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Ma drole de famille

Chapitre 23

Lesbienne
Les jours passent tranquillement, j’apprends que la société a retenu ma candidature et que je commence le premier septembre. Je vois de temps en temps Sophie et Lisa qui me parle de plus en plus souvent de voir ce que ça fait avec Alexandre. Paule et Aline sont partis en vacances avec Brigitte et Michel avec des potes. Moi, je suis l’avancement des fondations de la piscine en me préparant à ma future fonction. Le cheval d’Alexandre est mort. Il en a acheté un autre, Tonnerre, un jeune étalon, mais comme il s’ennuyait, nous lui avons donné un compagnon début juillet. J’ai acheté un âne de deux ans, Léonard. Il est magnifique, très grand, calme et se laisse caresser. Il s’entend très bien avec Tonnerre. Alexandre monte son cheval régulièrement, c’est un excellent cavalier qui aurait pu faire des concours si ses parents avaient été plus riche, mais moi, je ne suis pas à l’aise sur le dos d’un cheval, voire d’un âne. J’ai acheté Léonard en priorité pour tenir compagnie à Tonnerre, mais j’ai aussi une autre idée derrière la tête que je compte bien mettre en pratique le plus tôt possible.Un après-midi, je suis au bord de la piscine à rédiger, avec Jean, le responsable des travaux, le rapport de livraison de la maçonnerie de la piscine. Il fait très chaud et je suis obligée d’être habillée du fait de la présence de Jean. J’ai la totale, jean, string, corsage, soutif, je crève de chaud. Le téléphone sonne. C’est Laurent, le mari de Geneviève.
–Allo ?–Bonjour Laure, c’est Laurent, comment vas-tu ?–Très bien et toi ?–Moi, ça va, je ne peux pas en dire autant de Geneviève.–Que ce passe-t-il ?–On vient de lui diagnostiquer une leucémie myéloïde aigue, elle doit suivre une chimio, mais sa famille doit faire des tests de compatibilité au cas où elle aurait besoin d’une greffe de moelle osseuse, tu veux bien le faire ?
C’est bien le style de Laurent, pas de fioritures, droit au but, même si ça doit faire mal.
–Bien sûr que je veux bien, il faut le faire quand ?–Ce n’est pas très pressé, on doit déjà voir si elle réagit bien à la chimio.–Tu me tiens au courant, il est évident que si je peux faire quelque chose, je serais là.–Merci Laure, je t’appelle dans une dizaine de jours, nous en saurons plus sur les réactions de Geneviève à la chimio.–Tu as prévenu Elisa ?–Non, je préviens d’abord Jacques et Louis, je l’appellerais plus tard juste pour la prévenir.–Ne t’en fait pas, je m’en occupe.–Très bien, je m’occupe de ses frères.–Ok, bisous à bientôt.–Merci encore, bisous.
Je raccroche, je suis un peu perturbé par cette nouvelle, ma sœur est en danger. Je règle les derniers détails avec le responsable des travaux, le libère et vais me changer pour aller chez Elisa, elle n’est pas concernée par la maladie de Geneviève, n’ayant aucuns liens familiaux, mais elle la considère quand même comme sa grande sœur. Comme je vais chez ma sœur, je me prépare complètement en faisant une toilette intime de tous mes trous, on ne sait jamais. Je peux me mettre à l’aise, j’enfile donc une jupe courte et un corsage léger, sans rien dessous. Quand j’arrive à la ferme, il y a une voiture que je ne connais pas. J’entre dans la maison et vais vers le salon. Je vois qu’Elisa est dans sa piscine, elle n’est pas seule, une autre femme nage avec elle. Elles sont nues et je me rends bien compte qu’elles ne font pas que nager dans cette piscine. Elisa m’aperçoit, me fait de grands signes pour que je les rejoigne.
–Tu viens te joindre à nous ?
