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Ma drole de famille

Chapitre 8

Lesbienne
Nous les rejoignons dans ma chambre. Paule est allongée sur le dos, les bras en croix, les jambes légèrement écartées et pliées, la tête sur le côté, les yeux fermés, un léger sourire aux lèvres. Elle respire doucement, ses seins libres, aux tétons bien pointés, montent et descendent régulièrement. Son pubis est lisse et un peu rose. On distingue bien ses petites lèvres et son clitoris au milieu, il est un peu proéminent et bien gonflé. On voit qu’elle vient de jouir intensément il y a très peu de temps. Brigitte est à genoux sur le lit à côté d’elle, nue elle aussi, elle la contemple amoureusement. Aline se penche sur sa sœur et lui dépose un tendre baiser sur la bouche.
–Coucou ma chérie, comment te sens-tu ?
Paule ouvre les yeux, voit sa sœur, lui sourit. Elle passe un bras derrière sa tête et pose ses lèvres sur les siennes une seconde.
–Je vais très bien ma chérie, je suis heureuse comme jamais je l’ai été. J’aime une fille qui m’aime, même si de temps en temps nous pourrons aller voir ailleurs si l’herbe est plus fraîche.–Ok, je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez. Je t’aime ma Paule chérie.–Moi aussi Aline je t’aime.
C’est touchant, mais le temps passe et je m’approche du lit.
–Ok les filles, tout ceci est parfait, mais je crois qu’il est temps d’aller au restaurant, toutes sur le pont, nous partons dans dix minutes.
Les filles se précipitent dans leurs chambres respectives me laissant seule. Je prends une douche rapide et enfile une robe d’été courte, boutonnée devant, bien marquée à la taille et un peu ample. Juste un petit slip et le tour est joué. Nous sommes toutes en robe, moulantes pour les jumelles et la robe rouge pour Brigitte. Nous arrivons dix minutes plus tard au restaurant situé en pleins campagne, mais d’une telle réputation qu’il ne reste plus de places, heureusement qu’Henri a réservé. Nous faisons un excellent repas, foie gras, écrevisses, gigot en croute, fromages du coin, vacherin flambé, un vrai régal, il y avait longtemps que je n’avais mangé de la sorte. Vers quinze heures, tout le monde rentre à la ferme. Nous rentrons tous à la ferme et finissons la journée dans la piscine. Nous sommes tous en maillots de bains et je remarque qu’il n’y a pas que Michel qui est bien monté dans cette famille, le slip d’Henri laisse entrevoir un sexe d’une taille plus que respectable. J’ai quelques difficultés à rester calme, mais je ne peux m’empêcher de mouiller mon slip de bain, c’est pourquoi je reste pratiquement toute l’après-midi dans l’eau. Vers dix-huit heures, Henri et Brigitte vont s’habiller. Il la ramène chez elle et est de retour une petite heure plus tard, juste au moment où tout le monde met la table. Nous dinons dans la bonne humeur, la journée a été agréable et tout le monde est en forme. Moi, par contre, je suis un peu frustrée, passé l’après-midi à côté de deux magnifiques sexe d’homme sans pouvoir en profiter. De plus les filles ne faisaient rien pour me calmer, elles n’ont cessé de venir me frôler en laissant trainer leurs mains sur mon corps, ce qui avait pour effet de m’exciter encore plus. J’ai essayé de les arrêter, mais cela n’a pas été possible, elles s’amusaient trop à m’exciter. Nous finissons dans le salon avec un petit alcool.
Vers vingt-deux heures, je monte dans ma chambre prétextant une grosse fatigue. Une fois là-haut, je ma déshabille et vais prendre une douche en laissant bien mon rideau ouvert pour que Michel puise me voir s’il est dans sa salle de bain. Je me badigeonne de gel douche sur tout le corps en insistant plus que de raison sur mon sexe glabre. J’aime le contact de cette peau lisse et douce de mon pubis. Un doigt se glisse entre les lèvres, je m’adosse au carrelage de le douche face à la baie vitrée et me masturbe sans retenue. En moi-même, j’espère que Michel est dans sa salle de bain, mais je n’arrive pas à voir quoi que ce soit chez lui, il fait nuit, et la lumière est éteinte. Je réalise que mon attitude est un peu outrancière, j’arrête donc de me masturber, je ne veux pas donner à Michel l’impression que je suis une pute. Je continu de me laver en prenant tout mon temps, je me retourne pour bien montrer mes fesses que je caresse plutôt que je ne les lave, de même pour mes seins et le bas de mon ventre.
