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Drague dans le métro

Chapitre 6

Voyeur / Exhibition
La rame arrive au terminus et tout le monde descend. Les filles et les mecs sortent ensemble, mais j’ai l’impression que quelque chose a changé. Pour notre part, nous reprenons le métro dans l’autre sens pour trois stations. Comme nous n’avons pas de temps à perdre, je me jette sur Jérémy dès que nous sommes dans le wagon. Il est vide, j’enlève mon tee-shirt et je lui enlève complètement son pantalon de jogging ainsi que sa veste. Je veux le voir à poil, il se laisse faire gentiment. Pauline fait exactement la même chose avec Gabriel, elle enlève aussi son tee-shirt. La rame démarre, je le caresse, lèche sa bite qui prend tout de suite une forme très intéressante. Je m’appuie sur un des deux ventaux de la portes d’en face, Pauline fait de même sur l’autre ventail. Nous sommes tous les deux côtes à côtes, nus, appuyés sur les ventaux d’une porte de métro qui ne cache rien. Nous ne cachons rien à personne.
Pierre nous badigeonne un peu le fion. Gabriel se positionne en s’enfonce dans Pauline lentement mais d’une manière continue. Je vois ses cuisses toucher les fesses de Pauline, il la possède complètement. Jérémy présente son gland sur mes fesses. Il pousse, sa tête chercheuse écarte mes fesses, ouvre ma rondelle comme une fleur et s’enfonce jusqu’à la garde. Il me pistonne violemment, encore une fois, j’ai le souffle coupé, mais je ne donnerais ma place pour rien au monde. Je suis comme un fou, mon cul m’envoie des messages de plaisir intense, mon cerveau a abandonné depuis longtemps, ça fait un bon moment que je ne pense qu’avec mon cul et pour mon cul. La rame s’arrête à Bérault, mais ni moi, ni Jérémy ne songeons un seconde à interrompre le charme. Il continu à me besogner malgré la présence d’une dizaine de personnes sur le quai et de six ou sept personnes sur le quai d’en face.
Une femme nous remarque, je vois son regard devenir perçant. Elle ouvre de grands yeux, mais son expression ne me parait pas être hostile, je vois plus d’admiration que de réprobation dans son regard. Elle doit rêver de pouvoir faire la même chose. Nous sommes tous les deux secoués comme des pruniers par nos baiseurs, ils veulent en finir au plus vite, le temps presse. Jérémy se vide en moi en quatre jets puissants, il a encore de la ressource, mais Gabriel n’a pas encore joui. Ça vient une minute plus tard. Quelqu’un pose la couverture sur le sol, j’y allonge Pauline et me pose sur elle en soixante-neuf, nous pouvons nous aspirer mutuellement. Nous arrivons à Saint-Mandé. La rame s’arrête, la porte s’ouvre. Je vois un homme qui est sur le point de rentrer, mais quand il voit un couple en soixante-neuf sur une couverture au milieu du wagon et deux noirs nus la bite encore à l’horizontal, il fait demi-tour et va prendre un autre wagon. La porte se ferme et la rame repart. Il est temps de s’habiller, nous descendons à la prochaine.
Quand la rame s’arrête à Porte de Vincennes, tout le monde descend. Pas mal de monde est descendu à cette station. Nous marchons, Pauline et moi, devant tout le monde, c’est plus intéressant pour ceux qui nous suivent dans les escaliers. Au bout d’un quart d’heure de marche, nous arrivons au pied de l’immeuble de Pierre. Les noirs nous ont quittés sauf Norbert. Nous montons chez Pierre. Une fois dans le hall d’entrée, j’enlève mon tee-shirt, Pauline en fait autant et Pierre et Norbert se déshabillent. Nous entrons dans le salon qui est éclairé assez violemment. En face trois fenêtres allumées. Une est à l’étage en dessous par rapport à nous, nous avons une vue plongeante sur la chambre. Elle est occupée par trois personnes, deux hommes et une femme. Ils sont nus, allongés côtes à côtes sur le lit. Ils regardent dans notre direction. Personnellement, je suis dans un état second, j’ai toujours envie de sexe, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose.
