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Dressage d’une flic arrogante

Chapitre 2

Une proposition alléchante

Hétéro
Dressage d’une flic arrogante 
chapitre deux : une proposition alléchante 

Le lendemain soir, alors que je regarde un film avec mon frère et ma mère sur le canapé, je ne peux m’empêcher de repenser aux événements de la veille. Je me suis mise dans un sacré pétrin, il va certainement m’en faire baver maintenant. C’est fou ce que ce type m’énerve... Pourtant, j’arrête pas de penser à lui, c’en est éreintant.
Mon téléphone sonne alors et je m’empresse de décrocher quand je vois le numéro de la brigade s’afficher.
— Gavras, c’est Sokolov. Bougez votre cul et venez à la brigade fissa ! rugit-il à l’autre bout du fil. — Mais c’est mon jour off chef, je suis pas au planning...— Rien à foutre du planning ! Bacher est malade, j’ai besoin que tu le remplaces.— C’est plutôt au stagiaire qu’il faut demander, exposé-je d’un ton irrité — Tu discutes les ordres de ton supérieur ? — Non chef, bien sûr. J’arrive.
Je me mets en tenue, salue mon frère et ma mère, vautrés sur le canapé et sors dans la fraîcheur de la nuit. Un remplacement au pied levé un peu abusif sur ce coup… À peine arrivée au commissariat, on me hèle depuis une voiture de fonction garée devant. Sokolov est au volant et semble pressé.
— Bon tu montes ou t’accouches ? 
Je me précipite à l’intérieur et n’ose pas prononcer un mot. L’ambiance est glaciale et alors que je me demande à quelle sauce je vais être mangée, nous arrivons au pied de la cité. Génial, nous voilà bon pour une patrouille qui ne va pas être de tout repos.
— Tu sais Meg, j’ai trouvé ton comportement particulièrement culotté et audacieux, dit-il d’une voix trop mielleuse pour être naturelle. — Et le vôtre alors ? m’insurgé-je. Me coincer dans la rue comme ça, ce n’était pas culotté ? — Tu croyais pouvoir l’emporter contre moi ? Tu as beau être têtue comme une mule, je dois dire que j’aime beaucoup ça. Ça me donne envie de te dresser, t’apprendre qui de nous deux domine. 
— Vous l’avez dit, je suis obstinée et il est hors de question que vous me touchiez à nouveau. Hier soir, c’était une erreur. — Et si je te faisais une proposition, mettrais-tu ton ego dans ta poche et accepterais-tu enfin d’avouer que tu as adoré ça ? — Comment ça ? Le questionné-je, piquée par la curiosité. — Disons que je pourrais vivement appuyer ta candidature devant la Commission, l’un de ses membres me doit un petit service. Et quant à ton dossier sur le tableau d’avancement...— Et pourquoi j’ai l’impression que ce service n’est pas gratuit ? — Je parlerai plutôt d’échange de bons procédés. Tu es tout à fait libre de refuser et de te débrouiller par toi-même.  — Crachez le morceau ! Qu’est-ce que vous voulez ? Commencé-je à m’énerver. — Tu ne t’en doutes pas un peu ? se moque-t-il — Du sexe c’est ça ? Vous voulez me baiser.— Hmm… je ne dirai pas ça comme ça. Je voyais quelque chose de bien plus amusant. — Je ne comprends pas, balbutié-je. C’est quoi alors ?— Je veux que tu deviennes ma petite chienne bien obéissante, articule-t-il en me regardant droit dans les yeux.
Bon sang il est sérieux ! J’en reste muette de stupeur. Le sang afflue à une vitesse folle entre mes cuisses devant cette soudaine proposition. Je sens cette excitation s’emparer de moi à l’idée de ce qu’il pourrait me faire. Je ne comprends pas, je n’ai jamais ressenti une sensation aussi forte. Je le déteste et pourtant tout chez lui m’attire et me rend dingue. J’ai envie de le gifler et de me jeter sur lui en même temps. Ressaisis-toi ma vieille ! Tu vas quand même pas accepter !
Et pourtant si, j’hésite. D’un autre côté, je pourrais être sûre d’obtenir enfin mon grade de brigadier et une fois promue, je me ferai muter ailleurs, même si je me sens capable d’y arriver seule. De l’autre, je devrais me soumettre entièrement à lui et lui céder le contrôle de ce petit jeu de pouvoir qui s’instaure entre nous. Cette idée me fait horreur. Moi qui pensais avoir le dessus sur lui.
— J’attends ta réponse… s’impatiente-t-il. 
Il me contemple sans rien dire. Son regard s’assombrit. Ce désir que je lis sur son visage est si puissant que je le ressens aussi dans tout mon corps : mes seins pointent tellement qu’ils me font presque mal et ma culotte, enfilée à la hâte, est déjà trempée. Je vais craquer c’est sûr. Il faut que je trouve le moyen de garder un peu de contrôle sur lui. Une idée me vient.
