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Drague dans le métro

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Le temps a passé, il fait maintenant pratiquement nuit. Pierre range les godes.–Tu reste, j’ai encore envie de ton cul.–Non, je suis fatigué, je crois que je ferais mieux de rentrer chez moi.–Ok, je comprends, on se revoit quand ?–Je ne peux pas avant mercredi.–Ok, moi aussi je suis un peu chargé.

J’enfile ma chemisette, la boutonne et prends mon short.

–Dans l’ascenseur.

Je regarde Pierre qui a un petit sourire malicieux et je sors sur le palier le cul nu. J’appelle l’ascenseur, attends un petit moment qu’il arrive. Pierre me regarde sur le pas de sa porte. L’ascenseur arrive, j’entre et referme la porte. Pierre me fait un petit signe de la main.

–Pas avant le premier, promis ?–Promis.

L’ascenseur descend, et, comme demandé par Pierre, j’attends d’arriver au premier pour enfiler mon short. Au rez-de-chaussée, la porte s’ouvre sur un couple qui me salue poliment. C’était juste. Je m’engouffre dans la première rame de métro, direction la maison. Il y a encore un peu de monde, nous sommes vendredi soir. Je prends ma correspondance, la rame est pratiquement vide. Je m’assoie sur une banquette, à l’écart, seul. Un homme dans la cinquantaine de type méditerranéen vient s’assoir en face de moi. Il est dans une djellaba fine, les mains dans les poches. Merde, je suis dans cette rame pour cinq stations, je m’étais mis ici pour ne pas être à côté des trois ou quatre personnes au fond de la rame, et pouvoir me caresser un peu. Il me regarde fixement. Je remarque tout de même que quelque chose bouge. C’est au niveau de sa taille, le tissu bouge. Je réalise tout à coup qu’il se caresse sous sa djellaba. Je remonte mon regard vers ses yeux, il me fixe toujours, mais avec un léger sourire. Je le regarde et glisse une main sous mon short. Nous arrivons à une station. Personne sur le quai et deux personnes descendent.
La rame repart, je vois maintenant distinctement que l’homme se masturbe sous sa djellaba. Nous arrivons à une nouvelle station ou les dernières personnes sortent. Nous sommes maintenant seuls dans la rame. L’homme se lève et remonte sa djellaba jusqu’à la taille. Il est nu dessous et bande comme un taureau. Il vient s’assoir à côté de moi et me regarde, m’invitant à l’imiter. Je ne me fais pas prier, je fais glisser mon short jusqu’à mes pieds et l’enlève. Il a une bite comme je les aime, avec le gland proéminent. Elle n’est pas super grosse, mais très attirante. Je me penche sur lui et l’englouti dans ma bouche. Il se cabre un peu, mais se laisse faire. Il sent bon, c’est une personne qui se soigne. Je le pompe avec toute ma technique, mais il doit vouloir autre chose, il me prend la tête et se dégage. Je le regarde, me lève et viens me présenter de dos devant lui. Il pose ses mains sur mes haches et m’attire à lui en me faisant baisser. Je me laisse faire jusqu’à ce que je sente sa bite contre mes fesses. Il me lâche, il veut que ce soit moi qui choisisse. Je décide d’y aller et me laisse descendre sur sa bite. Ce n’est pas l’emprise du gode de tout à l’heure, mais c’est de la chair, c’est humain, ça palpite. Je monte et descends sur son vit quand nous arrivons à une station. Je m’immobilise bien planté sur son mandrin. Personne ne rentre dans la rame.
Quand elle redémarre, je reprends mes va et vient. Il a l’air d’apprécier car je l’entends souffler dans mon dos. Il me prend la bite pour me masturber, mais je le sens se vider dans mes entrailles, il n’a pas résisté longtemps. Je me lève, il sort un mouchoir, s’essuie et me fait signe de me mettre face à lui. Il m’attrape par les hanches, m’attire à lui et me gobe la bite pour me faire une fellation d’enfer. Je suis jeune, mais je me suis déjà fait faire de super fellation, mais jamais comme ça. Je lui fais signe que je vais jouir, mais il ne me lâche pas, au contraire, il me plaque encore plus contre sa bouche. Je me vide, mais après toutes les éjaculations de la journée, je n’ai plus grand-chose à lui donner. Il s’en contente. Il me fait pivoter et pencher en avant. Je m’exécute un peu étonné quand je sens une langue sur mon anus. Il écarte mes fesses, colle sa bouche sur ma rondelle et aspire. Il récupère son sperme. Ça dure une bonne minute, juste le temps d’arriver au terminus. J’enfile prestement mon short, il se lève, me sourit et se dirige vers une porte. Je descends par une autre porte. Nous sortons de la station chacun de notre côté. Je réalise soudain que tout s’est passé sans le moindre mot. Quand j’arrive chez moi, je n’ai que la force de me jeter dans mon lit et dormir.
Je passe le week-end chez mon frère et rentre le dimanche soir chez moi. J’ai un message sur mon répondeur, c’est Pierre qui me demande de la rappeler. Je l’appelle tout de suite.

