Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 72 J'aime
  • 1 Commentaire

Drague avec mes fesses

Chapitre 23

Lesbienne
Nous restons ainsi jusqu’à l’arrivée de Carole vers dix-huit heures. Elle déboule dans le salon déjà nue pour se jeter dans mes bras. Nous échangeons un long baiser, nos mains parcourent le corps aimé, lentement, nous basculons sur le divan. Nous restons allongées, corps contre corps, enlacées, seules au monde à sentir le corps de son amour contre son corps. Elle est sous moi, je pose ma tête sur son épaule.
–Que c’est long une journée sans toi. –Tu es restée seule ici ? –Non, bien sûr que non, nous avons fait une petite balade avec Sandrine, nous sommes allées montrer un peu nos fesses. –Ça a été intéressant ? –Juste un peu chez Citroën.
Je lui raconte notre journée, sans oublier la rencontre avec Yves. Carole ne cesse de m’interrompre par des petits baisers furtifs sur la bouche. Elle semble fatiguée.
–Ça ne va pas ? –Tout va bien, je suis un peu fatiguée, j’ai eu une journée assez difficile, réunions sur réunions, toute la journée, ça fatigue mentalement, j’aimerais bien rester un peu allongée sur le divan pendant que tu me caresses, d’accord ? –Evidemment.
Je m’agenouille sur le côté d’elle, Carole s’étire sur le divan couchée sur le dos. Ma main glisse sur sa peau en l’effleurant, elle ferme les yeux, son visage se détend, un léger sourire apparait sur ses lèvres.
–Oui mon amour, oui, comme ça.
Ma main parcoure son corps en évitant les seins et le pubis, je ne veux pas l’exciter, je veux simplement lui prodiguer du plaisir, qu’elle sente ma main se promener sur son corps. Sa respiration ralentie doucement, son ventre monte et descend lentement. Elodie nous regarde assise sur un pouf.
–Quel spectacle.
Je la regarde, elle me sourit.
–C’est vraiment magnifique de vous voir ainsi, toi, caressant ce magnifique corps, elle se laissant faire avec un plaisir évident, c’est beau, juste beau.
–Je prends autant de plaisir que je ne lui en donne, j’aime ce corps parfait, j’aime cette peau douce, j’aime tout en elle.
Carole commence à réagir un peu, son ventre ondule doucement, ma main devient un peu plus pesante.
–Oui, caresse-moi mon amour.
Maintenant, je parcours tout son corps, y compris les seins et le pubis. Elle bouge de plus en plus, écarte un peu les cuisses, ma main va vers son sein gauche pour le caresser et le malaxer, mais c’est ma bouche qui se pose sur son pubis.
–Oui, oui.
Ma langue sort pour explorer son mont de vénus, redescend vers son sexe pour passer rapidement sur son clitoris et s’enfoncer entre ses lèvres.
–Oui, oui, oui.
Soudain une main se glisse entre mes jambes et tire. Je pivote en libérant son sein, la main m’ouvre les jambes pour en faire passer une au-dessus d’elle. Je comprends ce qu’elle désire et me positionne tête-bêche pour lui présenter ma vulve ruisselante de cyprine qui n’attendait que ça. Nos bouches lèchent, aspire, nos langues titillent, nos dents mordillent jusqu’à l’explosion dans un sublime orgasme simultané. Nous restons dans la même position jusqu’à ce que nos corps soient apaisés et détendus. Je me lève pour la redresser et m’assoir à côté d’elle. Elle pose sa tête sur mon épaule.
–Je suis heureuse, tellement heureuse. –Moi aussi ma chérie.
Nous restons ainsi jusqu’à ce qu’arrive Elodie à dix-neuf heures. Elle vient nous embrasser, se met en tenue pour que nous puissions prendre un petit apéro autour de la table basse. La discussion va du temps qui se radoucit au travail un peu tressant. Elle finit tout de même par arriver sur le sexe. Sandrine veut initier Elodie à la sodomie.
–Toujours partante pour une initiation à la sodomie. –Oui, si c’est toi qui m’inities. –Bien sûr que se sera moi, je ne laisserais à personne le soin de te dépuceler le cul. Mais d’abord, à table, j’ai faim.
Nous mangeons assez vite, Sandrine avait tout préparé. A la fin du repas, Elodie et Sandrine vont dans ma salle de bain. J’en profite pour allonger Carole sur le divan et m’occuper de sa petite chatte.
–Laisse-toi faire.
Elle ne bouge pas, se laisse aller au plaisir. Je vois son ventre monter et descendre doucement, calmement, elle ferme les yeux, le visage serein. Ma langue se faufile entre ses lèvres, vient titiller légèrement le clitoris pour s’enfuir très vite vers le périnée. Je ne veux pas l’exciter trop rapidement. Ce petit manège dure quelques minutes, son ventre commence à onduler de plus énergiquement. Elle se cabre un peu pour m’offrir encore plus son sexe, j’ouvre ma bouche au maximum pour l’engloutir, ma langue s’active entre ses lèvres et remonte vers son clitoris. Mes lèvres se resserrent sur lui, l’aspirent pendant que ma langue le titille, c’en est trop, elle explose.
