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Le dressage de ma cousine Lisa

Chapitre 4

L'accueil de Lisa

SM / Fétichisme
Bonjour Maître, j’aurais un peu d’avance, le bus est déjà arrivé à Perrache.
Ce moment que j’attendais depuis deux jours est enfin arrivé. Chez moi, tout est propre, bien rangé, la place est faite pour pouvoir bien s’amuser. Mon cœur commence à s’agiter. Mon excitation monte. Mon sexe est déjà gonflé à la simple lecture de ce message.
— Doucement Mickaël, calme-toi. Il faut surtout pas qu’elle sente que tu es fébrile,
me dis-je pour m’apaiser.
Les minutes avant qu’elle n’arrive me paraissaient si longues. Je n’en pouvais plus d’attendre. Quand tout à coup... On sonna à la porte. Mon cœur défonça alors ma poitrine, j’en avais le souffle court. Je regardai par le Judas pour vérifier. C’était bien elle, emmitouflée sous une longue veste grise. Pendant que je tentais de reprendre mon souffle, j’attrapai ce que j’avais préparé sur le meuble de l’entrée puis j’ouvris la porte. Tout en m’installant sur le pas de la porte de façon à ce qu’elle ne puisse pas entrer, je la saluai d’une voix douce et chaleureuse :
— Bonsoir Lisa. Je suis content que tu sois venue. Avant de te laisser entrer, j’ai besoin de vérifier si tu es une cousine obéissante. Enlève ta veste et donne-la-moi.— Mickaël ! Enfin... Maître ! Je suis dans le couloir, on va me voir là. Imagine, heu... Imaginez qu’un voisin sorte.— Si tu trouves déjà que c’est trop pour toi, libre à toi de t’en aller tout de suite. Donne-moi ta veste.
Lisa enleva sa longue veste grise et me fit découvrir son corps de rêve, agrémenté de quelques bouts de tissus qui n’étaient là que pour décorer cette merveille que la nature avait créée. Elle portait un soutien-gorge noir très discret, aux dentelles transparentes et très fines. Sur ses hanches tenait un porte-jarretelles sur lequel passait un string noir tout en dentelle lui aussi. Ses petites et fines jambes étaient couvertes des bas à résilles pour finir sur ses pieds rehaussés par ces mêmes talons qu’elle avait lors du repas de Noël. Elle me tendit sa veste que je jetai à l’intérieur de chez moi. Je la sentais inquiète et fébrile, mais fière et excitée. Toujours sur le pas de ma porte pour l’empêcher de rentrer, je levai ma main droite pour lui présenter un collier de cuir noir au milieu duquel pendait un petit, mais épais anneau de métal. J’approchai ma bouche de son oreille pour lui chuchoter :
— Ceci est un cadeau. C’est le cadeau qui fait de toi ma soumise. Tu ne pourras jamais le retirer en ma présence, sauf pour te laver.
J’ouvris le collier et lui accrochai autour du cou. Pendant que je me concentrais pour lui attacher, j’entendis du bruit dans l’appartement du jeune d’en face. Je me dis qu’il pouvait sortir à tout moment, et nous surprendre. Là, comme ça. Elle à moitié nue et moi lui mettant un collier de chienne. Je voyais Lisa s’inquiéter de ce bruit. Il ne fallait pas qu’elle perçoive ma fébrilité, au contraire, je devais paraitre stoïque. Je lui caressai la joue, et lui susurra :
— Tu as peur qu’il ne sorte ? Ne t’inquiète pas, il préfère te regarder par le judas. Alors, tiens-toi bien pour qu’il profite du spectacle.
En voulant l’impressionner, je finis par croire moi-même à mes propres mots. J’imaginais alors mon voisin en train de mâter ma cousine habillée comme une traînée dans notre couloir. Profitant de ces mots qui m’avaient donné de l’assurance, je pris la laisse posée sur le meuble derrière moi et l’accrocha au collier de mon apprentie soumise :
— Tu sais bien qu’avant qu’une chienne soi bien dressée, il faut la tenir en laisse pour qu’elle soit bien obéissante.