Nous nous installons sur le balcon étroit, une boisson rafraîchissante à la main. Je ne tiens pas en place, je me lève et regarde dans la rue en m’appuyant sur le garde-fou du balcon. Trois fenêtres s’allument presque simultanément, deux couples viennent à leurs fenêtres, un homme seul à la troisième. Ils sont tous nus. Les couples se caressent, l’homme se masturbe. Une main se glisse entre mes fesses et lubrifie mon anus. Enfin un peu d’action. Je ne bouge pas, Pauline se met à côté de moi, dans la même position. Nous sommes décidemment inséparables. Je vois la main de Norbert lui lubrifier l’anus. Pierre se poste derrière elle, il bande fort. Un gland se glisse entre mes fesses et s’enfonce lentement. Pierre fait la même chose à Pauline. Ils nous prennent tous les deux par les hanches et s’activent en nous. Je ne ressens plus cette impression de manque, le vide est comblé en même temps que mon fondement. En face, les deux couples baisent et l’homme se masturbe toujours. Un des couples nous fait signe de nous tourner de profil pour pouvoir bien voir les bites nous défoncer l’oignon. Nous nous exécutons, tout le monde peut mieux nous voir, même ceux de l’étage en dessous qui se sont mis à la fenêtre, mais ils participent aussi, la femme est prise en sandwich par les deux hommes, un devant, un derrière, et elle a l’air de bien aimer. Nous fournissons un spectacle pendant que nous sommes spectateurs.
Norbert se lâche et me remplit le cul de plusieurs jets de sperme. J’aime sentir le sperme couler en moi, mais je ne jouis pas, je suis quand même trop fatigué après ces multiples éjaculations et sodomies. Norbert se retire laissant la place à Pauline qui se jette sur mon cul. J’adore quand elle me nettoie avec sa langue et qu’elle aspire le foutre que contient mon cul. J’entends Pierre soupirer, il se vide en elle. Comme elle a fini de me nettoyer, je me précipite derrière elle pour récupérer le maximum de sperme de Pierre. Nous entendons la femme de l’étage en dessous qui cri son bonheur de se faire baiser et enculer en même temps, elle jouit en s’exprimant bruyamment.
Tout le monde est fatigué, nous décidons d’arrêter là. Pauline me propose de venir dormir chez elle. J’accepte, nous saluons Pierre et Norbert, récupérons nos tee-shirts et nous descendons chez elle par l’escalier, il n’y a que deux étages, sans même nous habiller. J’entends l’ascenseur démarrer quand nous sommes encore qu’à un étage de chez elle. Quand nous arrivons devant chez elle, l’ascenseur s’arrête sur le palier et la porte s’ouvre. Une très jolie femme d’environ vingt-cinq ans en sort. Elle porte une robe rouge assez courte sur des escarpins de la même couleur. La robe la moule comme une seconde peau, je ne remarque aucune trace d’un quelconque sous-vêtement. Quand elle nous voit, elle se jette dans les bras de Pauline, dépose un rapide baiser sur ses lèvres et la serre contre elle, une de ses main traine un peu sur les fesses de Pauline qui lui fait la même chose.