Tout à coup, j’ai l’impression que quelque chose bouge dans la chambre de Michel, je suis sûre qu’il se cache derrière les rideaux. Je sais qu’il peut bien me voir de sa chambre. Je continu comme si de rien n’était. Je fini par sortir de la douche et me sécher. J’enchaine sur une séance de démaquillage en prenant une fois de plus tout mon temps. Je me tourne et me retourne constamment pour qu’il soit bien imprégné du moindre centimètre carré de mon corps. Tout ceci m’excite et ma cyprine coule doucement de mon sexe. Au bout de trois quart d’heure, je sors de la salle de bain et éteint la lumière, mais cette séance d’exhibition m’a excité et il faut que je me calme. Mes cuisses sont souillées par ma cyprine, mon sexe est lubrifié et chaud et ne demande qu’à être envahi. Je prends le gode gonflable, le gonfle jusqu’à ce qu’il fasse cinq cm de large et vingt-cinq cm de long. Je le ventouse sur le sol de la chambre, m’agenouille de manière à le présenter à la verticale de mon sexe. Je me laisse descendre dessus. Je suis tellement excitée que je sens à peine le gland m’ouvrir les lèvres et se frayer un passage jusqu’au fond de ma vulve. Je monte et descend sur ce pieu raide qui glisse sans efforts à l’intérieur de mon sexe. J’ai l’habitude et je sais faire en sorte de faire monter le plaisir doucement. Je suis capable de me pistonner pendant plusieurs minutes avant que les muscles de mes cuisses ne demandent grâce. Je sens le plaisir monter, je fais défiler des images de Michel nu dans ma tête ce qui exaspère mon plaisir. Je ne veux pas toucher mon clitoris, je veux jouir avec mon sexe. Une onde se forme sur mes lèvres, se diffuse dans tout mon sexe avant d’envahir mon corps tout entier. Je vibre, je tremble, je suis secoué de spasmes, je jouis de tout mon être, pleinement, en silence, juste un léger son.
–MMMMMMMMMMMMMMM
Je ne sais combien de temps je suis resté assise sur mon gode, mais quand je reviens à moi, j’ai la surprise de voir Aline assise sur mon lit. Elle me regarde avec un petit sourire sur les lèvres.
–Tu ne peux pas savoir comme tu es belle quand tu jouis.
–Tu es là depuis combien de temps.–Je suis entré dans ta chambre pendant que tu te démaquillais, tu ne m’as pas entendu.–Depuis tout ce temps, mais alors tu as tout vu ?–Oui, et j’ai beaucoup aimé, j’ai failli me manifester, mais quand j’ai vu dans quel état tu étais, je me suis fait toute petite et je t’ai regardé faire. En tout cas, je n’ai jamais joui comme ça en me masturbant.–Mais je ne me masturbais pas.–D’accord, mais moi, je ne peux toujours pas faire ce que tu fais.–Tu vas me prendre pour une folle.–Ho non, bien au contraire, j’aimerais pouvoir faire ce que tu fais, en avoir le courage.–Ce n’est pas du courage, c’est de la nymphomanie, je suis une folle du sexe, je ne peux pas m’empêcher de me faire jouir toute la journée. Tu sais, c’est parfois pénible.–Peut-être, mais moi, je suis encore vierge, comme Paule et Brigitte. Je ne sais pas pour Paule, mais Brigitte et moi-même, on commence à en avoir assez.–Vous êtes encore jeune.–Tu étais vierge à notre âge ?–J’ai fait l’amour pour la première fois avec un homme à l’âge de dix-neuf ans et demi, tu vois, tu as encore le temps.–Ouai, mais je n’attendrais pas jusque-là, j’ai envie de sentir quelque chose en moi, quand je te vois jouir aussi fort, ça me donne encore plus envie.–Comme tu veux, mais tu dis que tu es arrivé pendant que je me démaquillais ?–Oui, et j’ai trouvé que tu mettais beaucoup de temps à le faire, j’ai compris quand j’ai vu Michel te regarder planqué derrière le rideau de sa chambre. Il n’en a pas manqué une miette. Tu le savais n’est-ce pas ?–Je m’en doutais, mais je n’en étais pas sûre.–Là, tu l’as bien allumé, je pense qu’il est allé se branler après ta petite séance. J’aurais bien aimé voir ça.–Moi aussi, j’espère que ça lui aura donné envie de moi.–Je pense que c’est dans le sac.–Ecoute chérie, tu es bien mignonne, mais il faut que je dorme, il est temps pour tout le monde d’aller se coucher chacune dans son lit.–Ok, demain je me lève tôt, nous avons cours jusqu’à seize heures et nous partons à sept heures et demi avec Paule.–Bon et bien tu me réveilles vers sept heures, j’ai rendez-vous pour des appartements.–D’accord, mais tu comptes rester dans cette position toute la nuit ?
