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Ma drole de famille

Chapitre 4

Inceste
Je m’allonge sur le dos, en une seconde elles font valser le drap et se jettent sur moi, l’une sur mon sexe, l’autre sur ma bouche dans un baiser ardent tout en me malaxant les seins. Je me laisse faire, j’adore ce genre de situation, avoir plusieurs personnes qui s’occupent de moi, et mon corps apprécie le moment. La langue d’Aline m’aspire le clitoris tandis que les dents de Paule me mordillent doucement mes tétons durcis. Deux doigts me labourent le sexe vite accompagné d’un troisième tandis qu’un pouce me malaxe le clitoris. Je sens une vague se créer au fond de mon ventre, elle gonfle, remonte vers ma poitrine et descend dans mes jambes. Quand elle arrive à mon cerveau, mon corps est tendu, il tremble et est secoué de spasmes violents. J’explose dans un orgasme terrifiant, en poussant un grondement sourd, rarement mon corps a été emporté par le plaisir de cette manière, rarement ma peau n’a été irradiée de la sorte, m’emportant aux cimes du plaisir. Heureusement que je joui tout le temps en silence, sinon toute la maison aurait été réveillée. Elles ne s’arrêtent pas pour autant et restent actives sur mon corps, je sens tout à coup des lèvres sur les miennes, mais à la différence de tout à l’heure, elles sentent ma propre cyprine, c’est Aline quoi m’embrasse pendant que Paule s’occupe de mon sexe. Mais cette fois se sont quatre doigts qui s’enfoncent dans mon sexe qui les accepte sans problème. Les mêmes causes causant les mêmes effets, je repars dans un second orgasme tout aussi intense. Je suis arque bouté sur le lit, mon corps raide comme un arc subi les secousses de l’orgasme qui le dévaste. Je n’en peux plus, je suis anéanti par le plaisir et je m’écroule sur le lit. Paule et Aline posent sur moi un regard plein d’amour et de satisfaction du but atteint.
–Tu as aimé ?–Vous ne pouvez savoir à quel point, vous êtes les déesses de l’amour saphique, je n’ai jamais joui comme ça avec une femme, pardon des femmes.–Donc, on pourra recommencer ?–Bien sûr mes chéries, mais maintenant il faut me laisser, il est plus de cinq heures du matin et je suis anéanti.–Ok Laure, on va se coucher, dors bien.Elles sortent de ma chambre, nues, et je remarque qu’elles étaient venues dans la même tenue, je vois deux magnifiques paires de fesses onduler devant mes yeux et disparaitre derrière la porte. Je commence à me poser des questions, mais la fatigue me terrasse et je m’endors une nouvelle fois comme une masse.
Le lendemain, je me réveille relativement tard, il est plus de neuf heures et demie et tout le monde est sur le pont à vaquer à ses occupations. Mes premières pensées vont à Michel et son énorme queue, ce qui a pour effet immédiat de me donner envie de jouir. J’enlève les draps qui me couvrent et porte ma main sur mon pubis. Mon majeur se glisse entre les poils et arrive sur mon clitoris. Il est un peu sec et je glisse mon doigt dans ma vulve pour l’humidifier. Très vite mon doigt est suffisamment lubrifié pour aller s’occuper de mon petit bouton. Il tourne à toute vitesse autour de la tête qui gonfle et commence à transmettre des ondes de plaisir dans le reste de mon corps. Je fini par me raidir et jouir en silence, après la séance de cette nuit, ce plaisir me parait un peu fade mais je m’en contente. Cela me calme tout de même et, après une rapide douche, je descends rejoindre les autres à peine vêtue d’un tee-shirt et d’un short de sport. Paule et Aline, décidément inséparables, simplement habillées d’un deux pièces minimaliste, finissent de passer l’aspirateur dans la piscine, Michel dort toujours et Henri et Elisa déjeunent. Je m’installe avec eux.
