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Drague avec mes fesses

Chapitre 14

Zoophilie
Le lendemain, je me lève la première vers sept heures, je m’habille, micro jupe, corsage transparent et blouson chaud pour descendre promener Hector et acheter du pain et des croissants à la boulangerie juste à côté de chez moi. Il fait froid, mes fesses, toujours à l’air, le ressentent et je commence à sérieusement mouiller. Hector le sent, il se glisse derrière moi et essaye de passer son museau sous ma jupe, comme il n’y a personne à cette heure, je ne dis rien, pour voir ce qu’il veut faire. Il donne un coup de langue entre mes cuisses, sa langue glisse entre elles et remonte entre mes fesses. Je suis tétanisée par un violent frisson, il recommence une seconde plus tard, puis une nouvelle fois. C’est trop bon cette langue chaude sur mes fesses gelées, je m’appuie contre un arbre, j’écarte les jambes pour lui libérer plus de place. Sa langue se glisse entre mes cuisses pour remonter le long de mes lèvres, je suis de plus en plus dans les vaps, je sens le plaisir monter lentement en moi. Je regarde autour de moi, personne à l’horizon. Je le laisse faire jusqu’à ce que mon corps exulte dans un violent orgasme, mon corps est secoué par de puissants soubresauts, je me retiens à l’arbre comme je peux, secouée par ce violent orgasme. Je réussis à me reprendre, vais acheter le pain et les croissants en l’attachant dehors et décide de me balader un peu avant de rentrer. Hector est étrangement calme, il n’essaye pas de soulever ma jupe, pourtant je mouille de plus en plus, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, mais juste au moment où j’arrive à mon immeuble, Hector recommence, il me soulève la jupe et me lèche entre les fesses. Je pose ma main sur la poignée de la porte pour l’ouvrir, mais, instinctivement, je me retourne et m’adosse à elle. Hector se jette sous ma jupe et me lèche le clitoris qui émerge de mes lèvres, je suis de nouveau prise par un violent orgasme et obligée de me retenir à la poignée de la porte pour ne pas tomber. Je jouis debout, me retenant à une porte pendant qu’Hector continu de me lécher la chatte. Je regarde autour de moi, je vois un homme au bout de la rue, à une centaine de mètres, je suis envahi par ce sentiment de risque qui décuple le plaisir, j’ai un nouvel orgasme, encore plus fort. Après un dernier orgasme, je vois que l’homme n’est plus qu’à une trentaine de mètres, j’arrive à me ressaisir, à calmer Hector qui commence à bander, ouvre la porte et entre juste au moment où le concierge sort de chez lui pour rentrer les poubelles. Il vient m’embrasser, je le connais depuis toujours.
–Toujours aussi belle ma Julie, mais c’est à toi ce monstre ? –Non, à une amie que j’héberge quelque temps, les chiens ne sont pas interdits j’espère ? –Non, bien que personne n’en a ici.
Je monte par les escaliers, lentement, en sautillant pour faire voler ma jupe, je sais que le concierge ne va pas en perdre une miette. En entrant dans l’appartement, je sens une bonne odeur de café, c’est Elodie qui prépare le petit déjeuner. Hector va lui dire bonjour, je me déshabille dans l’entrée et entre dans la cuisine, pose pain et croissants sur une table. Elle est de dos, toujours aussi belle, je l’enlace, colle mon corps contre le sien et lui dépose un baiser dans le cou. Elle pivote pour échanger un baiser avec moi. Elle arrête de m’embrasser, se recule et m’observe.
–Dis donc toi, tu es toute chose, tu as déjà fait une petite partie de jambes en l’air avec Hector ce matin ? –Oui, mais complètement involontaire. –Comment ça involontaire.
Je lui raconte ce qui s’est passé dans la rue, avec force détails.
–Putain, ça donne envie de faire la même chose.
Elle s’accroupit devant moi, me saisit les fesses, m’attire à elle et me colle sa bouche sur le clitoris. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir. Elle se redresse, s’appuie contre le plan de travail et appelle Hector qui s’approche lentement. Il tend le museau vers le sexe de sa maîtresse, sort sa langue et la lèche avec vigueur. Comme avec moi, elle ne tarde pas à jouir, debout adossée au plan de travail.
–C’est chouette, mais il faut absolument que je réussisse à le faire comme toi, dans la rue. –Tu n’auras qu’à sortir Hector tôt le matin avec la tenue adéquate. –Je n’y manquerais pas.
