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Le dressage de ma famille

Chapitre 5

Inceste
L’homme qui sort d’entre les rayons des classeurs d’archive doit avoir dans la quarantaine, une calvitie digne d’un moine et les yeux d’un homme brisé. Quand il voit Pauline dans cette position de soumission, une lueur réapparait du fond de ses yeux, comme s’il reprenait vie. Il comprend les choses qui se déroulent ici. Victoria, la directrice lui explique en quelques mots qu’il pourra enfin se venger des mensonges, émis par cette fille, qui lui ont valu de perdre emploi et réputation. Il saisit la cravache tendue par cette dernière et sans attendre, d’une violente poussée du pied, met la tête de l’accusée au sol. Un coup de cravache tombe, un deuxième puis un troisième sans aucune pitié des larmes de la fille. Il frappe sans hésiter de toute sa rage.
Un peu perturbé par cette violence, je regarde autour de moi. Je vois Lucy, ma mère et Anita, ma sœur, elles ont l’air émoustillées par les évènements, contrairement à ce que j’ai imaginé. Ma sœur a la main dans le pantalon et ma mère, toujours sous mon interdiction, hésite en se frottant le bidon. Victoria se fait lécher par Juliette, la maman de Pauline. Gaspard a mis la main sur un gode et à ma grande surprise, l’utilise pour se masser la prostate en savourant le passage à tabac de Pauline.
Suis-je le seul à être perturbé par ceci ? me demandais-je intérieurement.Quelques minutes passent et je demande à haute voix en voyant les zébrures sur le fessier et le dos d’une Pauline qui rampe pour se sortir de là.
— Ne pensez-vous pas qu’elle a reçu assez de coups comme cela ?— Non ! elle mérite bien plus que cela, gueule l’homme.— C’est à toi, Henri, de décider. Dit gentiment la directrice, avant d’ajouter, après tout, c’est toi qui l’as mise ici pour te défendre d’elle et ses manipulations. Il t’appartient donc de choisir son supplice.
Je marque une longue hésitation, Pauline me regarde, implorant ma pitié et tout le monde attend ma décision, stoppant leurs activités. Je fortifie mon cœur et m’arme de courage.
— Pauline ! dis-je durement.— Oui ! répond-elle aussitôt.— La suite va dépendre de tes réponses. Quelles sont tes raisons, pour avoir voulu me soumettre ?— Je... je t’aime, c’est toi que je veux et personne d’autre. Répond-elle, la sincérité dans les yeux.— Pour quelle raison, ne pas simplement me déclarer ton amour ou me montrer tes sentiments par une méthode habituelle ?— Tu aurais pu refuser et je t’aurais perdu, en plus avoir cette sous-merde de Gaspard à mes pieds et l’amour de ta sœur me rendait tout émoustillée.— Bien, je peux te donner une seule et unique chance d’être avec moi, sous ma protection. Tu deviendras ma pute, mon jouet, ma chose, le moindre de mes désirs deviendra ta raison de vivre. Bien sûr, tu me devras de dire la vérité, uniquement la vérité sans omettre le moindre détail et à la moindre mauvaise action de ta part, tu viendras te dénoncer pour être sévèrement punie et éduquée. Il va de soi qu’à tout moment, tu pourras dire « stop » et repartir libre. Pour ne plus jamais avoir le droit de revenir. Si tu consens à cela, tu vas répéter cette promesse en le jurant sur tout ce qui fait ton bonheur, en prenant à témoin les gens ici présents ainsi que ceux du monde invisible. Sinon, tu pars et reprends une vie normale. Je garde toutes les preuves, si tu veux me faire un coup bas de plus.
Après un moment, qui me parut extrêmement long, elle prononça l’exact pacte que je lui ai offert. Et une fois de plus, tout le monde est suspendu à ma prochaine action, je trouve cette sensation étrange et enivrante. Je pourrais m’y habituer. Je dis alors.
— Bien, tout le monde a été réuni ici, autant que cela serve. Victoria, as-tu amené un gode-ceinture et des pinces ?— Oui, qu’as-tu en tête ? Me demande-t-elle.
— Juliette va baiser sa propre fille, dis-je un sourire aux lèvres.— Il est peut-être un peu gros pour cela, tu sais ? — Bah, cela servira d’exemple aux autres sur les raisons pour lesquels il faut y aller par étape... Et pourquoi en prendre un gros ? Si tu savais qu’il le serait un peu trop pour cette fille.
