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Drague dans le métro

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Le lendemain, je suis au rendez-vous à l’heure dite, Pierre arrive deux minutes après moi. Je me suis habillé sport, short ample sans braguette tenu par sa ceinture élastique et d’un tee-shirt arrivant tout juste en dessous de la ceinture. Lui est aussi en short de sport, mais plutôt tennis avec des boutons de braguette et un tee-shirt. Comme nous avons marché un peu pour venir et qu’il fait très chaud, nous sommes un peu marqués par l’effort. Nous passons pour des sportifs qui rentrent d’un exercice. Nous sommes à un terminus de la ligne et laissons passer trois rames, il n’y a pas assez de monde. Quand une rame se rempli bien, nous entrons et nous mettons vers la porte opposée. Pierre s’adosse à la porte, je me mets juste devant lui en lui tournant le dos. Au bout de deux stations, nous sommes serrés comme des sardines. Je suis derrière deux hommes assez gros, je préfère, ils cachent plus d’espace. Je sens le sexe de Pierre contre mes fesses. Je lui fais signe qu’il peut y aller. Je le sens bouger derrière moi, ses mains bougent contre mes fesses, il déboutonne sa braguette et extrait son sexe pour le plaquer contre mes fesses. Il me prend la main et la passe derrière. Je tombe sur son sexe sorti, il commence à bander un peu. Je lui titille tant bien que mal le gland, ça suffit car je sens son sexe gonfler et durcir contre mes fesses. Mes jambes commencent à flageoler.
Quand il est prêt, Pierre pose ses mains sur la ceinture de mon short et le fait descendre jusqu’à mi-cuisses. Son sexe est maintenant entre mes fesses nues. Deux doigts viennent se glisser entre elles et me lubrifier l’anus. Je sens son gland descendre le long de ma raie des fesses. Il les écarte et finit par arriver sur ma rondelle. J’ai dû m’avancer un peu pour lui laisser suffisamment de place, ce qui fait se retourner un des hommes devant moi. Je lui souris un peu bêtement, il me sourit aussi et se retourne. La bite de Pierre est maintenant à l’entrée du paradis. Pierre donne un petit coup en avant, mon anus s’ouvre sur son gland, je pousse vers l’arrière et je sens mon sphincter se refermer sur sa tige. Je pousse encore un peu jusqu’à ce que je sente son pubis contre mes fesses. Nous ne bougeons plus. Je suis dans un état second, je suis dans une rame de métro, entouré d’une petite centaine de personnes et j’ai un énorme braquemart dans le fion. Pierre donne de petits coups de rein, juste pour entretenir la dureté de sa bite.
L’homme devant moi passe sa main derrière lui pour vérifier quelque chose dans sa poche arrière. Mais sa main m’effleure la bite, et il se rend compte qu’elle est à l’air. Il tourne sa main et la plaque contre mon bas ventre. Il a mon sexe en pleine main. Il le malaxe, soupèse mes couilles et commence à me masturber. Il se retourne un peu, me regarde droit dans les yeux et me sourit. Il reprend sa position tout en continuant sa masturbation.

–Putain, qu’est-ce qu’il fait ?

Je réussi à me retourner un peu et lui murmure.

–Il me masturbe.–Ce n’est pas vrai ?–Si si, tu peux même y aller plus fort.

Pierre ne se le fait par dire deux fois, il recommence ses va et vient, mais avec un peu plus d’ampleur. Je vois l’homme devant moi bouger un peu, mais il fait mine de ne pas s’en apercevoir, au contraire, il me masturbe encore plus délicatement, il a une main douce et sa masturbation est très agréable. Nous passons deux stations, je n’ai pas envie que ça s’arrête, je me penche un peu vers l’homme.

–Vous descendez où ?

Il se retourne cette fois-ci complètement, il me fait face.


–Au terminus.

Il a toujours ma bite dans sa main. Il me regarde intensément, je finis par comprendre. Je tends ma main vers sa braguette et lui descend la fermeture éclair. J’arrive à extraire de son slip sa bite qui m’impressionne. C’est une très belle bite, longue, grosse avec elle aussi un gros gland. Je m’en empare et commence une lente masturbation. Je réalise tout à coup que nous sommes dans le métro, j’ai une bite dans le cul, une dans la main et une main sur ma bite. Je suis dans un autre monde. Pierre doit lui aussi être très excité car il se penche à mon oreille.

