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La drague, c'est quand il y a un minimum d'espoir

Chapitre 2

Une nuit d'amour comme aucune autre auparavant

Inceste
Lorsque mon frère franchit le seuil de ma porte et la referme derrière lui, je la ferme aussitôt à clé. Il pose ensuite ses lèvres sur les miennes et m’offre un baiser sauvage et rempli de désir. Emportée par ce baiser, mes mains ne restent pas inactives et je retire son t-shirt pour venir déposer de nombreux baisers sur son torse. Il fait la même chose de son côté et en quelques secondes, je me retrouve avec les seins nus. Il embrasse mes tétons, les lèche, les mordille. Puis nous nous embrassons tout en nous dirigeant vers ma chambre. Nous refermons la porte derrière nous, comme si, malgré l’appartement vide, nous puissions craindre d’être dérangés.

Presque aussitôt dans la chambre, je descends le pantalon et le caleçon de mon frère qui fait le reste en le retirant complètement et en le laissant au sol. Il est le premier de nous deux à être nu, mais cela ne dure que quelques secondes, juste le temps pour lui de passer ses mains autour de ma jupe et de la faire glisser au sol. Nous voilà nus tous les deux et remplis de désir l’un pour l’autre.

Malgré notre désir commun, nous restons tous les deux au bord du lit à nous embrasser et à nous caresser. Je prends son sexe dans ma main et il glisse ses doigts dans mon vagin, mais malgré cela, aucun de nous deux n’ose prendre l’initiative de franchir ce dernier pas qui ferait tomber définitivement toutes les barrières qu’un frère et une sœur ne devraient pas franchir. Comme si le fait de savoir que plus rien ni personne ne peut nous déranger nous entravait plus que l’idée d’être surpris et de devoir tout arrêter comme lorsque je lui ai prodigué une fellation pendant environ deux minutes avant d’être interrompus par la voiture qui roulait dans notre direction. Nous restons au bord du lit pendant dix, quinze ou peut-être même une vingtaine de minutes sans oser franchir ce cap dont nous avons pourtant envie tous les deux.
— Je t’aime, me dit alors mon frère en me prenant dans ses bras et me faisant basculer en arrière pour m’allonger sur le lit.
C’est donc lui qui ose nous faire franchir le dernier pas, ou peut-être que c’est tout simplement lui qui en a le plus envie même si je n’ai jamais eu autant envie de faire l’amour avant ce soir. Je me laisse tomber, retenue par ses bras et nous basculons ensemble sur le lit. Nous nous embrassons encore quelques secondes avant qu’il ne quitte ma bouche pour embrasser et lécher mes seins. Puis ses baisers descendent de plus en plus bas et mes cuisses s’ouvrent sans effort. Il dépose un baiser à l’intérieur de chacune d’entre elles puis je sens sa langue se poser sur ma vulve et je pousse aussitôt un long gémissement de satisfaction. J’avais énormément envie de sentir sa langue à cet endroit, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi divin.
Il me savoure et me déguste pendant que je passe mes doigts sur ses cheveux. Encouragé par mes gémissements et mes caresses sur sa tête, il s’applique à me faire connaître l’étendue de son savoir-faire. Et en moins de cinq minutes, je suis parcourue par l’orgasme le plus rapide et le plus puissant jamais ressenti avant ce jour-là. Je devrais avoir honte de jouir autant grâce à la langue de mon frère sur ma vulve, mais c’est tout le contraire. Je n’éprouve aucune honte et je trouve même cela trop court et j’aurais bien aimé continuer de sentir sa langue faire preuve de talent. Je caresse alors simplement les cheveux de mon frère qui comprend facilement que je ne veux pas qu’il s’arrête si tôt. Ou peut-être que ce n’était simplement pas son intention non plus. C’est pourquoi, après mon premier orgasme obtenu avec sa langue, il ne s’interrompt pas et continue de me faire profiter de ce plaisir si exquis.
Après m’avoir fait jouir une seconde fois quelques minutes plus tard, mon frère se relève, s’essuie la bouche pour récolter un maximum de mon jus et vient m’embrasser.
— Fais-moi l’amour, lui dis-je simplement.— D’accord mon amour.
Et en seulement quelques secondes, je le sens s’introduire en moi sans hésitation. En très peu de temps, son sexe est entièrement entré en moi et son bassin se colle au mien. Il reste planté au plus profond de moi sans bouger pendant quelques secondes tout en m’embrassant. Puis je le sens entamer une lente et agréable série de va-et-vient. Nos corps s’unissent pendant que nos langues se mêlent. Ce n’est que notre première union, mais j’ai pourtant l’impression qu’il connaît mon corps par cœur. Mon frère me procure plus de plaisir que n’importe lequel de mes précédents partenaires. Je gémis et je jouis sans aucune gêne.
Là encore, avec son sexe dans le mien, je connais rapidement l’orgasme. Et heureusement pour moi, mon premier orgasme ne provoque pas le sien, sinon j’aurais trouvé notre première union beaucoup trop courte. Quand je suis parcourue par l’orgasme, il s’immobilise sans sortir de mon conduit. Peut-être qu’il fait ça aussi pour éviter de jouir trop vite à son tour, mais je ne sais pas vraiment si c’est le cas. Il me laisse redescendre de mon nuage avant de reprendre ses va-et-vient. Nous nous regardons dans les yeux pendant que son sexe fait des aller-retour dans le mien. Je ne résiste pas à l’envie de l’embrasser à chacun de mes nombreux gémissements.
Au moment de mon quatrième orgasme avec son sexe dans le mien, mon frère jouit en même temps que moi. Dans un râle et un coup de reins puissant, il reste bloqué au fond de mon intimité, gratifiant mon vagin de tout ce que son éjaculation peut libérer. Puis nous nous embrassons une dernière fois avant qu’il se retire de moi. Je sens le surplus de son sperme s’écouler de moi, mais je me sens plus légère après avoir franchi cette barrière qui réclamait tant à se briser durant notre retour chez moi.
Soulagés de ce désir qui brûlait en nous, apaisés et fatigués par l’heure tardive et la longue marche que nous avons faite, nous nous endormons peu de temps après. Il me prend dans ses bras et dépose un baiser dans mon cou. Je prends sa main posée sur moi et je la pose sur mon sein. Ses doigts se referment aussitôt pour englober tendrement cette partie de ma poitrine.
— Je t’aime ! dit-il au creux de mon oreille avant de fermer les yeux et de s’endormir.
Ces mots m’apaisent davantage et je m’endors à mon tour, enjouée et heureuse.
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