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La drôle d'amie de ma femme

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Agnès, l’amie de ma femme, notre amante vient cet après midi, alors que mon épouse est dehors. Je crois savoir ce qu’elle me veut: tirer un coup tous les deux seuls. Nous sommes fin juin, la chaleur arrive. Elle est nue sous une mini jupe et un t-shirt presque transparent. Elle n’y va pas par quatre chemins: elle m’embrasse goulûment. Je n’ai même pas le temps de la peloter un peu: elle est nue presque aussitôt après ce seul baiser. Elle sort ma queue, la prend dans sa bouche. Sa fellation est encore meilleure que les autres fois. Elle n’a pas le temps d’aller dans la chambre, elle me veut dans son con aussitôt. Je la lui mets comme elle veut. Elle se relève un peu pour que je la prenne avec ses jambes autour de moi, toujours debout. La position, pour moi, n’est pas des plus confortable. En tout cas je me sens bien dans son sexe bien mouillé. C’est vrai qu’elle avait drôlement envie. Je la lime rapidement, elle jouit aussi vite. Agnès me reprend en bouche pour me faire jouir. Je gicle dans les profondeurs de sa bouche. Elle se relève, m’embrasse et se prépare pour sortir. A ce moment, ma femme entre dans la maison. Elle voit Agnès à moitié nue, elle me voit la queue encore en l’air. Elle sait que nous venons de baiser. Comme nous baisons souvent ensemble, tous les trois et qu’en plus elles baissent sans moi, il n’y a aucun drame en perspective. La seule chose qui se passe est que mon épouse a aussitôt envie de baiser à trois, comme elle aime bien. Elle retient Agnès, l’embrasse sur la bouche, lui passe une main sur la poitrine, et fini comme souvent par lui mettre une main au cul. Elle lui rentre trois phalanges dans l’anus: elle lui branle le cul. Agnès ne se laisse pas faire, elle aussi passe une main sous la robe très légère de ma femme. Je sais déjà où elle va: sur la fente intime à le recherche du bouton. Quand je dis recherche, en réalité, elle caresse tout ce qui se trouve entre le cul et le clitoris, en doigtant au passage et le cul et le con. Nous passons dans la chambre.Elles se déshabillent ensemble en embrassant les coins de chair qui apparaissent. Je les regarde se peloter en bandant. Elles semblent m’oublier pour le moment. Je sais que quand elles voudront une vraie bite, elles feront appel à moi. Je sais aussi qu’elles peuvent décider de se servir des godes. J’espère bien que non.Elles commencent seulement à se masturber mutuellement. J’aime bien les voir, la main de ma femme sur le clitoris d’Agnès et celle d’Agnès sur le con de ma femme. J’aime quand elles se font jouir, j’aime entendre le feulement d’Agnès quand elle jouit et la grimace de mon épouse quand elle aussi se laisse partir vers Éros. Les voilà maintenant en 69. Ma femme est dessous. Je vois sa langue lécher le clitoris d’Agnès. Je ne vois pas celle-ci lécher ma femme. En tout cas je l’entends quand elle jouit. Ma femme profite de la proximité du cul d’Agnès pour y mettre deux doigts. Je signale fortement que je voudrais ma place dans leurs étreintes. Bien sur elles me veulent, elles veulent ma partager. Dès qu’elles finissent leur 69, elles m’invitent. Maintenant c’est à moi de décider dans qui et où je vais aller. Il n’y a pas de suspense: je veux qu’elles jouissent ensemble. Je me mets sur le dos, dans ma position de pacha: je demande à Agnès de venir se mettre elle-même, là où elle veux, ma bite. Ma femme, elle, a droit à la meilleurs des places: ma bouche. Elle sait fort bien s’en servir. Je prends le maximum de sa moule dans ma bouche, j’ai plein de cyprine sur le visage. Je déguste son abricot qui, pour moi et Agnès a un goût excellent. C’est elle qui décide de l’endroit où elle me veut. Elle commence presque toujours par son anus: j’y mets ma langue juste au bord, en fait le tour: ça la fait toujours jouir. Ensuite je rentre le plus possible dans le cul. Je la fait aller et venir un tout petit moment: elle jouit encore. Elle me fait lui lécher les lèvres intimes, jusqu’au bord de son vagin. Je suis bien obligé d’y rentrer aussi. Elle jouit encore. Enfin le fin du fin; ma langue sur son clitoris. Je la lèche; elle jouit encore. Pendant que je m’occupe de ma femme Agnès s’occupe d’elle et de ma pine. Elle commence par se l’enfiler dans le con. Elle se lève et redescend au fur et à mesure de ses envies. Je la sens jouir plusieurs fois autour de ma queue. Elle change de tour: elle adore se faire sodomiser, parce qu’en plus d’avoir le cul occupé, elle peut se branler. Elles aiment cette position, parce qu’elle leur permet de se caresser les seins et d’échanger des baisers particulièrement excitants. Quand je jouis, elles savent que je suis incapable de les satisfaire pour un moment. Comme elles ont pris goût à avoir quelque chose en elles, elles sortent les godemichés. C’est un spectacle remarquable de les voir: au début elles sont couchées sur le dos, côte à côte les mains sur la cuisse de l’autre, tenant fermement les godes, les enfonçant lentement dans le con de l’autre, les faisant aller et venir en synchronisation parfaite. Elles partent presque en même temps.Elles finissent aujourd’hui par un dernier 69, ponctué par les godes dans le cul de l’autre. Elles m’oublient avec raison: je ne pourrai plus bander d’un bon moment, sinon, sans doute ce soir en baisant ma femme.
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