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Ma drole de famille

Chapitre 24

Zoophilie
Quand j’arrive à la maison, vers dix-neuf heures, Hector me fait la fête comme d’habitude, je suis un peu fatiguée, mais Alexandre ne rentrera pas avant deux jours et j’ai encore envie de jouir encore malgré ma fatigue. Je me penche un peu pour lui caresser la tête, pour lui, c’est le signal qu’il peut y aller. Nous avons réussi à le maîtriser, maintenant, il attend qu’on lui donne le signal avant de faire quoi que ce soit. Il glisse sa tête sous ma jupe et pose sa truffe sur ma vulve. Je l’écarte et vais m’assoir sur un fauteuil en écartant bien les jambes. Une seconde plus tard, sa langue me parcoure du périnée au clitoris. Je me laisse aller au plaisir, je ne bouge pas, j’attends que le plaisir monte en moi progressivement, que sa langue déclenche une tempête dans mon corps. N’y tenant plus, je l’interromps, défais ma jupe, l’enlève, fait passer mon corsage par-dessus ma tête et me retrouve nue, les fesses au bord du fauteuil, les jambes écartées, la vulve offerte à la langue de mon chien.
Il se jette à nouveau sur ma vulve et la lèche sans retenue. J’essaye de ne pas penser à ce qui se passe, je veux que mon plaisir monte le plus lentement possible, de lui-même, mais au bout de quelques minutes, mon clitoris réveille en moi la vague. Elle monte, envahi petit à petit l’ensemble de mon corps, remonte dans mon cerveau et explose en un gigantesque feu d’artifice. Hector comprend et monte sur le fauteuil, il donne de grands coups de reins, sa bite touche mon clitoris mais rate l’entrée de mon petit paradis, il est un peu haut, je m’en empare et la dirige vers mon nid d’amour. Il s’enfonce d’un seul coup de rein et me pistonne violement, je glisse ma main vers ma vulve, mouille mes doigts de ma cyprine et viens en badigeonner mes seins. Hector renifle ma poitrine et donne de grands coups de langues pour la nettoyer. Son sexe dans ma vulve, sa langue sur mes seins décuple mon plaisir. C’est la première fois qu’il me prend en missionnaire, je sens ses poils frotter mon clitoris à chaque coup de rein, j’adore. Quand je sens des jets de sperme frapper mon col, je ne peux m’empêcher de jouir une nouvelle fois. Je me laisse aller, mon cops tremble, ma respiration se saccade, mon ventre se durci, mon cerveau explose. Hector s’est calmé, il se vide consciencieusement en moi, sa boule m’a pénétrée, je la sens, énorme, à l’entrée de ma vulve. Quand il a fini, je pousse de toute mes forces et je me libère de son emprise. Il redescend non sans donner de grands coups de langue sur mes lèvres d’où déborde son propre sperme. La vague revient, elle gonfle et explose de nouveau. Je suis anéanti, je n’ai plus de force, mais Hector continu, je n’ai pas la force de le rejeter, je le laisse faire jusqu’à une énième jouissance. Je ne sais combien de fois j’ai joui, je me souviens seulement qu’en plus de ses coups de langue qui m’ont faite jouir plusieurs fois, Hector m’a prise deux fois de plus avec son sexe. C’est lui-même qui a décidé de s’arrêter en allant se coucher dans sa niche pour se nettoyer le sexe. Je n’ai eu la force de me lever pour entrer dans la maison qu’une demi-heure plus tard.