–Pauline ma chérie, que fais-tu dans cette tenue au milieu de la nuit ? je t’ai attendu toute la soirée.–Excuse-moi Sophie, j’ai complètement oublié notre rendez-vous, mais à ma décharge, je me suis faite embarqué par Pierre, je viens de vivre une soirée extraordinaire.–Ah bon, raconte.–Entre, au fait, je te présente Jean, un ami.

Nous entrons tous les trois dans son appartement. Il est identique à celui de pierre, mais non rénové. Nous allons dans le salon, Pauline allume la lumière et nous nous installons dans un divan.

Sophie est restée debout.


–Je présume que je dénote un peu dans cette tenue ?–Oui, et tu sais ce qu’il te reste à faire.

Sophie ma présente son dos.

–S’il vous plait.

Je me lève, lui fais descendre le zip de sa robe jusqu’à la taille. Effectivement, elle ne porte ni soutien-gorge, ni de slip, elle est nue sous sa robe. Elle reste immobile, elle attend.

–Allez Jean, finit le travail.

J’écarte le haut de sa robe, fais glisser les épaules sur ses bras, la robe reste bloquée. Je suis obligé de tirer pour que la robe glisse vers le bas. Apparait progressivement une magnifique silhouette. Arrivé au niveau des fesses, je suis obligé de décoller le tissu de sa peau en glissant mes doigts sous le tissu. Elle a un frisson, et bouge un peu les fesses. Je fais pivoter mes mains pour que les paumes soient du côté des fesses et je pousse vers le bas. Mais mains glissent sur des fesses fermes et douces. Elle semble aimer car elle ondule un peu. Après avoir caressé ses fesses, je descends le plus longuement possible le long de ses jambes vers les chevilles, mes mains toujours sur sa peau. Quand sa robe arrive en bas, elle l’enjambe. Elle est superbe, très belle silhouette, et surtout très belles fesses juste devant mes yeux. Un vrai canon. Je suis toujours accroupi derrière elle quand elle se retourne et me fait face. J’ai devant mes yeux un pubis bien rebondi lisse comme une peau de bébé. J’ai une furieuse envie de me jeter dessus, mais je me retiens, elle n’est peut-être pas de mon bord, malgré ce qui vient de se passer.

–Merci

Elle se penche et ramasse sa robe pour la poser sur un fauteuil. Elle s’installe en face de moi sur un fauteuil, les jambes pas très serrées, laissant apercevoir son clitoris qui pointe. J’admire sa poitrine haute et ronde. Pauline raconte la soirée à Sophie. Je vois que celle-ci bouge de plus en plus sur son fauteuil. Elle ouvre ses cuisses de temps en temps, ses lèvres commencent à briller, cette histoire l’excite. Elle me regarde de temps en temps avec un regard gourmand, elle aurait bien aimé être à ma place.

–Il faut que tu me présente ce Jérémy.–Je ne sais pas comment le contacter.–Je pense que c’est possible par Pierre, il connait très bien Norbert qui peut servir d’intermédiaire, ou nous donner un numéro de téléphone.–Si l’un d’eux l’a, n’oublie pas que l’année dernière, moins de quinze pour cent de la population française était équipée de téléphone. –Espérons que l’un d’eux en fait partie, de toute manière, Norbert saura les trouver.–Vous avez dû bien vous amuser dans le métro ce soir.–Ecoutes, nous sommes à poil assis l’un en face de l’autre, je viens de faire glisser mes mains sur tes fesses, tu ne vas pas continuer à me vouvoyer.–C’est vrai, c’est ridicule.–Pour te répondre, j’ai pris un pied gigantesque, et je suis prêt à recommencer dès que possible.–Avec moi ?–Pourquoi pas, je présume que tu connais Pierre.–Bien sûr.Pauline baille. Elle commence à s’écrouler. Je prends l’initiative.–Bon, je suis crevé, j’ai besoin de dormir, Pauline, tu peux me montrer ou est mon lit ?–Ton lit est dans ma chambre pour la bonne et unique raison que c’est mon lit.

Je la regarde étonné.

–Ne t’en fais pas, je suis moi aussi crevée.

Sophie comprend le message, se lève, prend sa robe dans une main, vient nous faire deux bises à chacun et se dirige vers la porte. Je vois ses deux magnifiques fesses onduler devant moi, et sortir de mon champ de vision.