La directrice me sourit et sans répondre, sort du sac un gros machin, à vue de nez trente centimètres. Juliette met le monstre et sans un mot le présente à la portée des lèvres de sa fille. Pauline me regarde et je lui dis d’obtempérer pendant que j’installe les pinces sur ses tétons. Elle se met donc tant bien que mal à le sucer. Sa mère force le gode au plus profond de la gorge, la fille arrive tout juste à se retenir de vomir. Après quelques aller-retour sans pitié pour la mâchoire. Elle couche sur le dos Pauline, qui grimace à cause des impacts de la cravache. Elle joue sur l’entrée de la grotte humide, appuie un peu puis brise la résistance, d’un coup de reins. Le gland entre écartelant ses lèvres qui étaient vierges quelques minutes plus tôt. La fille me supplie du regard et j’indique à sa mère de continuer. Centimètre après centimètre, l’objet entre grâces aux aller-retour et du forcing. Finalement, presque tout le gode est dedans.
Juliette se déchaîne avec rage dans sa fille, voyant que cette dernière cédait, je lui ai saisi la main et je lui place un bisou dans le cou. Toute requinquée, elle résiste et fait un maximum d’effort pour faciliter le travail. Quand le gode a l’air de glisser sans trop difficulté jusqu’au fond. Je stoppe la mère et je demande à ma sœur.
— Elle t’avait fait une promesse non ?
Ma sœur acquiesce et met le gode en restant habillée. Je la laisse tout son soul continuer à détruire la chatte de Pauline. Je regarde l’homme et lui demande.
— As-tu envie de la baiser ?— Non, je n’ai pas envie d’honorer de ma bite, un déchet pareil.
La directrice me regarde avec envie, je me colle à elle. Elle m’embrasse avec fougue, un vrai délice, mes mains se baladent sur le creux de ses reins, remontent à ses seins et...
— Stop ! me dit-elle perturbée. Je ne touche pas aux hommes, je... je sais que je t’ai montré les signes, mais... je me dois d’honorer cette promesse.— M’en diras-tu plus sur cette promesse ? Je demande au creux de son oreille ?
Elle me fait signe que non, je la lâche, un peu déçu. Je vois Pauline qui me regarde, les yeux dans le vide, elle a entièrement cédé. Je stoppe ma sœur qui voulait encore continuer. La marque humide sur son pantalon montrant son désir. Pauline tend le bras dans ma direction, je saisis sa main. Elle essaye de m’embrasser, je lui offre un petit bisou sur le front.
— Tu devras le mériter, par ton ancienne attitude, tu as perdu ma confiance. Tu travailleras à la regagner. Sois à l’écoute et tu verras le chemin. Dis-je.
Elle baisse les yeux, je lui caresse la joue. Elle tente de sourire, je lui enlève les pinces des tétons. Ils ont la marque blanche des pinces. L’afflux sanguin la brule au vu qu’elle les masse immédiatement. Ma mère approche et me prend dans les bras, appuyant exagérément ses petits seins sur mon dos.
— Je veux aussi, mon cœur ! demande-t-elle au creux de mon oreille.
Je l’embrasse, elle me caresse, ses mains descendent pour ouvrir mon pantalon. Je la stoppe et lui explique qu’elle n’a pas encore annoncé la fin de ses règles et que c’est Pauline qui est à l’honneur cette fois. Ma mère pique la mouche et lui donne une grosse baffe, laissant une marque rouge sur la joue puis va s’assoir dans un coin. Je ne lui connaissais pas ses sautes d’humeur...
— Dis donc, toi ! Un peu de retenue. Dis-je durement.
Pour toute réponse, elle baisse un peu les yeux en tournant la tête, vexée.
— Je n’aime pas les capricieuses. Tu vas donc être punie... Tu n’as plus droit aux relations sexuelles, jusqu’à la fin de ta prochaine période et pour continuer ton entraînement, tu porteras à la journée les plugs que je t’indiquerais de porter. J’ajoute sur le même ton.