J’enfile ma jupe et mon corsage et je vais dans la partie gauche de la grange, dans le box de Tonnerre. Je vérifie qu’il à tout ce qu’il faut. Je remarque que sa bite sort de sa gaine et commence à pendre sous son ventre. Je sors du box, ce cheval m’impressionne par sa taille et sa vigueur. Je vais dans l’autre partie de la grange, dans le box de Léonard pour lui donner un peu de foin et vérifier le niveau de son eau. J’ai l’habitude, il commence à me connaitre et je rentre dans son box pour tout vérifier. Il me regarde, il doit émaner de moi une odeur de femelle en chaleur et comme il est entier, son sexe sort de son fourreau et s’allonge doucement. C’est la première fois que je vois son sexe sortir et pendre sous son ventre. Je suis fascinée, je savais que les ânes ont d’énormes sexes, mais là, ça dépasse toutes mes espérances, surtout qu’il n’est pas raide, mais pend encore sous son ventre. Je me mets à côté de lui et lui saisit son sexe. Je me penche et lui donne quelques coups de langue sur le bout de son membre. Il perle des gouttes de liquide que je goutte, ce n’est pas du tout mauvais, j’adore ce goût un peu âpre. Je sens cet énorme vit palpiter sous ma main, le dirige vers mon sexe et me frotte le clitoris avec. Je suis parcouru de frissons, mais le sexe se durci de plus en plus et devient raide comme un bout de bois sous son ventre. Léonard commence à s’énerver et donne de grands coups de rein, ce qui me déséquilibre un peu. Je prends peur car il s’excite rapidement et sors du box. Il a l’air de se calmer et vient vers moi. Son sexe est toujours raide, horizontal sous son ventre. Il sort la tête de son box, je lui caresse le front, il reste calme. Son sexe commence à redescendre, je ne peux résister, fais valser mon corsage et ma jupe et entre dans le box pour m’en saisir. Il reste calme, le liquide goutte toujours au bout de son sexe, je me penche pour le lécher et me régaler de cette source de vie. Je récupère la totalité du liquide qui coule de plus en plus au fur et à mesure que son sexe se raidi. J’appréhende sa réaction, mais, contrairement à tout à l’heure, il reste toujours aussi calme, il ne donne pas de coup de rein et se laisse lécher la bite. Je ne peux m’empêcher de me saisir de ce braquemard des deux mains et de le masturber doucement. Il réagit, mais sans brusquerie, je me glisse sous son ventre, fait descendre au maximum son sexe pour pouvoir le glisser entre mes jambes. Je serre les jambes sur cette barre de bois bien dure. Son gland touche mon clitoris, j’ai envie de le sentir en moi, mais je n’ose pas me retourner et me pencher en avant pour lui présenter ma vulve qui dégouline de cyprine. J’écarte au maximum mes jambes et fais glisser le bout de son sexe sur mes lèvres. Elles s’ouvrent pour laisser le passage, mais je ne suis pas dans une bonne position pour le recevoir en moi. Léonard reste toujours étrangement calme vu ce qui se passe. Il reste immobile, la queue raide, à l’horizontale, prête à saillir une femelle. J’aimerais bien être cette femelle, je regarde autour du box si quelque chose pouvait m’aider à prendre une bonne position pour me faire saillir par ce bel étalon. Je remarque un tabouret de cinquante centimètres de haut, je vais le chercher, Léonard m’a pas l’air d’apprécier que je sorte du box, mais il se calme quand je viens le rejoindre. Il vient vers moi, je lui caresse le front. Son sexe est un peu descendu, mais il reste toujours impressionnant et me donne encore plus envie. J’installe le tabouret sous le ventre de Léonard, juste au niveau du bout de son sexe. Je m’allonge sur le dos dessus, je sens son sexe entre mes jambes. Je m’en saisi et le dirige vers ma vulve. Je fais bouger son gland plat sur mes lèvres. Son sexe durcit de nouveau. Quand il est bien raide, à l’horizontal, je le présente devant ma vulve en écartant mes lèvres avec son gland. Je fais passer mes jambes de chaque côté de son ventre pour m’ouvrir au maximum, Léonard doit comprendre ce qui se passe, il donne un petit coup de rein, son gland écarte mes lèvres et me pénètre d’un seul coup d’au moins vingt-cinq centimètres. J’en ai le souffle coupé, j’ai l’impression d’étouffer, mais ce gigantesque vit qui me défonce la chatte me rend folle de plaisir. Léonard donne de plus en plus de coups de rein, de plus en plus profonds et violents. Je commence à paniquer quand, au bout de seulement quelques coups, je sens un énorme jet me remplir la vulve. Il éjacule dans ma chatte et son sperme déborde de mon sexe. Je veux le boire et réussi à me dégager pour me précipite sur son gland que je gobe de mon mieux. Il continu d’éjaculer dans ma bouche qui ne peut tout contenir et qui déborde. J’avale ce nectar de vie avec grand plaisir. Sa bite finit par ramollir rapidement et pendre sous son ventre avant de remonter dans sa gaine. Je suis là, nue devant cet âne qui ne me regarde même plus. Je sors du box et prends ma jupe et mon corsage qui traine par terre. Je retourne à la maison, mais j’avais oublié Hector qui vient poser sa truffe sur mon sexe et donner des coups de langue sur ma vulve et mes cuisses, il récupère le sperme de Léonard qui coule doucement de mon sexe. Je vois sa bite sortir de sa gaine, n’y tenant plus, je me mets à quatre pattes, mais je n’ai pas envie de sa bite dans ma chatte. Je salive un maximum sur mes doigts et badigeonne mon anus. Il me grimpe sur le dos et donne de grands coups de rein. Je m’empare de sa bite et la dirige vers ma rondelle qu’il transperce d’un seul coup de rein. Après l’énorme bite de Léonard dans ma vulve, j’apprécie encore mieux le beau sexe de mon chien dans mon cul. Il me défonce comme un fou, je pose ma main sur mon clitoris pour me caresser un peu. Hector ne résiste pas longtemps et me remplit de son sperme, il donne un dernier coup de rein pour me pénétrer de sa boule, que je sens s’enfoncer en moi. Mon sphincter se referme dessus, m’enchainant à Hector. Je suis sa chienne. C’est le moment que choisi Julie pour apparaitre un sac à la main. Elle s’immobilise au-dessus de ma tête. J’ai une superbe vue de ses jambes et de ses fesses. Elle est en tee-shirt à même la peau et petite jupe sous laquelle je devine un minuscule string blanc. Nous sommes, Hector et moi, cul à cul liés par une bite dans mon fion. Julie ne parait pas plus étonnée que ça.
