Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 57 J'aime
  • 0 Commentaire

Ma drole de famille

Chapitre 3

Inceste
C’est justement en fin de première année je rencontre un très beau gosse typique de la jeunesse américaine, Steve. Le californien type, beau, intelligent, sportif, surfeur, corvette cabriolet, il a un sexe comme j’aime, gros, et il s’en sert très bien, je pensais que c’était le principal. Nous nous marions rapidement. Il vient de créer sa startup, et commence à gagner beaucoup d’argent. Au début de notre relation, nous faisons l’amour tout le temps, trois à quatre fois par jours, partout. Il me prend par tous les trous et j’adore ça. Après deux ans d’étude, je commence à travailler, mon mariage m’ayant facilité les formalités. Un an plus tard, Steve réussi à vendre sa société, qui a maintenant cinq ans, plusieurs millions de dollars à une grosse multinationale qui veut se diversifier. Il refuse la direction de la boite et décide de ne plus rien faire. Il ne travaille plus, c’est surf, sorties avec ses potes et de temps en temps amour avec moi. Mais, je ne suis plus aussi disponible, j’ai trouvé un super boulot dans une boite aéronautique ou mon français fait merveille et pour lequel je fais beaucoup de voyages professionnels dans tout le pays, ce qui plait de moins en moins à Steve. De temps en temps, j’ai des contacts avec ma famille par téléphone, courrier ou internet, mais rien de plus, mes voyages professionnels ne m’amenant pas en France.
Cette vie ne dure pas, nos rapports sexuels sont de moins en moins fréquents et de moins en moins passionnés. De plus, Steve devient très macho, il veut être le chef, que je reste à la maison pour lui faire des enfants le ménage et à manger. Comme je tiens à mon indépendance et à mon travail, et que je n’ai pas un caractère des plus facile, la tension monte très vite et nous finissons par divorcer au bout de sept ans de mariage. Cette histoire commence juste après mon retour de Etats Unis, j’ai vingt-huit ans, Elisa et Henri quarante un, Michel dix-neuf, Paule et Aline dix-sept.
Sans fausse modestie, je peux dire qu’à cette époque je suis une très belle femme, grande, un mètre soixante-quinze, jolie, très bien foutue, sportive, beau seins hauts et encore fermes, ventre plat, cul d’enfer et longues jambes bien galbées. Je ne passe pas inaperçue, partout où je passe, les têtes, des hommes comme des femmes, se tournent sur mon passage, surtout que je suis une fervente adepte des minijupes que je porte en général très courtes et bien moulantes sur un micro string. Je suis au summum de ma beauté et je m’entretiens. Mais mon plus gros problème, c’est que depuis trois ou quatre ans, du fait du désintérêt sexuel de Steve pour moi, je suis devenue en manque de sexe, or, depuis toujours j’aime jouir et j’ai des besoins un peu hors normes. Je vais donc chercher ailleurs la satisfaction de mes envies avec des hommes ou des femmes, tout ce qui est sexe m’intéresse. Les prouesses, pourtant belles mais trop rares, de mon mari ne me suffisent plus, il me faut autre chose, des hommes, des femmes, les deux ensembles, plusieurs hommes, plusieurs femmes, j’ai même participé à un gang bang ou j’étais seule avec sept hommes, ça a duré trois heures pendant lesquelles je me suis fait défoncer tous les orifices. Tout ceci n’est évidemment pas étranger à mon divorce. Maintenant, depuis que je suis séparé de Steve, je me fais jouir avec tout ce que j’ai sous la main, doigts ou godes, manche de brosse à cheveux, manche de tourne vis et j’en passe. Surtout de très gros objets, et dans mes deux orifices, sexe et anus. Qu’importe l’objet ou la taille, il doit entrer dans l’un ou l’autre, parfois j’ai les deux pris en même temps, je n’ai plus de retenue. Plusieurs fois par jour, je me masturbe partout où je suis, dans mon lit, ma cuisine, ma salle de bain, le couloir, ma voiture, aux toilettes d’un restaurant, sous une porte cochère, dans un hall d’immeuble, dans mon bureau, de plus, je m’envoie en l’air régulièrement avec n’importe qui, homme, femme, les deux ensembles, mais ce ne sont que des « coups » passagers. Je me suis équipé, au fil du temps, j’ai acheté un gros gode ventouse de 5cm de diamètre et de 25cm de long avec un gros gland comme j’aime, un autre gode de la même dimension mais avec une poignée pour le manier, un gode gonflable jusqu’à plus de 8 cm de diamètre, avec ventouse lui aussi, un double gode de plus de cinq centimètres de diamètre, deux ceintures porte godes dont une avec une fixation intérieure, la seconde avec deux, sur lesquels on peut adapter toute une série de godes de différents diamètres et longueurs. J’en possède une bonne quinzaine. En plus de ça, il y a deux vibromasseurs, du gel, de la graisse lubrifiante chauffante et des préservatifs. Tout un arsenal pour palier à toute éventualité. Je suis accroc au sexe mais je n’ai personne pour assouvir mes besoins régulièrement. De plus, je suis obligé de faire attention et de me protéger, ce qui ne plait pas toujours et fini par me contrarier. J’aspire à une relation stable et heureuse.