J’hésite un instant, ce que j’ai à annoncer à Elisa n’est pas très agréable, mais de voir ces deux belles femmes nues dans l’eau me fait craquer. Je fais valser ma jupe et mon corsage et plonge les rejoindre. Je nage un peu et vais m’accrocher sur le bord de la piscine, en faisant remonter mon corps, ce qui fait émerger mes fesses de l’eau. Sans même se présenter, la femme se place derrière moi, m’écarte les jambes et vient poser sa langue sur mon anus. Elle me titille la rondelle, évidemment, je réagi très positivement. Encouragée, elle écarte encore plus mes jambes, me soulève un peu et vient me lécher la vulve. Je sens sa langue passer du bord du clitoris au périnée en s’enfonçant le plus possible entre mes lèvres. Je ne résiste pas longtemps et fini par jouir au bout de quelques minutes. Quand je reviens sur terre, elle fait redescendre mon corps dans l’eau et vient se coller à moi, contre mon dos. Je sens ses seins contre mes omoplates, mais soudain, je sens comme un sexe dur se glisser entre mes fesses. Je n’avais pas remarqué qu’elle portait un gode ceinture. J’écarte les jambes pour lui faciliter l’accès à mon sexe. Je tends la main pour guider le gode. Je suis tétanisée, ce n’est pas un gode, mais une bite en chair, tout ce qu’il y a de plus vivant, de plus une belle grosse bite. Ma main ne peut en faire le tour complet, elle est trop grosse. C’est une transsexuelle, c’est la première fois que je suis en contact avec une transsexuelle. J’hésite sur la démarche à suivre, me retourner pour voir exactement ce qu’il en est, ou, jouer le jeu et me laisser faire en profitant de cette belle bite. Je choisi la seconde solution en écartant les cuisses et en guidant le sexe sur mes lèvres. Je le sens s’enfoncer doucement en moi, c’est un sexe d’un beau calibre qui me remplit bien, comme j’aime, de plus il est extrêmement dur, comme un bout de bois. Deux mains viennent se saisir de mes seins pour en exciter les tétons. Elisa vient vers moi et se penche à mon oreille.
–Charlotte a envie de jouir en toi, ne t’en fait pas, elle est clean, je la connais depuis très longtemps, tu es d’accord ?–Bien sûr.
Elisa fait part de mon accord en levant le pouce en direction de Charlotte. Ça la booste, car je sens son rythme s’accélérer. Je me laisse pistonner en appréciant au plus haut point ce sexe étonnant. C’est la première fois que je me fais baiser par une transsexuelle et cette perspective m’excite au plus haut point. Je ne tarde pas à jouir une nouvelle fois, mais le braquemard continu ses aller-retours dans mon propre sexe, il est infatigable. Je me laisse encore aller, je veux jouir encore, j’en ai besoin, quand Elisa s’assoie sur la margelle devant moi, les jambes ouvertes. Elle passe ses jambes de chaque côté de ma tête et s’avance vers moi jusqu’à ce que ma bouche entre en contact avec son sexe.
–J’ai envie d’en profiter moi aussi.
Je veux bien que ma sœur profite elle aussi de ce moment de plaisir et me concentre sur ce sexe que je connais bien. Je sais exactement ce qui fait partir ma sœur dans de superbes orgasmes. Je lui saisis les fesses pour l’attirer et la plaquer contre ma bouche. J’oubli mes soucis, j’ai une bite dans le sexe et une vulve ruisselante sur ma bouche, je suis aux anges. Elisa ne résiste pas longtemps, elle pose ses mains sur ma tête, me plaque encore plus sur son sexe et explose dans un superbe orgasme. De la sentir vibrer sous ma langue me fait monter la vague dans mon ventre juste au moment où je sens un puissant jet de sperme m’éclabousser le col. Je n’en peux plus et laisse mon corps faire exploser ses milliers de pétards dans un sublime orgasme. Je finis par revenir à moi, je sors de la piscine, suivi par Charlotte. Elle se saisi de ma main, me fait pivoter