–Salut Pierre, que se passe-t-il ?–J’ai reçu un coup de fil de Paul qui aimerait bien qu’on se rencontre mardi plutôt que mercredi, ça ne te gêne pas ?–Pas du tout, au contraire, je suis impatient de recommencer dans le métro, figure toi qu’à mon retour chez moi, je me suis envoyer en l’air avec un magrébin. –Ce n’est pas vrai, je croyais que tu étais fatigué.–Oui, mais tu sais très bien que l’occasion fait le larron.–Ouai, racontes moi.

Je lui raconte toute l’histoire, il n’est pas très étonné, mais me dit être un peu jaloux, il aurait bien aimé être à ma place.Les jours avant le rendez-vous sont passés dans ma future boite, la direction voulant que je m’imprègne un peu de l’ambiance et du travail à fournir. Le mardi à dix-sept heures trente, je suis au rendez-vous avec Pierre à la station Château de Vincennes, nous avons pris la ligne 1 à Châtelet et nous retournons à la Défense. J’ai mis un short sport noir et un tee-shirt rouge. Cinq minutes après notre arrivée, je vois la bande arriver, mais ils sont apparemment sept. Ils sont tous en short de sport et tee-shirt, à croire que tout le monde s’est donné le mot. Paul vient vers nous.

–Vous connaissez Louis, Serge et Yves, laissez-moi vous présenter Georges, Didier et Michel.

Nous nous saluons tous, mais je suis étonné qu’on soit si nombreux.

–C’est une idée de Pierre, il avait besoin qu’on soit très nombreux.

Je me retourne vers Pierre.

–Pourquoi avais tu besoin qu’on soit nombreux ?–Tu verras.

Il a été décidé que c’était moi qui allait entreprendre le mec choisi. Il y a beaucoup de monde, Paul repère un mec qui a l’air de correspondre à ses critères de choix. Il est habillé comme moi, d’un short sport et tee-shirt. Il porte un sac de sport. Quand la rame se met en place, tout le monde se précipite sur elle. Nous sommes dans les premiers avec le mec, nous le suivons, il va directement vers la porte opposée et nous le suivons. Nous occupons tout l’espace contre la porte. Je suis collé contre le mec, je sens sa hanche contre la mienne, je trouve quand même bizarre qu’il sente bon, ce n’est pas l’odeur que j’attendais d’un sportif. Après la première station, il y a déjà assez de monde. Les autres font une barrière autour de nous. Ils sont tous plus grands que moi. Pierre me fait signe qu’il est temps d’y aller.
Je me tourne un peu pour libérer ma jambe, et me placer derrière lui, je laisse tomber mon bras et ma main effleure sa fesse gauche. Il ne réagit pas. Je pose ostensiblement ma main sur sa fesse. Il ne réagit toujours pas. Je bouge la main sur son short, il donne un petit coup en arrière avec ses fesses. C’est le signal que je peux continuer. Ma main remonte vers sa ceinture. Je glisse mes doigts entre la ceinture et sa peau. Il ne bouge pas. Ma main descend le long de sa fesse, il n’a pas de sous-vêtement. Je trouve quand même que c’est un peu facile, mais en fait, ça s’est passé exactement comme ça entre Pierre et moi. Je m’enhardi lui descend un peu le short, juste pour libérer ses fesses. Il commence à manifester son approbation en ondulant légèrement du bassin. Je lui caresse les deux fesses, passe une main devant pour tomber sur une magnifique bite qui commence à être bien raide. Pierre me fait passer un peu de graisse que j’utilise pour lui lubrifier l’anus.
Je suis devant Pierre qui en profite pour me baisser le short. Cela ne me déconcentre pas, je glisse une main entre les fesses du mec et commence à lui titiller la rondelle. Je glisse un doigt, le pistonne un peu, constatant que ce n’est pas la première fois qu’un objet passe par là, je mets un deuxième puis un troisième doigt. Il semble apprécier puisqu’il tend ses fesses vers moi. Ce n’est pas possible, ce mec veut que j’aille plus loin encore, et bien, il va en avoir pour son argent. Je reprends de la graisse, en badigeonne ma main, son anus et positionne mes doigts en pointe pour les présenter devant son fion. En même temps, Pierre me badigeonne le cul de graisse. Il veut me mettre quelque chose dans le fondement. Je vois les mains du mec prendre ses fesses et les écarter. Je pousse, mes doigts écarte la rondelle et pénètrent doucement mais surement. Son sphincter s’ouvre sans grosses difficultés, ma main progresse pour être absorbée par son anus. Je n’ai rencontré aucune résistance, ce mec a un cul bien entrainé.
Je commence à bouger un peu ma main quand je sens le gland de Pierre sur ma rondelle. Il pousse et mon oignon le laisse entrer avec grand plaisir. Il m’attrape les hanches et donne de bons coups de rein qui se répercute dans ma main au fond du cul du mec. Il doit sentir ce qui se passe derrière lui. Je ne comprends plus rien. Pierre se comporte comme s’il n’y avait personne. Je n’en ai cure et me concentre sur le mec. J’ouvre et je ferme ma main, la fait tourner. Je sens le sphincter du mec réagir, ma deuxième main retourne sur sa bite, mais elle est déjà prise, c’est Michel qui le branle. Je me penche vers son oreille, toujours secoué par les coups de butoirs de Pierre.