Elle ne disait toujours rien, comme si elle était devenue muette et m’observa la mettre en laisse. Je lui dis enfin :
— Maintenant, mets-toi à quatre pattes. Je veux que le voisin puisse bien admirer ton cul avant que tu ne disparaisses chez moi.
Sans un mot, elle plia ses jambes pour d’abord se mettre à genoux. Puis lentement, en me regardant droit dans les yeux, elle plongea ses mains sur le sol et cambra son dos, comme pour saluer le voisin avec sa jolie petite croupe. J’étais pleinement satisfait de cette première leçon qui, non seulement avait transformé ma cousine en une véritable petite chienne, mais elle m’avait également confirmé dans mon rôle de maître.Je tirais sur la laisse pour qu’elle entre enfin chez moi. Par petits pas, maladroitement, elle réussit à conduire son tout petit cul jusqu’à mon canapé, sur lequel je la fis monter, pendant que j’étais debout en face d’elle. Puis je lui demandai :
— Ton voyage s’est bien passé ? Ce n’était pas trop long ?— Ça s’est bien passé oui, mais j’avais hâte d’arriver.— Oui, j’imagine qu’avec quatre heures de trajet, on finit par s’impatienter. J’avais hâte que tu arrives moi aussi. Je suis content que tu sois enfin là ! Est-ce que tu as besoin de faire un brin de toilette ?— Oui, je veux bien prendre une douche rapidement si tu... Pardon, si vous voulez bien.— C’est bien, tu te reprends toute seule ! Bien sûr. Je vais te faire ta toilette, comme une vraie petite chienne !
Je sentis son regard contrarié. Elle devait être gênée à l’idée que je puisse avoir ce niveau d’intimité avec elle. Avec ce froid, elle avait certainement passé le trajet, habillée normalement et s’être déshabillé juste avant d’arriver chez moi. Elle devait certainement avoir transpiré pendant le trajet de chez elle jusqu’à chez moi. L’idée que je puisse nettoyer sa sueur devait probablement l’intimider. C’était une situation suffisamment humiliante pour qu’elle sente sa soumission s’installer, et suffisamment excitante pour qu’elle y trouve du plaisir.
Je tirai la laisse pour la faire descendre du canapé et l’emmenai jusqu’ à la salle de bain. Une fois à l’intérieur, je l’aidai à se relever pour qu’elle puisse se déshabiller. Une fois nue, je l’invitai à s’installer à quatre pattes dans la baignoire et je lui retirai son collier. Quel spectacle, ma jeune cousine, assise à quatre pattes dans ma baignoire, attendant que je lui frotte le corps. Mon sexe qui bandait déjà depuis un moment, commença à souffrir, tellement il était tendu.
J’allumai l’eau tiède et inondai le corps de mon invitée. Pendant que ma main droite arrosait sa peau, ma main gauche découvrait chaque parcelle de ce corps encore méconnu. Ma main gauche se plaisait à parcourir sa jolie croupe bien dessinée. Son cul était délicieux. Petit, les fesses bien écartées l’une de l’autre, qui nous laissaient voir l’étoile bronzée de son anus. On apercevait aussi ses deux lèvres finement retroussées. Chaque fois que ma main approchait de son intimité, elle se cambrait un peu plus, comme si elle voulait que ma main s’y perde.
J’éteignis l’eau pour la savonner. Toujours à quatre pattes, je glissais mes mains dans chaque recoin de son corps, elle levait tantôt une jambe, tantôt un bras, pour faciliter mon passage. En la rinçant, j’insistai sur ses seins, petits et ronds. J’adorais sentir leur poids dans mes mains, la douceur de sa peau, mais surtout, j’adorais sentir ses tétons épais qui s’étaient dressés. J’insistai aussi sur son anus et son sexe, sur lesquels, dès que ma main passée, son corps tout entier se crispait.
Une fois rincée, je l’invitai à sortir de la baignoire, et à rester debout pour que je puisse l’essuyer. Une fois propre et séchée, je lui dis :
— Maintenant que tu es lavée, on va sortir boire un verre tous les deux. Je veux que tu gardes les sous-vêtements que tu avais en arrivant, sauf le string. Tu n’en as plus besoin. Tu mettras une jupe, j’espère que tu en as pris une. En haut, tu peux mettre ce que tu veux, mais tu dois être sexy.— Oui maître, avec plaisir ! me dit-elle en me jetant un regard coquin.
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