Sandrine arrive juste au moment où on s’installe pour déjeuner. Elle pose son sac dans l’entrée et se met en tenue de rigueur.
–Salut les filles, bien dormi ?
–C’est plutôt à toi qu’il faut le demander, comment ça s’est passé avec Florence ? –Très mal, je l’ai quitté hier à vingt heures, je suis retournée chez ma mère. –A ce point ? –Je croyais qu’elle était comme moi, mais elle est devenue jalouse et possessive, je ne le supporte pas, je la laisse libre, mais je veux qu’elle me laisse libre. –Et ça va ? –Non, c’est dur, pour elle aussi, mais je crois que c’est la seule solution pour nous deux. –Ok, tu déjeunes avec nous et on part.
Après le petit déjeuner, nous nous mettons en tenue de sortie, c’est-à-dire, microjupe plissée, corsage et blouson chaud. Nous sortons toutes les trois avec Hector, la voiture d’Elodie est à quelques centaines de mètres. Notre tenue et le chien attirent tous les regards, nous sommes toutes les trois dans le même état, les fesses gelées, mais le sexe chaud et humide. Hector le sent et devient difficilement tenable, il va falloir le dresser à n’agir que sur commande. Nous arrivons dans le parking où est garé le break d’Elodie, une énorme américaine.
–C’est quoi cette voiture ? –Une Chevrolet Caprice 427 de 1966, c’est une des voitures de série les plus longues qu’ait fait Chevrolet. –Tu roules en voiture de collection ? –Oui, j’adore ce genre de voiture, j’en ai une seconde dans un garage à Vélizy, je change toutes les semaines de voiture pour les faire rouler. –C’est quoi l’autre. –Une Eldorado de 1965 cabriolet, encore plus longue que celle-là. –C’est quoi une Eldorado, je ne connais pas cette marque. –Une Cadillac Eldorado, Eldorado, c’est le modèle. –Allez les filles, on y va.
Tout le monde monte devant, c’est une banquette, Hector va à l’arrière qui est aménagé pour lui. Je dois dire que circuler dans Paris dans ce genre de voiture ne passe pas inaperçu, tout le monde nous regarde, surtout les personnes dans les bus qui, en plus de la voiture, peuvent voir nos jambes dénudées jusqu’en haut des cuisses, voire plus pour Sandrine qui est au milieu. Pendant le voyage, nous nous sommes un peu amusées avec Sandrine, nos mains se sont promenées sur le clitoris de l’autre, nos bouches se sont collées, nos langues se sont battues pour nous amener doucement au plaisir. Elodie n’y tient plus et arrête la voiture dans un petit chemin.
–Oh là les filles, vous n’êtes pas seules, et moi.
Sandrine se jette sur elle, la fait glisser vers moi. Elodie se retrouve allongée sur la banquette, j’en profite pour m’occuper de sa petite chatte pendant que Sandrine s’occupe de ses seins et de sa bouche. Au bout de quelques minutes, Elodie est secouée par un violent orgasme. Très vite elle se remet, se rajuste et reprend le volant. Nous arrivons cinq minutes après, vers les dix heures, à la ferme de la cousine d’Elodie, nous étions presque arrivées, mais Elodie ne pouvait plus tenir. Une fois dans la cour de la ferme, je réalise que je ne connais pas le nom de sa cousine.
–Tu ne nous as pas dit comment elle s’appelle. –Catherine, mais elle préfère Cathy. –Va pour Cathy.
Une jeune femme de notre âge sort de la bâtisse principale, elle n’est pas très grande, pas très jolie, mais mignonne, avec un corps qui me parait pas mal du tout. Elle porte une minijupe plissée écossaise, un corsage rose sur des baskets bleues. Le mélange est spécial, mais fait son effet. Je remarque qu’elle a des jambes à la Tina Turner, assez musclées, mais belles. Le léger vent soulève sa jupe dévoilant un pubis glabre, des lèvres fines d’où émerge un clitoris assez volumineux. Nullement dérangée par le spectacle qu’elle donne, elle nous fait de grands signes pour venir la rejoindre. Elodie gare sa voiture, nous faisons sortir Hector qui se précipite sur Cathy, qu’il n’a pas vue depuis un certain temps. Nous l’embrassons et rentrons dans la maison. C’est une grosse maison du dix-neuvième siècle sur deux niveaux aménagée par Cathy. Immense salle à manger-salon, bureau, cuisine, trois chambres et deux salles de bain au rez-de-chaussée, six chambres et trois salles de bain à l’étage. Elle veut monter un gite rural. Cathy nous a préparé trois chambres deux au rez-de-chaussée et une à l’étage, mais Elodie lui fait comprendre tout de suite qu’une seule suffit, de préférence au rez-de-chaussée. Elle nous regarde avec un petit sourire en coin, mais surtout avec un air gourmand. Je pense qu’elle ne sera pas en reste. Elle nous fait visiter la ferme, ses dépendances et, le plus important pour nous, l’étable dans laquelle se trouve le box du cheval.
