Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 209 J'aime
  • 7 Commentaires

Dressage d’une flic arrogante

Chapitre 5

Tumultes en eaux profondes

Hétéro
Les mecs m’ont mis une sorte de sac sur la tête si bien que je n’ai rien vu du trajet. On a roulé quelques minutes, puis finalement l’un de mes ravisseur m’a emmenée dans un box vide où il m’y a enfermée. Seule dans la pénombre, j’ai le temps de me calmer pour analyser la situation. Ils m’ont attachée les mains avec mes propres menottes mais ont quand même enlevé le sac. Réfléchis Meg, Réfléchis ! J’essaie de me concentrer sur les bruits alentours, mais je n’entends que le sang qui afflue contre mes tempes. 
Qu’ont-ils bien pu faire de Sokolov ? Est-il blessé ? Il faut que je trouve le moyen de me sortir de ce merdier et sauver les fesses du Brigadier-chef en prime. Mais comment faire, moi la simple petite fliquette d’à peine un mètre soixante-dix, sans arme et les mains liées ? Bon déjà, première étape : enlever ces fichues menottes… Je cherche à tâtons quelque chose qui pourrait m’aider puis me souviens que j’avais mis des pinces à cheveux ce matin pour dompter mes mèches rebelles. Reste plus qu’à espérer qu’après un traitement pareil, il en reste au moins une. Un truc vieux comme le monde, les pinces à cheveux. Je tâte mon crâne et Halellujah! une dernière est encore plantée.  
Une fois les entraves défaites, je me colle à la porte de planches et distingue entre leurs jours une silhouette derrière la porte. Il faut que je trouve quelque chose pour l’assommer. Dans le box où ils m’ont mise, il n’y a que quelques cartons, appartenant sans doute à des locataires de la tour. Je pense qu’on doit être au beau milieu de la cité, ces caves ressemblent à celles des tours de Pergaut, là où le trafic est le plus dense. Au cœur de l’action Meg ! Qu’on me rappelle de ne plus me plaindre de la paperasse surtout. Bon et ce balais là ? Non trop fragile, ça ne ferait que l’énerver. En fouillant dans les cartons, je trouve une sorte de vieux trophée immonde mais carrément lourd. Avec ça, il va dormir un sacré moment. Je me prépare, juste derrière la porte, avant de pousser un cri pour l’attirer. Comme prévu, la porte s’ouvre et au moment où je vais abattre le pesant objet sur la tête de mon assaillant, je le reconnais subitement.  
— Yassine ? Mais qu’est-ce que tu fous là ? — Merde alors la fliquette ! C’est toi que je dois surveiller ? s’étonne le jeune indic — Je ne savais pas que tu jouais avec les gros poissons maintenant. Écoute, il faut que tu m’aides !— Je peux te faire sortir ma belle mais moi, ça va me coûter cher…— On s’occupera de te protéger, je te le promet mais j’ai besoin de toi.— Comment je pourrais te dire non après ce que tu m’as fait la dernière fois ? — Merci. Il faut tirer Sokolov de là, est-ce que tu sais où ils l’ont amené ? — Le chef est avec Monsieur T. On ne peux rien faire pour lui, allez grouille. — Passe moi ton téléphone… Ouais Bertrand, c’est Gavras, identif….merde pas le temps ! Envoie les renforts à cette adresse, de gros bonnets ont le Brigadier-chef en otage. Aucune idée. Oui je suis sauve. Non c’est hors de question, je reste ici. Allez bouge !— Faut y aller ma belle, ils vont pas tarder. Ils sont dans un box dans l’autre immeuble. — Sauve toi Yassine, si tes potes te voient ils sauront tout de suite que tu m’as libérée. Je vais me débrouiller. Envoie l’adresse au numéro que j’ai appelé. — Ok. Bonne chance. 
Seule, je réfléchis un moment à comment retrouver mon collègue prisonnier. J’arrive à me faufiler discrètement jusqu’à l’immeuble d’en face, mais la porte est surveillée. Deux gamins passent pas très loin et en deux secondes, une idée me vient. Le plus grand semble enchanté de m’aider. 
— Je le connais Madame, c’est Sofiane, le cousin à Myriem, ma voisine. Je sais quoi faire pour le faire bouger.— Ne prends pas de risques.— Mais non Madame, j’ai neuf ans moi, ils vont rien me faire.

