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Drague avec mes fesses

Chapitre 16

Zoophilie
Elle se saisit de la bite d’Hector et la dirige vers mon fion. Je la sens me pénétrer d’un seul coup. Hector commence ses va-et-vient nerveux immédiatement, Elodie se couche sous moi, pose un gros coussin sous sa tête et me gobe le clitoris qui sort un peu de la protection des lèvres. Je suis secouée par un énorme frisson, Hector toujours à me pistonner et Elodie à m’aspirer le clito, j’explose. J’ai du mal à tenir sur mes bras, je les replis pour poser ma tête sur le sol tout en laissant assez d’espace à Elodie pour qu’elle puisse s’occuper de ma chatte. Ce faisant, je remarque que flic est venu entre les cuisses d’Elodie et la lèche avec insistance. Elle ne tarde d’ailleurs pas à jouir tout en me léchant la vulve du périnée au clitoris. Je repars dans un nouvel orgasme. Hector se calme, il donne un dernier coup de reins pour m’introduire son bulbe et se vider dans mon cul. Je reste dans cette position jusqu’à ce qu’il me libère, Elodie est toujours sous moi à me lécher la vulve, ce qui a déclenché plusieurs orgasmes en quelques minutes. Je me redresse, suivi par Elodie, nous allons nous assoir sur des poufs dans le salon. Hector et Flic vont se coucher chacun dans son coin. Sandrine et Cathy arrivent une demi-heure plus tard.
–Ça y est, nous avons mis en place tout le matériel, il n’y a plus qu’à le tester, mais d’abord, allons-nous préparer, je ne veux pas que ça tourne à la scato.
Elle nous entraine dans sa salle de bain, se déshabille ainsi que Sandrine et nous fait un lavement approfondi à chacune, sauf Elodie. Elle me tend la poire pour que je m’occupe d’elle, ce que je fais avec plaisir. Elle sort d’un tiroir un énorme gode réaliste surmonté d’un gland proéminent. Il fait au moins cinq centimètres de diamètre et vingt-cinq de long. Je regarde Sandrine qui a l’air enchantée de voir un tel engin.
–Je veux savoir si vous êtes aptes, ok ? –Ok. –Ok.
Elle enduit la rondelle de Sandrine de graisse et présente le gode entre ses fesses. Sandrine se penche un peu en avant en pointant les fesses vers Cathy.
–Prête ? –Vas-y.
Elle pousse, le gland du gode écarte les fesses entre lentement dans le fondement de Sandrine. Une petite hésitation de quelques secondes et la pénétration reprend jusqu’aux couilles du gode.
–Ok ? –Oui, continu.
Cathy commence des va-et-vient, je vois la rondelle de Sandrine complètement ouverte laisser glisser cet énorme braquemart. Il ne faut que quelques minutes pour que Cathy juge le fion de Sandrine apte au service. Elle retire le gode de sa rondelle qui reste grande ouverte, attendant un autre passager qui ne viendra pas. Elle se referme doucement. Cathy se tourne vers moi.
–A ton tour ma belle.
Elodie me badigeonne le fion de graisse, je viens devant Cathy, m’appuie sur le lavabo pour lui présenter mon cul. Je sens le gland écarter mes fesses et venir au contact de ma rondelle. Je me saisis de mes fesses pour les écarter au maximum. Cathy pousse, mon sphincter résiste un peu mais cède et laisse le passage, il faut dire qu’il a été déjà bien sollicité. Ce gode est plus gros que celui de tout à l’heure, mais il s’enfonce en moi sans problème jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mes fesses. Je les relâche pour bien sentir le mouvement d’aller-retour que va imprimer Cathy.

–Ok ? –Bourre-moi.
Les va-et-vient commencent, le gode glisse sur mes fesses en m’assouplissant le sphincter. Cathy accélère le mouvement jusqu’à ce qu’elle sente que le gode a bien ouvert mon cul et glisse sans retenue dans mes entrailles. Elle le retire, me laissant la rondelle grande ouverte comme celle de Sandrine, je sens qu’elle se referme lentement, j’ai envie que cette sensation dure tout le temps. Je me sens un peu frustrée, je commençais à sentir mon corps se préparer à l’orgasme.
