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Drague avec mes fesses

Chapitre 12

Zoophilie
–J’avais peur que tu ne sois pas là. –Je ne suis pas sorti aujourd’hui, j’avais autre chose en tête, comment se fait-il que tu sois là ? –Je ne suis pas bien, j’ai fait faire un certificat médical, je suis officiellement malade jusqu’à lundi prochain. –Malade ? –Je me suis disputé avec Florence, elle n’a pas trop apprécié la soirée de vendredi, et surtout que je vous aie accompagnés samedi chez Marie. Contrairement à ce que je pensais, elle n’est pas partageuse. Elle m’a fait une scène terrible je ne sais pas quoi faire, je suis complètement déboussolée. –Tu comptes retourner chez vous ce soir ? –Oui, il faut crever définitivement l’abcès, je veux savoir ce que je peux faire et ne pas faire, si ça ne me plait pas, je me tire. –Et tu vas où ? –J’ai encore ma chambre chez ma mère. –Pour l’instant suis-moi, j’ai quelque chose à te montrer. –Quoi donc ? –Suis-moi.
Je la précède dans le salon, Hector est toujours dans son coin, en nous voyant, il se lève et vient vers nous.
–C’est quoi ce monstre ? –Mon nouveau baiseur. –Tu as acheté un chien ? –Non, c’est celui d’Elodie, son mec ne voulait pas le garder. –Quelle bête, il baise bien ? –Tu n’as qu’à l’essayer. –Ok.
Elle fait valser ses vêtements et vient se mettre à quatre pattes devant Hector. Sans le vouloir, elle a pris une excellente position pour que Guillaume puisse en profiter. Hector n’hésite pas une seconde, il lui monte dessus, il donne de grands coups de reins, mais sa bite se heurte surtout à ses cuisses, je suis obligé de la guider pour qu’il pénètre enfin Sandrine.
–Oh la vache, quelle bite.
Hector se donne au maximum, son rythme est endiablé, Sandrine se tord de plaisir et éclate dans un magnifique orgasme. Au bout d’un certain temps, Hector ralentit le rythme pour s’immobiliser et lui introduire son bulbe.
–Oh la vache, il grossit, il grossit, il va m’exploser la chatte. Putain quel pied, quel pied.
Elle jouit une nouvelle fois et pose sa tête sur le sol. Hector ne bouge plus, mais je vois à ses soubresauts qu’il se vide en elle, la remplissant de son foutre. Au bout d’un peu plus de dix minutes, il se dégage de Sandrine et va se coucher dans son coin. Elle reste dans la même position, je m’agenouille derrière elle, j’ai devant moi son sexe encore à moitié ouvert qui laisse couler le sperme d’Hector. Je pose ma bouche dessus pour le boire, j’adore son sperme. J’en profite pour lui caresser le clitoris ce qui la fait partir dans un nouvel orgasme. Soudain, la porte s’ouvre, se referme et Elodie apparait. Je n’avais pas bien évalué l’heure, ça ne m’empêche pas de continuer de nettoyer le sexe de Sandrine. Hector se lève et se précipite vers elle. Sans un mot, elle enlève son corsage et sa jupe pour apparaitre nue devant nous. Hector pose sa truffe sur son pubis. Elodie vient vers le canapé, s’assoie, écarte les cuisses et attend. Hector se jette sur sa vulve pour la lécher à grands coups de langue.
–Tu fais quoi. –Je nettoie le sperme d’Hector. –Ah ? –Il est excellent.
Elle me regarde un peu étonnée, apparemment, ce genre de comportement lui est complètement étranger. Je me lève, aide Sandrine à se lever et nous allons nous assoir à côté d’Elodie.
–Tu n’as jamais bu de sperme ? –Non, jamais. –Tu n’as jamais fait de fellation ? –Oui, bien sûr, mais jamais jusqu’au bout. –Pourquoi ? –Je ne sais pas, une sorte d’appréhension, de peur, de dégout peut-être. –Tu ne voudrais pas essayer ? –Je ne sais pas, c’est comme l’amour zoo, je ne pense pas être prête. –Pourtant tu te fais lécher la vulve par ton chien. –De là à se faire baiser, il y a un pas que je n’arrive pas à franchir, pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque. –Alors, rien n’est perdu. –Tu as baisé avec lui aujourd’hui ? –Oui, et j’ai même fait un soixante-neuf avec lui, je crois qu’il a apprécié, en tout cas pour moi, c’était d’enfer. –Un soixante-neuf ? –Oui, il me léchait la chatte pendant que je le pompais, j’ai adoré le liquide qui coulait en permanence de sa bite. –Tu as fait une pipe à Hector ? –Oui, j’ai adoré et je recommencerais certainement.