— Uniquement des pipes alors, rien de plus. — Et tu crois que ça va me contenter ? ricane-t-il, vexé.— C’est tout ce que j’ai à vous offrir et cela suffit amplement. En tout cas, je vois mal comment je pourrais être votre chienne sans que vous ne puissiez accéder à tous mes trous, asséné-je. — Celui que tu me laisses prendra pour les autres.— Vous ne lâchez rien.— Tout comme toi, je sais mettre tout en œuvre pour obtenir ce que je veux. Alors, marché conclu ? Il me semble avoir été bien plus que raisonnable.— Vous ne me toucherez pas, c’est certain ? — Je n’utiliserai que ta bouche, je t’en fais la promesse. Je peux même te signer un papier si tu n’as pas confiance. Tu peux prendre le temps d’y réfléchir mais dépêche-toi, mon offre expirera dès lundi.
Mon entrejambe est en fusion et me crie d’accepter cette proposition. Son audace, son ton autoritaire et ses paroles crues me rendent dingue et je n’ai qu’une envie, complètement irrationnelle, celle de le goûter à nouveau. Je jette un coup d’œil à son entrejambe en me mordant les lèvres. Il suit mon regard et affiche un sourire carnassier. 
Brusquement, Stan sort de la voiture et vient ouvrir ma portière. D’une main, il me tire hors de l’habitacle et me plaque contre la carrosserie. Son visage à quelques centimètres du mien, je sens son souffle sur ma peau et ça anéantit toutes mes certitudes. Je suis folle c’est certain. Mais quand je veux quelque chose, je l’obtiens. Et là, c’est lui que je veux. 
— Alors ? chuchote-t-il contre mes lèvres, si proche qu’il me frôle. Tu as besoin de temps pour réfléchir ? — D’accord, accepté-je d’une voix pleine d’assurance. 
Il sourit, victorieux et je peux lire dans ses yeux sombres qu’il ne compte pas attendre plus longtemps avant de réclamer son dû. Son visage s’approche du mien. Il mord mon cou, le lèche, me refuse ce baiser que j’attends désespérément. Contre ma cuisse, je sens la rigidité de son désir et j’ai de plus en plus de mal à cacher mon excitation. 
— Allez, suis moi, nous allons aller dans un coin tranquille, me relâche-t-il. 
Mes jambes le suivent sans discuter et il m’emmène dans un hall d’immeuble où se tient un jeune, nonchalamment appuyé sur le mur, en train de se rouler un joint. 
— Oh, Brigadier, je savais pas que vous alliez venir, se défend le jeune. — Je suis pas là pour ça Yassine, mais pour elle, maugrée-t-il en me désignant du doigt.  — Pas mal la go. Vous allez la faire tourner ?— J’ai juste besoin d’un coin peinard où je pourrais la baiser tranquille. C’est blindé de caméras partout et tes petits copains ont toujours leurs portables à la main. Fais le guet cinq minutes, je lui ruine sa petite bouche et après on te laisse. — Wah la vache, j’aurais kiffé voir ça ! s’exclame Yassine. 
Je suis sidérée qu’il me traite de la sorte. La colère reprend le pas sur l’excitation et je décide de le provoquer. Hors de question de me laisser humilier. Je ne vais pas me laisser faire. Je fais un clin d’œil suggestif au jeune et lui propose sans détour : 
— Et bien, viens avec nous. Quand il y en a pour un, il y en a pour deux.— Elle est chaude votre collègue chef, lance-t-il à un Stan décontenancé. — Une vraie petite salope c’est certain, gronde-t-il entre ses dents. Mais qui va surveiller si tu nous suis ?
L’air qu’il arbore sur son visage est plein de colère et de déception. Infime victoire qui me ravit tant ! Mais ma proposition ne semble pas non plus le choquer, ce qui me fait frissonner d’angoisse. 
— On peut monter au dernier étage, s’empresse de suggérer le jeune. Y a jamais personne et on entend tous ceux qui montent.— Ça m’a l’air raisonnable, souris-je en débutant l’ascension des marches.
J’ondule légèrement des hanches, exagérant juste assez chacun de mes pas et je sens leurs regards avides dévorer ma croupe sans la moindre retenue. 
— Alors, vous venez ? Dis-je en me retournant. 