–Qui s’occupe de moi ?
Elodie prend le gode et sourit à sa cousine.
–Tu permets ? –J’en rêve.
Sandrine lui badigeonne le cul, elle prend la même position que moi. Elodie présente le gode sur ses fesses, pousse, le gland se fraye un passage entre elles, ouvre sa rondelle sans aucun effort et s’enfonce jusqu’aux couilles. J’ai l’impression que son cul est bien calibré, je me demande si c’est vraiment nécessaire de la formater, mais je ne dis rien. Très vite, Elodie arrête ses va-et-vient et retire le gode.
–Je crois que tu es prête. –Oui, c’est bon, allez les filles, on y va.
Nous nous habillons chaudement en haut, mais restons culs nus et la suivons avec les chiens dans le box de Cartouche. J’ai l’impression qu’il sait ce qui l’attend, il a l’air excité quand nous arrivons, sa bite pend sous son ventre, elle arrive à quelques centimètres du sol, elle est monstrueuse, et je me liquéfie rien qu’en la voyant. Cathy nous arrête.
–Qui veut commencer ?
Sandrine et moi-même levons la main en même temps, Cathy me regarde d’un air de s’excuser.
–Ok, Sandrine, tu commences, mais par une sodomie d’accord ? –Bien sûr. –C’est simple, tu entres dans le box et tu te mets face au mur du fond les mains sur le mur au-dessus de ta tête. C’est le signal pour lui. Il va se redresse, pauser ses jambes antérieures sur tes épaules et te sodomiser. Ne t’en fait pas, il est lourd, mais on ne sent pas trop son poids, ce sont ses jambes postérieures qui supporte pratiquement tout le poids. Tu as bien compris ? –Parfaitement. –A toi.
Sandrine entre dans le box, Cartouche la regarde passer à côté de lui en s’écartant un peu. J’ai l’impression qu’il n’attend que ça. Sandrine se met en position contre le mur du fond, Cartouche hennit en se cabrant, il pose ses pattes antérieures sur ses épaules. Son sexe se redresse d’un seul coup et tape contre ses fesses. Cathy s’en saisit et le dirige vers sa destination. Il donne un ou deux coups de reins et s’enfonce d’un seul coup jusqu’à la moitié de sa longueur.
–AAAAAAHHHHHH putain quelle bite, il m’explose le cul, putain quelle bite.
Cartouche ne se comporte pas comme les chiens, il donne un grand coup de reins mais s’immobilise quelques secondes pour reculer un peu et en donner encore un. Son sexe s’enfonce de plus en plus entre les fesses de Sandrine. Aux alentours du dixième coup de reins, il s’immobilise de nouveau.
–Oh la la, il me remplit de sperme, il m’inonde, oui, oui, aaaaahhhhh, oui, encore.
Cartouche reste quelques secondes sans bouger, son sexe se ramolli et fini par sortir du fion de Sandrine. Il redescend, sa bite pend sous son ventre en se résorbant, quelques petits jets de sperme en sortent. Je vois le sperme de Cartouche s’écouler entre les fesses de Sandrine, j’ai envie d’aller le lécher, mais je n’ose pas entrer dans le box tant que Sandrine y est. Elle met un certain temps à récupérer toujours en position, mais finit par se retourner et venir vers nous.
–Quelle queue, incontestablement la plus grosse qui ne m’ait jamais défoncé, mais c’est dommage que ça se passe si vite, à peine quelques coups de bite et c’est fini. –Ne te plains pas, il est quelquefois encore plus rapide, mais c’est comme ça, un chien peut te baiser pendant plusieurs minutes à un rythme effréné, un cheval, ça ne dure que quelques secondes, mais avec une bite diabolique. Jamais un cheval ne te fera jouir, c’est trop rapide, à moins que tu ne te fasses saillir sur le point de jouir, peut-être, je n’ai jamais essayé. –Dommage, tu y vas Julie ? –Attendons quelques minutes, il faut qu’il récupère un peu, tu devrais patienter avec Hector.