et se plaque contre moi. Ses lèvres se posent sur les miennes et nous échangeons un tendre baiser. Ses seins écrasent mes seins, son ventre se colle au mien, son sexe, un peu ramolli, se glisse entre mes lèvres. Ses mains parcourent mon corps, les miennes le sien. Je caresse de magnifiques fesses, bien fermes. Son baiser dure, je sens sa bite se redresser doucement entre mes lèvres. J’ai encore envie de ce sexe, je sens ma cyprine couler et bien le lubrifier. Le sexe finit par être complètement raide et appui sur mes lèvres. Charlotte fait mouvement de ses reins et sa bite vient se loger dans mon sexe. Je plis un peu les jambes pour finir de m’empaler sur ce vit toujours vigoureux. Notre baiser dure toujours, j’ai du mal à tenir l’équilibre, ce que voit Elisa qui vient se plaquer contre mon dos en nous enlaçant toutes les deux. Charlotte me pistonne vigoureusement, je jouis une nouvelle fois, elle continu toujours, cette fille est infatigable. Je sens son sexe entrer et sortir de mon propre sexe sans discontinuer. Je jouis de nouveau, je suis complètement épuisée, heureusement qu’Elisa me soutient, sinon, je crois que je m’écroulerais. Charlotte m’embrasse toujours, sa langue est comme sa bite, infatigable. Ses mains sont sur mes fesses, Elisa pose des baisers sur mon cou. Mes mains sont toujours sur ses fesses. Je n’en peux plus, je veux jouir, mais la fatigue est là, jusqu’au moment où je sens de nouveau plusieurs violents jets de sperme me remplir la vulve. J’explose dans un sublime orgasme qui me coupe les jambes. Je suis obligé de m’agripper à Charlotte. Quand tout le monde est de nouveau d’aplomb, nous allons nous allonger sur les transats. Je regarde Charlotte, elle est grande, blonde, de beaux cheveux tombant en cascade sur ses épaules, un joli visage, de magnifiques seins pas trop gros, malheureusement pas tout à fait naturels, mais ça se comprend et une très belle bite qui se prélasse mollement entre ses cuisses. Je sais, pour les avoir caressé, que ses fesses sont douces et fermes.
–Dis-moi, Charlotte, comment en es-tu arrivé à cette transformation ?
Elisa intervient.
–Ce n’est pas la peine de lui parler, Charlotte est sourde et muette, nous communiquons en langage des signes, mais je n’en suis qu’au début et j’avoue que je patauge un peu dans la semoule. Mais elle aime par-dessus tout l’amour sous toutes ses formes, ça je l’ai très vite compris.–Tu la connais depuis longtemps ?–Huit ans, c’était encore un beau jeune homme prénommé Charles, mais il a quitté la région et est parti en Thaïlande pour se faire opérer. On ne se voit fréquemment que depuis six mois, quand il est revenu de Thaïlande. –Elle à quel âge ?–Vingt-cinq ans.–Et elle va aller jusqu’au bout, se faire opérer pour devenir une femme ?–Pas du tout, elle a commencé sa transformation il y a quatre ans, mais elle adore sa situation actuelle, mi-femme, mi-homme, elle peut profiter des deux sexes et ça lui plait. C’est pour ça qu’elle est rentrée, elle a décidé de ne pas aller jusqu’au bout.–En tout cas, elle n’a pas oublié comment faire jouir une femme avec sa bite.–Elle adore baiser des femmes, mais aussi des hommes. –Elle m’excite beaucoup, j’aime ce corps mi-homme mi-femme surtout que les deux parties sont très bien faites, elle est magnifique et elle a une superbe bite.–Je dois dire que c’est la même chose pour moi, j’aime qu’elle me baise, comme j’aime la faire jouir dans ma bouche. –Henri la connait ?–Bien sûr, ils se sont mutuellement sodomisé, ils s’entendent très bien. –Et qu’en pense-t-il ?–C’est la seule personne qu’il accepte que je reçoive sans lui, à part toi évidemment.–J’ai envie de lui faire une fellation, j’ai envie de boire un peu de sperme.–Je peux t’assurer qu’elle ne demande que ça.