Elle essaye de s’excuser et de me tordre pour que je lève la punition. Ma sœur et les autres rigolent. Pendant que Pauline se réfugie et s’accroche à moi. Visiblement, je suis devenu celui qui la protège. Je caresse les cheveux de cette dernière. Elle se blottit plus fort contre moi. Je demande à l’homme, s’il a envie de pousser plus loin sa vengeance, il me répond que ce qu’il a vu lui suffit maintenant que sa rage du début s’est estompée, la directrice me demande si elle peut lui faire subir quelque chose en la filmant. Je lui fais signe que oui. Elle sort une bougie qu’elle allume. Pendant qu’elle l’attache, couchée, les jambes écartées. Je sors un caméscope. Elle verse une goutte sur le ventre de Pauline, elle se tord et ne lâche pas un mot. Une deuxième goutte tombe entre les seins, elle bombe le torse et se retient de faire le moindre bruit. Je fais signe à Anita et elle vient lécher mon pénis, j’ai la gaule, comme jamais je n’ai eu.
Ma sœur ouvre la bouche et met le gland dedans, sa langue m’en caresse l’arrière, je suis rapidement au bord de la jouissance.La directrice et Juliette sourient, je remarque maintenant que cette dernière avait aussi allumé une bougie. Elles laissent en même temps tomber une goutte sur les tétons. Pauline geint. La directrice éternue bruyamment et toute la cire chaude se répand sur le pubis et le clito. Pauline hurle de surprise et de douleur. Pendant que l’homme rigole, je perds momentanément mon contrôle et je lâche tout dans la bouche d’Anita surprise par cette éruption, je lui ordonne de garder en bouche. Je souffle les bougies. Victoria, la directrice se confond en excuse, d’un geste, je lui caresse la tête en lui disant qu’il n’y a pas eu mort d’homme. Elle rougit et se retire rapidement avant de regonfler son torse. Après avoir nettoyé la cire, tout le monde se rhabille. Et papote tranquillement, suis-je seul à voir les larmes d’une Pauline recroquevillée dans un coin ? Je m’approche d’elle, lui caresse la joue.
Elle se donne à ma main et agrippe mon bras, je lui effleure les lèvres en parodie de bisous, elle en veut plus, mais je la stoppe d’un doigt.
— Maintenant, on est ensemble, si tu as besoin d’aides, je serais aussi là tant que tu tiens la promesse faite toute à l’heure. Dis-je d’une voix douce.— Je... je ferais tout pour toi, je veux juste en échange que tu sois là pour moi. Dit-elle timidement.
Voyant dans ses yeux, qu’elle est maintenant conquise. Je lui dis de passer un bon week-end. Et que lundi, elle vienne à la fac en jupe sans sous-vêtement. Elle me promet de le faire et se jette dans mes bras, je lui rends le câlin en lui disant qu’elle l’a mérité pour aujourd’hui. Sa mère qui s’était rhabillée entre-temps lui jette ses vêtements à la gueule. Et je lui dis sèchement de rapidement s’habiller pour rentrer. Ma mère ne sait pas sur quel pied danser. Je vois qu’elle a compris son erreur quand les hormones sont retombées. Ma sœur pointe du doigt sa bouche, un regard suppliant. Je regarde ma mère et dis durement.
— Tu voulais mes protéines, tout à l’heure. Mets-toi à genoux et ouvre la bouche en regardant le plafond. Anita, sans la touche tu vas tout cracher dans sa bouche et maman va l’avaler.
Elles s’exécutent comme je l’ai demandé, en rajoutant des caisses. En faisant des petits bruits avec ma semence et maman se gargarise une minute avant de tout avaler en me regardant droit dans les yeux, un sourire aux lèvres. J’évite de montrer que cela m’a fait un effet de fou. Avec ma sœur, elle prend les devants pour rentrer quand je leur dis que j’ai à discuter avec Victoria et Juliette. L’homme quant à lui s’est éclipsé discrètement. Je dois clairement indiquer à Gaspard de ranger le jouet et de partir.Maintenant seul avec ma nouvelle soumise, sa mère et la directrice, je dis.
— Maintenant, Pauline est ma soumise, je ne veux pas entendre que vous lui avez fait des misères qui débordent que l’éducation normale d’une mère et son enfant. Si elle tente quoi que ce soit contre moi ou qui que ce soit, il va de soi que je dois être immédiatement mis au courant et que l’on agira en conséquence.
Juliette accepte et je note le soulagement de sa fille. On continue de discuter, j’apprends ainsi qu’en réalité, Juliette est soumise à Victoria depuis bien avant que Pauline ne me fasse des misères et qu’elle refuse toute relation sexuelle avec son mari depuis, Cyril, le chef de maman. Je les regarde, blasé, voilà qui est intéressant, les coupables de la tyrannie qui a lancé cette histoire peuvent maintenant être le remède. On se sépare, tout sourire, en se promettant de remettre cela un de ces quatre.
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