. –Ne t’en fais pas, bonne journée.
Je donne un trousseau de clefs à Elodie.
–Comme ça, tu entre directement, pas besoin de me déranger. –Ok, merci.
Elle s’en va me laissant seule avec Hector. Il a l’air de bien m’aimer, il ne me quitte pas. Je vais faire ma toilette après avoir rangé le salon et la cuisine. Hector reste dans le salon. En revenant au salon, je vois Guillaume qui regarde. Je lui fais un signe auquel il répond, il a un grand sourire. Je m’assoie sur le divan et, immanquablement, Hector vient devant moi. J’écarte les cuisses pour l’attirer sur mon sexe. Mais, vu ma position et celle de Guillaume, il ne peut pas voir ce que me fait Hector. Je me lève, fais pivoter un fauteuil de manière à ce que Guillaume ne perde rien de ce qui va se passer. Je m’installe les cuisses ouvertes attendant Hector. Il ne tarde pas, sort sa langue pour me lécher du périnée au clitoris. Je me tords de plaisir sur le fauteuil jusqu’à jouir plusieurs fois. Guillaume est toujours là. J’ai envie d’autre chose, je me lève pour me mettre à quatre pattes devant la fenêtre, légèrement en biais pour qu’il voie bien. Hector comprend et me monte dessus. Son sexe trouve tout seul le bon chemin et se glisse violemment dans ma vulve. J’aime cette possession brutale, Hector ne me ménage pas, il se déchaine dans mon sexe sans précautions, j’aime. Il finit par m’introduire son bulbe. Je me positionne pour que Guillaume puisse bien voir. Au bout de longues minutes, Hector me libère et va dans son coin se lécher la bite. Je vais prendre une douche en faisant un dernier signe à Guillaume.
La journée se passe lentement, je ne sors pas, je reste à l’appartement avec Hector qui vient de temps en temps me lécher la vulve et me faire exploser de plaisir, mais sans rien d’autre, comme il faisait avec Elodie. Je promène Hector après le déjeuner, ma tenue et cet animal attirent invariablement les regards, hommes ou femme, je suis extrêmement excitée, ma cyprine coule le long de mes cuisses ce qu’Hector sent tout de suite, il essaye de mettre son museau sous ma jupe, j’ai toutes les peines du monde à l’en empêcher. Nous rentrons vers quinze heures, je me déshabille pendant qu’Hector va s’allonger dans son coin. Je viens à quatre pattes vers lui, mais pas pour me faire posséder, je veux autre chose. Quand je suis sur lui, je me penche vers son sexe toujours enfoui dans sa gaine. Je pose ma main dessus comme pour le masturber. Je commence à être inondée de cyprine, je suis très excitée. Je passe ma main gauche sur mon sexe et la présente devant son museau. La réaction est immédiate, son sexe commence à sortir de sa gaine. Je me penche un peu plus et lui gobe la partie sortie. Je sens son sexe s’allonger dans ma bouche, très vite un liquide en sort en continu, il est délicieux, je m’empresse de l’avaler. Hector écarte ses jambes, je suis maintenant sur lui, je fais passer une jambe de l’autre côté de sa tête, ma vulve est juste au-dessus de son museau. Je sens sa langue sur mes lèvres, j’hallucine, je fais un soixante-neuf avec un chien. Le liquide coule de plus en plus fort, je l’avale avec délice, mais je sens qu’il va arriver un moment ou je ne pourrais plus. Je suis secouée de plusieurs orgasmes jusqu’au moment où Hector m’envoie un énorme jet de sperme dans la bouche. Je n’en peux plus et libère sa bite qui se vide sur moi.
Je reste un moment dans la même position en faisant attention à ne pas l’écraser. Il me lèche toujours la vulve de sa douce langue. Je me redresse, me mets à quatre pattes et attends de voir ce qu’il va faire. Il se lève, me monte dessus et m’empale de son vit vigoureux. Seulement, son bulbe est déjà gonflé et son introduction ne se fait pas en douceur. Il me pénètre quand même pour s’immobiliser et se vider en moi. Ce chien a une quantité de sperme incroyable, il me remplit le vagin après m’avoir déversé une quantité énorme de liquide dans la bouche. Hector me libère assez vite, il retourne dans son coin. Après avoir pris une douche, je m’allonge sur le divan pour attendre Elodie, mais un coup de sonnette retentit. Je me lève, regarde par le judas, c’est Sandrine, j’ouvre. Elle se jette dans mes bras et m’embrasse. …/…
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