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Dressage d’une flic arrogante

Chapitre 1

Bataille d’ego

Hétéro
Dressage d’une flic arrogante                                                        Chapitre un : Bataille d’ego

Depuis toute petite je rêve d’être flic. C’est plus qu’un rêve, une passion qui a guidé chacun de mes choix.  
Je suis une fille tout ce qu’il y a de plus sérieux, j’ai bossé comme une folle pour arriver là où j’en suis et je suis fière d’y être parvenue, même si j’ai négligé complètement ma vie personnelle. Je n’ai même pas encore d’appartement, je vis encore chez ma mère, Hélène, avec mon petit frère de dix-huit ans, Greg. A bientôt vingt trois ans, j’ai le statut de gardien de la paix titulaire et j’attends avec impatience le moment de monter en grade et devenir brigadier. D’ailleurs, nous arrivons bientôt à une période clé pour mon avenir : celle des concours pour passer brigadier. Je ne me fais pas trop de soucis là dessus, vu mon travail rigoureux, je l’aurais les doigts dans le nez. Mon intégration s’est plutôt bien passée au sein du commissariat du quartier et malgré un effectif clairement masculin, il règne une ambiance bonne enfant de franche camaraderie. 
Alors où est le problème me direz-vous ? Entourée par des mecs à longueur de journée, je vous laisse imaginer les sujets de prédilection de mes chers collègues. Le sport ? Si seulement ! Non, ce dont ils ne peuvent s’empêcher de parler, c’est de sexe. Et comment dire... on ne peut pas vraiment affirmer que je suis une experte. Il m’est bien arrivé de sucer mon premier petit ami à l’époque mais depuis des années, je n’ai jamais pris le temps de nouer une relation avec un mec. 
En fait, je ris avec eux, j’en plaisante et quelque fois je mens, mais au fond, je suis morte de peur à l’idée qu’ils découvrent mon secret : je suis complètement inexpérimentée. Du genre à pouvoir compter sur les doigts d’une seule main le nombre de mes ébats. Suis-je donc une extra terrestre ? Un peu oui. Enfin selon mon frère en tout cas. Il est bien le seul à être au courant. Mes dernières fois remontent à il y a deux ans, avec mon ex qui m’a larguée comme une vieille chaussette parce que Monsieur trouvait que je n’assurais pas au lit vu que je ne faisais pas comme les actrices pornos. Alors depuis ce jour, je me réserve pour quelqu’un de bien : un type honnête, fidèle et gentil qui me traitera comme une reine. 
Je n’ai pas le temps pour les conquêtes de toute manière et même si j’en voulais, je suis incapable de tenir une relation plus de quelques semaines. Si ma silhouette gracile et mes beaux yeux bleus en attirent plus d’un, ce n’est pas le cas de mon caractère qui a plutôt tendance à refroidir certains. On dit que je suis trop sérieuse, sarcastique et ma franchise naturelle déplaît la plupart du temps. C’est pourquoi j’ai peu d’amies, me contentant de ma brigade. 
Je m’entends bien avec tous mes collègues. Enfin, presque tous. Le seul qui me tape sur le système et qui fait de ma vie un enfer, c’est mon supérieur direct, le brigadier chef Stan Sokolov. Il est odieux avec moi et plus tatillon qu’avec les autres. Je le soupçonne d’être un misogyne en puissance. L’ennui c’est que je ne peux même pas lui reprocher d’être idiot, il est le plus jeune brigadier chef et a survolé toute sa promo, empochant les concours haut la main. Il a juste quelques années de plus que moi pourtant... Le pire dans tout ça, c’est qu’il est affreusement mignon. Mais vraiment canon, du genre à en faire baver plus d’une. J’ai dû le voir une ou deux fois sans tee shirt et, même si j’ai du mal à me l’avouer, la vision de ses bras musclés et de son torse bien ferme couvert de tatouages a accompagné pas mal de mes jeux solo nocturnes. 