–Bien dormi.–Superbement, j’ai passé une nuit de rêve.–Tant mieux, que comptes tu faire aujourd’hui ?–Me reposer et faire le tour de la ferme pour voir ce qui a changé depuis 7 ans.–Tu verras que pas mal de choses ont changées, mais je ne pourrais pas te servir de guide, je suis obligé d’aller à une réunion des dirigeants de la coopérative avec laquelle je travaille, Elisa doit m’accompagner, mais les filles vont s’occuper de toi, Michel doit aller en ville régler un problème sur un tracteur en réparation. –Ok, pour moi, pas de problèmes. Nous discutons de choses et d’autres jusqu’à ce qu’Henri et Elisa me quittent. Je finis mon petit déjeuner, débarrasses tout dans la cuisine et monte pendre une douche. Au moment d’entrer dans ma chambre, Paule me tombe dessus, m’attrape les poignées pour me plaquer les mains sur ses fesses et plaque ses lèvres sur mes lèvres, sa langue envahi ma bouche. Surprise, je me laisse faire quelques secondes, qu’elle utilise en glissant un ou deux doigts sous mon short, puis je la repousse.–Un peu de tenue s’il te plait.–Tu n’as pas aimé ?–Ce n’est pas la question, nous sommes chez tes parents, je suis ta tante et je ne veux pas faire de la peine à ma sœur. Tu vas finir par me faire regretter de ne pas vous avoir jeté de ma chambre cette nuit.–Excuse-moi Laure, mais d’une part, papa et maman viennent de partir et d’autre part je suis tellement excitée par notre relation que je sens arriver que j’ai tout le temps envie de te prouver mon amour.–Ne sois pas si pressé, pour l’instant, ce n’est que du sexe.–Pas pour moi.Je vais lui répondre quand Aline arrive et me fais une bise chaste sur la joue.
–Bonjour Laure, tu as bien dormi ?–Très bien ma chérie et toi.–Moi aussi, surtout après la petite séance avec Paule avant de nous endormir.–Quelle séance ?–Tu penses bien qu’après ce que nous t’avons fait, nous ne pouvions pas nous endormir comme ça.–Ok, je vois, je vois très bien même, bon je vais me doucher, je vous rejoins tout à l’heure.–Tu ne veux pas qu’on vienne te frotter le dos ?–Non, ça ira comme ça.–Mets-toi en maillot de bain, nous serons dans la piscines.Sur ces mots, j’entre dans ma chambre pour prendre ma douche. Je suis un peu dubitative, Michel ne sera pas là et la perspective de me retrouver avec les filles dans la piscine m’excite tout en m’effrayant un peu, je ne sais pas comment tout ça va finir.
Quand je sors de ma chambre en maillot de bain deux pièces plutôt petites, à peine plus grandes que celles des filles, je tombe sur Michel qui déjeune dans la cuisine.–Bonjour tata, toujours aussi belle, tu es canon dans ce petit bikini, tu as bien dormi ?Je suis un peu déstabilisée par sa remarque mais je ne laisse pas voir, du moins je le pense.–Oui, et toi.–Très bien, je me suis endormi en pensant aux moments que nous passions ensemble avant que tu n’ailles au US.Je commence à paniquer intérieurement, à quoi a-t-il pensé ?–Ne t’en fais pas, en tout bien tout honneur.Il me sourit de son sourire carnassier, se lève, m’embrasse sur les joues et se dirige vers la porte.–Dommage, pas de piscine, j’avais oublié que je devais aller en ville ce matin, j’aurais adoré me baigner avec vous, surtout avec toi dans ce maillot. A tout à l’heure tata, je serais de retour vers midi et demie.–A tout à l’heure.
Je vais rejoindre les filles dans la piscine. Celle-ci est construite entre les deux ailes de la maison construite en forme de U. Une haie de troènes ferme l’ensemble et protège des regards indiscrets. C’est d’autant plus facile que nous sommes à la campagne à au moins deux kilomètres du premier voisin, seulement, il y a des ouvriers agricoles dans la ferme. Quand j’arrive au bord de la piscine, je vois Paule et Aline allongées sur des transats, à se dorer au soleil déjà haut, l’une sur le ventre les fesses presque complètement exposées au soleil tellement le maillot est petit, l’autre sur le dos avec les cuisses grandes ouvertes, dont le micro slip s’est glissé entre ses lèvres, la laissant paraitre pratiquement nue.
