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Dressage d'une collègue

Chapitre 1

premiers contacts

Hétéro
L’histoire a maintenant une trentaine d’années et est réelle (autant que mes souvenirs soient fiables). A cette époque, directeur des services pour un grand constructeur informatique, j’ai eu besoin d’un juriste spécialisé pour fiabiliser mes opérations immobilières. Un jour, on m’annonce qu’on a trouvé la perle rare et on me présente une petite blonde d’une trentaine d’années, jolie petite femme, comme je les aime, cheveux blond très clair, mi-courts, assez potelée, notamment une poitrine qu’on devine très généreuse sous la veste d’un tailleur classique, la cheville fine aux talons hauts, très féminine classique, mais avec un petit air déterminé qui m’a tout de suite plu pour ce poste pas facile.
J. (Je la nommerais comme ça tout au long de l’histoire) a de suite compris notre job, et le courant est vite passé professionnellement entre nous. Petit à petit, notre relation est devenue plus intime, vu le temps que nous passions ensemble, et par touches successives, j’ai compris qu’elle avait eu un enfant seule et était maintenant assez mal mariée avec un homme qui, semble-t-il, n’était pas un foudre de guerre ; mais le tout restant au niveau de la discussion entre collègues.
Afin de préparer une présentation très compliquée au Directoire, nous avons dû par deux fois travailler au bureau très tard et dans un bâtiment assez isolé. J’étais déjà un peu surpris entre son attitude péremptoire, voire cassante, lors de nos réunions avec des étrangers et celle, presque timide vis-à-vis de moi, le contraste était limite dérangeant. Lors de ces réunions, plusieurs fois nous nous sommes frôlés et j’ai noté qu’elle rougissait vite lorsque cela se produisait, même si c’était seulement nos mains. A un moment, je remarque que son chemisier en soie bâille un peu, car un bouton a sauté et qu’on aperçoit la naissance de ses seins contenus dans un soutien-gorge en dentelle blanche du plus bel effet. Beau spectacle qui m’émoustille et qui confirme qu’elle est très bien pourvue de ce côté.
D’autant que pour attraper un dossier, elle monte sur un petit escabeau et qu’en redescendant, sa jupe étroite se coince et qu’elle pose un pied au sol troussé jusqu’à la ceinture, ce qui me permet d’admirer des cuisses généreuses, mais assez fuselées, hélas un collant et une petite culotte blanche qui moule un cul bien fait et haut placé.
Elle redescend vite sa jupe, toute rouge, et je lui dis alors que le spectacle était plaisant, autant que celui de son chemisier, elle s’aperçoit du bouton relâche et le referme vite très rouge et presque balbutiante.
Elle sort vite pour aller aux toilettes et je pense qu’elle est très émue de ce qui s’est passé. Je commence à me dire que cette petite femme a l’air plutôt timide avec les hommes, mais surtout qu’elle serait peut-être docile, sans doute frustrée par son mari et son éducation sans doute rigide. Sur ce, nous devons nous rendre au Siège qui se situe à côté de Nice pour plusieurs jours, sachant que ce déplacement se reproduira plusieurs fois et deviendra régulier. On se retrouve à Orly le matin et à l’arrivée, suivant ma technique habituelle j’attends que notre loueur de voitures n’ait plus de modèles bon marché et nous surclasse avec une berline Mercedes du plus bel effet.
La journée de travail est intense, comme d’habitude, et nous ne rejoignons notre hôtel que vers 19h30 en nous donnant rendez-vous à 20 heures au bar pour aller dîner.
Je sirotais un américano quand J est arrivée, petit chemisier blanc assez serré, cardigan bleu, jupe bleue serrée, mais un peu fendue juste au-dessus du genou, les jambes nues, la panoplie de bon goût de sage petite bourgeoise, tout ce que j’aime.
Je lui commande un américano aussi et nous devisons, elle me semble tout intimidée de se retrouver avec moi dans cet hôtel haut de gamme, l’entreprise n’étant pas radine sur mes notes de frais. Nous partons dîner à Villeneuve Loubet, dans un restaurant de fruits de mer dont je connais le propriétaire à qui je la présente comme une très précieuse collaboratrice, ce qui la fait délicieusement rougir...
Je commande un gigantesque plateau de fruits de mer qui lui fait briller les yeux et le rosé local qui va avec. J se détend et apprécie, je remplis son verre dès qu’elle le vide et elle commence à être un peu pompette et elle glousse à mes plaisanteries. De temps en temps, nos genoux ou nos jambes se touchent, il me semble qu’elle n’a pas l’air d’en être gênée.