Le jeune garçon s’avance courageusement vers le duo en faction devant la porte et crie: 
— Oh Sofiane ! Sofiane ! Y a ta caisse qui se fait dépouiller par des types ! — Putain, viens mec, on va se les faire ! dit le dénommé Sofiane en se ruant vers les parking avec l’autre à sa suite.
Un clin d’œil au gamin et me voilà enfin entrée dans l’immeuble où est détenu Sokolov. Confiante, je descend les marches jusqu’aux caves et cherche où ils peuvent bien le séquestrer. Sauf que, malheureusement pour moi, une grande armoire à glace débarque de je-ne-sais-où et malgré toutes mes vaines tentatives pour me défendre, il me bouscule jusqu’à un box où plusieurs hommes sont présents. Au milieu de la pièce sombre, sur une chaise, Sokolov a le visage en sang et la chemise déchirée. 
— Sokolov ! Qu’est-ce que vous lui avez fait ?— Toi, ta gueule ! Grogne le gorille qui me maintient. Qu’est-ce que je fais d’elle chef ? Cette fouine traînait dans les caves. — Elle a réussi à s’enfuir ? s’étonne un des hommes debout dans le coin de la pièce. Qui devait la surveiller ? Qui a encore pas fait son putain de taf ?!— Calme-toi Rico, lance une voix calme mais étrangement familière. Puisqu’elle est ici, autant s’en servir à notre avantage. 
J’essaie de voir à qui appartient cette voix qui me dit quelque chose mais son propriétaire est dissimulé dans la pénombre. Le dénommé Rico sourit, un air mauvais gravé sur son visage ornéd’une grande balafre. La peur me saisit complètement, surtout lorsque je suis projetée au sol, aux pieds de Sokolov qui relève légèrement la tête et m’aperçoit enfin. 
— Meg … T’aurais du rester là-bas… toussote-t-il — Bon, puisque tu veux pas parler, commence Rico en saisissant mes cheveux pour les tirer en arrière. Peut-être que si je menace ta copine, tu seras un peu plus bavard. Je répète : Qu’est-ce que vous avez chopé comme info ?— Ne dis rien ! Le supplié-je— Toi ta gueule, répond l’autre en me crachant au visage.
Le crachat dégouline sur ma joue jusqu’à ma gorge, ce qui attire son regard vers ma poitrine. Sa prise dans mes cheveux est si forte que mon cuir chevelu me brûle et des larmes de douleur perlent à mes yeux. Je sais que les renforts ne vont pas tarder, mon but, c’est de faire en sorte de gagner du temps, les retenir et pour cela, je dois les déconcentrer. Je provoque mon agresseur en tentant un coup de coude dans les parties, mais, comme je m’en doutais, cet enfoiré a de sacrés réflexes et en deux secondes, je me retrouve face au sol, le bras tendu dans le dos, un pied appuyé entre mes omoplates.  
— Petite salope ! Tu mériterais que je te mette une bonne correction. — Rico ! Doucement... l’interpelle la voix que je n’arrive toujours pas à identifier.— Cette connasse a failli me briser les burnes ! J’ai bien envie de lui montrer ce qui arrive quand on s’attaque à plus fort que soit… Je suis sûr que ça délierait la langue de ton petit copain si je défonçais ton petit cul juste devant lui, qu’en penses-tu ?— Tu la touches, je te bute, articule Sokolov — Et comment tu comptes faire ça ? s’esclaffe le grand blond. Tu as oublié que tu es attaché ? 
Soudain, du bruit dans le couloir attire l’attention des trafiquants. J’ai juste le temps de voir la silhouette de l’homme qu’ils surnomment Monsieur T, se faufiler dans un passage que je n’avais pas encore remarqué. Rico me lâche et j’en profite pour me jeter sur Sokolov, afin de le faire tomber sur le sol, et protège son visage avec mon corps. Les collègues lancent l’assaut et si on ne se protège pas très vite, les fumigènes vont nous bousiller la gorge et le pharynx. 

****************************************************

Du bruit, de la fumée, c’est tout ce dont je me rappelle quand je me réveille dans l’ambulance. Je pousse l’infirmier qui est en train de me perfuser et sort du véhicule pour percuter un de mes collègues. 
— Tarek ! Où est Sokolov ? Est-ce qu’il va bien ?— Olah! Doucement Meg, l’ambulance est déjà partie pour l’hôpital. Tu devrais retourner vers l’infirmier, il paraît que c’était le carnage là bas.— Hors de question que je remonte là-dedans ! Ils vont mettre une éternité à me faire des examens.— Tu veux que je t’y emmène ? me propose-t-il — Oh oui ! S’il te plaît. 