Bon, bref. Ce soir-là, comme presque tous les vendredis, je retrouve mes collègues chez Bertrand pour boire un verre et décompresser de la semaine. Sauf que cette fois quand j’arrive, il n’y a pas que six joyeux lurons autour de cette table où nous nous apprêtons à démarrer une partie de poker. Un septième joueur pour le moins inhabituel est installé entre Patrick et Raphaël : notre brigadier chef Stan Sokolov. Je me fige, contrariée par cette présence indésirable. Sokolov lui, ne semble pas surpris par ma réaction. Au contraire, un discret sourire en coin se lit sur son visage. 
— Meg ! On attendait plus que toi, s’enthousiasme Bertrand. Pose les bières dans le frigo et viens t’asseoir. — Salut les gars ! Bonsoir chef.— Pas de chef ce soir Meg, me reprend Sokolov avec un ton mielleux, je suis juste Stan. — Elle a pas l’habitude de vous voir venir, me défend Lionel, les seules fois où vous étiez présent, elle révisait ses concours. 
Les mecs se marrent tous alors que je m’installe entre Tarek et Lionel, sur la dernière chaise libre, juste en face de Sokolov. Ces deux-là ont beau avoir déjà tenté leur coup mille fois, ils persistent encore et toujours à me draguer et apparemment, ce soir ne fera pas exception.
 Bertrand, l’hôte de la soirée plaisante comme toujours sur les mises. On a l’habitude de jouer les jetons mais ça nous arrive de miser vraiment de l’argent. Et comme à chaque fois, Patrick, le relou de service, quarante-cinq ans, des bons abdos-Kro et une calvitie bien avancée, propose de faire un strip poker. Je ne relève même plus, après tout c’est tellement évident que je vais refuser. 
— C’est une très bonne idée, commente Stan. Faisons ça !  — Pardon ? Mais non, hors de question ! m’insurgé-je — Vous avez peur de perdre ? Je croyais que vous vouliez passer brigadier prochainement. L’audace et la témérité sont des atouts fort appréciés pour ce genre de poste. Ça nécessite des couilles, plus vulgairement parlant. Alors Megara, est-ce que tu as des couilles ?
Quel salop ! Appuyer sur mon orgueil et sur mon ambition, c’est un coup bas. Et utiliser mon vrai prénom, que je déteste en tout point, c’est limite déloyal. Il veut jouer, et bien allons-y ! Nous verrons bien qui des deux remportera ce défi. Les autres semblent stupéfaits que j’accepte. Ils ne s’y attendaient pas, je les ai mouchés ! Ça va bien me servir par la suite... Seul Stan paraît confiant et son regard suffisant ne fait que me motiver encore plus. Je vais gagner, peu importe si c’est mon boss, je vais tout simplement le plumer.
Comme prévu, la soirée s’achève presque et tous les mecs sont en caleçon, complètement à sec. Tous exceptés le chef bien sûr. Lui a juste ôté la veste et ses rangers. Quant à moi, j’ai bien joué mon coup et n’ai perdu que mes chaussures. Enfin jusqu’à ce que Sokolov sorte un putain de full ! J’avais misé gros, pariant sur mon brelan mais hélas, la dernière carte a entraîné ma chute. 
— Alors Meg ? Pantalon ou bien chemisier ? s’amuse Stan alors que les autres nous observent en silence.
Je ne prends même pas la peine de lui répondre. S’il croit que je vais me dégonfler, il se trompe ! Je me lève et déboutonne lentement mon jean devant les regards médusés de mes collègues qui me dévorent des yeux tandis que je leur dévoile ma petite culotte en dentelle noire. 
— Et bien ! Tu caches bien ton jeu sous ton uniforme, commente Stan, une lueur lubrique dans le regard— Parce qu’on ne peut pas être flic et sexy ? plaidé-je. Bon, on se la finit cette partie ? Bertrand distribue les cartes.