Je ne me le fais pas dire deux fois, je me mets à quatre pattes devant lui, il n’hésite pas et m’emmanche d’un seul coup, me défonçant le fion à un rythme effréné. Deux minutes plus tard, il m’introduit son bulbe, en se vidant dans mes entrailles. Elodie en fait autant avec Flic, elle est juste devant moi, me faisant face. Je vois à son air qu’elle apprécie vraiment de se faire prendre par un chien, son visage irradie de bonheur, elle doit regretter amèrement son manque de hardiesse vis-à-vis d’Hector. Au bout d’un moment, je sens le bulbe d’Hector diminuer, je me libère et vais me mettre en position dans le box de Cartouche. Mon cul est bien souple, lubrifié et rempli du sperme d’Hector. Mon cœur bat à tout rompre, l’excitation et l’appréhension me mettent dans tous mes états, j’attends avec impatience le moment où il va me monter dessus. Un hennissement me prévient qu’il me monte dessus, je sens un énorme poids sur mes épaules, mais c’est très supportable, en définitive, il n’est pas si lourd que ça. Une forme visqueuse et molle se glisse entre mes fesses, c’est le bout de sa queue qui vient me rendre visite. Le reste est beaucoup plus dur et m’explose le sphincter, déjà bien assoupli, sans délicatesse pour me pénétrer de plus de vingt-cinq centimètres.
–AAAAHHHH enfin, enfin cette bite gigantesque dans mon cul, vas-y Cartouche, fais-toi plaisir.
Une seconde d’immobilité, un léger recul puis une nouvelle pénétration plus longue, de nouveau une seconde d’immobilité, nouveau recul et coup de butoir. Il s’enfonce à chaque fois un peu plus. Au bout du huitième coup de reins, je les ai comptés, il s’immobilise juste pour me remplir les entrailles de plusieurs puissants jets de son sperme chaud.
–AAAAAHHHHH, il me remplit, que c’est bon.
Je me concentre au maximum sur ce sperme chaud et aqueux qui me remplit le fion, c’est la première fois que j’en reçois autant et que mon anus est autant dilaté. J’ai cette sensation d’être emmanchée au bout d’un énorme pieu qui va me soulever dans les airs et me présenter au peuple en délire, comme pendant la révolution. Très vite, la bite de Cartouche me quitte, je le regrette profondément, mais je sais que c’est comme ça, rien d’autre à faire. Je reste en place, mon sphincter n’a pas eu le temps de se dilater à fond et se referme assez rapidement, à mon grand regret, juste quelques gouttes coulent de mon cul, j’aurais tant aimé sentir le sperme de Cartouche s’écouler le long de mes cuisses. Deux minutes plus tard, je rejoins les filles qui me regardent d’un air interrogatif.
–Ça va ? –On ne peut mieux, ce fut un pied total, dommage que l’on n’ait pas le temps de jouir.
Je vais m’assoir sur un ballot de paille un peu dans les vapes malgré tout. Je suis frustrée de ne pas avoir joui, je m’allonge sur le dos sur le ballot, repli mes jambes sur moi offrant mon cul et ma vulve à qui en veut.
–J’en peux plus.
Sandrine se précipite, elle se jette sur mon sexe, sa langue s’active sur tout ce qu’elle peut lécher, allant de mon anus à mon clitoris en passant par le périnée et ma vulve, je ne mets qu’une minute à jouir secouée de violents spasmes. Je me redresse, prends Sandrine dans mes bras et l’embrasse.
–Merci ma chérie, j’étais un peu frustrée. –Je te comprends, moi aussi je n’ai pas eu le temps de jouir, mais cette bite est diabolique et j’y retournerais bien. –Je pense que tu en auras l’occasion. .../...
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