–Tu aimes ?–Oui, et toi ?–Comment et moi ?–La bite qui te défonce le cul, tu aimes ?

Ça y est, je comprends, ils sont tous de mèche, mais pourquoi. Pierre se penche à mon oreille.

–Bon anniversaire Jean.

Putain, j’avais complètement oublié que c’était mon anniversaire, j’ai confondu car on doit le fêter avec mon frère ce week-end.

–Salauds, vous m’avez bien eu. –Tu as neuf bites à ton service.

Il se retire pour libérer mon cul. Je libère celui du mec, en fait, il s’appelle Henri. Pierre me fait déplacer pour placer Henri derrière moi. Il me plante son sexe dans le cul sans ménagement et me bourre énergiquement. Tous les autres font écran. Nous arrivons à une station, Pierre et Paul se positionnent pour me cacher du quai d’en face, Henri s’interrompt. Quand la rame repart, il recommence de plus belle. Pierre se penche vers lui.

–Vas-y, vide toi en lui, il aime sentir le sperme gicler dans son cul.

Je regarde Pierre en souriant.

–Tu commence à bien me connaitre.

Henri se vide en moi, je sens deux jets me remplir le cul. Il se retire. J’ai à peine la sensation d’un vide en moi qu’une autre bite vient prendre la place. Elle est moins grosse, mais bien raide. Elle me pistonne pendant deux ou trois minutes avant de se vider en moi. Elle m’a à peine libéré qu’une autre prend sa place. Les seuls moments de répit, n’arrivent que quand la rame entre dans une station. Cela dure une petite d’une demi-heure. Je sens le sperme couler le long de mes jambes, je commence à paniquer, comment je vais faire pour sortir de ce métro dans cet état. Nous sommes à trois stations du terminus et il n’y a plus assez de monde pour continuer.
Nous n’allons pas tarder à arriver à la Défense et seuls cinq mecs m’ont enculé, je les veux tous, il va falloir faire demi-tour. Je suis un peu dans les vaps, une mi-temps sera la bienvenue. Je me demande toujours comment je vais faire pour sortir normalement quand Pierre sort une serviette et m’essuie les jambes. Je peux enfiler mon short en toute discrétion derrière le rideau de mes potes. Nous descendons à Pont de Neuilly et prenons le sens inverse. Il nous faut une nouvelle station avant de pouvoir refaire le rideau de protection contre la porte. Pierre m’enlève mon short et le met dans le sac d’Henri. Quelqu’un se place derrière moi. Un coup de graisse et c’est reparti. La bite me perfore d’un seul coup, mais maintenant, je supporterais même qu’on me plante d’un seul coup mon gode gonflable gonflé à onze centimètres sans que ça me gêne. Une nouvelle fois, le sperme coule.
 Au second, Henri se présente devant moi, il y a tout juste assez de place pour que je me penche. Il a descendu son short et me présente sa bite bien raide. Je réussi à la prendre en bouche, je le pompe avec toute ma technique. Je suis plus concentré sur mon cul que sur sa bite, mais je m’applique le plus possible. Une nouvelle giclée de sperme me remplit le fion. La queue se retire vite remplacée par une autre. Je suis au bord l’épuisement, mais je veux aller jusqu’au bout, me faire mettre par neuf mecs dans le métro. Encore une dose de sperme juste au moment où Henri se vide dans ma bouche. Je reçois du sperme par tous les orifices. Le dernier a une belle queue, j’ai remarqué que à l’aller les bites étaient de plus en plus petites alors qu’au retour, elles sont de plus en plus grosses. Il met un peu plus de temps que les autres, mais il se vide quand même en moi en donnant de violents coups de rein. Le sperme coule le long de mes jambes, mais avec la dose supplémentaire, il est arrivé sur mes basquettes. Je ne vois pas comment je vais pouvoir les nettoyer.
Mon attention est détournée, car je sens le gigantesque gland de Pierre se présenter à l’entrée des artistes. Il pousse et je l’accueil avec grand plaisir. Avec tout ça, je n’ai pas joui, cette défonce en public a dû trop me tressé ou c’était trop rapide. Pierre me défonce bien le cul, sentir cet énorme bite dans mon fondement me fait rebander. Henri s’en aperçoit et se penche pour me gober la bite. Je finis par jouir dans sa bouche au moment où Pierre se vide une nouvelle fois en moi en quatre puissants jets. Mais il est temps d’arrêter, la rame commence à se vider. Pierre me libère et Henri me rend mon short, mais je ne peux pas disposer de la serviette, je dois sortir comme ça. Tous me sourient et nous descendons de la rame à Saint-Mandé.
Je sors de la station avec les coulures de sperme le long de mes jambes, j’ai l’impression que tout le monde le remarque, mais en même temps, je suis excité comme rarement, au pont de commencer à bander. Une bosse apparait sous ma ceinture. Je suis au milieu de tout le monde, mais les passants peuvent très bien le voir. Nous finissons dans un bar pour boire un coup. Nous sommes au fond du bar, dans un recoin, autour d’une grande table. Je me suis assis sur la banquette contre le mur, je suis entouré de Serge et Didier. Ils me regardent et baissent leurs shorts et découvrent leurs sexes. Ça y est, je comprends, c’est une autre manière de me souhaiter mon anniversaire. Je tends les mains vers les sexes offerts et les caresse. Ils se dressent assez rapidement. Ce sont les deux plus gros sexes après celui de Pierre qui est hors concours. Très vite, les deux sexes sont raide et se dressent orgueilleusement vers moi.