La situation empire une nouvelle fois et au lieu de me coucher et de taire mon orgueil, je plonge une nouvelle fois dans son piège et me retrouve face à un brelan d’As. J’enrage. Hors de question de me laisser humilier par le chef devant la brigade, je dois rester digne et fière de ce que je suis. Avec un geste vif et précis, je dégrafe mon soutien gorge et le jette sur la table. Je suis maintenant en culotte, avec juste une chemise pour camoufler ma poitrine qui se dresse au changement de température. Ca n’echappe pas au regard de Stan qui se voile soudain.
— On va faire une petite pause avant la dernière, propose-t-il en se levant de table. Bertrand tu me sers une bière ?— Je reviens, m’excusé-je en sortant de la pièce.
 J’ai besoin de me rafraîchir un peu. Je vais à la salle de bains me passer un peu d’eau sur le visage et lorsque je sors, je percute un torse ferme et deux mains me repoussent contre la porte de la salle de bains. Stan se tient tout contre moi, le regard si noir que je n’arrive pas à deviner ses intentions. Et moi, je reste là, bouche ouverte devant cet homme qui m’exaspère au plus haut point et pourtant m’attire inévitablement. Mon coeur bat à tout rompre tandis qu’il continue de me dévisager 
— Tu as bien plus de cran que je ne l’aurais imaginé...— On devrait retourner voir les autres, articulé-je malgré mon évidente envie de rester là — Alors tu comptes poursuivre la partie ? sourit-il — Bien sûr ! Je ne lâche jamais rien. Et je gagnerai !— Et bien tant mieux, j’ai hâte de voir enfin ta belle poitrine. L’uniforme la dissimule bien trop à mon goût, même si j’ai pu en évaluer le potentiel. 
En disant cela, il me frôle la taille de sa main et se rapproche encore. Je ferme les yeux, attendant le baiser que j’espère tant. Ses lèvres sont toutes proches et au moment où je me laisse aller, il se recule et se met à rire. 
— Tu es bien naïve si tu crois que je m’intéresse à toi. Tu n’es qu’une bleue, arrogante et stupide. Ce petit jeu a assez duré.
La violence de son rejet est telle que je bouillonne intérieurement. Quelle humiliation ! J’aurais dû le deviner qu’il s’amusait à me provoquer, et pourtant, je suis tombée direct dans le panneau. Mais hors de question que je me laisse faire ! Je sais qu’il ment et que je ne le laisse pas indifférent. Prise d’une pulsion soudaine, j’empaume la bosse qui s’est formée dans son pantalon et la presse de mes doigts. Son sexe, déjà bien raide, gonfle à travers le tissu. Victorieuse, je le contemple de mon plus beau regard de biche. 
— Alors je ne vous intéresse pas ? Ce n’est pas ce que semble prouver ce que j’ai entre les mains...
Il ne répond pas mais je discerne une lueur de colère dans ses yeux. Bien, c’est moi qui ai le dessus maintenant et je vais en profiter. Je vais lui montrer que je ne suis pas cette fille naïve et faible qu’il croit. Je dégrafe sa ceinture d’un geste vif et sors le membre gonflé d’excitation pour l’enserrer dans ma paume. Stan grogne, refusant de s’avouer vaincu. Il va falloir que j’y aille bien plus fort. Je m’agenouille à ses pieds, entraînant son pantalon avec moi et avec une extrême lenteur, je lèche consciencieusement cette colonne de chair qui m’appelle. Je m’applique avec aisance, je veux le voir adorer ça. Je le fixe de mes grands yeux bleus pendant que je fais glisser son gland entre mes lèvres. Il crispe ses poings contre ses hanches, comme s’il voulait prendre les commandes et ferme les yeux en prenant un air grave, luttant contre son propre plaisir. De ma langue, j’intensifie la succion et alterne ce traitement avec de lentes progressions, pour finir par engloutir sa queue avec gourmandise. 
— Putain de merde ! lache-t-il enfin, à ma plus grande joie. 