Ils sortent de leur état de torpeur et viennent à ma suite. C’est fou comme c’est bon ce pouvoir de séduction, cette sensation de maîtriser les choses, d’avoir le pouvoir. Mais ce qui est encore plus jouissif, c’est l’expression de Sokolov. Ce petit tic d’énervement qui fait tressaillir sa mâchoire est terriblement sexy. Nous gravissons ces escaliers à un rythme soutenu et bientôt nous voilà sur le dernier palier. Ni une ni deux, le brigadier-chef m’ordonne de m’agenouiller et sort son membre à demi érigé. Si appréhension j’avais, la vue de cette colonne de chair me rend toute chose et j’ai une irrésistible envie d’y goûter. Mes genoux fléchissent d’eux-mêmes, esclaves de mes désirs et me voilà en position de faiblesse devant cet homme si arrogant. 
— Allez dépêche toi un peu, on a pas toute la soirée ! — J’aime prendre mon temps pour faire les choses, m’appliquer bien comme il faut, rétorqué-je en lui jetant un regard malicieux.
Avec la plus grande lenteur, j’approche mon visage de cette verge dressée qui semble m’observer avec envie. La chaleur qui en émane contraste avec la fraîcheur de ma joue sur laquelle elle vient se poser. Mes mains partent de l’intérieur de ses cuisses pour venir encadrer sa toison sombre puis empoignent ce mât turgescent. L’enveloppant de deux mains, je suis surprise d’y voir encore dépasser un gland bien dessiné, que je ne peux m’empêcher de venir lécher. 
Le jeune à côté a sorti son engin et l’agite dans sa main semblant apprécier ce qu’il voit. Son sexe est moins épatant que celui de Sokolov, mais il fera nettement l’affaire pour ce que j’ai prévu. Je continue ma dégustation avec la plus grande attention, faisant tressaillir l’infaillible brigadier-chef. Bientôt il n’en peux plus et avant de fourrer son sexe dans ma bouche, il empoigne ma crinière et me gronde :
— Tu as fini de t’amuser ! Allez, suce !
Son ton brusque me fait frissonner et j’ouvre la mâchoire docilement, accueillant le plus de chair possible. Sentir sa main pressante sur mes cheveux me rend complètement folle et je lui offre sans détour l’accès à ma gorge. Il m’investit, son sexe glissant entre mes lèvres tandis qu’il me grogne des phrases salaces. Le jeune Yassine est à bout, il est à point pour ce que je lui réserve. Je profite que Sokolov me relâche pour m’adresser directement à lui :
— Et si tu venais me prendre pendant que le brigadier profite de mes talents ? Ce serait dommage de gâcher une si belle érection.
Il en reste bouche bée, son pantalon tombe au sol. Il sait qu’il doit faire vite s’il veut participer, avant que Sokolov ne réagisse. Il s’empresse donc de récupérer une capote et de venir derrière moi, qui me place à quatre pattes, lui présentant bien ma croupe. Pendant ce temps, je reprends la délicieuse verge en bouche, lui intimant une gorge profonde pour le distraire. Le jeune descend d’un coup sec mon pantalon et sans aucune préparation, il pénètre mon antre trempé, depuis si longtemps inexploré. J’en regrette presque que leurs rôles ne soient inversés mais ce serait lui accorder cette victoire et je n’y suis pas décidée. 
Sokolov ouvre les yeux et constate que le supposé guetteur est en train de me pilonner avec ardeur, s’agrippant à mes hanches pour bien faire claquer sa peau contre mes fesses. Le brigadier-chef en a le souffle coupé une seconde puis me retire de sa verge dégoulinante de salive et approche son visage du mien.
— J’ai très envie de te baiser comme lui, suce-moi encore un peu et on échange les places.— Même pas en rêve, souris-je entre deux gémissements. Le deal c’est juste des pipes. — Te faire baiser par un autre n’en fait pas partie. — Je fais ce que je veux de mon cul, Brigadier.
Il enrage. Sa prise dans mes cheveux est si forte qu’une vive douleur irradie mon cuir chevelu. Mais contrairement à ce que je m’attendais, elle ne fait qu’amplifier mon désir. Je suis peut-être folle mais je suis surtout bornée, autrement dit, je ne lui céderai rien de plus. De ma main qui entoure son sexe, j’accélère mon mouvement, si bien qu’il s’empresse de venir à nouveau le fourrer dans ma bouche pour en apprécier sa moiteur et sa chaleur. Yassine derrière moi commence à s’essouffler et j’entends à ses soupirs qu’il n’est plus très loin. Son sexe va et vient en moi et il a beau être d’une taille normale, il ne me fait rien en comparaison à ce que me procure Sokolov sans même le savoir. Je prends plus de plaisir à accueillir cette délicieuse verge au plus profond de ma gorge ! Je m’applique encore plus à ma tâche, voulant absolument qu’il craque enfin. J’y joue de ma langue et creuse bien mes joues, je fais de petits à-coups entrecoupés de subites gorges profondes qui le font cracher des mots obscènes. Mon autre main s’aventure sur mon bourgeon délaissé et le stimule sans douceur. J’imagine une seconde mon chef à la place du jeune, son sexe enfin en moi, me comblant parfaitement et soudain, je suis prise d’une puissante décharge, partant d’entre mes cuisses pour se propager dans tout mon corps. Je jouis avec une telle violence que je ne me rends pas compte que Yassine s’est lui aussi fait engloutir par la jouissance, remplissant la capote de sa semence collante. 