Après notre mariage, nous nous étions installés à côté de San Jose en Californie, pas loin de San Francisco, nous y sommes restés sept ans sans jamais revenir au pays. Nous allions très souvent à San Francisco, c’est une belle ville sur le pacifique, très agréable, toujours ensoleillée, c’est une ville aux antipodes de la société américaine, très avant-gardiste. Mais la mentalité des gens, à San Jose, est très spéciale, ils ne connaissent qu’un seul mot d’ordre, « Money », c’est la Silicon Valley. Après mon divorce, ne m’étant pas très bien faite au mode de vie dans ce pays, le travail devenant de plus en plus routinier, je décide de tout quitter et de retourner à mes racines, de déménager dans la ville de mon enfance en emportant mes meubles. Mon mari étant devenu très riche, et avec les lois californiennes très avantageuses pour les femmes qui savent s’en servir, j’avais obtenu la maison et une belle somme d’argent. Je vends très bien la maison et je rentre avec suffisamment d’argent pour investir dans un bel appartement, et pour me permettre, en plus, de tenir le coup pendant que je cherche du travail. N’ayant pas trouvé de logement me convenant avant l’arrivée de mes meubles, je les entrepose dans un garde meuble. Moralement, je ne suis pas très bien, le divorce, ma frustration sexuelle, le déménagement m’ont un peu cassé le moral. Mon seul réconfort, c’est que je me suis acheté une voiture américaine, la seule chose que j’aimais vraiment aux US, c’est une magnifique Cadillac Cabriolet de 1975, un monstre. Elisa me propose alors de venir passer quelque temps chez eux de manière à me remettre de tous ces évènements et de me permettre de chercher tranquillement un appartement et du travail. J’hésite un peu, leur ferme étant à quelques kilomètres de Toulouse, mais elle insiste beaucoup et je me décide en constatant que je pourrais chercher du travail sans problème, juste un petit quart d’heure de plus pour me rendre en ville, je peux le faire. Avant de rejoindre la ferme, je passe à une agence immobilière pour voir ce qu’ils proposent et je prends deux rendez-vous pour visiter deux appartements le lundi suivant. J’arrive donc chez Elisa et Henri un vendredi de fin juin en fin d’après-midi. Les retrouvailles avec Elisa sont très émouvantes, elle est au bord des larmes, je le sens heureuse, mais une étrange sensation m’envahie, je trouve ces manifestations de joie un peu trop excessives. Elle me maintient constamment serré contre elle, j’ai l’impression qu’elle veut reprendre possession de moi, qu’elle veut retrouver la jeune fille qui est parti il y a sept ans. Le contact de son corps contre le mien ne m’a pas laissé indifférente, je suis toujours à l’affut de sensations fortes, quelle que soit la personne, alors, pourquoi pas avec ma sœur.