Dans la voiture qui nous mène vers Sokolov, je ne peux m’empêcher de me passer tout un tas de scénarii catastrophiques en tête. Tarek semble amusé de mon inquiétude. 
— Quoi ? Pourquoi tu te marres ?— Pour rien, c’est juste que tu t’inquiètes beaucoup pour quelqu’un qui est sensé le détester. — On a été pris en otage, c’est normal que je m’inquiète, non ?— Tu ne m’as même pas demandé s’ils avaient chopé vos ravisseurs.— Ah… Et alors ? Ils les ont eut ?— Quelques uns. Tu sais qu’il va falloir que tu fasses un rapport...— Ouais, ça attendra. Bon on arrive bientôt ? — C’est juste au bout. Et du coup, tu te souviens de quoi ?— Franchement  ? Rien du tout. Juste une grosse pourriture qui se nomme Rico. Un gros balèze avec une tête à claque et une cicatrice sur la joue. Celui-là je te jure que je vais le retrouver !— Rico ? Je crois que c’est un de ceux qu’ils ont emmenés au commissariat. — Génial. Merci de m’avoir conduite ici, Tarek. 
Je ne prends même pas le temps d’écouter sa réponse, je saute hors de la voiture et me dirige vers l’accueil. Le temps qu’ils me donnent le numéro de la chambre, enfin plutôt que je le trouve vu qu’ils n’ont pas voulu m’aider, je bouillonne intérieurement. Il faut que je voie s’il va bien. Arrivée dans la chambre, je salue le collègue venu prendre la déposition de Sokolov et peut enfin voir l’état dans lequel ils l’ont mis. Son visage est parsemé de contusions et il a un bras en écharpe mais il semble aller bien. Ses yeux s’allument lorsqu’il me voit et je meurs d’envie de lui sauter au cou. Quelle gamine je fais !Cependant son regard s’endurci soudain et il gronde : 
— Gavras qu’est-ce que vous avez foutu ? Descendre dans ce coupe-gorge, c’était carrément du suicide et absolument pas professionnel. 
Je reste abasourdie devant ces réprimandes. Jamais je n’aurais pensé qu’il allait me tomber dessus ! Espèce de naïve, qu’est-ce que j’ai bien pu imaginer ? Qu’il allait me couvrir de louanges pour mon courage ? Je ne suis qu’une idiote. Je prends un air grave et réponds : 
— Je voulais simplement vous aider Brigadier-chef.— Vous savez très bien que vous auriez du rester à attendre les renforts. Vous êtes bonne pour un blâme Gavras, je vous veux dans mon bureau dès que je pourrais y retourner. — Bien Chef. 
Ces mots ont un goût amer. Je navigue entre fureur et déception, essayant de garder un air placide sur le visage. Je ravale ma fierté et sort de cette pièce dont l’atmosphère devient étouffante tant son regard est noir de colère. Je me heurte à Tarek, qui vient d’assister à ma déconfiture et me passe une main réconfortante dans le dos. 
— Viens Meg, il faut que tu vois un médecin, c’est la procédure, me dit-il en me guidant à travers l’hôpital. Je me laisse faire, incapable de sortir de cet état de morosité permanente. Il m’emmène après toutes ces formalités, jusqu’à chez moi pour que je puisse me reposer. Apparemment, j’ai l’air d’une épave, jamais encore on avait été autant aux petits soins pour moi. Tarek me propose même de rester, en tout bien tout honneur, mais je décline poliment. Je n’ai envie de rien. A part de pleurer. Et d’éclater à coup de rangers les burnes de ce salaud de Sokolov !
Le lendemain, après une longue insomnie, c’est échevelée et avec une marque d’oreiller sur le visage que j’ouvre ma porte à un Tarek tout sourire. 
— Salut Meg ! Bonne nouvelle, on est off, je t’ai négocié quelques jours de répit. Alors je me disais que je pourrais peut-être t’emmener quelque part pour te changer les idées. — C’est sympa, mais je ne suis pas sûre… Je crois que je préfère végéter dans mon lit toute la journée.— Un peu de motivation allez ! Je te promets que tu vas t’éclater ! 