–Ça y est, je viens, je vais me vider, prend mon foutre dans ton petit cul.

Je sors un mouchoir juste au moment où je sens un violent jet de sperme me remplir le cul, je ne peux plus me retenir, je pose le mouchoir sur le bout de ma bite et joui dans la main de l’homme. Il me sourit, apparemment, cette situation lui plait. La rame s’arrête puis repart. La bite de Pierre se ramollie et sort de mon cul. Il se réajuste et me remonte mon short. L’homme me regarde intensément, je lui tiens toujours la bite, mais je sens qu’il veut autre chose. Je réussi à m’accroupir, les personnes devant me cachent du reste de la rame. J’ai sa belle bite juste devant mes yeux, je ne peux résister et je la gobe. L’homme pousse un soupir et pose ses mains sur ma tête, il ne me force pas, juste avoir le contact. Il doit être très excité lui aussi car je sens très vite les premières manifestations d’une éjaculation prochaine. Il tente de me dégager de sa bite, mais j’insiste, je veux boire son jus. Il comprend et se détend. D’un seul coup, ma bouche est envahie par un liquide chaud et aqueux. Je l’avale avec plaisir d’autant qu’il a un très bon goût. Je dois dire que j’adore le sperme, c’est une des deux choses que j’aime chez l’homme. Son sperme et sa bite dans mon fion ou ma bouche. Je reçois trois giclées de sperme, il en avait besoin. Quand il s’est entièrement vidé, il me donne une petite tape sur la tête. Je me redresse, personne ne s’est aperçu de quoi que ce soit. L’homme me regarde, ses yeux expriment la gratitude.

–Merci

Il se retourne tout en posant une nouvelle fois sa main sur mon short pour me tâter les couilles. Nous descendons à la suivante, montons en surface et nous installons dans un bar pour nous rafraîchir.

–Putain quel pied, il faut qu’on recommence.–Oui, mais il faut quand même se méfier, heureusement que nous ne sommes pas tombés sur un con, tu imagines ce qui se serait passé ?–Ouai, j’imagine, mais cette sensation de danger me plait, ça fait monter l’adrénaline, je veux recommencer. Et j’aimerais que l’on passe à l’étape suivante.–C’est-à-dire.–Draguer un autre mec. Tu sais, tu es le premier que j’ai réussi à draguer dans le métro, ce n’était pas ma première tentative, mais c’est la première qui a marché. Maintenant, je sais mieux ce qu’il faut faire et à deux, je crois qu’on a plus de chance.–Et comment on fait ?–On repère un mec, et on se met à côté de lui. Je le touche par « inadvertance » et on voit comment il réagit. Je dois dire que ta réaction m’a un peu pris au dépourvu, jusqu’à présent, les mecs me renvoyaient dans mes vingt-deux plus ou moins poliment.–Je vois, moi devant, toi derrière.–Parfaitement.–Ok, demain on est vendredi, il y a beaucoup de monde, ça devrait être pas mal. –Ok, demain, même endroit, même heure.–Ok.