Elle me donne une chambre d’amis, très grande avec un WC individuel muni d’une petite douchette et une grande salle de bain partagée avec une autre chambre. La chambre possède une immense baie vitrée donnant sur une terrasse. Je m’installe confortablement, et vais prendre une douche. En me lavant, mes mains s’égarent sur mon pubis, le contact avec Elisa m’a étrangement excité, il faut que j’évacue la pression. Mes doigts écartent les poils et l’un d’eux s’active sur mon clitoris en virevoltant autour, le caressant et le titillant. Un autre l’accompagne pour le pincer et aller se lubrifier dans ma vulve très humide. Ils reviennent sur mon clitoris pour tournoyer autour, le pincer, le caresser et finir par me faire jouir intensément. Après m’être remise de mes émotions, je me rince, m’essuie et sors de la salle de bain en peignoir quand soudain, j’entends de grands cris qui montent dans l’escalier, vois deux furies entrer dans ma chambre et se jeter dans mes bras. Ce sont Paule et Aline. Elles me déséquilibrent et nous tombons toutes les trois sur le lit. Mon peignoir s’étale sur le lit, dévoilant entièrement mon corps. Elles ne remarquent rien, me pressent de questions en me serrant dans leurs bras et me couvrant de baisers.
–Tu reste longtemps ?–Juste le temps de trouver un logement.–J’espère que ça va durer longtemps.–Tu veux me garder chez toi ?–Oui, c’est trop bien quand tu es là, les parents sont plus cool.–Ok, je comprends, je suis juste là pour que vous puissiez faire n’importe quoi.–Non, c’est juste qu’on t’aime.–Merci mes chéries, moi aussi je vous aime, mais il faut que je finisse de ranger mes affaires.–Ok, on te laisse, à tout de suite.C’est à ce moment que Paule remarque que mon peignoir est ouvert et dévoile mon corps.–Tu as vraiment un corps splendide pour ton âge Laure.–Merci ma chérie, mais le « pour ton âge » me semble un peu superflu.–Excuse-moi Laure, tu sais, j’espère que je serais comme toi à ton âge.–Moi aussi.
Elles me quittent et je les regarde sortir de la chambre. Ce sont deux splendides jeunes filles, très jolies, très bien faites et apparemment, très bien dans leurs peaux. Elles sont en minijupes courtes et très sexy. Je suis un peu étonné qu’Henri les laisse s’habiller comme ça, tel que je le connaissais, cela aurait été impossible il y a sept ans, mais ça fait quand même très longtemps que je ne les ai pas vus, je ne les connais plus très bien, on change avec le temps.
Je m’habille d’un corsage rouge sur une jupe blanche courte, mais pas mini, avec soutien-gorge souple et petite culotte blanche aussi. Je continu de ranger mes affaires. Je suis sur le point d’avoir fini quand j’entends frapper à la porte. Je me retourne et Michel est là, un grand sourire illumine son visage.
–Bonjour tata.–Michel, tu ne vas donc pas cesser de m’appeler tata.–Non tata, tu es ma tata et je t’appelle tata.–Viens m’embrasser au lieu de dire des bêtises.
Je ne le reconnais pas, quand je l’ai quitté, il avait douze ans, il a grandi, un mètre quatre-vingt-cinq, il est taillé comme un athlète, toujours blond, il a toujours ses yeux bleus très clair, presque transparents et un sourire carnassier. Il se penche, me prend dans ses bras, me soulève et pose ses lèvres sur mes joues. Ses bras autour de moi qui plaquent mes seins contre son torse me donnent une réaction dans mon bas ventre. J’ai soudain envie de plus avec cet homme, mais il me dépose à terre, m’éloigne un peu de lui et me déshabille du regard.
–Tu es magnifique tata, toujours aussi belle, encore plus que dans mes souvenirs.–Merci Michel, mais j’aimerais que tu arrêtes de m’appeler tata ?–Excuses moi, mais pour moi tu es et tu seras toujours ma tata, ma tata que j’aime.Il se penche sur moi et me dépose un baiser sur le front.–Ma tata que j’aime.Il se retourne et quitte ma chambre me laissant pensive.–Laure, tu descends ?