Sokolov me supplie une dernière fois de le laisser me prendre et c’est en le fixant droit dans les yeux que je dévore avec malice son bâton de chair en entier, allant jusqu’à coller mon nez à son aine. Il donne un coup de bassin et en un grondement, il explose en de longues giclées qui viennent s’écraser au fond de ma gorge. Il ne me relâche pas pour autant et je commence à suffoquer. Il attend encore juste une seconde puis se recule brutalement, vexé et irrité de s’être laissé ainsi prendre à son propre jeu. 
— Wouah c’était terrible, elle a une de ces chattes ! Accueillante à souhait, s’exclame Yassine en se rhabillant. — Dégage vite de là, le somme Sokolov, le regard plus noir que la nuit. Et t’as pas intérêt de parler de quoique ce soit, tu sais ce que je peux faire de ton petit trafic. 
— Oh chef, pas de soucis, dit-il d’un ton tout penaud. Je me tire, vous en faites pas. 
Puis il se tourne vers moi, qui peine à me remettre de ce moment si intense que je ne réalise pas encore ce qu’il vient de se passer. Il n’esquisse pas le moindre geste pour m’aider à me relever. Peu importe, nous savons très bien tous les deux qui à gagner ce soir. Même si dans ses yeux et au son grave de sa voix emplissant l’escalier, je peux deviner à ses simples mots que la prochaine manche risque d’être serrée . 
— Souris, vas-y. Tu ne sais pas ce qui t’attend.
Ces quelques mots sonnent comme une menace et pourtant, ils déclenchent à nouveau en moi ce désir inébranlable qui me consume peu à peu. Pourtant nous devons retourner à notre patrouille, cela fait déjà trop longtemps que l’on est plus à notre poste. Il ne m’adresse plus un mot de toute la soirée et quand enfin je peux rentrer chez moi, je suis épuisée moralement. Passage à la douche obligatoire avant de m’écrouler sur mon lit, la tête pleine de contradictions. 
Demain, je vais à nouveau devoir l’affronter et ce duel devient exténuant. C’est de plus en plus difficile de résister à la tentation de m’offrir sans détour à cet homme si certain de son pouvoir. Mais je dois le faire. Pour prouver que je suis forte, que je sais résister à mes pulsions. Pourtant quand je ferme les yeux, je sens à nouveau sa main dans mes cheveux, ce qui déclenche un puissant frisson entre mes cuisses. Déterminée à ne pas me laisser submerger par mes propres fantasmes, je refuse même d’apaiser ce désir par mes propres moyens. Hors de question de me masturber encore en pensant à lui. 

Le lendemain, je me rends à la brigade comme si de rien n’était, avec une drôle de sensation au creux de la poitrine. Comme d’habitude, je passe par le vestiaire, qui par chance est désert à cette heure-ci, pour enfiler ma tenue. Ma nervosité se voit dans mes gestes précipités et maladroits, je fais même tomber mon téléphone au fond du casier. Au moment où je me baisse pour le ramasser, je sens une présence derrière moi. Je ne prends même pas la peine de me relever, je sens sa main se poser sur mes cheveux et mon corps entier frissonne à ce contact désormais si familier. Je détourne la tête et me retrouve face à la braguette déformée du Brigadier-chef Sokolov. 

Il l’ouvre et sort son membre déjà dressé, sans même m’adresser un seul mot. Stan passe son sexe sur mon visage et vient présenter son gland sur mes lèvres humides. Il va falloir faire vite pour ne pas être découverts, je n’ai pas le temps d’échafauder un plan pour garder le dessus sur lui. Je m’abandonne alors complètement à lui pour un instant que je sais éphémère, me servant de cette excuse pour justifier mon envie de céder. Il empoigne fermement ma chevelure et me plaque contre le casier. Là, il investit ma bouche sans aucune douceur, l’utilisant comme un vulgaire trou, pressé d’obtenir sa jouissance. Des larmes coulent sur mes joues mais peu importe, je reste résignée, forte. Je ne lui apporterai pas la satisfaction de me voir craquer. Dans un râle, il se finit en moi, déversant dans ma gorge ce nectar brûlant. Puis, toujours dans un silence méprisant, il s’écarte et retourne à son bureau, sans même m’adresser un regard. 
Je bouillonne tellement sa suffisance et son mépris me scandalisent. Je me relève, bien décidée à préparer une vengeance bien méritée.
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