–OOOOOHHHHH oui mon amour, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je glisse mes mains sous ses fesses pour la plaquer contre moi, je bois son jus d’amour avec délectation, je suis moi-même au bord de la jouissance tellement je prends de plaisir à faire chanter ce merveilleux corps. Son corps se détend, elle se laisse aller sur le divan, les yeux fermés, en se tournant légèrement sur le côté. Je me redresse, elle est là, devant moi, apaisée, repue, nue, magnifique. Les larmes me montent aux yeux, je réalise à quel point j’aime cette fille, je ne peux plus me passer d’elle, c’est la femme de ma vie, j’espère simplement être celle de la sienne. Sandrine et Elodie arrivent en sautillant.
–Vous avez mis bien du temps pour un simple lavement. –Qui te parle d’un simple lavement. –Ok, ok, vous faites ça où ? –Là, sur le pouf, je veux qu’elle soit confortablement installée. –D’accord.
Je regarde Carole sur le divan, elle dort !!!! Je pense que la journée a été particulièrement éprouvante. Sandrine et Elodie triturent les godes sur la table basse, elles en prennent plusieurs, un petit cylindrique, un plus gros réaliste et un dernier réaliste nettement plus volumineux, avec un très gros gland.
–Celui-là, seulement si je sens que je peux le prendre, j’ai envie d’aller le plus loin possible, mais doucement ok ? –Ok
Elodie s’allonge à plat ventre sur le pouf. Sandrine lui badigeonne l’anus de la graisse chauffante.
–Hummmmmm, c’est bon, tu peux glisser un doigt ? –Bien sûr chérie.
Sandrine enfonce son majeur dans sa rondelle, elle fait des va-et-vient lents sur toute sa longueur, elle rajoute l’index tout en continuant ses va-et-vient.
–Le gode, maintenant.
Sandrine positionne le gode et pousse, il s’enfonce entièrement sans aucun effort.
–Ton cul est fait pour ça. –Je le pense aussi, allez, encule-moi.
Sandrine accélère le mouvement, ses va-et-vient sont de plus en plus rapides, le gode glisse librement entre ses fesses.
–L’autre, je ne sens presque plus celui-là.
J’enduis le second gode de graisse et le tends à Sandrine. En un tour de main, le second remplace le premier et s’enfonce jusqu’aux couilles.
–Oui, celui-là je le sens mieux, vas-y, défonce-moi l’oignon.
Sandrine se déchaine sur son anus, mais je vois que le gode devient de plus en plus sec. Je le graisse sans interrompre Sandrine qui s’active toujours comme une folle. Elodie réagit de plus en plus, ses fesses bougent, elle se cambre pour les offrir encore plus.
–Oui, oui, je sens mon cul se détendre et s’assouplir, le gode glisse de plus en plus librement, change pour le plus gros, je veux l’avoir dans le fion, je veux me dilater le cul au maximum.
Sandrine me regarde pour que je lui prépare le gode. Je l’enduis de graisse, mes doigts peuvent à peine en faire le tour, il doit bien faire cinq centimètres de diamètre, j’ai un peu peur pour Elodie, personnellement, il m’a fallu beaucoup plus de temps pour y arriver, mais elle me semble dans les meilleures conditions possibles pour le faire. Je donne le gode à Sandrine. Elle retire l’autre, je vois que l’anus de Sandrine reste ouvert, prêt à recevoir l’engin.
–Attention, voilà le monstre. –Vas-y doucement, mais fermement. –Ok.
Sandrine présente le gland sur sa rondelle qui commence à se refermer. Elle pousse un peu.
–Oui, vas-y.
Sandrine force un peu plus, le gland écarte la rondelle et s’enfonce encore un peu. La progression est lente mais continue.
–Oui, doucement, continu.
Le gland s’enfonce encore, je vois l’anus d’Elodie tendu au maximum, sa rondelle est presque blanche, soudain, le gland disparait, le sphincter se referme sur lui et le gode s’enfonce un peu plus.
–Oh putain, ça y est, je l’ai dans le cul, quel pied, quel pied, vas-y chérie, vas-y, défonce-moi.
Sandrine enfonce le gode jusqu’aux couilles, elle commence par des va-et-vient lents et longs, accélère le mouvement. Ces va-et-vient sont de plus en plus longs, jusqu’à ce que le gode sorte de l’anus de Sandrine pour s’y enfoncer de nouveau dans la seconde qui suit. A chaque fois qu’il sort, je vois l’anus d’Elodie grand ouvert n’attendant que son retour. Je prends mon téléphone pour prendre des photos de cette rondelle grande ouverte nous dévoilant un rectum rose.
–Oui, oui, oh oui, putain quel pied, quel pied, continu, défonce-moi, je vais jouir, je vais jouir.
Sandrine ne baisse pas la cadence, jusqu’à ce qu’Elodie explose dans un gigantesque orgasme. Je n’en reviens pas, c’est la première fois qu’elle se fait sodomiser, et elle jouit. Sandrine ralentit jusqu’à s’arrêter tout en laissant le gode dans l’anus d’Elodie qui reste inerte sur le pouf. Je retire le gode quand je la vois bouger un peu. Elle se redresse, là, je remarque qu’elle avait sa main droite sur son pubis. Je comprends mieux pourquoi elle a joui comme ça.
–Oh la la, quel pied, vivement Cartouche. –C’est quand tu veux ma belle.
.../...
Diffuse en direct !
Regarder son live