–Magnifique hein ?–Oui, elle est superbe.–Je parlais de ses fesses.–Tu as raison, magnifiques, mais les tiennes n’ont rien à leurs envier.–Merci.

Elle se lève, me prend la main et m’entraîne vers sa chambre. Le lit est un peu en bordel, mais je n’en ai cure, je veux dormir.

–Droit ou gauche.–Droit

Elle s’allonge sur le côté gauche du lit, je m’allonge à côté d’elle. Elle se tourne vers moi, se colle, repli une jambe sur mes cuisses et pose son bras sur mon torse. Je sens ses seins contre mes côtes et son pubis sur ma hanche.

–Bonne nuit Jean.–Bonne nuit Pauline.

Elle pose un léger baiser sur ma bouche et se cale sur son oreiller. Cinq minutes plus tard, nous dormons collés l’un à l’autre.
Je suis réveillé par une drôle de sensation, c’est Pauline qui me fait une fellation.

–Pauline !!!!–C’est de sa faute, elle était raide comme un bout de bois, je ne voulais que la soulager.–Bein voyons.

Elle remonte vers ma tête et me dépose un léger baiser sur la bouche.

–Je connais une autre manière de la soulager.–A oui ?

Elle s’allonge sur le dos les jambes légèrement ouvertes.

–Viens, fais-moi l’amour, mais comme des amants, juste pour nous, en missionnaire.

Elle me regarde avec des yeux pleins de tendresse, je craque. Je m’allonge sur elle, et glisse mon sexe délicatement dans sa vulve. Elle m’enlace et me sert très fort.

–Oui, comme ça, doucement, avec tendresse.

Nous faisons l’amour lentement, ses mains parcourent mon dos, s’attardent un peu sur les fesses, c’est une caresse aérienne. Quand je sens qu’elle est sur le point de jouir, j’accélère un peu et elle expose dans un superbe orgasme, que j’intensifie en me vidant en elle. Elle est arcboutée, son corps est raide, elle me soulève d’au moins dix centimètres.

–Oh oui, oui, comme des amants.

Lentement, elle revient à elle, son corps se détend sous moi. Je me dégage et m’allonge à côté d’elle sur le côté. Ma main parcoure son magnifique corps, glissant sur ses épaules, ses seins, son ventre, son pubis, ses jambes sans passer par la case sexe. Elle apprécie, les yeux fermés, la respiration calme. Elle tourne la tête vers moi.

–Un peu de tendresse dans ce monde de sexe.

Je lui souris, elle prend ma tête, l’attire à elle et m’embrasse dans un long baiser plein de tendresse. A la fin de son baiser, elle me sourit.

–Ne t’en fais pas, c’est juste pour te remercier, et aussi un peu pour moi.–Je ne m’en fais pas.

Nous nous levons et allons prendre un petit déjeuner dans la cuisine. Cette pièce donne sur une cour intérieure et possède aussi une grande porte vitrée. Pauline prépare le café, je la regarde, elle est magnifique nue dans sa cuisine à préparer le petit déjeuner. La cuisine est équipée d’un meuble d’un mètre de haut au milieu de l’espace, entouré de tabouret haut qui sert à ranger la vaisselle, mais aussi comme bar. Nous prenons notre petit déjeuner dessus. Nous faisons la vaisselle vite fait et allons prendre une douche.
La salle de bain a aussi une grande porte fenêtre qui monte jusqu’au plafond donnant sur la cour intérieure. Il y a un rideau devant, mais il n’est pas tiré, on est à la vue des occupants d’en face. Pauline fait couler l’eau quand la sonnette retentie.

–J’y vais.

Elle se précipite vers la porte et l’ouvre.

–Ne me dis pas que tu es dans cette tenue depuis cette nuit. –Exactement, ainsi que Jean.