Je me lève et vais vers elle. Elle me regarde arriver avec un superbe sourire. Je me penche, lui écarte les cuisses qu’elle ouvre au maximum en laissant tomber ses jambes de chaque côté du transat. Je viens me mettre à genou entre ses jambes. Elle comprend tout de suite ce que je veux faire, ça l’excite même un peu car je vois sa bite commencer à bouger. Je me saisis de sa bite que je gobe avec délice. Elle est encore molle, mais je la sens se redresser et durcir dans ma bouche. J’adore sentir une bite s’éveiller dans ma bouche. Je lui titille le gland, lui caresse les couilles. Son sexe devient de plus en plus dur, j’ai l’impression de sucer un bout de bois, mais enveloppé de peau bien humaine et bien souple. Je lui caresse les seins, lui pince doucement les tétons. Je la sens partir doucement vers le plaisir. Son corps ondule doucement, je continu ma fellation jusqu’à ce que je sente un puissant jet de sperme chaud m’envahir la bouche. Je l’avale avec plaisir tout en recevant encore deux ou trois autres jets de sperme que j’avale consciencieusement. Je remonte le long de son corps que j’embrasse au fur et à mesure de ma remontée. Je fini sur sa bouche dans un voluptueux baiser. Je suis couchée sur elle, elle me caresse les fesses, glisse un doigt entre mes lèvres humides, le lubrifie et vient le planter dans ma rondelle. Je réagis en donnant un petit coup de rein en arrière pour bien lui faire comprendre que je suis ouverte à toutes suggestions. Je sens son sexe dur sous mon ventre. N’y tenant plus, je me redresse, m’avance un peu jusqu’à ce que la bite de Charlotte soit au niveau de ma vulve. Je salive sur mes doigts et me badigeonne l’anus. Je me laisse descendre sur son sexe pour le lubrifier de ma cyprine qui coule à flot. Je me dégage, me repositionne sur mon anus et me laisse tomber violemment dessus. J’ai l’impression que mon cul explose, mais j’adore cette sensation. Charlotte me saisit par les hanches et me fait monter et descendre sur sa bite. Elisa est partie dans la maison et revient avec de la graisse anale. Sans nous interrompre, elle badigeonne le sexe da Charlotte ce qui facilite grandement mes mouvement en les rendant beaucoup plus agréables. Je pose ma main sur mon clitoris et je parts dans un nouvel orgasme. Je n’en peux plus, je me dégage de cette belle bite bien qu’elle n’ait pas joui, je suis trop fatiguée. Je me penche pour lui gober la bite, mais elle me fait signe de la main et se saisi elle-même de sa bite pour se masturber. Elle me regarde droit dans les yeux tout en se masturbant, comme si elle m’offrait sa jouissance future. Je me penche sur un sein que je gobe, Elisa s’occupe de l’autre. Je la sens se tendre, elle pousse de petits grognements à peine audibles, je réalise qu’elle va jouir et me précipite sur son sexe juste au moment ou un jet de sperme en sort. Je le gobe et englouti sa bite pour la boire jusqu’à la dernière goutte. Je me redresse, Charlotte nous interroge en montrant son poignet. Il est presque dix-sept heures, elle doit rentrer chez elle. Elle s’habille rapidement, non sans que je lui ai embrassé sa bite une dernière fois, nous embrasse et part dans sa voiture. Je reste seule avec ma sœur. Nous nous asseyons dans le salon, toujours nues, pour boire une boisson fraîche.
–Au fait, tu ne m’as pas dit pourquoi tu es venu me voir ?–Ce n’est pas une très bonne nouvelle.–A bon, de quoi s’agit-il ?–De Geneviève.–Mais encore ?–Elle est très malade, on lui a diagnostique une leucémie myéloïde aigue.–Oh merde.–Laurent m’a demandé si je voulais faire un test de compatibilité au cas où sa chimio ne fonctionnerait pas.–Pourquoi ?–Pour une greffe de moelle osseuse le cas échéant.–Ce n’est pas la peine, tu n’as aucunes chances d’être compatible.–Comment ça, je suis sa demi-sœur, j’ai quand même quelques chances d’être compatible.–Bon, je crois que c’est le moment de te dire quelque chose qui risque de ne pas te plaire, j’aurais préféré qu’Henri soit là, mais puisqu’il le faut je vais te dire la vérité.–Quelle vérité ?–Et bien en fait, ce n’est pas maman qui a accouché en Suisse, c’est moi.–Comment ça, maman n’était pas ma mère ?–Non, ta grand-mère, ta mère, c’est moi.