–Allez Laure, prend le transat entre nous et fais-toi bronzer un peu, tu es blanche comme une aspirine.
Je m’allonge sur le transat, allongée sur le dos. Paule et Aline se lèvent, défont le nœud de leurs soutien-gorge, les jettent à terre, et font suivre aux slips le même chemin. Elles me regardent nues avec un sourire conquérant. Je ne sais quelle attitude prendre. Paule se penche sur moi, passe ses mains dans mon dos et défait le nœud de mon soutien-gorge, pendant qu’Aline fait descendre mon slip sur mes chevilles
–Allons, tu ne vas pas faire des traces sur ce magnifique corps, d’autant que nous savons pertinemment que tu es naturiste.
Je sens une boule se former dans mon bas ventre, je les aide comme je peux à me débarrasser de ces ridicules morceaux de tissu et je m’allonge sur le ventre. Aline retourne à son transat. Les mains de Paule se posent sur mes fesses et les caresse, les malaxe, les écarte. Je me laisse aller, j’adore ce genre contact, mon sexe commence à s’humecter sérieusement. Elles remontent le long de mon dos pour se rabattre sur les côtés au niveau de mes seins.
–Magnifique le pile, mais j’aimerais bien voir ce que donne le face. Je me retourne sur le dos. Paule me regarde, ses yeux parcourent mon corps entier et son regard s’arrête sur mon sexe. Je resserre un peu les cuisses, j’ai peur qu’elle ne s’aperçoive qu’en réalité, je commence à être sérieusement mouillée.–Autre chose, tu n’as jamais entendu parler de soins à donner à sa touffe ?–Quoi ?–Tes poils, ils sont hirsutes, y en a partout, ils sont beaucoup trop longs, ils font au moins cinq ou six centimètres de long, il faut que tu les coupe plus courts et que tu dessines un beau triangle pas trop gros. En plus ils te trahissent, là, je vois que tu les as un passablement inondés, ils brillent sous le soleil. On s’occupera de ça tout à l’heure, pour le moment viens dans l’eau avec moi.Je suis un peu déstabilisée, mais d’un autre côté, cette réaction lui montre bien que je suis une bombe sexuelle qui démarre au quart de tour. Elle me prend par la main et m’entraine dans la piscine. L’eau est très agréable, au moins à 25°, j’adore.–La piscine est chauffée, maman déteste l’eau à moins de 25,26°.–C’est de famille, moi aussi je déteste l’eau froide.Paule nage un peu, mais très vite elle revient vers moi et me plaque contre la paroi de la piscine. Ses mains s’égarent sur mes fesses, mon ventre, mes seins et finissent par arriver sur mon pubis. Je la laisse faire, j’aime trop sentir des mains se promener sur mon corps. Un doigt se détache, écarte les poils et vient se glisser entre mes lèvres. Paule avance sa tête vers mon oreille.–Je vois que tu apprécies, ce n’est pas l’eau de la piscine que je sens sous mon doigt, tu ruissèle littéralement.–Oui, j’adore ce que tu me fais.–Aline, viens nous rejoindre, Laure a besoin de toi.Aline se lève et plonge tête la premières dans la piscine. Elle ressort de l’eau en remontant le long de mon corps. Ses lèvres viennent se poser sur les miennes et nous échangeons un long baiser. Ses mains ne sont pas en reste, elles passent sur mes seins, mon ventre, mes fesses pour terminer sur mon sexe ou un doigt s’y enfonce sans ménagement.