C’est Elisa qui m’appelle, car Henri vient d’arriver, il a terminé sa journée et est sous la douche avant de nous rejoindre. Je descends rejoindre tout le monde au rez-de-chaussée. L’ambiance est à la joie des retrouvailles, nous ne nous sommes pas vu depuis très longtemps et les questions fusent de tous les côtés. Je sens un énorme attachement de tout le monde pour moi et ça me réconforte, je me sens aimée. La soirée se termine joyeusement, mais je suis fatiguée et je vais me coucher la première. Je salue tout le monde et me dirige vers l’escalier.
–Attends tata, il faut que je te montre comment on baisse les volets roulants de ta chambre, il y en a un qui déconne.–Ok, montre-moi.
Une fois dans la chambre, Michel se dirige vers les manivelles des volets.
–Celui-là, pas de problème, tu tournes jusqu’à ce qu’il arrive au fond, mais celui-là, il faut y aller doucement, il a tendance à sortir de ses rails, regarde, il ne faut pas tourner plus vite que ça.
Il me montre quelques tours et me donne la manivelle pour que je finisse de descendre le volet. Quand il est au fond, je me retourne vers lui pour l’embrasser et lui souhaiter bonne nuit. Comme tout à l’heure, il me prend dans ses bras et me soulève pour m’embrasser, une de mes jambes se trouve entre les siennes et je sens sous son pantalon un sexe, certes mou, mais assez volumineux. Une fois de plus, mon bas ventre réagit. Il me dépose toujours avec son sourire carnassier.
–Bonne nuit ma tata chérie, fais de beaux rêves, tu te lèves à quelle heure demain ?–Quand je me réveillerais, c’est le week-end.–Ok, à demain, je serais certainement dans la piscine.–Quelle piscine ?–Celle que papa a fait installer il y a trois ans, juste entre les ailes de la maison, tu ne l’as pas vu ?–Non, je n’ai même pas eu le temps de jeter un œil sur la ferme, je ferais le tour du propriétaire un peu plus tard.–Ok, tu es fatiguée, bonne nuit tata.
Sur ces paroles, il quitte la pièce et je l’entends se diriger vers sa chambre dans l’aile opposée de la maison. Je vais prendre une douche. Le contact de tout à l’heure avec Michel a laissé des traces, j’ai envie de jouir. Ma main explore mon vagin, mes doigts s’humectent de ma cyprine qui ne tarde pas à couler, ils remontent sur mon clitoris et s’activent dessus pour le faire gonfler et exploser de plaisir. Je me sens mieux, me coiffe et me démaquille. J’éteins la lumière et au moment où je quitte la pièce, je vois une lumière s’allumer dans l’autre aile de la maison, c’est la salle de bain de la chambre de Michel, il n’y a aucun rideau à la porte-fenêtre et je vois parfaitement la douche et le lavabo. Je me colle dans un coin de la pièce et regarde ce qui se passe. Il fait couler l’eau de la douche et se déshabille. Je le vois de dos, athlétique, un peu comme un nageur, ses fesses sont musclées, mais c’est quand il se retourne que je suis stupéfaite. J’avais remarqué qu’il avait un gros sexe, mais en fait, il a un sexe hors norme, j’ai pratiqué le naturisme avec mon mari, et j’ai vu pas mal de membres masculins, mais jamais je n’avais vu un tel sexe, si gros, si long et surtout avec un tel gland disproportionné. Je suis parcourue par un frisson de plaisir, ce sexe me fascine. Je le vois se laver, manipuler son sexe sans aucune connotation érotique, juste pour le laver et je me vois à genou devant lui, lui engloutir cet énorme vit et le faire se redresser pour me planter dessus. Ma main descend sur mon sexe et mes doigts s’agitent sur mon clitoris. Mais, très vite, il se sèche, sort de la salle de bain et éteint la lumière. Il n’a pas jeté le moindre regard dans ma direction, mais moi, je suis liquéfiée, les doigts couverts de cyprine. Je n’en peux plus, il faut que mon corps exulte. Je vais récupérer ma trousse à accessoires dans laquelle je prends le gode ventouse et vais dans la salle de bain. Je le fixe à bonne hauteur sur un carreau d’un mur de la douche, je me positionne dos au mur pour le présenter face à ma vulve. Pas besoin de lubrifiant, elle ruissèle et est prête à recevoir ce bel engin. Je me pli en deux et me laisse aller en arrière sentant mes lèvres s’écarter pour