Le repas se termine avec une conversation agréable où elle s’est un peu plus ouverte sur sa vie de femme délaissée, l’alcool aidant aux confidences. On sort, il fait bon et elle titube un peu, alors je tends mon bras qu’elle prend avec naturel et nous allons à la voiture comme tout couple rentrant après un bon repas. J’en profite pour appuyer mon bras contre son sein, il me semble bien dur et je commence à être assez excité de la sentir à mes cotes et pas fermée. Je la fais monter et sa jupe se retrousse haut sur ses cuisses, quand je me mets au volant je m’aperçois qu’elle n’a pas tiré dessus et que ses belles cuisses sont exposées à ma vue de mâle. Je lui dis qu’on va prendre les petites routes des corniches pour qu’elle admire la cote de nuit. A chaque fois que je change de vitesse, je frôle son genou et j’en rajoute un peu sans réaction de sa part, là, je sens que je dois pousser mon avantage.
La route est isolée, dans le noir et je m’arrête sur le bas-côté sous des pins, je coupe le moteur. Voilà, on va un peu profiter du paysage... Ma main se pose sur son genou et je la vois fermer les yeux, alors je me penche vers elle et l’embrasse, une main se pose sur un sein et l’autre remonte haut sur sa cuisse, au bout d’un moment, elle me rend mon baiser et je la sens haleter sous mes caresses.
Ma main est arrivée à sa petite culotte, elle est trempée, j’en conclus que sous ses airs coincés, elle ne demande que ça et je n’hésite pas à envahir sa petite chatte, elle écarte d’elle-même ses cuisses tandis que je dégage un sein, un beau globe laiteux généreux et au téton déjà bien durs et proéminent que je mordille sans ménagement.
Je l’entends gémir des « non, non « mais quand je prends sa main pour la poser sur ma braguette, elle se saisit sans rechigner de mon sexe à travers le tissu. La voiture est remplie de ses halètements et mes doigts lui déclenchent un orgasme violent, elle gémit fort et ses cuisses se referment sur ma main, trempée.
Je relâche mes caresses, me disant qu’il ne faut pas la brusquer comme ça, dehors, je pense que je vais pouvoir faire plein de choses avec elle, mais avec du temps, en lui faisant franchir les étapes une par une. Je redémarre pendant qu’elle se rajuste et le trajet jusqu’à l’hôtel se déroule sans un mot, elle me semble même un peu honteuse, tant mieux... Nous prenons nos clefs, sa chambre est avant la mienne et elle ouvre sa porte. Sans lui laisser le temps de réfléchir, je rentre avec elle, ferme la porte avec mon pied et la plaque contre le mur. Ma langue envahit sa bouche et la sienne lui répond, mes mains ont déjà baissé sa petite culotte et une de mes mains est plaquée sur sa chatte toujours humide. Elle est prête, je l’entraîne et la pousse sur le grand lit, elle y tombe sur le ventre et je la dénude complètement, elle gémit et on dirait qu’elle attend que j’aille plus loin, je crois que j’en ferai une bonne esclave sexuelle si je sais y faire.
Quelques tapes sur les fesses et je la retourne, je lui lèche les seins, ils sont sublimes et je sens que cette caresse lui retire toute inhibition. Je poursuis le travail de ma langue jusqu’à sa petite chatte de blonde que je bouffe à fond, elle se cabre de plaisir et gémit de plus en plus, les voisins vont apprécier... Quand je la sens prête, m’étant mis nu, je me couche sur elle et la pénètre, elle a un grand cri et une énorme aspiration, à mon avis, elle n’a jamais dû être baisée par un gros sexe en ayant eu des préliminaires.
Je lui envoie de vigoureux coups de reins tout en étouffant ses cris avec ma langue et en tirant sur les tétins, au bout d’un moment, ses hanches m’accompagnent. Au moment où je sens le plaisir monter de mes reins, je vois ses yeux se fermer et elle a un énorme orgasme, je suis presque désarçonné, mais je lui remplis quand même abondamment la chatte d’une énorme quantité de sperme brûlant.
Elle gît sur le lit, les yeux fermés, impudique, elle n’a même pas la force de refermer ses belles cuisses et je vois mon jus dégouliner de sa chatte que j’ai bien malmenée et descendre dans la raie de ses fesses.
Je me dis que pour une première fois, il faut y aller doucement, mais je crois bien maintenant que je vais l’emmener loin ; elle ne se doute pas de ma perversité et du plaisir que j’ai à faire des femmes des objets de plaisir dociles. Je me rhabille et la laisse se remettre, satisfait de cette soirée prometteuse. Je verrai demain si je peux pousser un peu le vice, car elle me semble docile, mais pas expérimentée, le sujet idéal... La suite demain...
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