Je reconnais la voix de Sophie, je ferme l’eau et vais les rejoindre. Quand j’arrive dans le couloir, je les trouve enlacée et s’embrassant. Je vois une main de Sophie se promener sur les fesses de Pauline qui doit bien le lui rendre. Je fais demi-tour et vais m’assoir dans le divan. Au bout d’un bon moment, elles viennent me rejoindre. Je vois que Pauline est assez troublée, elle regarde Sophie amoureusement. Il ne fait aucun doute qu’elles ont des rapports plus qu’amicaux. Sophie vient vers moi, s’immobilise devant moi et me tourne le dos, elle porte encore une robe, moins moulante, mais assez serrée quand même.

–S’il te plait.

Je me lève, fais glisser le zip jusqu’à sa taille. Comme cette nuit, elle est nue sous sa robe. J’écarte le haut mais, au lieu de tirer vers le bas, je lui enlève les manches une à une et glisse mes mains sous le tissu, sous ses aisselles, pour le faire glisser. Mes mains descendent le long de son corps, les bouts de mes doigts effleurent ses seins, passent sur ses hanches, caressent les fesses, et glissent jusqu’aux chevilles. Elle a la même réaction, elle bouge un peu ses fesses, mais ne se dérobe pas. Elle se tourne vers moi.

–Merci.

Elle s’assoie à côté de Pauline, se colle à elle et lui passe un bras sur les épaules.

–Tu connais nos rapports maintenant.–Depuis cette nuit. –Ah bon ?–Il est rare que deux amies s’embrassent en se caressant les fesses sans qu’il y ait plus que de l’amitié entre elles.–Effectivement, je ne m’étais même pas rendu compte que je lui avais caressé les fesses.–La force de l’habitude peut-être.–Peut-être.

Je vois que Sophie est un peu nerveuse, elle semble attendre quelque chose. Je décide de tâter le terrain.

–Et cette douche, on la prend ou non ?–Tu as raison, à la douche. Sophie tu nous accompagne bien sûr.

Sophie semble soulagée, je pense qu’elle me voyait comme un rival. Nous arrivons dans la salle de bain, Pauline ouvre l’eau et la règle. Quand elle la juge bonne, elle se glisse dessous, nous la suivons, la douche est assez grande pour contenir trois personnes. Nous sommes aux vues et aux sues de tous les occupants en face, mais il n’y a personne. Les mains se promènent sur les corps de l’autre en passant du savon. Je frotte le dos de Sophie pendant qu’elle s’occupe des seins de pauline qui me savonne la bite. Mais d’un seul coup, je me retrouve avec quatre mains sur le corps, une sur les fesses, une sur le dos, une sur mon ventre et la dernière qui me titille les couilles. Evidemment, ma bite se redresse, mais nous sommes quand même un peu à l’étroits.

–Tout le monde dehors.

Nous sortons de la douche, Pauline nous donne de quoi nous sécher.

–Dans la chambre.

Nous la suivons dans sa chambre, Sophie se jette sur le lit sur le dos les jambes ouvertes.

–Viens ma pauline, viens, donnes-moi ton abricot à brouter, je t’offre le mien.

Plus aucunes ambiguïtés, elles vont se donner du plaisir. Je me demande ce que je fais ici, c’est Pauline qui me donne la réponse.

–Toi, tu t’occupes de mon cul.

Pauline se couche sur Sophie en soixante-neuf et se jette sur son sexe. Sophie agrippe les fesses de son amie et plaque son sexe sur sa bouche en écartant ses fesses au maximum. J’ai une voie royale sur sa rondelle. Il y a de la crème sur la table de nuit, j’en met un peu sur mon gland et sur son anus. Je me couche sur elle en restant les bras tendus, je ne veux pas les écraser. Ma bite trouve toute seule le chemin du paradis et s’enfonce facilement dans les entrailles de Pauline, il faut dire que je ne possède pas un monstre comme l’équipe de cette nuit. Je glisse facilement dans son cul, il a déjà connu ce genre de traitement, je ne suis pas le premier à me promener dedans. Sophie est aux premières loges, et elle apprécie, elle abandonne la chatte de son amie.

