Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 88 J'aime
  • 1 Commentaire

Le dressage de ma famille

Chapitre 7

Une petite amie ?

Inceste
Après un week-end chargé en émotion et mon stress d’affronter Pauline. A-t-elle décidé de me jouer un coup bas ? Sera-t-elle docile ? Je prépare mes affaires, je prends un objet dans ma cuisine pour l’entraînement de cette fille à problèmes. J’embrasse ma mère, mes mains lui caressent le boule. Elle se frotte à moi, je romps l’étreinte, en me maudissant de lui avoir fait cette punition, l’abstinence d’un mois, alors que je la veux sur moi.
Arrivé au perron de la fac, Anita, ma sœur, au bras, Pauline nous aborde, avec une minijupe ras les pâquerettes et les joues un peu rosées. Après les salutations, on va dans un recoin de la cour. Je la lève, exposant son sexe et ses belles fesses :— Tu as exécuté mes ordres aujourd’hui. Félicitations, voici ta récompense. Dis-je, surpris en bien.
Je l’embrasse sur les lèvres, elle me saute au cou, ses jambes et bras m’agrippent et elle essaie de faire pénétrer sa langue. Je la repousse :— Tu vas devoir faire mieux pour gagner cela.— Mais, mais... dit-elle, visiblement perturbée. Je croyais... non... Je peux accepter de suivre tes ordres, mais... je te veux, être ta petite amie, ton amante, ta chose...— Je te renvoie à tes manipulations qui nous ont conduits à ce week-end. Dis-je en la regardant durement.— Il est MON petit copain. Réplique ma sœur.— C’est vrai, comme il est vrai que tu devras apprendre à partager. Dis-je en pinçant une fesse de cette dernière. Toi Pauline ! Tu dois encore me prouver que je peux te faire confiance. Petit à petit, tout vient à point à qui sait attendre.

Pauline fixe furieusement Anita et n’a pas l’air de comprendre :— C’est ta putain de sœur, elle ne pourra jamais te satisfaire comme moi.
Je donne une baffe Pauline. Elle a la marque de ma main. Son regard est confus. Je lui explique en me retenant de parler trop fort :— Tu veux être proche de moi, mais tu ne respectes pas mes choix et mes goûts. Visiblement, tu es trop idiote pour comprendre, je vais te l’expliquer clairement. Tu joues les allumeuses, tu fais du mal à ma famille et tu voudrais que j’oublie tout pour tes yeux qui ne sont même pas si beaux que cela!— Je t’aime, je suis follement amoureuse de toi. Pourquoi me repousses-tu ?— N’as-tu pas réalisé que malgré ton passé, je t’ai offert une chance d’être avec moi ! Et là, tu chies dessus ! J’avais prévu des jeux pour reconstruire la confiance. Malheureusement, c’est trop tôt. Tu es une gamine pourrie gâtée qui ne comprend rien à rien. Je vais donc devoir agir en conséquence et tu peux dorénavant oublier que l’on se met ensemble.
Ma sœur lui tire la langue. Je me retourne et fais un pas. Pauline se jette au sol et agrippe mon pied, l’embrasse, me supplie de lui laisser une dernière chance qu’elle a compris qu’elle fera tout pour que l’on soit ensemble, quel qu’en soit le prix. Je lui relève le menton et la fixe dans les yeux :— Tu vas cogiter, jusqu’à la fin des cours. En sortant de la fac, on s’attendra au portail principal et tu me donneras le résultat de ta réflexion. Si j’aime, tu auras ta toute dernière chance, sinon ce sera fini définitivement.
Elle me fait un oui de la tête lamentablement au sol puis l’on part les trois en classe. On arrive un peu en retard, les autres élèves ricanent en s’imaginant des choses d’après les chuchotements que j’entends. Les cours se passent tranquillement, je m’amuse, discrètement, à tripoter ma sœur pendant les pauses, Pauline nous regardant avidement, torturée entre ses désirs, son envie de tout contrôler et sa parole. Après la dernière période, je vais dire bonjour à la directrice. À peine la porte fermée, elle m’étreint puis fait un pas en arrière. On discute de choses et d’autres notamment des activités et de celles de Pauline à la suite de notre séance du week-end. Juliette, la mère de Pauline, a fouillé dans les affaires de sa fille. Le résultat me rassure, dans son journal intime, bien qu’elle ait occulté la partie de ses manipulations, elle est effectivement amoureuse de moi et profondément.