–J’adore ton corps, il est plein, souple et répond instantanément à toutes les sollicitations.Elle s’éloigne un peu, me contemple et se retourne vers sa sœur.–On sera mieux sur le sofa.–Tu as raison, sortons de l’eau.Elle m’entraine hors de l’eau et se dirigent à l’autre bout de la piscine. Je remarque un grand divan de jardin, mais recouvert de coussins crèmes, une table basse et deux fauteuils. Elles me prennent chacune par une main et m’allonge sur le sofa.–Ne bouge pas, on va s’occuper de toi.Aline va dans la maison pendant que Paule me caresse et me couvre de baisers. Je me laisse faire, j’aime trop ça. Au bout de quelques minutes, Aline revient avec une trousse.–On va s’occuper de ta touffe.–Vous croyez que c’est vraiment nécessaire ?–Absolument, ras le bol de ces poils dans le nez quand on te broute le minou.Tout le monde éclate de rire et Paule sort un peigne et une paire de ciseaux. Elle se penche sur mon sexe et commence à couper les poils trop longs pour elles. Je ne bouge pas, mais mon sexe coule de plus en plus. Quand Paule écarte mes cuisses pour avoir un meilleur accès, elle s’en rend compte.–Dis donc, tu aimes qu’on s’occupe de toi, ton sexe luit comme une étoile et le haute de tes cuisses est très humide.–C’est de ta faute.–Je veux bien réparer ma faute.Sur ces mots, elle se penche vers mon sexe et pose ses lèvres sur mon clitoris. Je suis parcourue par un violent tremblement, ses lèvres aspirent mon petit bout tandis que sa langue le titille avec vigueur. Je ne résiste pas et me laisse aller à un superbe orgasme, toujours en silence. Paule redresse la tête et me regarde tendrement.–J’adore te faire jouir.–J’aime que tu me fasses jouir.–A moi.
Aline se jette sur mon sexe et le manège recommence. Sa langue s’active sur mon clitoris, des doigts s’enfoncent dans mon vagin dans un mouvement de piston. Malgré ma jouissance récente, mon corps réagit immédiatement, d’autant que Paule s’occupe du haut de mon corps, seins et lèvres, et après quelques minutes, je repars dans un nouvel orgasme. Je reste allongée sur le dos à récupérer doucement. Je suis bien, il fait beau, très bon, et deux magnifiques filles s’occupent de moi comme jamais on ne l’a fait auparavant. Paule se remet au travail et continu de me sculpter les poils du sexe. Mes poils ne font plus qu’un petit centimètre de long, mais c’est assez agréable au touché. Maintenant, je suis comme elles le triangle court et régulier. Tout à coup, Aline s’affole un peu, il est presque midi et demie et Michel ne va pas tarder à arriver. Nous allons toutes les trois dans nos chambres pour nous habiller. Après une douche un peu froide de rigueur, j’enfile un tee-shirt à même la peau, une culotte blanche fine, j’évite le string, à cette époque, c’est très peu répandu et considéré comme très vulgaire. Je fini par une minijupe assez courte qui dégage bien mes jambes et une grande partie de mes cuisses. Quand j’arrive au salon, je vois Paule et Aline habillée toutes les deux exactement comme moi, tee-shirt à même la peau et minijupe courte.
