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Ma drole de famille

Chapitre 6

Lesbienne
Tout le monde redescend et s’installe dans le salon, Brigitte se met juste en face de moi. La discussion porte sur le temps, ce que nous avons fait cet après-midi, (nous n’avons pas tout dit), et du programme de demain. Brigitte se débrouille pour que, de temps en temps, j’ai une vue plongeante sous sa robe. Elle me fait des sourires entendus. A table, je la vois régulièrement passer sa main sous la table, la remonter et se sucer un doigt en me regardant droit dans les yeux. J’imagine ce qu’elle vient de faire et je sens mon slip s’humidifier. Décidemment, un rien me fait réagir. Je ne peux m’empêcher d’en faire autant et de me sucer le doigt que je viens de planter dans mon sexe liquéfié en la regardant droit dans les yeux. Ce manège n’échappe pas à Aline qui est à côté de moi.
–Elle te drague et tu lui rends bien.–C’est que j’ai bien réussi ma mission.–Un peu trop peut-être.–C’est toi qui l’a voulu.–Ouai, si tu veux, mais Paule va en souffrir.–Ne t’en fais pas, elle est très attirée par elle et ne lui fera pas de mal.–Comment tu le sais ?–C’est elle qui me l’a dit.–Ok.
Nous finissons de manger assez rapidement pour nous retrouver de nouveau dans le salon. Brigitte se met à côté de moi et se penche vers moi.
–Tu as aimé ?–Je ne peux pas te dire, je n’ai pas goûté.–Je parlais de ton jus.–Oui, j’ai adoré.
Elle sourit et se met à discuter avec tout le monde. Au bout d’une petite heure, je sens la fatigue me tomber dessus et je prends congé de tout le monde. Je monte dans ma chambre, me déshabille et vais prendre une douche. Evidemment, j’en profite pour me caresser, mes doigts s’affolent sur mon clitoris, mais le cœur n’y est pas, la masturbation ne me satisfait plus complètement, j’ai besoin d’autre chose, d’une main sur mes seins, d’une langue sur mon sexe, d’un sexe au plus profond de moi. Je prends un peu de plaisir, mais ce n’est pas très satisfaisant. Je me couche quand même en espérant trouver très vite le sommeil.
Je n’ai toujours pas réussi à m’endormir quand j’entends du bruit dans la chambre d’à côté. Ce doit être Brigitte qui s’installe pour la nuit. J’entends la douche un petit moment puis plus rien. Je suis sur le point de m’endormir quand la porte de la salle de bain s’ouvre, c’est Brigitte.
–Laure, je sais que tu ne dors pas, moi non plus je ne peux pas dormir, je pense trop à toi, j’ai besoin d’un câlin, tu veux bien que je vienne dans ton lit ?
Elle est là, devant moi, je distingue dans la pénombre son corps nu, offert et j’ai soudain envie de le caresser.
–S’il te plait.–Ok.
Elle entre dans mon lit et se plaque contre moi. Elle est nue et je sens son pubis lisse contre ma cuisse. Elle passe sa jambe sur la mienne, ce qui a pour effet de plaquer ses lèvres humides sur ma cuisse. Je n’en peux plus, je lui saisis la tête et l’embrasse fougueusement. Nos langues se battent, se câlinent, s’affrontent, s’aiment. Mes mains redescendent, parcourent son dos et s’attardent sur ses fesses. Je les pétris nerveusement, je la plaque contre moi de toutes mes forces, j’ai envie de la sentir en moi, de prendre possession de son corps, de me noyer dans sa chair, de ne faire plus qu’une, de me dissoudre en elle. Mon cœur bat la chamade, je n’ai jamais ressenti une telle émotion au contact d’un corps, que ce soit d’un homme ou d’une femme. Et puis, tout à coup, je me donne, je décide de ne plus faire un geste, de me laisser aller et de m’offrir à cette gamine que je ne peux définir pour qu’elle fasse de moi ce que bon lui semble. Je reste allongée sur le dos à attendre qu’elle fasse quelque chose. Elle ne bouge pas pendant un moment et reste sur moi pesant de tout son poids puis se redresse et me couvre de baisers. Ses mains, sa bouche, sa peau qui se frotte à la mienne parcourent mon corps doucement en l’effleurant à peine. Pour finir, elle se plaque contre moi, j’ai l’impression qu’elle veut entrer en moi, qu’elle ressent la même chose que moi, qu’elle veut ne faire qu’une avec moi, petit à petit, elle se laisse aller sur moi tout en me couvrant de baiser. Elle explore les moindres recoins de mon corps sans un mot, lentement pour bien s’en imprégner. Au bout d’une bonne heure de caresses, de baisers, de câlins, d’attouchements en silence, elle se redresse, pose ses mains de chaque côté de ma tête, me regarde droit dans les yeux en me souriant.
