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Drague avec mes fesses

Chapitre 20

Zoophilie
Je pose ma bouche dessus, bois le nectar qui s’en échappe, lèche les lèvres humides, mordille le clitoris, l’aspire, le suce jusqu’à ce que son corps se soulève et vibre emporté par un orgasme puissant.
–OOOHHH ma chérie, je t’aime, je t’aime, que je t’aime.
Je reste sur son sexe tant que je ne la sens pas complètement détendue. Je me redresse et viens m’allonger sur elle. Nous nous serons le plus fort possible dans nos bras.
–Je t’aime Carole, je t’aime, maintenant, j’en suis absolument sûre, je t’aime et je veux partager ta vie. –Oh mon amour, je te promets de tout faire pour te rendre heureuse. –Moi aussi.
Nous nous levons pour aller rejoindre les autres dans la cuisine. Elodie est à quatre pattes, elle broute me minou de Sandrine appuyée à la table pendant qu’Hector la baise. Le repas n’a pas avancé, mais je constate qu’Elodie prend de plus en plus de plaisir à se faire baiser par Hector, je pense qu’elle ne va pas tarder à faire passer la bite d’Hector par un autre chemin.
–Je dois dire qu’après ce qui s’est passé chez ma sœur, je vois les choses différemment, j’aime bien me faire prendre par un chien, mais j’appréhende toujours la sodomie, il faudra que tu m’aides, je ne peux pas retourner chez Marie que pour ça. –Ok, nous allons voir ça ensemble, avec Elodie qui elle aussi veut connaitre ça, mais a un peu peur. Tu as été sodomisée une fois je crois. –Oui, mais cet abruti n’y est pas allé de main morte, il m’a littéralement défoncé l’anus d’un seul coup de bite, je l’ai éjecté et foutu à la porte de chez moi. Nous vivions ensemble depuis trois mois, j’avais cédé devant son insistance, je croyais qu’il allait être doux puisque je lui avais dit que j’avais un peu peur de ça. –Tu l’as revu ? –Jamais, et je ne veux plus le revoir, je ne veux d’ailleurs plus revoir de mecs, ils me répugnent. –Tu es complètement lesbienne ? –Oui, depuis trois ans, je n’ai plus eu de bite d’homme dans ma petite chatte, la seule bite mâle que j’ai eue depuis, c’est celle de Farouk. –Et ça t’a bien plu. –Oui, énormément, je suis comme toutes les femmes, j’aime avoir quelque chose de dur entre les jambes, c’est la nature qui veut ça, mais plus avec un homme. –Et les godes ? –Bien sûr, j’en ai d’ailleurs quelques-uns. –Je crois qu’on va merveilleusement s’entendre.
Nous nous attelons à la cuisine. Le repas est quasiment prêt vers dix-neuf heures, il ne reste plus qu’à enfourner le rôti. Elodie et Sandrine sont dans la salle de bain depuis une petite demi-heure, nous les entendons rire et crier, sans compter les soupirs de plaisir. Décidément, elles s’entendent à merveille, je vois un nouveau couple se dessiner, j’en suis ravie pour elles. Nous décidons d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter notre première nuit de couple dans notre appartement. Les filles nous rejoignent toutes excitées.
–Vous savez quoi ? –Non, puisque tu ne nous a encore rien dit. –Nous avons décidé de vivre ensemble et de prendre un appartement en coloc. –Super les filles, et en attendant ? –Je vais chez ma mère, je ne vois pas comment faire autrement. –Tu es bête ou tu le fais exprès. –J’ai dit une bêtise ? –Evidemment que tu as dit une bêtise, une grosse même, tu ne vois pas laquelle ? –Bin non. –Elodie a une chambre ici, vous décidez de vivre ensemble, autant commencer ici, tant que vous n’avez pas trouvé d’appartement. –Rester chez toi en attendant, c’est vrai, je peux ? –Bien sûr que tu peux, je ne comprends pas que ça ne te soit pas venu à l’esprit.
Elles se jettent sur moi pour me couvrir de baisers.
–Merci, oh merci, tu es géniale. –Merci Julie, merci. –Bon et bien ça fait deux choses à fêter, à vos flutes les filles.
L’ambiance est joyeuse, nous buvons un peu plus que de normal, le champagne coule à flots, trois bouteilles, nous nous mettons à table, mais j’ai oublié le rôti, tant pis, dans l’état dans lequel nous sommes toutes, ça n’a pas d’importance, on le mangera demain. Vers vingt-deux heures trente, nous allons nous coucher chaque couple dans sa chambre. Carole s’étale sur le dos, les jambes légèrement ouvertes.
–Fais-moi jouir, j’ai envie.
Je me mets à quatre pattes sur le lit et viens poser mes lèvres sur son pubis. Je le lèche tout en descendant sur sa vulve. Une idée me traverse l’esprit. Je prends ses jambes, les ouvre en grand, les plis au-dessus d’elle. De la sorte, ses fesses se sont soulevées, légèrement ouvertes, me libérant la rondelle de son anus. Je veux en avoir le cœur net, est-elle sensible de la rondelle, si ce n’est pas le cas, inutile d’essayer la sodomie. Je la lèche de l’anus au bas de ses lèvres, j’évite le clitoris, je ne veux l’exciter que par le cul. Les deux ou trois premiers passages semblent sans effets, mais son bas ventre commence à bouger, elle pose ses bras le long de son corps et pousse dessus pour faire monter ses fesses, m’offrant encore plus sa rondelle.
–Oui, continu, c’est très agréable, continu, j’aime.