–Et la culotte, elle est blanche ?Elles se retournent, soulèvent leurs jupes et me montre deux belles culottes blanches et très fines au point de bien distinguer les deux fesses.–Et toi.Je soulève ma jupe pour leur montrer ma culotte.–Très bien, nous sommes toutes les trois identiques, mais il se dégage quelque chose de plus chez toi Laure, toi, tu es une femme, une vraie, nous, nous ne sommes que des gamines.–Oui, mais des gamines un peu holè-holè.–Nous sommes comme toi, nous aimons le sexe, moi, que les filles, mais Aline aime aussi les hommes, vous devriez bien vous entendre toutes les deux. Ceci dit, je me contente de ce que j’ai pour l’instant. –Vous avez des rapports sexuels depuis longtemps ?–Non, c’est arrivé il y a tout juste trois mois, nous sommes allées un soir à une fête d’anniversaire, il y avait beaucoup de monde et vers onze heures du soir, j’ai entendu Aline crier. Je me suis précipitée et quand je suis arrivé dans la pièce d’où venait le cri, j’ai vu trois mecs qui sortaient brutalement deux autres mecs. Aline était dans un coin, recroquevillée sur elle-même, son corsage déchiré et sa jupe enlevée. Ils avaient tenté de la forcer à leur faire une fellation. Inutile de dire que les trois mecs se sont occupés d’eux un peu violemment. Mais Aline était choquée et nous l’avons ramené à la maison avec une copine. Je l’ai déshabillé entièrement, lui ai fait prendre une douche, enfilé une nuisette et mise dans son lit, mais elle a voulu que je reste avec elle. Je me suis déshabillé et je suis entré nue dans son lit. Nous nous sommes donc retrouvées toutes les deux dans un lit un peu étroit pour deux. Au contact de ce corps à moitié nu, je n’ai pas pu résister. Je l’ai prise dans mes bras pour la calmer, mais ma main a commencé doucement à parcourir son dos, pour descendre vers ses fesses et remonter sous sa nuisette, glisser sur son ventre et atteindre ses seins. Là, j’ai pu constater que ses mamelons étaient dur et bien pointés. « Oui ma chérie, continu, ça me calme ». Ayant son accord, je lui ai enlevé sa nuisette, nous étions peau à peau, ma main est allée se glisser entre ses cuisses pour vérifier son état. Elle est tombée sur un nid chaud et très humide. Je l’ai posé sur son pubis, elle a ouvert un peu plus ses cuisses, me libérant entièrement le passage. Prise d’une soudaine envie, j’ai alors approché ma bouche vers cette source de vie pour boire ce merveilleux liquide. Elle a écarté les cuisses encore plus et s’est mise à bouger, son corps vibrait sous ma langue et ma bouche. Elle a fini par partir dans un énorme orgasme, son sexe a vingt centimètres du lit, en appuyant de toutes ses forces sur ma tête. Après être retombé sur le lit, et resté un petit moment immobile, elle a fini par s’endormir, me laissant sur ma faim. Je me suis masturbé collé à elle pour jouir d’un superbe orgasme. Depuis, nous ne passons pas une nuit sans nous aimer.
–Je vois, on prépare à manger ?
Nous nous activons toutes les trois et au bout de quelques minutes, la table est mise, les entrées sont préparées, il ne reste plus qu’à allumer le barbecue ce que fait Paule avec maestria. C’est le moment que choisi Michel pour arriver.–Salut les filles, je vois que vous m’attendiez pour vous mettre à table.–Et pour t’occuper de la viande à griller.–Ok, passe-moi la viande.Michel s’occupe de la viande et vient nous rejoindre à table. C’est un moment très agréable, à l’ombre d’un parasol au bord de la piscine. Michel me regarde sans arrêt, je vois que ses yeux sont focalisés sur ma poitrine, cela m’excite un peu et petit à petit mes mamelons se durcissent et pointent orgueilleusement sous mon tee-shirt. Paule et Aline n’en perdent pas une miette. Plus personne n’a de doute sur mon état. A la fin du repas, je me lève pour débarrasser, mais Paule m’arrête de la main.–Tu n’es pas là pour faire la bonne, laisse-nous faire et va t’allonger sur le sofa.–Les filles ont raison tata, repose-toi, je t’emmène un café, d’accord ?–Ok.Je vais m’allonger sur le sofa. En m’installant, ma jupe remonte jusqu’à mon slip, mais je ne la réajuste pas, offrant mon entre-jambe à la vue de tout le monde. Je suis vraiment dans un état second, j’ai envie de m’envoyer en l’air, de jouir, je sais que Paule et Aline ne demande que ça, mais c’est l’énorme bite de Michel que je veux sentir entre mes cuisses. Je devine que mon slip est taché et je ne fais rien pour le cacher. J’espère que ce spectacle va l’exciter et qu’il se décidera à faire quelque chose.…/…
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