–Que c’est excitant une bite dans un cul, Pauline ma chérie que ressens-tu ?–Que du plaisir.–J’espère que Jean s’occupera de moi après.–Bien sûr ma chérie, mais tu l’as déjà fait ?–Non, mais j’en ai un furieuse envie.

Sur ces paroles, elle retourne à ses occupations. Les filles sont au bord de la jouissance, moi-même je ne suis pas loin de tout larguer, tout à coup, elles jouissent ensemble.

–Oh oui, oui, Jean, viens, jouis en moi, viens.

Je lâche les vannes et lui remplis le conduit, j’ai régénéré mes batteries. Je libère Pauline, elle s’allonge à côté de Sophie en la couvrant de baisers. Nous restons longtemps allongés côte à côte. C’est à ce moment que je remarque qu’il y a quelqu’un en face et qu’il nous regarde, nous sommes devant une porte fenêtre grande ouverte. Je ne sais pas depuis combien de temps il est là, mais ça ne me dérange pas, et je pense qu’il en est de même pour les filles. Nous nous levons, il est plus de dix heures du matin, je suis étonné que les filles ne travaillent pas. Elles me répondent qu’elles sont institutrices remplaçantes et qu’elles n’ont pas de poste en ce moment. Je suis né trop tôt, j’aurais adoré avoir des institutrices comme elles. Sophie porte ses lèvres aux oreilles de pauline et lui dit quelque chose que je n’entends pas. Elles me regardent toutes les deux.

–Bien sûr ma chérie, on y va tout de suite si tu veux, je pense que Jean a rechargé ses burettes.

Elles se dirigent vers la chambre, je les suis. Cette fois, pas de soixante-neuf, juste Sophie à quatre pattes sur le lit. De voir ce cul offert devant moi, me fait bander.

–Jean, je dois te dire que Sophie est vierge du cul, c’est la première fois alors, vas-y en douceur.–Ne t’en fais pas, je serais le plus doux possible.

Je monte à genou sur le lit, j’aperçois une femme dans une des chambres de l’hôtel d’en face. Je fais signe à Pauline qui regarde. Elle fait de grands gestes dans sa direction, la femme lui répond.

–C’est Josette, ne t’en fait pas, elle a l’habitude de nous voir toutes les deux, mais là, ça va la changer.

Pauline badigeonne le cul de Sophie de crème et lui écarte les fesses au maximum.

–Tu vas voir ma chérie, c’est super.

Je présente ma bite à l’entrée des artistes, elle touche sa rondelle, Sophie trésaille.

–Tout va bien ?–Oui, continu, je t’attends.

Je pousse, le sphincter résiste, je pousse un peu plus fort, il cède un peu. Je m’immobilise un instant. Josette est toujours à la fenêtre, elle va assister au dépucelage anal de Sophie, sans le savoir. Je reprends ma poussée, lentement. Le sphincter s’ouvre un peu.

–Doucement s’il te plait.

J’arrête. Quand je sens que le sphincter s’est de nouveau un peu détendu, je reprends ma poussée. Mon gland est maintenant pratiquement absorbé par le sphincter. Un petit coup en avant et il se referme sur ma tige.

–Oui, il est dedans, continu Jean, je veux sentir tes couilles sur mes fesses.

Pauline ajoute de la crème, je pousse et m’enfonce complètement sans grande résistance, apparemment, son cul m’accueille avec plaisir.

–Oui, ton membre dans mon cul, tes couilles sur mes fesses, quel pied.
Je commence des va et vient dans son antre. Tout à coup le réveil sonne, je me réveille dans mon lit, en nage, la bite raide, le drap souillé.
Merde ! C’était un rêve……….. Dommage.
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