–Il s’appelle comment ? –Cartouche.
Elodie se penche vers moi et me glisse à l’oreille.
–J’espère qu’il a un bon fusil pour tirer ses cartouches.
Je me retiens de rire, avec difficulté, car comme elle, je pense qu’elle doit bien se faire mettre quelques cartouches de temps en temps, d’autant qu’elle est seule, la ferme n’ayant plus aucune activité pour le moment. Seuls les bâtiments lui appartiennent avec quelques hectares autour et un jardin, juste pour ne pas être dérangée par les activités agricoles de ses voisins. Les chiens nous suivent et passent leurs temps à essayer de glisser leurs museaux sous nos jupes, ce qui n’a pas l’air de déranger Cathy. Flic a l’air de m’apprécier, il insiste beaucoup. Je veux en avoir le cœur net, je me débrouille pour rester en retrait du groupe, je laisse Flic mettre son nez sous ma jupe. Evidemment, la situation m’excite et mon sexe s’humidifie, indiquant à Flic que je suis réceptive. Il ne se gêne pas pour faire glisser sa langue sur mes fesses. J’écarte un peu les jambes, sa langue se glisse entre mes cuisses pour venir sur ma vulve. La cyprine qui s’en échappe l’excite encore plus, il essaye de me monter dessus, mais, comme je suis debout, pas possible. Je regarde autour de moi, il y a un box vide juste derrière moi, je m’y dirige, me met à quatre pattes quand j’entends une voix.
–Si c’est pour te faire baiser par Flic, tu peux le faire ici, devant nous, ce serait sympa, au moins nous pourrons assister au spectacle.
Je suis rouge de honte, je ne sais comment j’ai pu imaginer que je pouvais me faire prendre par Flic sans que personne ne s’en aperçoive. Mais mon orgueil reprend le dessus, je me lève.
–Ok, mais dans la tenue adéquate.
J’enlève mes fringues pour me retrouver nue. Je reviens vers le groupe et me mets à quatre pattes juste devant le box de Cartouche. Je grelotte de froid bien que dans l’étable il fasse moins froid que dehors, mais Flic me monte dessus et m’empale d’un seul coup de reins, il sait ce qu’il fait, maintenant, plus aucun doute, Cathy se fait baiser par lui. Flic se déchaine dans ma petite chatte, son rythme est endiablé. J’apprécie ce membre viril qui me comble et laisse monter doucement le plaisir dans mon corps, je n’ai plus froid, du moins, la bite de Flic me fait oublier la température ambiante. Soudain, je vois Cathy, la jupe remontée sur le dos légèrement en avant sur ma droite et Hector qui lui saute dessus. Il s’enfonce en elle d’un seul coup. Je peux voir son sexe s’enfoncer dans son anus.
–Ah salaud, tu t’es trompé, tu m’encules, ah, tu m’encules, tu m’encules mais ça ne fait rien, continu, c’est trop bon.
Hector, comme Flic, se déchaine. Les deux chiens sont côte à côte et baisent deux femelles qui ne demandent que ça. Le plaisir monte doucement, je fini par jouir, vite imitée pas Cathy. Flic me plante son bulbe et se vide en moi. J’aime cette impression de possession d’un mâle sur sa femelle, je repars dans un nouvel orgasme. Hector s’immobilise lui aussi, il s’est complètement enfoncé dans le fion de Cathy, je ne vois plus son bulbe.
–Oh oui, vide-toi en moi, rempli ta chienne de ton élixir de vie, rempli moi, je suis à toi, encore, encore.
Il nous faut dix bonnes minutes pour que nous puissions nous libérer. Je me lève pour voir Sandrine et Elodie à côté de Cartouche lui caressant une gigantesque bite qui pend sous son ventre. Sandrine se penche pour la lécher, Elodie le masturbe des deux mains. Cathy les rejoint.
–Doucement les filles, c’est un étalon, il ne faut pas l’exciter pour rien, il peut devenir nerveux, et de toute manière, il faut entrer à la maison, nous reviendrons le voir après avoir déjeuné, il faut qu’on parle un peu. .../...
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