Apparemment, elle n’a rien fait pour reprendre la main sur la nouvelle forme du jeu suivant sa punition. La directrice ajoute qu’une part de son attitude provient de son groupe d’amies. Rassuré, je vais au portail, j’y vois Pauline tout inquiète, elle veut me sauter au cou, se retenant à la dernière minute. Elle met un genou au sol, me fixe avec des yeux de cocker et d’une voix tremblante m’annonce :— Je... j’accepte te laisser tenir les rênes de ma vie, te partager avec d’autres et tout ce que tu désires. Je veux... non ! mon cœur acceptera tout pour être avec toi, je... j’ai une exigence en échange de tout, être officiellement ta petite amie et avoir des marques d’affection dans ce sens-là.
Je souris, ma tension de la journée se relâche, je mets mon pied en avant et le lève :— Si Anita est d’accord qu’officiellement tu le deviennes, tu le deviendras. N’oublie pas que ce sera elle, la numéro un. Tu lui devras respect, loyauté et priorité de choix, mais mes ordres et envies priment, car tu es mienne.— J’accepte ! Dit ma sœur en levant le pied comme moi.
Pauline a une seconde d’hésitation puis embrasse ma semelle. J’entends une voix féminine au loin :— Hé ! regardez, n’est-ce pas Pauline ! Qui lèche les chaussures d’un misérable homme ?
Je vois une des amies de Pauline. Elle est avec sa bande suivie d’un gars à la tête baissée. Cette dernière panique, je remarque qu’elle veut fuir, prise à parti entre ses copines qui croient les femmes supérieures aux hommes et son désir. Elle se force à rester à genoux et embrasse la semelle de ma sœur :— C’est même plus la peine de nous contacter ! Je hais les vendues et tu le sais.— Vendue ! Sac à merde ! Traîtresse ! Aboient en écho les autres filles du groupe.
Ses dernières partent, docilement suivies par l’homme. Pauline en a les larmes aux yeux. Je la relève, la prends dans les bras et la cajole. Je l’amène au café à deux pâtés de maisons plus loin. Elle pleure et m’explique que ses filles sont ses amies depuis la petite école, qu’elles ont tout fait ensemble. L’homme est le petit copain de celle qui nous a parlé. Une sorte de jouet docile grâce à qui elle a cru apprendre les relations hommes-femmes. Ma sœur la prend dans les bras, et s’excuse de l’avoir mal jugée. Je suis secrètement content de cette double laisse qui nous est offerte aujourd’hui. J’embrasse ma sœur puis j’assois Pauline sur mes genoux. Lui donne un vrai long baiser comme elle le voulait ce matin. Puis elle se colle à moi, cette fois, je lui caresse le dos pour la consoler. Quand elle me semble calmée, je la relâche. Elle me remercie, personne ne lui avait jamais donné un câlin. On retourne chacun chez soi.
Chez moi m’attendent ma mère et Janine, notre voisine nouvellement perverse. En quelques mots, elle explique qu’elle a essayé de séduire un gars dans le bus. Il l’a tringlée sans préparation et cela lui a été douloureux et sans saveur. Elle est donc encore sur sa faim et veux que je la baise comme l’autre soir. Après réflexion, je valide l’idée, j’organise vite fait la soirée. Son mari arrive, je pars chercher le troisième et dernier objet acheté samedi, un gode ceinture, de taille normale. Le mari déjà nu a toujours sa cage. Madame m’embrasse, me caresse le dos, je le lui rends. En deux minutes, elle est haletante. Une trace de mouille au travers de son pantalon. Elle se déshabille, veut sortir mon zob. Une fois de plus, je la repousse et lui explique :— Ne te l’ai-je pas bien précisé hier ? Tu dois le mériter.— J’ai... j’ai super envie... pitié ? Me supplie-t-elle.— Comme promis, je vais te faire découvrir beaucoup de choses, ce soir. Ton mari d’amour va se faire plaisir.