Nous nous séparons et retournons chacun dans nos pénates.
Le lendemain, nous nous retrouvons à la station. Nous sommes habillés comme la veille. Le quai est bourré, c’est le départ en week-end. Au bout de dix minutes, nous repérons un homme d’une petite trentaine d’années, grand, athlétique, mais qui ne fait pas macho. Il est vêtu d’un jogging à même la peau, du moins pour le haut. Nous décidons de tenter notre chance. Nous montons derrière lui, il va vers la porte opposée, c’est une chance. Pierre réussi à se mettre derrière lui et à s’adosser à la porte, moi je reste devant lui, me positionnant de profil pour pouvoir surveiller ses réactions. Nous avons prévu d’attendre deux stations avant d’attaquer, mais entre la première et la seconde station, une main vient se poser sur ma fesse gauche. Putain ! un mec me drague.
J’essaye de faire comprendre à Pierre ce qui se passe, mais il est absorbé par l’homme devant lui. La main reste sur ma fesse sans bouger. Je décide de m’amuser et fait un mouvement du bassin pour inciter la main à aller plus loin. Sans hésiter, elle remonte jusqu’à ma ceinture et plonge sur ma fesse entre le tissu et ma peau descendant la ceinture de mon short à mi-fesses. La seconde station arrive, la rame s’immobilise et quelques personnes en descendent, mais un flot humain monte et se tasse. Je me trouve poussé contre l’homme, et la main sort de mon short sans le remonter. Je décide de rester comme ça et de m’occuper de l’homme. La rame repart, d’un seul coup, le visage de l’homme s’éclaire, un léger sourire aux lèvres. Pierre me fait signe qu’il a attaqué. Je lui fais comprendre qu’il peut y aller franco, l’homme a l’air d’apprécier. Je ne sais ce que Pierre lui fait, mais je le vois bouger en reculant ses fesses.
La main revient à l’attaque, mais cette fois, l’attaque est plus franche, elle contourne ma hanche pour venir explorer ce qu’il y a devant. Elle tombe sur ma bite qui commence à réagir. Avec deux doigts, elle me pince le gland, relâche la pression, repince, ainsi de suite. Je suis étonné de constater que mon sexe réagit à cette caresse un peu spéciale et se redresse lentement. Nous arrivons à une autre station. Même mouvements, et la rame repart encore plus pleine, mais un homme est venu se coller à moi. C’est le propriétaire de la main. Il me regarde et sourit. Je lui rends son sourire. Maintenant qu’il est plus près, il porte le majeur de sa deuxième main à sa bouche, le suce en me regardant droit dans les yeux, et la glisse sur mes fesses. Son majeur se fraye un chemin entre elles et vient me titiller la rondelle. Il insiste et commence à entrer dans mon fion. Il me regarde toujours en souriant. Il se penche un peu vers moi et me chuchote à l’oreille.

–Tu aimes ?

Je me penche vers lui.

–Oui, continu.

Il continu sa masturbation un peu spéciale et sa sodomie d’un doigt. Je commence à monter en pression quand nous arrivons à une station. Des gens descendent, des gens montent, mais moins nombreux. La rame repart. Je regarde vers Pierre, l’homme a l’air de bien s’amuser, je décide de participer un peu. Je tends la main vers lui au niveau de son jogging et je tombe sur une peau bien chaude. Il me regarde toujours en souriant. En descendant un peu ma main, je tombe sur celle de Pierre qui le masturbe doucement. J’imagine que son autre main est sur son fion. Pierre me regarde et libère la bite. Je le remplace, l’homme me regarde toujours en souriant. Je ne peux distinguer ce que fait Pierre, mais ça plait beaucoup à l’homme, ça se voit. Je voudrais bien participer, mais je suis trop absorbé par l’homme qui s’occupe de moi. Je libère la bite et fais signe à Pierre de s’en occuper.
Je me concentre sur les mains qui m’entreprennent quand une troisième main se pose sur ma fesse gauche. Je regarde l’homme qui me sourit encore plus en regardant derrière moi. Je réussi à tourner la tête pour voir un autre homme qui me sourit, à côté d’un autre qui me sourit aussi. Je suis encerclé par trois hommes. D’un seul coup, trois autres mains se posent sur moi, sur les fesses ou sur mon ventre, et commence à me caresser. Je suis aux anges, je me laisse faire avec délice, trois mecs d’un seul coup, c’est le pied. En fait, entre Pierre, l’homme dont il s’occupe et nous quatre, nous formons une barrière à l’intérieur de laquelle on ne peut rien voir. Les trois hommes sont grands, au moins quinze centimètres de plus que moi, je me sens protégé au milieu et je me laisse aller complètement.
Le doigt me libère l’anus un instant, c’est pour mieux revenir accompagné de deux autres, mais cette fois, lubrifiés avec du gel. Les doigts entrent en contact avec mes fesses, les écarte en se dirigeant vers mon anus pour le défoncer sans hésitation. La main n’est pas très grosse, et mon anus réagit très bien en s’ouvrant largement au passage de ces invités surprise, à tel point que les deux autres doigts les rejoignent. Maintenant, c’est cinq doigts en pointe qui me perforent le fion, mon sphincter se détend encore plus, les doigts vont et viennent de plus en plus librement, je sens arriver le fiste, mais l’homme a du mal à aller plus loin, il est trop grand et n’a pas assez d’allonge, il reste bloqué au niveau des articulation de la main. Je me mets sur la pointe des pieds, soutenu par les autres mains, et la main s’engouffre jusqu’au poignet. Elle me pistonne lentement mais profondément. Une autre main vient sur ma bite pour me masturber plus conventionnellement. Je sens que je ne vais pas résister longtemps. A côté de moi, l’homme dont s’occupe pierre s’est penché un peu en avant, il a sa tête juste à côté de la mienne, je me penche à son oreille.

