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Le dressage de ma famille

Chapitre 8

Enracinement

Inceste
Les jours passent, je découvre, et fais découvrir, de nombreuses pratiques à Anita, ma sœur, mon amante. Elle est devenue accro au sexe comme jamais, je m’étonne de tenir la cadence. Norbert, quant à lui, a eu droit à une pléthore de misères par sa femme. Elle a ramené ses collègues et a baisé avec eux devant lui en l’humiliant. Elle lui a détruit l’anus et obligé à bouffer sa merde sans jamais le sortir de sa cage de chasteté. Son mental a remonté quand il a su quel était mon plan.
De son côté, Pauline a exécuté son gage ; au lendemain de la visite de la boutique ; le port d’un plug urétral maintenu part une fine chaîne cadenassée. Le fait qu’elle doive me demander pour le plus simple de ses besoins l’a mise dans tous ses états. J’ai donc décidé de réitérer les jours suivants. Gaspard est passé quotidiennement lui donner quelques coups de reins sans jamais lui offrir de jouissance même avec toute sa bonne volonté.
Malgré les suppliques de Pauline, je ne la touche pas sexuellement, juste des bisous et des câlins qui montrent que l’on sort ensemble. En parallèle, je prends contact avec les quelques personnes, qu’elle et ses ex-copines ont pris soin d’humilier.
Avec ma sœur et Pauline, on s’inscrit pour le permis de conduire. Malgré nos soucis financiers, Maman nous encourage dans cette voie. Avec Pauline, on trouve un petit job au ciné érotique d’une ruelle sombre. Elle en tenue affriolante ; les clients viennent acheter les en-cas pour poser leur regard salace dessus. De mon côté je gère la caisse des entrées et ma présence limite les débordements.
La co-gérante était gênée de prendre de la viande fraichement majeure puis s’est rassurée en voyant le chiffre d’affaires augmenter et les débordements diminuer. Anita, c’est retrouvé à classer des tickets de caisse pour deux trois petites entreprises. Au jour de la fin de la punition de maman, je l’embrasse goulûment et lui dis de se faire toute belle pour sa soirée. Elle me serre fort puis part guillerette au travail. Je passe le début de la matinée à taquiner Anita, ma sœur. Je vois l’envie et la jalousie de Pauline, elle est à bout. Pendant la pause, je sors un nouveau plug pour elle, il est plus gros que celui qui l’empêche de pisser. Je lui susurre :
— Veux-tu que l’on couche ensemble ?— Oui ! Maître, oh oui ! Je ferais tout pour, j’ai trop besoin.— Tu as deux choix, pour qu’on le fasse. Soit, tu portes toute la journée ce plug. Soit...— Il est trop gros, cela va me faire mal ! me coupe-t-elle.— Je n’apprécie pas que tu m’interrompes et tu le sais, je vais donc appliquer un gage.
Elle me regarde avec des yeux de cocker. Je poursuis :
— L’autre possibilité est de sucer ou lécher trois personnes du lycée et de me fournir les preuves par photo.— Je... Je prends l’option du plug, je n’ai envie que de toi. Et… quel est mon gage ?— J’y viens, je vais te présenter quatre connaissances et ils vont te punir comme tu aimes.
Les yeux baissés, elle accepte sans rechigner. Je le lui mets le nouveau plug ; je dois un peu forcer pour qu’il se loge au fond. Pendant la journée, je fais signe à ses anciennes victimes. Tous, tour à tour, lui donnent la fessée déculottée. À la fin des cours, elle tient à peine en place entre son cul brûlant et son pipi urgent qu’elle n’arrivera pas à satisfaire sans mon consentement.
Aux toilettes, je palpe son vagin, dégoulinant de désir. Elle émet un petit bruit mignon en m’agrippant, elle essaye de se frotter à mes doigts. Avec délicatesse, je retire le plug, elle grimace et son urine sort directement. Elle en frissonne de plaisir, la respiration haletante et proche de la jouissance. Je la lui coupe en aspergeant ses parties d’eau froide. Très frustrée, mais avec la promesse de se réserver pour son moment, elle rentre chez elle.