–Je suis ta chose, et tu es ma chose. Nous sommes deux composantes d’une même entité. Vivons tous les instants que nous donne la vie, sans attaches, sans contraintes, sans jalousies, intensément, de toutes nos forces. Tu es libre comme je suis libre, mais nous savons toutes les deux que nous ne pourrons pas vivre l’une sans l’autre, et ce pendant très longtemps. Je te laisse chérie, je vais aller dormir et te laisser dormir aussi. Demain est un autre jour, j’espère qu’il sera conforme à nos attentes.Sur ces paroles, elle se penche sur moi, m’embrasse le mont de venus. Elle me regarde.
–Tu devrais enlever tous ces poils.–Les filles me les ont déjà coupés courts.–Oui, mais rien ne vaut une peau lisse et douce, tu devrais t’épiler comme moi.–Et je pourrais le faire quand ?Elle se penche sur moi pour bien scruter mes poils.–Demain, si tu veux bien que je m’en occupe, ils sont assez longs pour être épilés et je ne me sépare jamais de mes ustensiles.–Ok, j’adorerais ça.–Très bien, bonne nuit chérie.
Elle m’embrasse et retourne vers la salle de bain pour rejoindre sa chambre. Je reste seule, allongée sur le lit les bras et les jambes écartées, complètement offerte à qui veut bien me prendre. Je reste quelques secondes ainsi puis me retourne sur le côté, me recouvre du drap et ferme les yeux, frustrée de ne pas avoir joui, mais heureuse des perspectives d’avenir. Contre toute attente, je m’endors très rapidement.
Le lendemain, je me lève vers huit heures trente, enfile mon peignoir et descends pour prendre mon petit déjeuner. Seule Elisa est debout, en peignoir elle aussi. Nous prenons notre petit déjeuner en parlant de chose et d’autre, sans grand intérêt. Son peignoir s’ouvre un peu, et je remarque un très beau sein en poire, plein et encore bien droit. Elle voit la direction de mon regard. Je la regarde et lui souris.
–Excuse-moi Elisa, mais je n’ai pu m’empêcher de regarder ton sein, et je peux te dire que je le trouve très beau. C’est assez rare une telle poitrine chez les femmes de ton âge.–Merci, traites moi de vielle pendant que tu y es.–Excuse-moi encore, mais tu sais très bien ce que je veux dire, à plus de quarante ans avec trois enfants, en général ils sont descendus au rez-de-chaussée, or les tiens sont toujours aussi fermes, du moins c’est l’impression qu’ils donnent.–Ok, tout va bien, mais je n’ai pas l’habitude qu’on me parle comme ça. En tout cas, cela prouve que mes efforts n’ont pas étés vains.–Je dois dire qu’il n’y a pas que tes seins qui se tiennent, d’après ce que j’ai pu voir, tu as, excuse-moi l’expression, un cul d’enfer.–Laure !!!!–C’est l’expression consacrée pour décrire de très belles fesses. Je t’ai vu hier en maillot de bain et je dois dire que tes fesses ne passent pas inaperçues.–Je sais, Henri me le dit assez souvent, il trouve que je m’habille un peu trop sexy.–Que doit-il penser de moi ?–Ca ne le dérange pas, je peux même dire qu’il aime beaucoup les femmes habillées comme toi, car tu n’es pas sa femme.–Et ses filles ?–La aussi, il a mis de l’eau dans son vin, maintenant il accepte plus facilement quand elles s’habillent sexy, il trouve que c’est de leur âge, il faut dire qu’elles n’exagèrent pas trop. Bon, je vais faire ma toilette, à tout à l’heure.
Elle se lève et se dirige vers sa chambre. Je fini mon petit déjeuner quand arrive Michel en tee-shirt et short de sport. Son short est assez minimaliste, il lui moule bien les fesses et fait ressortir le volume de son sexe. Mon sexe commence à sécréter un liquide chaud. Il vient m’embrasser et s’installe en face de moi.
–Bonjour tata, tu es magnifique ce matin, tu as bien dormi ?–Très bien, il faut dire que c’est calme ici, ça me change de San Jose.–Tu ne regrette pas tes amis de là-bas ?–Si, un peu, mais tu sais, nous n’étions pas très intimes, les distances sont énormes là-bas, nous ne nous fréquentions pas beaucoup. Tes sœurs descendent bientôt ?–Ho là non, elles ne t’ont pas dit que le dimanche matin elles allaient faire une partie de tennis ?–Non.–Elles jouent tous les dimanches avec papa et maman jusqu’à onze heures, je suis étonné qu’elle ne t’en ai pas parlé.–Non, mais ça ne fait rien, je suis assez grande pour me débrouiller toute seule.–D’autant que Brigitte est là.–C’est vrai et toi aussi tu es là.–Pas pour longtemps, je prends une douche et je vais rejoindre mes potes pour un petit footing.–Ok, je vois que la famille est sportive.–Comme tu dis.