laisser entrer le braquemard qui me remplit entièrement. Je reste un moment immobile, le gode entièrement enfoncé dans mon sexe, pour m’imprégner de son volume et le sentir me posséder totalement en pensant au sexe de Michel. Au bout de quelques minutes, je fais de lents mouvements de va et vient pour laisser monter doucement mon plaisir. Je sens le gland du gode me labourer le vagin sur toute sa longueur. J’aime quand mon corps prend possession de tous mes sens et guide mon cerveau pour en tirer un maximum de jouissance. Je sens monter en moi une sensation de plénitude, mon sexe m’envoie des ondes de plaisir qui enflent petit à petit et finissent par me submerger. L’orgasme me terrasse, je jouis pliée en deux, agrippée au lavabo en essayant de ne pas m’écrouler tellement mon corps tremble et s’agite dans tous les sens. Le gode se libère dans un bruit bizarre et je fini à genou sur le sol, le souffle court mais le corps apaisé. Je reste un moment dans la même position à scruter les moindres parcelles de plaisir qui continue de traverser mon corps. Je récupère doucement, je ne suis pas pressée. Au bout de quelques minutes, je rince mon gode, le range, prends une nouvelle douche et retourne me coucher un peu comme un zombi. Une fois dans le lit, je m’écroule dans les bras de Morphée, emportée par la fatigue.
Je dors depuis à peine une heure quand j’entends frapper doucement à ma porte.–Laure, tu dors ?C’est Paule qui est derrière la porte.–Plus maintenant, entre.Elle entre, allume la lumière et ferme la porte derrière elle. Elle est en nuisette plutôt courte et très transparente. Elle ne porte rien dessous. Je peux voir ses magnifiques seins pointer sous le tissu et sa toison pubienne bien dessinée. Elle vient s’assoir sur le bord du lit.–Que t’arrive-t-il ma chérie ?–J’avais juste envie de te voir, de discuter avec toi, juste toutes les deux, pour qu’on se connaisse mieux, je peux entrer dans ton lit ?–Et tu viens me voir habillée comme ça ?–C’est ma tenue de nuit.–Ok, entre dans le lit, mais je te préviens, je dors tout le temps nue.–Pas de problème.Sur ces paroles, elle fait passer sa nuisette par-dessus sa tête et la jette en travers de la chambre. –Comme ça, on est dans la même tenue.Elle vient vers moi dans une démarche souple et sensuelle. Je peux admirer son magnifique corps, et constater que les poils de son sexe sont taillés courts et bien dessinés en triangle. Sa poitrine pointe fièrement ses tétons durcis. Elle ouvre le lit et se glisse sous les draps qu’elle laisse ouverts.–J’aimerais bien vérifier si ce que j’ai vu tout à l’heure est réel, je peux ?Sans attendre ma réponse, elle enlève la partie des draps qui me recouvrait et je me retrouve nue devant elle.–Que tu es belle, vraiment très belle.–Tu n’as rien à m’envier, mais je trouve ton attitude un peu cavalière.–Excuse-moi Laure, mais j’avais trop envie de te voir nue, tu vas l’apprendre bientôt, alors autant te le dire maintenant, j’aime plus les femmes que les hommes, en fait, je n’aime pas les hommes.–Tu n’as que dix-sept ans, tu ne peux pas être sûre de toi.–Oui, je suis sûre de moi, j’aime le corps des femmes, leurs seins, leurs fesses, leur sexe chauds et humides, mon plus grand plaisir est de lécher une vulve ruisselante de cyprine.–Ok chérie, mais il n’est pas question que tu restes dans mon lit dans ces conditions, je ne veux pas que tes parents croient que nous avons une relation sexuelle toutes les deux.–Ne t’en fais pas, ils dorment et je vais retourner dans ma chambre dans un petit moment, mais d’abord j’ai plein de questions à te poser, ça fait trop longtemps qu’on ne s’est pas vu.Je rabats les draps sur nous. Les questions pleuvent pendant plus d’une heure, et bien entendu, elles finissent par arriver sur le sujet du sexe. Paule veut tout savoir sur ma manière de faire l’amour, surtout quand elle apprend que j’ai eu beaucoup de rapports avec des femmes. N’en pouvant plus, je lui demande de retourner dans son lit, ce qu’elle fait non sans avoir une dernière fois soulevé les draps.–Tu es vraiment magnifique.–Merci chérie, mais il est temps que tu retournes dans ton lit.