Je réalise que je suis toujours assise sur mon gode enfoncé jusqu’à la garde, je ne m’en rendais pas compte tellement mon sexe est dilaté. Je me mets sur le dos pour le sortir, le dégage devant Aline qui ouvre de grands yeux.
–Ton sexe est grand ouvert, il va se refermer ?–Bien sûr, mais il va mettre un peu de temps.–Je peux m’approcher ?–Bien sûr chérie.
Elle se penche sur mon sexe et pose ses lèvres dessus, sa langue entre dedans sans rencontrer d’obstacles, elle la fait tournoyer pour lécher l’intérieur de ma vulve qui se referme doucement au contact de cette caresse. Quand il s’est entièrement refermé, elle se redresse.
–Voilà, tout est de nouveau normal. Je ne savais pas qu’un sexe pouvait s’ouvrir autant.–Ça dépend de ce que tu y mets.
Je me lève et vais dans la salle de bain nettoyer le gode. Je le range avec le reste de mon matériel. Aline vient m’embrasser et quitte ma chambre pour aller se coucher. Je me jette sur mon lit et ne tarde pas à m’endormir.
Le lendemain, Aline vient me réveiller en me déposant un baiser sur la bouche.
–Il faut se réveiller princesse.–Merci ma chérie je vous rejoins pour le petit déjeuner.
J’enfile mon peignoir et descend rejoindre tout le monde. Il y a Paule, Aline, Henri et Elisa. Michel est toujours dans sa chambre. Je salut tout le monde en m’étonnant de ne pas voir Michel. Henri me répond qu’il se réveille un peu plus tard car a passé ses examens et qu’il n’a plus de cours, il devrait être là vers sept heures et demi. Il m’apprend aussi qu’ils ne seront pas là à midi, il va rejoindre Elisa pour préparer une réunion de son syndicat d’agriculteur et que donc je serais seule avec Michel. Rien ne peut me faire plus plaisir et je décide de l’attendre, j’ai l’intention de lui proposer de venir avec moi visiter les appartements. Je déjeune avec tout le monde et remonte dans ma chambre pendant qu’Elisa amène les filles au lycée avant d’aller bosser et qu’Henri attaque le travail de la matinée à la ferme. Je vais me préparer. Après ma douche, j’enfile une jupe courte évasée, un mini string et un chemisier léger sans rien dessous. On devine que ma poitrine est libre sans voir grand-chose. Tout geste un peu brusque fait s’envoler ma jupe et dégage bien mes fesses. Je vais au salon vers sept heure trente en espérant que Michel y sera. Il arrive quelques minutes plus tard. Il me regarde l’air un peu gêné.
–Bonjour tata.–Bonjour mon chéri, tu as bien dormi.–J’ai fait des rêves bizarres.–A bon, comment ça ?–Ho, je ne m’en souviens plus, mais ça m’a perturbé dans mon sommeil.
Moi, je pense savoir ce qui a perturbé son sommeil et le regarde d’un air un peu moqueur.
–Je dois visiter deux appartements, tu veux bien m’accompagner à mes rendez-vous ce matin ?–Pas de problèmes, je n’ai rien à faire, aujourd’hui, profites en, demain je vais à une réunion d’étudiant toute la journée pour regarder quelles facs peuvent nous intéresser.–Nous partons dans une demi-heure, j’ai rendez-vous pour le premier à huit heure trente.–Très bien, juste le temps de prendre mon petit déjeuner.