Il se sert un petit déjeuner et va vers la table basse de la piscine. Je vais m’assoir à côté de lui en faisant en sorte que mon peignoir baille un peu en haut et dégage une partie de ma poitrine. Tel que je suis positionnée, il ne peut manquer d’avoir son regard dans mon décolleté.
–Tu viens souvent t’installer ici pour ton petit déjeuner ?–Oui, j’adore ça.
Il me regarde et je vois que son regard plonge sur ma poitrine. Je ne fais rien pour m’esquiver, bien au contraire, insidieusement, je m’arrange pour en dévoiler un peu plus. Il se replonge dans son petit déjeuner qu’il termine en quelques secondes. Il se lève, prends sa tasse et ses couverts, me regarde et s’éloigne sans me quitter des yeux. Je sens qu’il est troublé, je ne le laisse pas indifférent, mais et il ne sait quelle attitude prendre vis-à-vis de moi. J’ai quand même l’impression que sa bosse devant est un peu plus grosse que tout à l’heure. Je ne veux rien brusquer et le laisse retourner à la cuisine. Il dépose le tout dans l’évier et monte vers sa chambre. Je me lève et remonte à mon tour pour prendre une douche et m’habiller. Je rentre dans ma chambre, enlève mon peignoir et vais dans la salle de bain. Je règle la température de l’eau et me glisse sous la douche. C’est le moment que choisi Brigitte pour entrer dans la salle de bain.
–Bonjour Laure, besoin d’un coup de main ?–Viens par-là, je vais m’occuper de toi.Elle est nue et vient me rejoindre sous la douche.–Tu sais que d’ici on peut voir la salle de bain de Michel.–A oui, comment ?–Regardes.
Brigitte sort de la douche, s’essuie rapidement, se dirige vers la baie vitrée et se cache derrière le rideau. Je la suis et me colle à elle. En face, Michel est nu sous la douche, nous le voyons de dos.
–Je l’ai souvent regardé se doucher, il me plait beaucoup, et j’aimerais que ce soit lui qui me rende femme, mais je suis un peu effrayée par la taille de son sexe, j’ai l’impression qu’il est énorme.–Ce n’est pas une impression, j’ai vu des centaines de sexes d’hommes dans ma vie et je peux t’assurer que c’est le plus gros de tous ceux que j’ai pu voir, et de loin. Mais ne t’en fais pas, si c’est fait dans les règles de l’art, ce ne sera pas plus douloureux qu’avec un sexe plus petit, il suffit que tu le désire vraiment et que tu sois bien préparée.–Tu pourrais m’aider ?–Tu ne crois pas que tu m’en demande un peu trop ?–Ok, si je comprends bien, toi aussi tu aimerais faire l’amour avec lui.–Je ne peux rien te cacher, j’aime les femmes, mais j’adore les hommes, surtout ceux qui sont membrés comme Michel.–J’ai lu des revues qui parlent de sexe, en général les femmes aiment bien les gros sexes, mais celui-là me fait un peu peur.–Ne t’en fais pas, ça se passera bien.–Tu seras là pour m’assister ?–Si tu insistes, je veux bien être là, mais à condition que moi aussi je participe.–Bien sûr, c’est évident. Tiens, regardes, il se tourne vers nous.