Je vois ce dernier se redresser et la femme soupirer. Je continue :— Anita, ma chère sœur, tu vas pouvoir essayer quelque chose. Mets le strap-on. Toi ! Janine, tu vas regarder.
Elle s’exécute et va directement titiller le trou de l’infidèle. Je vois sa déception, sa gêne mélangée à l’excitation et... mon ventre affamé gargouille. Ma mère sourit et part en cuisine. Ma sœur ouvre le cul de l’homme, j’ordonne à Janine de le lécher, elle râle et rouspète. Je lui rappelle notre promesse de l’autre jour. Elle s’exécute. Il se concentre, pète un bon coup. Janine se retire et râle, exacerbée :— Putain de merde ! Ne sais-tu pas te retenir ?— Dit celle qui s’en est bien amusée hier.— Ça suffit ! vous deux, vous êtes du même niveau, vous vous ferez des joutes verbales chez vous. Continuons ou notre accord tombe à l’eau.— OK ! OK ! Dit-elle d’un ton qui m’irrite.
Elle recommence les coups de langue. Ma sœur qui tâte son anus de temps en temps, jusqu’à pouvoir y enfiler deux doigts. Elle pointe son strap-on devant les lèvres de Janine. Elle le lèche, met un bout dans la bouche, le gobe. Anita s’en amuse à lui baiser la gorge quelques minutes. Ensuite sans crier gare, elle ressort pour directement aller au fond de l’homme. Je prends Janine sur mes genoux et mes doigts se promènent sur ses zones érogènes. Monsieur serre les dents et devient tout rouge, visiblement il n’aime pas trop. Ma sœur n’a aucune retenue et le bourre le regard vide. Je n’apprécie pas, Janine quant à elle mouille beaucoup. Je reste léger sur mes attouchements, pourtant je la sens se contracter d’une jouissance. Je stoppe Anita, l’homme est au bord des larmes. Janine s’étonne que de voir son mari baisé par une autre l’ait excitée. Lui par contre, a détesté se faire prendre par le cul. Je le libère de sa cage. Et demande à ma sœur de le sucer jusqu’à ce qu’il soit bien dur.
En résumé, un coup de langue a suffi. À nouveau, j’assois sa femme sur les genoux, écarte ses cuisses et la maintiens en lui ordonnant de venir la prendre comme cela. Il ne demande pas son reste. Il est directement au fond et ses va-et-vient sont doux. On sent à quel point il l’aime et veut lui faire du bien, il l’embrasse, lui caresse les seins, lui titille légèrement les tétons, elle en devient folle. Je vois qu’il la connaît bien. En quelques minutes, il envoie la sauce profondément. Les deux s’étreignent langoureusement, se font des papouilles. Rigolent et se bécotent. Quelques minutes passent, ma mère nous appelle pour le souper. On mange joyeusement tous les cinq. Il ronchonne quand il doit remettre la cage. Je lui fais un clin d’œil et lui glisse à l’oreille :— Patiente, jusqu’à la fin du mois.
Le couple repart et je prends ma sœur dans les bras :— As-tu aimé ?— Bof, l’idée est excitante, mais je ne ressens rien pour lui, regarde.
Elle me met la main dans son pantalon, c’est tout sec. Elle continue :— Je te veux, c’est toi que j’aime.
Je l’embrasse, la caresse. Je la déshabille, elle me déshabille. Son sexe s’humidifie, ses lèvres sont douces et agréables au contact des miennes, mon cœur bat plus vite, mon pénis se tend. Mon amour m’embrume l’esprit. Je lui tords les mamelons, elle émet un petit gémissement mignon. Ma verge au garde-à-vous frotte son fessier, elle ondule sur moi. Maman vient lui lécher l’anus en me touchant chaque fois le gland du menton. Je lui enfile un doigt, je fais des va-et-vient dedans, elle est trop serrée pour plus. Elle a un spasme, son orgasme est tombé, je la positionne en doggy et Lucy la pénètre de la langue au plus profond de la rondelle. Je sors le petit gode, le lubrifie. J’appuie, il entre difficilement, ma sœur fait une grimace. Sans émettre de son, elle ondule pour faire bouger le gode, statique dans ma main. Je vois tous les efforts qu’elle déploie. Maman lui chuchote quelque chose à l’oreille.