Je me déchaine sur sa rondelle, elle bouge de plus en plus, son corps se tend, mais elle n’arrive pas à jouir, il lui manque quelque chose. Je finis par remonter jusqu’à son clitoris pour la faire exploser de plaisir. Elle se donne, me donne son corps, son sexe à boire, je la maintiens le plus longtemps possible dans cet état, elle finit par se laisser aller et retombe sur le lit. Je me couche sur elle, l’embrasse pour finir sur le côté, enlacées.
–Maintenant, je suis sûre que tu vas apprécier la sodomie, ton cul est une super zone érogène. –Oui, j’ai pris beaucoup de plaisir avec ta langue dessus. –Un beau braquemart sera encore plus jouissif. –Ok, mais on commence avec un petit gode, je ne veux pas prendre Hector pour la première fois, il ne sera pas assez progressif. –Tu as raison, je t’initierais avec un petit gode, puis un plus gros pour finir avec Hector, voire Cartouche plus tard. –Pour Cartouche, on verra, c’est quand même autre chose.
Nous nous allongeons côte à côte, moi sur le dos, elle sur le côté contre moi, un de ses bras replié sur mon ventre, sa main venant se poser sur mon sein gauche, et finissons par nous endormir.
Le lendemain matin, lever tôt, Carole et Elodie doivent reprendre le travail. Elles nous quittent rapidement, j’ai juste eu le temps de faire jouir une fois Carole sous la douche. Nous restons seules avec Sandrine la « malade ». Nous rangeons le bordel laissé hier et allons promener Hector. Le temps est de plus en plus doux, la température est montée au-dessus des dix degrés, mes fesses et mon sexe sont à la fête, Sandrine a l’air dans le même état. Nous décidons d’amener Hector au jardin du Luxembourg, ce n’est pas si loin que ça et nous avons le temps. Nous descendons la rue Bonaparte, Hector est étrangement calme, il n’essaye pas de mettre son nez sous nos jupes. Nous repérons un endroit pratiquement désert, nous posons nos fesses nues sur le banc froid, un frisson me parcoure. Hector s’est assis à nos pieds.
Comme il n’y a personne autour de nous, je pose ma main sur le sexe de Sandrine, elle ouvre instantanément ses cuisses, j’en fais autant en voyant arriver sa main vers mon bas ventre. Deux doigts me titillent le clitoris, ils me quittent pour s’enfoncer entre mes lèvres. Je lui en fais autant, je sens sa cyprine commencer à couler, le porte mes doigts à ma bouche pour les sucer, j’adore. Elle en fait autant en me regardant. Je retourne à la source pour enfoncer trois doigts ans sa vulve et lui masser le clitoris avec le pouce. Sa main m’abandonne, elle se cambre pour me donner plus d’amplitude, je la pistonne avec mes doigts tout en la malaxant avec mon pouce. Elle lève une jambe pour me donner encore plus d’espace. J’en profite pour ajouter un doigt et m’enfoncer encore plus dans son sexe. J’ai maintenant les doigts enfoncés jusqu’à la dernière phalange, un petit coup de plus et je la fiste, mais je n’ose pas. Je regarde autour de nous, toujours personne. Je la pistonne avec mes doigts tout en la masturbant avec mon pouce sur son clitoris, elle finit par exploser dans un violent orgasme, mais pas discrètement, elle pousse un grondement sonore assez puissant pour être entendu à plusieurs mètres de nous.
–AAAAAAAAAAARRRRRRRRR
Je regarde une nouvelle fois autour de nous, personne à l’horizon. Je la libère, elle reste les cuisses ouvertes, Hector se lève, mais je le fais se coucher de nouveau, je n’ai pas envie de finir au trou. Elle revient à elle doucement. Encore un coup d’œil autour de nous, personne, je me jette sur son sexe pour le boire et lui aspirer le clitoris, elle repart dans un nouvel orgasme au bout de trente secondes.
–Putain, se faire masturber sur un banc public du jardin du Luxembourg en plein jour, quel sensation, quel pied, en plus, ta langue sur mon clitoris, merci Julie, merci, c’était fabuleux, tu veux que je te fasse la même chose ?
Hector commence à s’exciter, il se lève et tire sur sa laisse, que nous avons attachée au banc. Nous réajustons nos jupes, inquiètes de ce brusque changement d’attitude quand il se calme en voyant arriver vers nous un homme grand et athlétique. L’homme s’approche de nous, Hector lui fait la fête, il le caresse en lui parlant.
–Nous n’avons pas été présentés. –Yves, je suis l’ancien propriétaire d’Hector, comment se fait-il qu’il soit avec vous, je l’avais donné à une amie ? –Elodie ? –Oui, vous la connaissez ? –Oui, elle vit chez moi pour quelques jours. –Ok, je comprends mieux. –Pourquoi lui avoir donné ? –Parce que je devais quitter le pays pour mon travail et il m’était impossible de l’emmener, Elodie travaillait dans mon service, je lui en ai parlé et elle a bien voulu le prendre, je dois dire que le contact est passé tout de suite entre eux, j’en étais même un peu jaloux. –Et vous êtes revenu travailler en France ? –Non, juste un peu de vacances pour les fêtes, je repars demain après-midi pour l’Afrique du Sud. Dommage que je n’aie pas revu Elodie, vous l’embrasserez bien pour moi s’il vous plait. –Vous avez quelque chose de très important à faire aujourd’hui ? –Non, je dispose de ma journée, je flâne dans Paris pour m’imprégner de son odeur. –Ça vous dirait d’embrasser vous-même Elodie. –Bien sûr, c’était une excellente amie, mais nous nous sommes perdus de vue. –Amie jusqu’à quel point ? –Juste amis, il ne s’est jamais rien passé entre nous, juste amis. –Et bien, vous n’avez qu’à nous suivre, elle rentre pour déjeuner à midi. –Ok. –Allons-y. .../...
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