Sandrine se lève et fait coucher Hector sur le tapis, son sexe sort encore un peu. Elle se penche sur lui et embouche sa bite. Comme tout à l’heure, il écarte un peu plus les jambes. Sandrine le pompe consciencieusement tout en pivotant pour présenter sa vulve au museau d’Hector. Elle passe sa jambe de manière à ce que son sexe se plaque sur sa truffe. Il comprend ce qu’on attend de lui et sort sa langue pour la passer entre ses lèvres intimes. Hector donne de petits coups de reins, il est évident que Sandrine boit avec grand plaisir le liquide qu’Hector déverse dans sa bouche. Je vois le bulbe d’Hector se gonfler et les joues de Sandrine se gonfler. Il éjacule dans sa bouche, elle arrive à tout boire jusqu’à ce qu’Hector se calme. Il la lèche toujours, Sandrine passe d’un orgasme à l’autre, jusqu’à ce qu’elle décide de se redresser et le libérer. Elle regarde Elodie en se léchant les babines.
–Il est excellent, ce sperme est excellent, bien meilleur et surtout beaucoup plus abondant que celui d’un homme. –Ça, c’est une question de goût. –Il ne me reste plus qu’à me faire enculer par lui, comme ça, j’aurais eu sa bite dans tous mes orifices. –Gourmande va !!
Guillaume n’a rien perdu de ce qui s’est passé dans le salon, je le regarde, il me fait signe d’attendre. Il disparait dans son salon pour réapparaitre quelques minutes plus tard. Quand je le regarde il me fait voir un panneau, « Je peux essayer le chien ? ». Je suis abasourdie, je ne pensais pas que guillaume puisse aimer se faire sodomiser. Je regarde Elodie et lui montre le panneau.
–Qu’en penses-tu ? –S’il veut se faire enculer par Hector, pourquoi pas, je ne pense pas que ça le gêne, pourvu que ce soit un trou. –Ok
Je me retourne vers lui et lui fais oui de la tête. Il sort un autre panneau, « Je suis chez toi dans quinze minutes, ok ? ». De nouveau, je lui fais oui de la tête. Il disparait dans son salon.
–Bon, je crois qu’on va avoir un spectacle un peu particulier. –Tu ne m’avais pas dit qu’il avait plus de soixante-dix ans ? –Soixante-douze exactement, mais vous allez voir, il est encore en grande forme, il se maintient. –Comment tu le sais ? –Je le connais depuis que je suis toute petite, c’était un ami de mes parents, et je l’ai vu une ou deux fois passer à poil devant sa fenêtre. Il est encore bien, pas de ventre et j’ai cru apercevoir un bel engin sous sa taille. –Tu crois qu’il bande encore ? –On ne va pas tarder à le savoir. –J’espère si comme tu dis il a une belle bite. –Au fait Elodie, comment s’est passée cette journée sans culotte ? –Bien, je me sentais toute chose de passer à côté de mes collègues les fesses à l’air sous ma jupe. –Et ta tenue n’a pas mis le feu dans ta boite j’espère. –Non, mais le plus drôle, c’est que seule ma secrétaire m’en a fait la remarque me disant même que c’était très sexy de ne pas avoir mis de culotte sous ma jupe, me rappelant qu’elle n’en portait jamais sous ses pantalons, mais toujours avec une jupe ou une robe. –Elle était habillée comment aujourd’hui ? –En pantalon, et son comportement a été très bizarre toute la journée, elle se débrouillait pour le tourner le dos, penchée en avant pour bien me faire voir qu’elle était nue sous son pantalon, de plus, j’ai eu l’impression qu’elle cherchait le contact. –Moi je pense qu’elle a envie de toi, qu’en penses-tu Sandrine ? –Entièrement de ton avis Julie, tu devrais lui tendre une perche Elodie, juste pour voir comment elle réagit. –Et si elle me fait comprendre qu’elle me désire, et qu’elle veut faire l’amour avec moi, qu’est ce que je fais, c’est ma secrétaire, il ne pourra plus y avoir de hiérarchie entre nous. –Ok, mais est-ce que ça te plairait d’avoir une aventure avec elle ? –Oui, elle est très belle, intelligente, elle a des seins et un cul magnifiques, je le sais pour avoir vu ses seins un jour ou elle se penchait vers moi pour me montrer un dossier, elle ne portait pas se soutient gorge et son corsage était assez ample. –Alors, rien à faire des conséquences, et si elle est intelligente, elle saura faire la part des choses.
Je vais préparer des rafraîchissements pour l’arrivée de Guillaume, je suis un peu gênée, je ne voudrais pas qu’un rapport différent s’installe entre nous, j’aime bien sa manière de se comporter vis-à-vis de moi. Vingt minutes plus tard, on frappe à la porte. Je vais ouvrir. Guillaume entre, un petit sac à la main, il me prend dans ses bras et m’embrasse sur les joies.
–Tu ne peux pas savoir ce que ça me fait plaisir d’être là, ça me rappelle tant de souvenirs. –Entre.
Il s’immobilise dans l’entrée et se déshabille entièrement.
–Je pense qu’il faut être dans la tenue locale.
Guillaume est vraiment bien conservé, une peau encore bien tendue, un ventre plat, un torse puissant et surtout une énorme queue qui pend entre ses jambes. Je le précède dans le salon en souriant, je vois que les filles sont ravies de le voir ainsi. Leurs yeux ne peuvent s’empêcher de regarder entre ses jambes, elles apprécient ce qu’elles voient.
–Guillaume, je te présente Elodie et Sandrine. Je crois que tu les connais un peu. –De vue, juste de vue. .../...
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