–C’est quand tu veux.

Je fais le tour de la pièce du regard, le bar est plein, mais nous sommes un peu isolés du reste. Le patron arrive et embrasse Paul.

–Je vous présente mon frère Julien.

Nous le saluons, je comprends mieux l’attitude de Serge et Didier, ils ne risquent pas grand-chose ici. Ils n’ont même pas fait mine de se planquer quand Julien est venu, je suis d’ailleurs pratiquement sûr qu’il a vu les deux bites dressées. Quand la commande est donnée, Julien retourne au bar. Didier me fait signe de venir m’assoir sur lui. Je le regarde un peu méfiant, mais Paul me fait signe de le faire. Je baisse mon short, me glisse vers Didier, mais mon short me gêne, il faut que je l’enlève complètement. Une fois le cul nu, je réussi à me mettre sur Didier. Je me laisse tomber sur sa bite qui entre en douceur et ne bouge plus. J’ai l’impression qu’une centaine d’yeux me regardent, et ça m’excite. Je monte un peu, me laisse redescendre, recommence plusieurs fois. Je suis tellement concentré sur ce que je fais que je ne vois pas arriver Julien. Je ne m’en aperçois que quand il pose les consommations sur la table. Je le vois et m’arrête.

–Vous pouvez continuer, c’est votre anniversaire. J’espère que le cadeau vous a plu.

Je suis abasourdi, tout le monde est au courant de ce qui vient de se passer, mais l’excitation l’emporte et je recommence mes montées et descentes devant Julien qui me sourit.

–Bon anniversaire Jean.

Je remarque quand même un homme qui nous regarde à une table mais je continu, j’en ai trop envie, je suis au paroxysme de l’excitation, je ne me maîtrise plus complètement, mon cul a pris le dessus sur mon cerveau, c’est lui qui commande et me fait faire tout ce qui peut lui faire plaisir. Au bout d’un moment, je sens un jet me remplir le conduit anal, Didier a joui. Je me glisse vers Serge qui bande encore comme un cerf et me plante sur son vit. Le sperme de Didier coule un peu, mais au point où j’en suis, je m’en fous complètement.
Serge me prend la bite et me branle doucement. Je monte et descends sur sa bite comme je l’ai fait sur celle de Didier, mais la sienne est un petit peu plus longue et a un gland plus gros, ce qui fait que je la sens mieux. Il n’empêche que je finis par jouir sous ses caresses, il me suit quelques secondes plus tard. J’ai mis du sperme sur le sol, mais lui, m’a rempli l’oignon. Quand je me libère, je sens le liquide couler de mon cul. J’enfile vite mon short, mais je m’aperçois qu’il est déjà tâché depuis tout à l’heure. Je me suis promené avec une énorme auréole au niveau de mon cul. Bien sûr le short est noir, mais la tâche brille, elle est humide. Les personnes croisées ont dû bien se marrer. Mais je suis obligé de le remettre, je n’ai rien d’autre et maintenant que je le sais, je suis encore plus excité. …/…
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