Il se laisse aller, savoure les glissements de sa queue entre mes lèvres, allant même jusqu’à donner un coup de bassin de temps en temps. Il va craquer je le sens... Et moi dans tout ça ? Jamais je n’aurais cru ça possible et pourtant, je mouille tellement que j’ai peur que ça dégouline sur le sol. Son sexe a un goût divin et j’y prends un tel plaisir que j’en oublie presque mon but principal : me venger. 
Au moment où je le sens proche de l’orgasme, je m’arrête brusquement, recrache à regret cette délicieuse verge et me relève, comme si de rien n’était.  
— Qu’est-ce que tu fous ? Tu vas quand même pas...Reviens ici Meg ! s’emporte-t-il en remontant son pantalon pour me suivre. — Reprenons cette partie, voulez vous ? Je crois que nous avons tous les deux constaté que je n’ai pas froid aux yeux. 
Il fulmine mais lorsqu’il se rassoit à la table, je sens qu’il n’est plus aussi concentré que tout à l’heure. J’en profite pour le battre à plate couture, sur un beau coup de bluff. 
— Et voilà Brigadier, je crois que nous avons terminé, Lancé-je, fière de moi. Gardez vos vêtements, je vais rentrer maintenant. Merci pour la soirée les gars, à plus ! 
Sur ce, je renfile mes vêtements et file de cette maison avant de subir les conséquences de mes actes. Il faut à tout prix que je parte avant de céder à mes pulsions. Je n’en reviens pas de ce que j’ai fait ! Avec mon esprit de compétition et mon foutu caractère, je n’ai pas pu m’empêcher de le provoquer. Merde c’est mon chef, qu’est-ce qui m’a pris ?! Déjà qu’il me mène la vie dure en temps normal alors cette fois... C’est sûr, je risque d’en entendre reparler de cette soirée ! 
En arrivant à ma voiture, je sens une présence derrière moi. Je n’ai pas le temps de me retourner que me voilà plaquée contre la vitre, une main agripant mes cheveux pour les tirer en arrière pendant que l’autre empoigne mon bras pour le tordre dans mon dos. Le souffle coupé, je distingue dans le reflet de la vitre le visage du brigadier chef qui vient se coller à moi. Mon corps, ce traître s’enflamme instantanément. 
— Alors tu croyais t’en tirer comme ça ? gronde-t-il dans mes cheveux. Espèce d’allumeuse ! — Lâchez-moi, tenté-je de me débattre 
Impossible il est bien plus fort que moi. Et plus je force pour m’échapper, plus j’y prends du plaisir. Je dois être folle c’est sûr. Sokolov appuie son sexe sur mes fesses et je peux sentir sa dureté à travers nos jeans. Sa bouche vient parcourir mon cou, déclenchant de puissants frissons qui courent le long de mon échine. Il relâche mon bras et au lieu d’en profiter pour me dégager, je prends appui sur la voiture et me cambre un peu plus. Sans même m’en apercevoir, je me frotte à lui, attisant son érection et mon désir. Je pousse un gémissement de plaisir quand il enfouit sa main sous mon chemisier pour venir agacer mes seins qui pointent fièrement. 
— Tu veux que j’arrête ? susurre-t-il en mordant mon lobe d’oreille
Je ne veux pas lui répondre, ce serait admettre ma défaite. Et pourtant je meurs d’envie qu’il continue, oubliant totalement que nous sommes au beau milieu d’une rue déserte. Je me mords les lèvres pour m’empêcher de prononcer ces mots qu’il attend. C’est un supplice et alors que la main qui retenait mes cheveux se presse sur ma nuque, une violente décharge descend jusqu’à mon entrejambe. Ma culotte, déjà humide de l’épisode précèdent, est maintenant complètement trempée. 
— Alors tu vas répondre ? s’énerve-t-il en faisant mine de s’écarter 
Je n’ai plus le choix si je ne veux pas qu’il s’arrête, je dois mettre un mouchoir sur ma fierté.
— Continue, l’encouragé-je alors.