Elles se retournent et m’offrent l’un après l’autre un bisou où passe beaucoup d’amour. Je préfère m’arrêter et ma sœur me supplie de lui laisser le gode. Je lui rappelle que son hymen doit rester intact. Elle me jure qu’elle tiendra sa promesse. On va dormir tous ensemble. Au matin, on fait nos ablutions. Ma sœur arrive avec une liasse de billets et une boîte pleine de pièces. Elle m’explique que je peux utiliser ses économies, pour lui offrir la meilleure expérience possible. Je lui rappelle que cet argent est à elle. Elle doit donc décider, par elle-même, de son utilisation. Elle me le pousse dans les bras. Pressée par le bus. Je finis de m’habiller en refusant. Elle insiste et me met les billets dans le caleçon. Obligés de courir, ses machins me grattent jusqu’aux toilettes de l’école. Ma sœur rigole de sa blague. Je lui promets qu’elle en entendra parler d’ici peu de ma revanche. Je m’occupe uniquement de Pauline.
La rumeur que l’on est en couple, prend moins de temps que le premier cours, pour se propager. Enfin libéré des cours, je renvoie ma sœur à la maison, avec pour instruction de jouer avec son anus en attendant mon retour. Je vais avec elle au sex-shop après avoir confirmée notre majorité à la vendeuse. Je fais le plein de sex-toy en tous genres pour mes futures séances grâce à l’argent de ma sœur jumelle. Après avoir regardé les nombreuses ceintures de chasteté du magasin, la vendeuse m’apprend que c’est la marque de fabrique de leur chaîne. Je dis :— Pauline, j’ai pour toi une mission de la plus haute importance.— Laquelle ?— Tu as droit à un objet du magasin. S’il me plaît, tu l’obtiens. Si non, demain tu as un gage.
Je la vois hésiter et faire trois fois le tour du shop. La vendeuse nous demande de conclure, car elle doit fermer. Sans regarder, elle attrape un paquet, paniquée, et me le donne. Je souris et lui dis :— Je n’aurais pas pensé que tu cherchais ce genre de chose.
Elle découvre l’objet et blêmit, c’est un kit pour agrafer les parties intimes sur une longue durée. Elle bégaie :— Je... je peux changer ?— J’aime bien l’idée moi. Je vais le garder.— Pitié, je... je veux encore profiter des plaisirs vaginaux moi.— Pourtant c’est toi qui m’as mis cela dans les mains.— J’ai juste pris au hasard...
Je fais signe à la vendeuse. Elle vient et nous explique qu’elle est la créatrice de cet objet et que ses sujets de test avaient adoré ce niveau de soumission. Elle pointe que tout est stérilisé et que les produits de soin sont inclus. Puis en regardant l’heure, elle insiste si l’on achète, ou pas, notre panier bien rempli. Pauline attrape un dildo réaliste et me demande de prendre cela plutôt. La vendeuse soupire, et nous annonce :— Je vais devoir fermer l’entrée, je peux vous laisser un peu plus de temps si vous faites quelque chose pour moi.— Que veux-tu ?— Elle nue et elle boit toute ma pisse.— OK !
Je vois son regard terrifié. Elle s’exécute fidèle à sa parole. La vendeuse boucle la porte et face à moi, baisse son pantalon révélant une forêt de poils. Elle colle brusquement la bouche de mon amie contre sa chatte et se lâche. Elle galère à avaler le gros pipi de la vendeuse et en laisse passer un peu qui coule sur elle pour rejoindre le sol. La vendeuse termine son affaire puis l’oblige à lécher le sol pour finir les dernières gouttes. Je repose le choix de gode de Pauline. Me voyant faire cela, elle a froid dans le dos. Je lui tape sur l’épaule et le lui chuchote à l’oreille :— J’ai une meilleure idée pour toi.