Mon téléphone se met à sonner et le nom de Sokolov apparaît sur l’écran. Quand le deuxième appel retentit tout de suite après, je me dis que finalement, l’idée de Tarek n’est pas si mal que ça. Je pose ce maudit smartphone sur la console à l’entrée et prend mon sac et mon manteau. 
— Tu as raison, ça ne me fera pas de mal de prendre l’air. Où tu m’emmènes ? — C’est une surprise…
         ****************************************************************************
Je n’aurais jamais pensé que Tarek m’emmènerait aussi loin de la ville, pourtant, nous avons roulé des heures pour se retrouver dans une forêt en plein milieu de nulle part. Il m’a expliqué que ce chalet appartient à son oncle, et qu’il adore s’y rendre pour se ressourcer. C’est vrai que l’endroit est paisible, on entend rien à part les oiseaux. 
— C’est magnifique Tarek ! Merci de m’avoir fait découvrir cet endroit !— Magnifique en effet...dit-il d’un air songeur. Tu viens m’aider à ranger ce qu’il y a dans la voiture ? J’ai prévu un tas de bonnes choses pour ce soir. — Dis-moi que ta mère a fait ses divines pâtisseries ! — Oui, Rit-il. Et j’ai aussi d’autres choses tout aussi divines. Je te l’ai dis, tu vas te régaler.
Et ça, il ne mentait pas. Nous avons passé une journée folle, en commençant par une randonnée. Le paysage et sa tranquillité ont vraiment un effet apaisant sur la colère qui gronde en moi. Pas un seul instant mes pensées se tournent vers Sokolov. Enfin jusqu’à ce qu’on arrive au bord d’une chute d’eau. L’eau tumultueuse de la cascade s’assagit, pour venir doucement s’étendre en un lac aux couleurs azurées. L’eau est si claire, elle donne envie de s’y baigner. Et avec la chaleur écrasante de ce milieu de journée, une bonne petite baignade ne serait pas du luxe. C’est apparemment ce que se dit Tarek, puisqu’il commence à se déshabiller, ne gardant que son caleçon.   
— Alors, tu viens ? Elle est pas si froide...— J’ai pas de maillot de bain.— Et alors ? Moi non plus ! Allez, viens !— Bon d’accord… Mais interdit de me reluquer. — Je peux rien te promettre sur ce coup. 
J’ôte mon tee-shirt, puis mon jean pour me retrouver en culotte en coton et soutien gorge dépareillé. Oups. J’avais pas prévu ce détail ce matin. en m’habillant… Je m’approche de l’eau, y trempe un pied, puis l’autre, profitant du froid pour dissimuler ma honte. Gênée, je n’ose pas lever les yeux vers lui pourtant, lui me dévore du regard. Quand enfin je suis proche de lui, le désir qui brûle dans ses yeux me prouve que ma tenue n’est pas si ridicule. Son souffle est court, comme le mien. Soudain, il m’attire contre son torse nu et m’embrasse avec fougue. Son baiser me donne des frissons entre les cuisses, pourtant, je ne peux m’empêcher de penser à Sokolov et mon corps se replie presque instinctivement. Mais qu’est-ce qu’il me prend ? Tarek est mignon, attentionné et drôle, alors pourquoi je le rejette ?
Tarek semble vexé de mon refus et lance d’un ton sec : — C’est clair que je ne fais pas le poids face à un Brigadier-chef, moi le simple stagiaire…— C’est pas du tout ça, tu te trompes, c’est juste que…— Je sais ce que vous faites tous les deux, je vous ai vu dans les douches. Arrêtes de nier. — Ouais il m’a baisée, et pas que au sens littéral. Ce mec est un connard, il n’y a rien entre nous.— Et entre nous alors ? demande-t-il plus calmement. J’ai envie de toi Meg. Depuis un sacré bout de temps déjà… J’ai vu ce que tu aimes, la façon dont il te traite et putain qu’est-ce que ça m’a fait bander ! Je veux que tu sois à moi Meg, je saurais m’occuper de toi. Je peux te le prouver maintenant. A moins que tu ne sois que la chienne de ce batard de Sokolov. 
La remarque fait mouche et mon esprit revanchard voit là une solution toute trouvée pour évacuer ma colère et mon ressentiment. Et si je lui laissais une chance ? Il a l’air de savoir s’y prendre et s’il a vu de quoi Sokolov est capable, il sait qu’il a une sacrée concurrence !  