Je prépare mes dossiers pendant qu’il déjeune et nous partons vers la ville. Nous nous garons juste en bas de l’immeuble, heureusement, les places ne sont pas payantes dans ce quartier. Nous montons à l’étage et sonnons à la porte. Un homme d’une cinquantaine d’années nous ouvre. Il a l’air un peu renfrogné, ce qui me fais avoir une première impression négative. L’appartement est grand comme je le désirais, mais pas très clair et avec un vis-à-vis rédhibitoire. Au bout d’une petite demi-heure, nous prenons congé. Officiellement, je réserve ma réponse, mais cet appartement ne me plait pas du tout. Nous prenons notre temps pour nous rendre à la seconde adresse. Le quartier est différent, les immeubles plus cossus. Je trouve à me garer, nous prenons l’ascenseur et nous arrivons à l’appartement, au dernier étage de l’immeuble, comme j’aime, personne au-dessus. C’est une très belle jeune femme d’au maximum vingt-deux ans qui nous accueille, avenante et très souriante. Elle fait quelques centimètres de moins que moi, mais est magnifiquement proportionnée avec une belle poitrine et des fesses d’enfer, de plus, elle est très jolie. Elle est en minirobe boutonnée devant donc le dernier bouton n’est pas mis, ce qui laisse apercevoir le haut des seins que l’on devine libres. Ça nous change de la porte de prison de tout à l’heure, surtout Michel qui a l’air d’apprécier notre guide. L’appartement est grand, trois pièces de plus de quatre-vingt-dix mètres carrés. Un très grand salon de trente-cinq mètres carrés, encombré d’un vieux clic-clac, avec une baie vitrée donnant sur un immense parc, deux chambres dont une de plus de douze mètres carrés, une salle de bain également refaite, des WC, un couloir avec des placards. Le salon et la salle de bain ont été refait il y a un an, mais tout le reste est à repeindre, voire plus. De plus, le tapissons qui recouvre l’ensemble de l’appartement est trop vieux, il faut le changer. La visite dure une heure, la jeune femme est aux petits soins pour nous. Je remarque même qu’un bouton de plus est défait en haut de sa robe et que la vue sur ses seins est encore plus plongeante. Elle prend des positions aguichantes, montrant à tout le monde ses atouts. Nous avons eu un aperçu de sa très belle poitrine ainsi que de ses fesses à peine cachées par un string quand elle s’est penché en avant pour se saisir d’une feuille malencontreusement tombée à terre. J’ai eu la vague impression que ce manège n’était pas destiné à Michel, son attitude et ses regards appuyés sur moi en disaient long. Evidemment, je ne suis pas resté sans réagir et eux aussi ont pu découvrir mes seins ainsi que mes fesses. J’ai vu dans les yeux de la jeune femme qu’elle appréciait, je pense que Michel aussi.Néanmoins, cet appartement me plait beaucoup et je fais une proposition. Nous nous séparons sur la prise d’un second rendez-vous dans l’appartement le lendemain pour faire une évaluation des travaux à faire. Une fois dans la voiture, Michel se détend un peu.
–Dis donc tata, tu ne fais pas de l’effet que sur les hommes, cette fille a passé une heure à te draguer d’une manière éhontée, j’en étais gêné.–Tu as remarqué toi aussi.–Oui, et tu n’as rien fait pour la dissuader, bien au contraire. –Non, pourquoi l’aurais-je fait, cette fille me plait.–Mais c’est une femme !!–Oui, mais tu sais mon chéri, j’aime les hommes, je les adore même, mais j’aime aussi les femmes, beaucoup même.–Tu vas me dire que demain il risque de se passer quelque chose avec elle ?–Non, il ne risque pas, c’est sûr, il va se passer quelque chose, d’autant que j’irais seule, tu n’es pas libre, et qu’en plus il y a un clic-clac qui n’attend que de servir.–Et bé, tu m’en diras tant.–Ça te choques ?–Oui et non, mais en définitive, ce n’est pas très choquant, par contre, personnellement, je ne sais pas si je pourrais faire quelque chose avec un homme. Je n’y ai jamais pensé.–Peut-être parce que tu n’as jamais fait de rencontre qui t’aurait donné l’occasion d’y penser.–Peut-être, en tout cas, j’ai bien apprécié votre petit manège, je n’en ai pas perdu une miette.–Tu t’es rincé l’œil mon cochon.–Oui, vous êtes toutes les deux très belles, mais je dois dire que c’est toi la reine, je te trouve beaucoup plus femme que cette minette.–Merci mon chéri.–De rien, c’est sincère.–Et tu n’aimerais pas approfondir ?