Il grogne, dégrafe sa braguette et descend brutalement mon jean et ma culotte d’un geste vif. Sa main sur ma nuque reprend mes cheveux et il me tire jusqu’au capot où il m’oblige à me cambrer. Stan empoigne mes hanches, exposant mes orifices avides de le sentir. Ma cyprine dégouline sur mes cuisses tellement j’ai hâte de le voir investir ma chatte brûlante. Mais son sexe vient se présenter devant mon anus et un frisson d’appréhension s’empare de moi. Je tente de me relever mais il appose une main sur ma nuque pour me maintenir en position.
— Après ce que tu m’as fait tu croyais que j’allais m’occuper de ta chatte ? lance-t-il d’un ton cinglant — Je n’ai jamais essayé la sodomie... avoué-je — Tant mieux, ce sera plus serré. Alors tu veux toujours pas que j’arrête ? C’est le moment ou jamais. — Vas-y, accepté-je, complètement enivrée par les sensations 
Il ne lui en faut pas plus pour presser son membre plus fort et d’un coup, je sens le muscle céder et le gland s’introduire en moi. Je serre les dents, encaissant avec courage la douleur si intense que sa pénétration me procure. Le grondement qu’il pousse alors que son sexe investit mon étroit fourreau fait renaître en moi ce plaisir et alors qu’il s’enfonce avec lenteur, me remplissant totalement, il vient se substituer à la souffrance. Il cogne contre le fond puis ressort pour revenir se planter en moi en de puissants coups de reins. Je me rends compte que plus il y va fort, plus j’adore ça et bientôt, je ne peux plus retenir mes cris sous ses assauts bestiaux. 
— Putain t’as un de ces culs ! Il est trop serré... Grogne-t-il en poursuivant son traitement. Tu la sens bien là hein ?— Oui...oui..continue...encore... supplié-je — Je vais te démonter le cul espèce de garce arrogante, tu pourras plus t’asseoir demain. 
Stan s’active de plus en plus vite, me martelant si fort que je sens bientôt l’orgasme monter. Ma fierté balancée à la poubelle, je me vois lui réclamer d’y aller plus fort. Il obéit et empoigne mes hanches des deux mains pour se propulser bien au fond de mon cul en un coup de bassin rageur. Cela suffit à déclencher ma jouissance et en un cri, je me laisse complètement emporter par ces sensations divines encore jamais expérimentées. C’est fou, jamais encore je n’avais ressenti ça. Sokolov, lui, continue de s’enfoncer entre mes globes de chair jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Il se retire alors, aggripe mes cheveux pour m’obliger à m’agenouiller et m’ordonne :  — Allez suce ! Si tu croyais y avoir réchappé tu te trompes, tu vas avaler mon foutre jusqu’à la dernière goutte. 
Il me fourre son sexe couvert de nos sécrétions dans la bouche et reprend son traitement brutal en me plaquant contre la voiture, maintenant ma tête de ses deux mains. Cette soumission me rend dingue et je ne peux m’empêcher de glisser mes doigts sur ma chatte dégoulinante. Il explose alors au fond de ma gorge et sa semence est si épaisse et abondante que je m’etouffe et suis obligée d’avaler comme il l’avait prédit, jusqu’à la dernière goutte.  
— Putain, lance-t-il en reprenant son souffle, pour une première fois c’était pas mal. — Il n’y aura pas de prochaine fois, dis-je en me relevant et me rhabillant — Pourtant il me semble que tu as aimé ça, fanfaronne-t-il, sûr de lui— C’était correct, sans plus. Et c’était la dernière, affirmé-je en redressant la tête bien haute tout en reniant mes viles pulsions. — Et bien c’est ce qu’on verra, réplique-t-il toujours en souriant
Il s’en va alors, me laissant seule avec mes contradictions. Il a gagné cette partie, mais je compte bien gagner la guerre comme on dit. Plus jamais je ne laisserai mon corps décider pour moi. Même s’il m’attire, c’est incontestable, je ne dois plus lui céder, il en va de ma fierté. Pourtant, alors que je rentre chez moi, j’ai comme le pressentiment que je me trompe sur toute la ligne. 
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