— Bien, alors disons que tu as la nuit pour me convaincre. Nous verrons bien ce que ça donne à la fin de la parenthèse. — Je prends ça pour un oui ?— Oui. 
Son regard s’illumine et il me hisse sur son épaule pour nous faire rejoindre la rive. Là-bas, il me dépose et en profite pour dégrafer mon soutien-gorge et déguster la chair si tendre de mes seins. Son empressement se sent dans sa manière de mordre mes tétons, avec un peu plus de violence que je n’en suis habituée. Il m’arrache un cri de douleur qui le fait s’arrêter et empoigne ma chevelure pour me la tirer en arrière, m’obligeant à m’agenouiller pour apaiser la tension. De son autre main, il sort son sexe tendu et le présente devant mon visage. 
— Allez, suce salope ! 
Son ton est si rude, je ne m’y attendais pas de la part de ce jeune homme si gentil. Comme je suis stupéfaite, je ne bouge pas d’un pouce et cela ne lui plaît pas. Il relâche son membre pour m’asséner une gifle, si forte que ma bouche s’ouvre devant cet outrage. Il en profite pour y glisser son gland et force le passage pour s’y engouffrer en entier. Ce traitement si brutal m’excite mais pas autant qu’avec Sokolov. Tarek est déterminé à me faire gober son sexe jusqu’au bout et une fois qu’il me sent complètement soumise, il ressort légèrement pour commencer son va-et-vient. 
— Ah putain ! Ta bouche est trop bonne salope ! J’ai pas de capote alors, je vais bien remplir ta petite gorge de mon foutre.
Il maintient ma tête et donne des coups de bassin pour aller au rythme qu’il désire, de plus en plus vite jusqu’à ce que je m’étouffe. Là, il explose dans ma gorge, si profond et avec une telle force que je sens les larmes couler sur mes joues. Je manque de vomir quand il me relâche mais me retiens in extremis.  
— Wahou ! Et bien, il a de bons goûts le Brigadier-chef… T’es vraiment une bonne petite salope bien docile. Allez on retourne au chalet, que je te baise comme il se doit. Qu’est-ce que tu fais ?— Ben, je me rhabille. — Juste tes chaussures, j’ai bien envie de rendre la balade plus intéressante. Allez obéis ! 
Son ton me fait froid dans le dos mais j’obéis quand même. Je ne suis pas certaine de vraiment apprécier son côté dominant. Pourtant, c’est ce qui m’attirait chez Sokolov… Je ne comprends pas. Pour le moment, il ne m’a encore pas touché, je vais certainement y prendre plus de plaisir au chalet. Entièrement nue, exceptée ma culotte et mes chaussures, je marche devant lui jusqu’au chalet, le laissant profiter de la vue. Etre nue en pleine nature est au début étrange mais finalement, je m’y sens à l’aise, en phase avec ce qui m’entoure. Une fois dans la cabane, Tarek me pousse au milieu de la pièce et va chercher ses capotes. La balade l’a bien revigoré car déjà, il en recouvre son sexe, prêt à me prendre sur le champ. Il me mène jusqu’au lit où il me couche avant d’explorer mon corps avec sa langue. Il est brusque dans ses gestes et s’occupe peu de ce que je désire. Il prend plus qu’il ne donne et quand je le vois sortir des menottes, un mauvais souvenir me revient en tête et je me raidis. 
— Quoi ? Tu vas rester sage petite salope et je vais te faire jouir comme jamais. 
Il menotte mes poignets au dessus de ma tête aux barreaux du lit et tout d’un coup, je me sens si impuissante que c’en est déroutant. Tarek en profite pour venir sur moi, se plantant directement dans ma chatte ce qui m’arrache un cri. Ses à-coups sont brutaux et plus il me besogne fort, plus la main qu’il a sur ma gorge se resserre. J’ai du mal à respirer, je vois flou mais les sensations elles, sont décuplées. Chacun de ses assauts est profond et puissant et me provoque un flot de douleur et de plaisir continu. 
Je suffoque, tire sur mes liens pour le prévenir et il me relâche enfin, quittant mon antre chaleureuse. 
— Oh ce que tu es bonne sale pute ! Je vais faire de toi ma brave petite chienne. Ce connard de Sokolov ne sait pas ce qu’il loupe. C’est l’heure de goûter ton petit cul…— Attends je…
Mais il n’attend pas et poste son gland sur mon anus serré. D’une poussée, il entre en moi, et je hurle, pas du tout aprêtée à recevoir une queue dans mon cul. Il continue son intromission et pousse sans se soucier de mes gémissements plaintifs. 