Ma sœur débarque et me traîne chez la directrice. Je prends cette dernière dans les bras. Elle me serre fort et je dois la repousser un peu pour en arriver au sujet de son invitation. Elle m’annonce qu’elle a enfin eu le droit d’en dire un peu plus sur les raisons de son aide et de son silence par rapport à son autorisation de toucher les mâles. Une femme sort d’un coin discret. Je reconnais la vendeuse du sex-shop. Elle m’explique de but en blanc.
— J’ai bien rigolé en voyant débarquer dans ma boutique un homme qui ne ressemble à rien et pourtant tu correspondais à la description qu’elle m’avait faite, à la suite de la punition de Pauline. Je veux quelqu’un de fort pour mes enfants. Si tu me le prouves, je te laisserais le droit de me toucher pour me faire don de ton sperme.— Je n’ai pas envie de toi. Victoria oui, mais avec toi, je ne ressens rien.— Quoi ? Ne suis-je pas désirable ?— Tu es jolie, je ne...— Alors pour quelle raison ne veux-tu pas faire l’effort de me plaire ?— Pour cette raison, justement, je ne peux pas accepter une personne égoïste et égocentrique.— Et le temps supplémentaire à la boutique ? N’est-ce pas généreux ?— Tu as uniquement voulu faire des misères à la fille qui m’accompagnait.
Ses tentatives continues, certaines subtiles, d’autres grossières, m’irritent rapidement. Finalement, voyant que je ne cède pas, elle dit à Victoria qu’elle n’aura plus le droit de me parler. On sort. Je les entends s’engueuler. Apparemment c’est pour Victoria que la discussion aurait dû être et la vendeuse et maîtresse n’a pas tenu parole. J’oublie rapidement tout et je retourne à la maison. Maman m’attend, dans une magnifique nuisette. Elle a vraiment pris soin d’elle aujourd’hui. Je la prends, tendrement, dans les bras. Ma sœur prépare le repas et se montre super serviable, aidant à l’ambiance.
J’embrasse Lucy, la caresse. Sa peau de pêche me donne des frissons, je suis prêt. Je lui enlève délicatement la ceinture de chasteté, elle pousse son plug puis trois de mes doigts entrent sans problème. Elle m’enlace fort, me chuchote de doux mots à l’oreille. Je la porte dans ma chambre.
J’approche mon pénis devant son orifice d’amour, elle serre un peu les jambes. Je lui frotte sensuellement le dos, lui embrasse les seins. Elle se détend, libérant l’accès à sa rondelle. Je la pénètre facilement, elle jouit après deux ou trois allers-retours. Elle me grimpe dessus et ondule ; son petit trou me masse la bite ; c’est très difficile de ne pas partir instantanément, surtout avec ses caresses et ses bisous. Elle se cambre, mon zob est pris dans un étau, je lâche la sauce. Elle tombe en arrière et a des spasmes, j’ai l’impression d’être trait. On se colle l’un à l’autre, toujours connecté. On discute longuement ; elle a adoré ; et maintenant qu’elle a surmonté sa peur, elle veut qu’on le fasse aussi souvent que possible, voire plus, et que je continue à contrôler sa sexualité.
Au matin, les lèvres de ma mère presque contre les miennes, j’ai la douce bouche de ma sœur qui me fait une fellation. Elle est devenue très douée avec sa langue. Puis pendant que je me prépare, je lui dis de réveiller maman de la même façon.
Les cours se passent tranquillement, je ramène à la maison Pauline comme elle a parfaitement joué le jeu, elle a enfin droit à son moment. Janine et Norbert sont là aussi. Lucy s’amuse avec Janine, qui s’est laissée faire au moment où je le lui ai ordonné un peu fermement. Elles s’embrassent, se touchent. Maman avec le strap-on donne toute son énergie pour ouvrir en deux sa compagne.
Ma sœur et Norbert jouent les spectateurs et commentent salement les deux femmes. Je prends Pauline à part, l’embrasse. Elle me rend le baiser et me serre au plus près, nos caresses ressemblent à ce qu’elle rêvait depuis toujours. Elle en mouille d’anticipation. Je la pousse sur le lit, elle écarte directement les cuisses et j’entre sans difficulté. Je suis étonné, son vagin est aussi doux et serré comme s’il avait été moulé pour moi. Nos bouches connectées, se tenant dans les bras l’un de l’autre, nos corps se frottent, et ensemble, on jouit. Elle est tout heureuse, toute mignonne.