Il ne répond pas, je le sens songeur et un peu bouleversé. Nous rentrons à la ferme. Il est à peine dix heure trente, Henri et Elisa ne seront pas là pour le déjeuner, ils rentrent en même temps que les filles, nous avons donc toute la fin de matinée et le début d’après-midi pour nous, et je compte bien en profiter. Michel a été un peu émoustillé par notre manège, à moi d’en profiter. Je m’installe dans un fauteuil de la terrasse, en laissant ma jupe un peu en vrac. Cette fois-ci Michel comprend le message et vient vers moi. Il s’agenouille devant moi et me prend les mains.
–Tata, je dois dire que tu ne me laisse pas indifférent, je te trouve superbe, et j’ai envie d’autre chose avec toi. Hier, je t’ai vu te doucher dans ta salle de bain, je n’ai jamais vu un aussi beau corps de femme de ma vie et je dois dire que c’est la cause de ma mauvaise nuit. Mais ce n’est pas normal d’être attiré par sa tante, je ne sais quoi penser.–Tu es adorable, mais l’attirance ne se contrôle pas, elle se subit, je suis la seule à t’attirer ?–Non, je dois dire que je suis tout chose quand Julie vient chez nous.–Ta cousine ?–Oui, elle est superbe, sympa et loin d’être conne, je l’adore, mais je dois dire que ça va plus loin que l’admiration, elle m’attire, je ne sais comment dire, j’ai envie de caresser son corps, mais c’est ma cousine.–Ok, mais c’est avant tout une femme, et tu aimes les belles femmes n’est-ce pas ?–Oui, surtout elle.–Il y a longtemps que je ne l’ai pas vu, elle a dû changer, c’est une femme maintenant et, si elle est aussi belle que sa mère, je comprends ton émoi.–Elle est encore plus belle, c’est une fille magnifique.
Je le regarde dans les yeux.
–Viens.
Je l’attire vers moi. Je remonte l’une de ses mains et la pose sur mon corsage au niveau de mon sein gauche. Sa main se referme doucement sur lui, je remonte son autre main et la pose sur mon autre sein. Il les pétri maladroitement. Son souffle devient plus court. Je me lève, le fait se lever à son tour et l’éloigne un peu de moi. Je mets ses bras le long de son corps, déboutonne sa chemise et lui enlève.
–A toi.
Il hésite une seconde et fini par avancer ses mains pour me déboutonner la robe. Il n’ose pas me l’enlever, c’est moi qui écarte les pans pour la faire tomber à terre me retrouvant en mini string devant lui. Il regarde mes seins et se penche pour les embrasser l’un après l’autre. Il est très maladroit. Je le redresse et pose mes mains ses hanches
–Ne bouge pas.
Je dégrafe sa ceinture, l’ouvre, défait les boutons de son jean et l’écarte. Je le fais glisser le long de ses jambes. Il est là, immobile, nerveux, il tremble un petit peu, mais ce qui m’intéresse, c’est son slip, ou plutôt ce qu’il y a dedans. Il se dégage de son pantalon. Je le prends par la main, l’entraine vers les transats et l’allonge sur l’un d’eux. Il me regarde un peu perdu, il ne sait pas quoi faire. Je tire sur l’élastique de son slip et le fais glisser le long de ses jambes. Il ne bouge pas, il ne bande pas entièrement, mais c’est déjà très impressionnant. Je me débarrasse de mon string et reste devant lui, offerte. Il me regarde et ses yeux finissent par s’immobiliser sur mon sexe.
–Tata, je n’en étais pas sûr hier, j’étais assez loin, mais c’est bien ce que je pensais, tu n’as pas de poils ?–Je me suis fait épilé, tu aimes ?–Oui, c’est très joli, je dois dire que je n’aime pas voir ces poils en bas d’un ventre, je trouve ça disgracieux.–Tu en as déjà vu beaucoup ?–Dans Lui bien sûr, et je trouve que ton sexe est plus érotique que tous ceux qu’on voit dans ces journaux.–Merci mon chéri, tu as déjà fait l’amour avec une fille.–Non jamais, la seule fois ou une fille voulait bien le faire avec moi, elle a pris peur en voyant mon sexe.–Je dois dire qu’il est impressionnant, mais ne t’en fais pas, j’en ai vu d’autres, il ne me fait pas peur, laisse-moi faire.–Tata, tu es sûre de vouloir ?–Bien sûr, comment veux-tu que je reste indifférente devant un tel sexe laisse-toi faire, je m’occupe de tout.–Ce n’est que pour le sexe ?–Oui mon chéri, que pour le sexe, il ne peut rien y avoir d’autre entre nous, que le sexe.…/…
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