Je paye les objets et l’on part, tout le long du chemin commun pour rentrer chez nous, je la sens anxieuse sur ce que je lui réserve. Mais n’a pas osé me le demander.
À la maison, Annita a bien suivi mes instructions. Je l’embrasse tendrement. Elle est soulagée que je sois enfin là, le postérieur est en feu et la fatigue dans les yeux. Elle pose sa tête sur mon épaule, la berce un peu. Maman arrive, le repas est déjà presque froid, le dildo toujours dans les fesses, j’assois ma sœur sur les genoux et l’on mange. Super excitée, elle mouille mon pantalon. Je tâte sa rondelle, elle est maintenant toute souple. En plus du jouet, je peux facilement y glisser un doigt. Je le lui annonce :— Ce soir est pour toi, le grand soir.— Tu vas prendre mon hymen ? Demande-t-elle pleine d’espoir.— Euuhhh, non. N’oublie pas la parole que l’on s’est donnée. Nous allons faire l’amour pour la première fois.— Comment faire alors ? Son regard me prouve qu’elle ne fait que me chercher.— Par ton orifice préféré ma jolie, par ton orifice préféré.
Elle me chamaille un moment en jouant le mindfuck, je finis par lui donner une bonne fessée. Elle se calme. Je l’emmène à la salle de bain et je lui montre comment faire un lavement. Gênée, elle veut le faire dans l’intimité. Je retourne voir maman, je l’embrasse, elle se frotte à moi. Elle a aussi faim l’amour, je dois lui rappeler qu’elle est toujours punie. Je lui ordonne de se mettre nue, lui enlève la ceinture de chasteté et l’envoie faire ses besoins, quand ma sœur revient. Elle a pris une douche, tout propre et l’anus élastique nettoyé en profondeur. Je l’embrasse. La remercie et lui montre la panoplie achetée avec son argent, elle rougit et l’on délire un moment sur son utilisation. Maman sort des toilettes, je lui installe le plug de la taille supérieure à son précédent. Il entre sans difficulté. Je referme la ceinture par-dessus. Il ne lui faut que quelques pas pour s’habituer à ce dernier. Je prends ma sœur en tête à tête.
Dans la chambre, on s’embrasse, je la caresse au creux des reins, elle m’enlève le t-shirt. Je titille son anus pulsant et elle a un spasme. Je le lubrifie avec sa cyprine. Je n’ai pas le temps de finir de l’ouvrir avec mes deux doigts qu’elle est déjà en train de forcer l’accès à califourchon sur moi :— Doucement, Anita. Ne te précipite pas.— J’ai suuuuper besoinnn ! Répond-elle le souffle court.
Je n’ai pas le temps de la retenir qu’elle est déjà à la moitié de mon anaconda. Je vois qu’elle souffre un peu, pourtant elle pousse au mieux et fait des entrées-sorties. En deux minutes, elle a un spasme. Elle s’effondre sur moi. On s’embrasse, je la retourne. Elle gémit en mélangeant nos langues pendant que doucement, je la pénètre. Son anus détendu accepte facilement mes allers-retours tout en restant très serrer autour de mon pénis. Je la caresse, son dos est doux comme du velours, sa langue a le goût du chocolat et ses caresses son juste se qu’il me faut. Je pousse au fond, je suis maintenant enfoncé jusqu’à la garde. Elle bouge en rythme avec moi. Les grincements du lit en disent long. Je jouis, c’est bestial, je m’arc-boute et elle jouait en même temps prenant au piège mon pénis bien en elle. On s’endort, accrocher l’un a l’autre. Le réveille hurle. C’est reparti pour une journée de folie. Ma sœur n’arrive plus à se décrocher de moi.
Je suis son premier et en plus, elle a joui bien mieux qu’avec ses masturbations selon ses dires.
Diffuse en direct !
Regarder son live