Michel s’est retourné vers nous et je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de stupeur. Il bande, son sexe est redressé à la verticale et j’ai devant mes yeux un monstre de pas loin de vingt-cinq centimètres sur cinq ou six. Un vrai sexe de cheval. Son gland doit friser les sept centimètres de large. Il se caresse le sexe du bout des doigts pour entretenir sa raideur. Je ne pense pas qu’il veuille se masturber, juste ressentir la raideur de son sexe, je sais que les hommes aiment beaucoup ça. Je me demande si c’est de penser à moi et d’avoir vu mes seins qui le met dans cet état. Moi, par contre, je suis au bord du délire, mon sexe coule abondamment, je descends ma main vers mon pubis quand Brigitte s’en saisi et la porte sur son propre sexe. Mes doigts tombent sur une vraie fontaine, elle dégouline de cyprine qui coule sur ses cuisses. Mes doigts se replient et pénètre un peu dans son sexe. Je la sens se crisper et je n’insiste pas, d’autant qu’une de ses mains s’est emparée de mon propre sexe et que trois doigts l’explorent sans retenue. Mon corps ne répond plus, j’ai envie de jouir, de me perdre dans un autre corps. Je la prends dans mes bars et l’allonge sur le tapis de la salle de bain. Je m’allonge sur elle, lui présente mon sexe devant sa bouche et plonge ma tête sur le sien. Nos bouches explorent la vulve de l’autre, nos langues titillent le clitoris offert. Comme le spectacle de ce sexe érigé nous avait mis dans tous nos états, nous jouissons très vite. Je me retourne et pose mes lèvres sur les siennes. J’adore embrasser des lèvres qui ont encore le goût de mon nectar d’amour. J’adore le goût de ma cyprine, je la trouve plus douce que toutes celles que j’ai pu boire dans ma vie. Le fait d’embrasser ces lèvres qui portent mon odeur, le corps plaqué contre ce magnifique corps me fait de nouveau avoir un autre orgasme. Elle le ressent et se laisse aussi aller à jouir une nouvelle fois. Nous restons un moment, enlacées, sans bouger. Je suis sur le point de m’endormir dans ses bras quand je la sens se libérer et se lever. Je me lève aussi et la rejoint derrière le rideau. Michel n’est plus là, la salle de bain est vide. Brigitte ouvre l’eau, règle la température et nous nous glissons sous la douche. Nous nous lavons mutuellement, mes mains parcourent son corps comme les siennes le mien. Je m’attarde un peu sur son sexe, j’ai encore envie de poser mes lèvres dessus, j’aime son sexe lisse et doux. Je m’accroupie, lui saisit les fesses et plaque mes lèvres sur sa vulve. Elle pose ses mains sur ma tête.
–Oui ma chérie, oui, oui, vas-y, oui, j’ai encore envie de jouir sous ta langue.
Ma langue s’active sur son clitoris, elle pénètre d’un petit centimètre à l’intérieur de son antre. Je la bois, elle est un peu comme moi, elle coule abondamment, son sexe est une véritable fontaine. J’adore. Je lui mordille le clitoris, le titille avec ma langue, l’aspire jusqu’à ce que je la sente se raidir et jouir une fois de plus. Ses mains me plaquent la tête contre son sexe, elle tremble, est parcourue de frissons, son souffle est court, elle jouit de tout son être. Et puis, je sens son corps se détendre doucement, me redresse et pose mes lèvres sur les siennes pour un baiser passionné. Nous finissons de nous laver, nous séchons et allons dans ma chambre.
–Tu es prête pour ton épilation ?–Tu veux le faire tout de suite ?–Si tu veux.–Ok, tu as ce qu’il faut ?–Oui, je vais chercher le matériel.–Je vais aux toilettes.
Brigitte est allé dans sa chambre pour chercher le matériel nécessaire.
Je vais aux toilettes, mais ce n’est pas pour faire pipi, je veux me préparer à une sodomie, je me fais un lavement intime avec la petite douchette sur laquelle j’ai remplacé le pommeau par un embout spécialement étudié pour cet usage. Je sors des toilettes au moment où Brigitte revient avec un sac imitation cuir. Elle l’ouvre et en sort une sorte de grand bol avec un fil électrique dans lequel il y a une pâte rose solidifiée. Je ne me suis jamais épilé les jambes à la cire, j’ai toujours utilisé un rasoir. J’appréhende un peu ce qui va se passer.
–C’est ton appareil pour chauffer la cire ?–Oui, il faut la faire chauffer, et cet appareil la met à la bonne température, tu ne risques pas de te bruler. Montre-moi ou il y a une prise.
Nous finissons par trouver une prise et branchons l’appareil.
–Il y en a pour au moins une demi-heure pour arriver à bonne température, qu’est-ce qu’on fait en attendant ?–Que veux-tu faire d’autre que l’amour ?–Tu n’est pas un peu frustrée de ne pas faire l’amour avec un homme.–Un peu, mais tu sais, j’ai de quoi les remplacer.–Comment ça ?
Je vais chercher ma trousse et la vide sur mon lit. Brigitte ouvre de grands yeux.
–C’est quoi tout ça ?–Des godemichés, des vibromasseurs, de la graisse et des préservatifs. Tu sais par les temps qui courent, il vaut mieux se protéger et pour l’instant il n’y a rien de mieux que les préservatifs.–Je sais, qu’est-ce que tu veux faire.–Tu vois ce godemiché avec une poire au bout du tuyau ?–Oui.–Prends le et appuie sur la poire pour le faire gonfler.
Elle se saisi du gode qui pendouille lamentablement, il est vide d’air. Elle commence à appuyer sur la poire ce qui fait qu’il se redresse doucement. Au bout de quelques secondes, il fait trois centimètres de diamètres et commence à grossir en s’allongeant. Brigitte pompe toujours. Je teste sa raideur de la main, il doit faire dans les 5 cm de diamètre.–Encore trois ou quatre coup de pompe et il sera prêt.–Mais il devient plus gros que le sexe de Michel.–Oui, et alors.…/…
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