Je n’avais jamais remarqué cette part d’elle. Après un agréable échange, on retourne au salon. Janine est en train de lécher l’anus de maman et Anita a libéré Norbert. Je saisis une ceinture de chasteté et la lance au pied de sa femme. Elle ne comprend pas le message.
— On vient de finir le mois d’essai. J’ai besoin de ta réponse pour la suite. Veux-tu réellement, pour reprendre tes mots, devenir ma pute, que je te corrompe et te guide pour le reste de la vie ?— Oui, j’ai envie, lâche-t-elle.— Bien ! Et toi Norbert ?— Oui !
Je montre à Janine l’objet et elle comprend le message. Elle met la ceinture. J’attache au mur, les poignets de madame. Je donne mes ordres. Son mari sourit enfin d’un vrai sourire et la femme blêmit. Il appelle des personnes. Gaspard et deux inconnus arrivent et sortent leur engin. Tout est limpide, avec ma sœur à la caméra, Janine suce les hommes tour à tour. Une fois les trois invités repartis, je réitère la question et elle valide à nouveau en ajoutant qu’elle n’aime pas trop se sentir comme une pute et me supplie pour une relation moins dégradante. Je lui ordonne d’énumérer tout ce qu’elle a fait à son mari et les yeux baissés, comprends le message. Lui est heureux d’entendre les excuses de sa femme, je les laisse mettre les choses à plat. Anita se frotte à moi, on s’embrasse. Pauline et maman rejoignent le câlin. Pauline me demande.
— Je... je sais que je t’ai promis de t’être obéissante, mais... avec ce soir, je viens de saisir que pour moi la douceur et l’amour me sont très importants. J’aimerais que tu m’intègres comme ta famille, être ta petite amie et pas seulement pour les apparences. Je peux ? Soit assuré que je ferais tout pour toi, tu acceptes ? S’il te plaît, s’il te plaît, s’il te plaît.
Ses yeux suppliants, et à la réflexion, c’est aussi vrai qu’elle a toujours rêvé de cela.
— Pour moi, tu en fais déjà partie. Tu devras par contre motiver Lucy et Anita pour le devenir. N’oublie pas, bien que je sois un peu laxiste, tu exécuteras mes désirs.— Je veux continuer à t’obéir, j’ai vu que tu prends plus soin de nous et nos besoins que des tiens. Il n’y a pas longtemps, je t’aurais ri au nez, mais j’éprouve de l’excitation à suivre tes ordres et un sentiment de satisfaction à les réussir. Et pour ta mère et ta sœur, j’en ai déjà discuté, elles sont d’accord.
Les deux intéressées valident, je me sens bête, des fois malgré les apparences, j’ai l’impression de tomber dans leurs jeux. Bah, du moment que l’on se fait tous plaisir, cela me va, pensai-je. On se serre fort ensemble.
Je reviens au couple, ils ont fini de mettre les choses à plat visiblement. En résumé, ils se confient leur sexualité à l’autre et à mes soins. Ils veulent le côté où je les pousse et les emmène dans de nouvelles aventures. Maintenant, j’ai le droit à un exemplaire de chaque clé leur appartenant et je deviens leur maître à tous les deux. Il précise qu’ils se réservent la possibilité de coucher autant qu’ils veulent entre eux deux, en gardant la clé de l’autre et ont enfin décidé d’avoir un bébé ensemble. Pour le reste, je leur fais ce que je veux. On valide par écrit le contrat. Puis je les laisse rentrer, visiblement ils vont avoir une soirée très chaude. À cause du couvre-feu de son père, Pauline retourne chez elle.
Je suis aussi parti pour une magnifique nuit, avec ma mère et ma sœur dans les bras. Au matin, pendant le petit-déjeuner, Maman nous explique que Cyril, le daron de Pauline devient de plus en plus envahissant au travail. Elle ne me l’avait pas dit avant pour éviter de m’inquiéter, mais là, elle ne tient plus. Je lui rappelle qu’elle aurait dû commencer par cela.
On se donne la journée pour trouver un plan et enfin supprimer cette menace.
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