–Tu aimes ?

Il me regarde en souriant.

–Oui, beaucoup.–Qu’est-ce qu’il te fait.–Il m’encule, et toi ?–Il me fiste, tu aimes son engin ?–J’adore ce genre de monstre.

L’homme se redresse un peu, son visage est serein, il apprécie le moment comme moi. Je ne peux plus tenir et finis par me vider dans la main de l’homme qui me masturbe. Je sens mon sphincter se contracter sur le poignet planté dans mon cul. Je suis dans les vaps, les hommes s’en rendent compte et me soutiennent. La main me libère et les hommes se mettent bien autour de moi. J’ai toujours le short au milieu des jambes, et je ne peux pas attraper ma ceinture, je reste donc comme ça pour le moment. Un des hommes se penche à mon oreille.

–Tu n’aimerais pas le soulager ?

Je ne comprends pas de qui il parle.

–Qui ?–Notre copain que ton copain encule.

Je suis sur le cul, le mec que Pierre entreprend est son copain. Je jauge la situation, nous venons de démarrer d’une station, il en reste cinq, j’ai le temps, et je décide de m’accroupir. Ils s’écartent un petit peu pour me faire de la place. J’arrive au niveau de la bite de l’homme, elle est assez belle, plus de vingt centimètres sur une bonne épaisseur. J’écarte la main de Pierre et gobe la bête. Je le prends par les fesses pour bien le positionner en face de moi. Je sens Pierre qui le pistonne. J’allonge les doigts pour arriver à toucher sa bite et le sentir jouir. Je pompe la bite pendant une ou deux minutes jusqu’à ce qu’au bout de mes doigts, je sente Pierre qui accélère le mouvement, il va jouir. J’accélère mon mouvement personnel pour essayer de synchroniser les deux hommes. Pierre se plaque sur les fesses de l’homme, il jouit, je titille le gland de l’homme, qui, très excité se vide dans ma bouche en jouissant pratiquement en même temps que Pierre. J’avale son sperme et me redresse juste au moment où les haut-parleurs crépitent. Une annonce nous prévient que suite à un incident, la ligne est arrêtée et que nous devons descendre à la prochaine station.
Je remonte mon short en catastrophe, comme l’homme à côté. La rame s’arrête et tout le monde descend en râlant. J’explique à Pierre ce qui se passe, ce qui le fait éclater de rire. Nous montons en surface et nous installons à un bar. Ils s’appellent Paul, Louis, Serge et Yves et nous expliquent, qu’en fait, ils font exactement ce qu’on fait, ils draguent dans le métro aux heures de pointe. Mais eux, ils font ça depuis plus de cinq ans. Ils ont mis au point une technique, Yves sert d’appât et les autres s’occupent de concrétiser sur l’autre personne, car c’est souvent à deux que les mecs draguent dans le métro. Nous discutons un moment, et nous nous séparons en nous donnant rendez-vous pour le mercredi de la semaine suivante. Nous rentrons chez Pierre.
Arrivés chez lui, j’enlève ma chemisette et mon short que je jette dans le couloir, imité par Pierre. Nous arrivons à poil dans le salon. Je prends la graisse qui est sur la table basse et m’enduit le fion. Quelques fenêtres d’en face sont ouvertes, il y a un couple sur le lit d’une chambre. Ils sont nus et regardent dans notre direction. Pierre ouvre les portes fenêtres, toujours à poil, ce qui attire l’attention du couple. La femme se lève et vient vers la fenêtre. C’est une femme de quarante ans, blonde, très bien faite, le pubis couvert de poils blonds coupés très courts. Elle fait signe amical à Pierre avec un grand sourire. L’homme vient derrière elle, j’ai pu voir qu’il bandait ferme. Il la prend par les hanches et, visiblement, la pénètre en levrette. Elle s’appuie sur le rebord de la fenêtre, bien droite, la poitrine orgueilleusement gonflée en nous regardant. Pierre n’en peut plus, il vient vers moi et me retourne.

–Tu permets ?–Bien sûr.

Nous nous mettons devant la fenêtre, de profil, et Pierre, qui bande comme un cerf, me plante sa bite d’un seul coup dans le fion bien détendu par la main de Paul.

–HHHHAAAA, oui, vas-y, défonce moi.–Tu aimes ?–J’adore.