Le ciel me tombe sur la tête, je la regarde, elle me regarde droit dans les yeux.
–Je suis ta mère et Henri est ton père.
La totale, je me croyais orpheline et voilà que j’ai toujours un père et une mère, qui plus est, un père et une mère avec qui j’ai fait l’amour. Je me croyais incestueuse avec ma sœur, son mari et mes neveux, mais en fait, c’est avec mes propres parents, mon frère et mes sœurs. Il me faut un certain temps pour réaliser ce que vient de me dire ma sœur, ou plutôt ma mère. Elle me regarde inquiète, je vois qu’elle a peur de ma réaction. Je reste immobile un instant, prostrée, mais je réagis.
–Donne-moi un whisky sec s’il te plait.
Elisa se lève pour me servir mon whisky, tout tourne à une vitesse folle dans ma tête. Je suis prise dans un tourbillon de sentiments, mais aucuns de révolte, au contraire, je me sens soulagée, comme si cette nouvelle me libérait d’un poids. Elisa revient et pose sur la table deux verres et la bouteille de whisky. Je me lève, vais vers elle, l’enlace et pose mes lèvres sur les siennes dans un rapide baiser.
–Je t’aime maman.
Elle me regarde et fond en larmes. Je la serre contre moi, son corps est secoué de spasmes. Je la caresse tendrement, dans mon esprit, c’est toujours un corps que j’aime caresser, que ce soit celui de ma sœur ou celui de ma mère, j’aime ce corps. Maman fini par se calmer, nous nous asseyions sur le divan et commençons à siroter notre whisky. Maman me sourit, elle semble complètement sereine, elle vient de se libérer d’un énorme secret.
–Je n’ai jamais été malade des poumons, c’est un stratagème que maman a utilisé pour m’éloigner d’ici quand nous avons appris que j’étais enceinte afin que ma grossesse passe inaperçue. Il a été très facile de cacher la vérité à tout le monde à notre retour puisque personne n’était venu nous voir en Suisse.–Je comprends mieux maintenant ton comportement avec moi. Je dois dire que de temps en temps je trouvais que tu en faisais un peu trop.–Oui, mais tu étais ma fille, seul Paul, maman, Henri et le médecin qui a diagnostiqué ma grossesse étaient au courant, je devais faire attention, mais de temps en temps, je ne pouvais pas m’empêcher de te prendre dans mes bras pour te faire un câlin. En plus, je ne t’avais pas menti, c’est bien moi qui t’ai vu vivante la première.
Nous éclatons de rire.
–Et maintenant, que fait-on, on le dit à tout le monde, ou on garde le secret ?–De toute manière qu’on le dise ou pas, la vérité ne peut que se savoir car si on ne dit rien, tu devras faire les tests et là, la vérité éclatera. Je suis donc d’avis de le dire à tout le monde.–Je suis d’accord, je perds deux frères et deux sœurs, mais je gagne un frère, deux sœurs et surtout un père et une mère, je ne crois pas perdre au change.–Ok, on le dira au retour des enfants.–Ça fait tout drôle d’avoir une mère d’à peine treize ans de plus que toi, je vais avoir un peu de mal à m’y faire, mais j’aime.–Tu t’y feras, je t’aiderais.–En attendant, j’ai d’autres projets.
Je me lève, prend les mains de maman, la fais s’allonge sur le sofa. Elle me regarde et je vois qu’elle a compris ce que j’ai derrière la tête. Je me couche sur elle têtes bêches. Ses mains se posent sur mes fesses pour m’attirer contre sa bouche. Je m’empare de son clitoris. Je suis encore plus excitée de savoir que je lèche la vulve de ma propre mère et que c’est celle qui m’a donné la vie qui va me faire jouir en me faisant la même chose. Nous ne résistons pas longtemps, nous jouissons très rapidement et ensemble. Après ce dernier plaisir, je dois rentrer chez moi car il faut que je donne à manger à Léonard et à Tonnerre.
–Ne t’en fais pas, je vais téléphoner à Laurent pour lui annoncer la nouvelle situation. J’espère qu’il le prendra bien.–Moi, je m’occupe de Jacques, je dois le voir demain avec Julie.–Ok…/…
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