Elle enfile sa nuisette, me tourne le dos et sort de la chambre en faisant onduler ses magnifiques fesses et en m’envoyant un baiser avec sa main. Je reste un petit moment pensive, Michel m’attire, surtout son sexe que je veux absolument avoir au fond de moi, et dans tous mes orifices, il faut que je trouve le moyen d’arriver à mes fins, bien qu’il soit mon neveu, l’inceste ne me fait pas peur. D’un autre côté, il est évident que Paule est très attirée par moi, ce qui, je l’avoue, est réciproque. Là aussi, c’est une pensée incestueuse mais je n’en ai cure. Avec elle, ce sera beaucoup plus facile. Sur ces pensées, je m’endors profondément.
Je fais un rêve érotique ou Paule est à côté de moi dans mon lit, elle m’a découverte entièrement et me caresse doucement. Ses lèvres se posent sur toute la surface de mon corps, de la bouche au mont de Vénus en passant par les seins, le ventre et le nombril. Je sens une multitude de lèvres qui se posent sur mes lèvres et mon sexe et de mains sur mon corps qui me caressent les seins, le pubis et les fesses simultanément. Ensuite, sa langue me titille le clitoris, ses lèvres aspirent ma cyprine qui coule abondamment, tout en me mordillant les seins. Etrange rêve, surréaliste comme tous les rêves. Mon corps se laisse aller à cette volupté et commence à onduler pour accompagner le plaisir qui monte en lui. Mes cuisses s’ouvrent, des mains plient mes jambes et les redressent en V pour bien ouvrir les lèvres de mon sexe, tout en caressant mes seins. Deux doigts s’enfoncent doucement entre mes lèvres, et commencent un doux va et vient. Soudain, une langue descend et vient lécher mon anus, un doigt tente de le pénétrer, ce qui me réveille. Stupeur, je ne suis pas seule dans le lit, il y a Paule mais aussi Aline au-dessus de moi.
–Putain, mais que faites-vous.Elles se redressent, mais n’ont pas l’air gênées que je me sois réveillée.–On s’occupe de ton magnifique corps, tu le vois bien ?Je me redresse sur le lit et me couvre avec les draps.–Ça vous gênerais de me demander mon avis ?–Laure, ne me dis pas que tu n’as pas aimé, ton corps parlait pour toi, tu aimes l’amour sous toutes ses formes, tu me l’as dit toi-même, et je crois que tu as bien apprécié ce qu’on t’a fait, ose dire que c’est faux.Je suis prise à mon propre piège, j’ai trop parlé et Paule veut en profiter.–Oui, je dois dire que c’était un merveilleux rêve, mais je croyais que c’était un rêve.–La réalité est souvent plus belle que les rêves, laisse-toi faire Laure, laisse nous te donner du plaisir, après on retournera dans notre chambre. On veut juste découvrir ton corps et le faire exploser de plaisir, tu n’es pas d’accord avec ça ?Je ne sais quoi faire, d’un côté je suis dans une situation peu banale devant ces deux superbes filles, nues, qui se sont introduites dans ma chambre à mon insu et qui veulent me faire jouir. Je voudrais leur faire comprendre qu’on ne fait pas n’importe quoi et leur demander de sortir tout de suite, mais, d’un autre côté, je suis tellement excitée par ce qu’elles m’ont déjà fait que mon corps demande la suite et la fin tout de suite. Sans trop réfléchir, j’obéi à mon corps.–Ok les filles, je suis à vous.…/…
Diffuse en direct !
Regarder son live