Il se déchaîne dans mon cul, mon anus se détend et laisse le mandrin de Pierre coulisser librement dans mes entrailles. En regardant sur le côté, je vois la femme être secouée par son homme, elle ferme les yeux. Une autre fenêtre s’ouvre en face, un homme regarde ce qui se passe chez nous. Il est nu et se masturbe un peu en retrait de la fenêtre. Il ne veut pas être vu de la rue, bien que nous soyons assez haut pour ne pas être visibles de la rue. Je sens la bite de Pierre me défoncer l’arrière train, mais je ne bande pas, je suis un peu fatigué, je ne réagis que quand je sens le sperme de Pierre me remplir le fion. Il se retire et regarde vers la fenêtre d’en face. La femme est toujours là, mais son homme n’y est plus. Elle nous fait signe en levant le pouce.

–C’est une de mes habituées, elle vient en face tous les week-ends, jamais avec le même homme. –Même en hiver ?–Oui, les portes fenêtres ne cachent pas grand-chose.–Et elle fait quoi ?–Comme là, maintenant, elle vient avec un mec et se fait baiser ou enculer, je ne sais pas, en regardant ce que je fais. C’est devenu le rituel du vendredi soir.–Et quand tu es seul ?–J’utilise un gode pour m’enculer devant elle, je crois que c’est ce qu’elle préfère.Nous allons dans la cuisine pour voir ce qu’il y a à manger. –Tu as faim ?–Oui, un peu.–Ok, je prépare quelque chose, tu peux m’attendre dans le salon.

Je vais m’allonger sur le divan, il y a maintenant quatre fenêtres occupées. La femme qui est resté sur le bord de la fenêtre, l’homme qui se masturbait, un couple d’une trentaine d’années et une autre femme seule. Elle aussi est nue et est appuyée sur le bord de la fenêtre. Pierre revient avec de quoi grignoter. Nous mangeons calmement, je sens qu’il y a une attente du côté des fenêtres. Pierre va chercher des godes dans sa chambre. Il les étale sur la table basse, il y en a huit.

–Lequel t’intéresse ?

Je repère un gode gonflable avec une ventouse. Je m’en saisi et donne quelque coup de pompe.

–Il peut aller jusqu’à combien de centimètres de diamètre ?–Je l’ai déjà gonflé à neuf, mais je ne l’ai jamais pris aussi gros, je me suis contenté de sept.–Et bien ça va être son baptême des gros diamètres.

Je gonfle le gode jusqu’environ sept centimètres de diamètre, l’enduit de graisse ainsi que mon anus. Pierre choisi un gode ventouse de six centimètres sur vingt-cinq. Il veut s’enfiler du long. Nous positionnons les godes sur le parquet, bien en vue de tout le monde. Je me positionne sur mon gode. Mon anus est bien souple après les séances de la soirée. Je m’agenouille de chaque côté et descend lentement dessus. Le gland touche mon anus, l’écarte et se fraye un passage en ouvrant ma rondelle comme une fleur. Je descends jusqu’aux couilles. Je remonte, redescends, remonte, redescends jusqu’à ce que je sente mon anus bien ouvert. Je donne des coups de pompe pour augmenter le diamètre et la longueur. Mon sexe se redresse pour pointer vers le ciel. Je continu d’augmenter le diamètre et la longueur dès que je sens que mon sphincter est au diapason avec le gode et qu’il glisse sans problème. Je vois Pierre à côté de moi qui se sodomise comme moi, mais qui se masturbe en même temps.

–Putain, je viens, je vais arroser le balcon.

Il se raidi un peu et un long jet de sperme sort de son gland, immédiatement suive par un second, puis un troisième. Je me demande d’où il sort tout ce sperme. Je suis moi aussi au bord de l’orgasme, je décide de me masturber. L’effet est immédiat, il ne me faut que quelques secondes pour larguer la sauce. Mais moi, je me contente d’un grand jet suive d’un tout petit. Les spectateurs sont très contents et le manifestent par de petits gestes amicaux. Je me dégage du gode. Il ne doit pas être loin des neuf centimètres de diamètre et des vingt-sept ou huit de long. Pierre va chercher un mètre de couturière, vingt-huit de long et un peu plus de neuf de diamètre. Pierre note les dimensions et les montre à tout le monde en même temps que le gode. Tout le monde lève le pouce, et certains applaudissent.…/…
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