— Aïe ! Va doucement s’il te plaît. Tu me fais mal…— Pourtant, il y allait bien fort quand il t’enculait dans les douches , serre les dents, je te garantie que tu vas aimer.
Ce faisant, il continue de m’investir, posant sa main sur ma vulve pour agacer mon clitoris. Avec un mouvement rapide de ses doigts, il réussi à me faire mouiller et se sert de la cyprine pour faciliter sa pénétration. Bientôt, le voilà planté au fond de mon cul, butant contre mes fesses à chaque aller-retour. L’orgasme me surprend alors qu’il me martèle férocement et mes cris de jouissance viennent rejoindre ses rugissement. Lui aussi est à bout et quand il sent qu’il va jouir, il ressort, enleve la capote et vient se masturber au dessus de mon visage, m’éclaboussant de son sperme brûlant. 
— Hmmm… C’était vraiment le pied ! Je crois que ton petit cul va y passer toute la soirée tellement il est bon…— Je vais d’abord prendre une douche, tu me detaches ? — Pas tout de suite… J’ai encore envie de m’amuser. Je vais aller fumer une clope, quand je reviens, je m’occuperai de nouveau de ton petit cul. Mais sans capote cette fois, j’ai envie de te sentir. Sois sage salope.
Et il me laisse en plan, nue, attachée, du sperme plein le visage, qui commence à sécher. Je sens ma peau qui tiraille et je commence à avoir froid… Mais qu’est-ce qu’il fout ? Son petit jeu est drôle cinq minutes mais là… Enfin il revient, tenant en main un plug rose bonbon d’une dimension fort honorable. 
— Regarde ce que j’ai prévu pour ta petite chatte, tu vas être remplie !— Tu veux pas plutôt faire ça autrement ? J’ai un peu mal au bras…— Tu as raison, on va changer. 
Au lieu de me détacher, il sort une autre paire de menottes et attache chaque poignet à un barreau, m’ordonnant de me mettre à plat ventre. La tension est moins forte sur mes bras, j’en suis soulagée mais bien vite, une violente douleur me saisit quand sa main s’abat sur ma fesse. Il écarte mes globes, crache sur mon petit trou puis vient m’enfoncer le plug dans mon vagin encore humide. 
C’est fou, je devrais aimer ça ! Et pourtant, rien n’est comparable avec ce que je ressens avec Stan. Là c’est mécanique, mon corps répond aux stimuli mais mon esprit lui est ailleurs. Je ferme les yeux, imaginant Sokolov derrière moi. J’imagine que c’est lui qui s’enfonce dans mon cul, qui me ravage, me remplis. J’imagine que c’est lui qui oblige mes jambes à s’écarter avec les siennes pour pouvoir me pilonner plus profondément. Son sexe me transperce et très vite je sens mon orgasme arriver. Mais lui, continue encore et encore, jusqu’à ce qu’enfin il sorte de mon cul pour venir repandre sa semence sur mon dos. 
— Bordel, je vais te ruiner toute la nuit…
Et c’est ce qu’il fit. Il me laissa attachée toute la nuit, venant me baiser dès que l’envie lui en prenait. J’aurais tellement aimé que ce soit Stan… J’en ai rêvé de ces instants mais ils n’ont clairement pas la même saveur avec Tarek. Il a un petit côté malsain étrange, sur lequel je n’arrive pas à mettre le doigt. Au petit matin, il me détache enfin pour que je puisse me laver. Mon corps est couvert de sa semence séchée et je me sens salie, comme si je n’étais qu’une chienne, pas marquée par le bon mâle.  
Quand je sors de la douche, je ne le vois pas, il doit sûrement être en train de fumer une clope dehors. Sur la table au milieu de la pièce, son portable s’allume, annonçant l’arrivée d’un message. Si c’est le boulot, ça peut être important… Et si c’était Sokolov ? La curiosité me pousse à regarder et je le regrette bien vite. Avec horreur, je découvre le contenu du message : la photo d’un cadavre, celui de Yassine, une balle logée dans la tête. Et un message en dessous. Affaire réglée, traître HS.Au moment où tout s’emboite enfin dans ma tête, une voix retentit derrière moi. La même que celle dans la cave. Celle de Monsieur T.
”Tu aurais jamais du voir ça ma belle…” 
Diffuse en direct !
Regarder son live