–Bonjour ma tante, toujours aussi friande de sexe ?
Je suis atterrée, morte de honte, je ne sais quoi répondre. Julie se penche sur moi pour poser ses lèvres sur ma bouche et se redresse.
–Bon, je me mets en tenue, il fait trop chaud pour rester habillé.
Elle pose son sac par terre, défait la ceinture de sa jupe qui tombe à terre, fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête et glisser son string le long de ses jambes. Elle est nue devant moi, toujours aussi magnifique. Elle se glisse sous moi, m’attrape les fesses et pose sa bouche sur mon clitoris qu’elle titille avec sa langue. Cette langue sur mon clitoris, cette bite de chien dans mon cul, il n’en faut pas plus pour que je jouisse une nouvelle fois. Cela déclenche une réaction d’Hector qui se libère et vient me lécher l’anus. Je me penche sur l’entre jambe de Julie et commence une magnifique minette qui la fait jouir en une minute. Hector a fini de me nettoyer, il tourne autour de nous et finit par poser sa truffe sur la vulve de Julie.
–Oui mon chien, vas-y, fait moi jouir.
Hector lui lèche le sexe du périnée au clitoris, comme elle est passablement excitée, Julie ne met pas longtemps à jouir sous sa langue. Nous nous levons pour aller nous assoir sur des transats. Hector est parti se lécher la bite sous un arbre.
–Que me vaut le plaisir de ta présence ?–Je me suis un peu fritté avec papa et je viens passer la nuit ici si tu n’y vois pas d’inconvénients.–Aucuns problèmes, comme ça, je ne serais pas seule dans mon lit.–Tu veux qu’on dorme dans le même lit ?–Oui, ça te gène ?–Pas du tout, mais je pense que la nuit va être agitée.–Oui, mais pas comme tu l’imagine.

Je me lève, vais vers Hector qui se lèche toujours consciencieusement. Sa bite est rentrée dans son fourreau. Je lui caresse la tête, ce qu’il a l’air d’apprécier. Julie me rejoint, elle se met à quatre pattes et marche vers lui. Hector est aux aguets, il regarde Julie venir vers lui. Quand elle est à sa hauteur, elle se penche sur son fourreau et le gobe avec sa bouche. D’une main, elle dégage un peu sa bite et l’aspire avec ses lèvres. Petit à petit la bite d’Hector sort de son fourreau et grossi dans la bouche de Julie. Elle continu sa fellation, je me positionne derrière elle, à quatre pattes, pour m’occuper de son sexe et de son cul.
–Oui, prépare moi l’anus, j’ai envie de faire comme toi, je veux me faire défoncer la pastille par la bite d’Hector.
Au bout d’un petit moment, Julie libère Hector qui se lève et vient me renifler le cul.
–Non mon chien, ce n’est pas celui-là.
Je me déplace un peu et guide Hector vers la rondelle de Julie que j’ai préalablement enduit de salive et de sa propre cyprine. Hector n’hésite pas, il monte sur le dos de Julie et donne un grand coup de rein. A ma grande surprise, il la pénètre d’un seul coup.
–Putain que c’est bon.
Hector se déchaine dans son fion, je me glisse sous elle pour lui titiller le clitoris, mais surtout pour profiter de cette bite de chien défonçant la rondelle de Julie. C’est un spectacle de premier choix. Hector se déchaine, je vois qu’il commence à jouir en elle. Il donne un dernier grand coup de rein et lui enfonce sa boule entièrement dans le fion.
–Oui, sa boule me défonce le cul, oui, oui, oui.
Julie jouit assez vite sous l’effet de la bite d’Hector et de ma langue. Hector s’est immobilisé, il a introduit sa boule et se vide en elle, je vois son sperme déborder de son fion et dégouliner le long de ses cuisses. Quand il arrive à ma hauteur, je la nettoie de ma langue. Hector finit par se libérer dans un bruit de succion, mais se faisant, il m’éclabousse de son sperme. Je me redresse pour lui gober la bite et la nettoyer. Il se laisse faire un petit instant, mais je le libère vite pour aller m’occuper du fion de Julie qui dégouline de sperme. Julie reste à quatre pattes, elle se laisse lécher. Je me régale de cette crème de vie douce et onctueuse. Quand son cul est nickel-chrome, je me redresse, je commence à être passablement fatiguée, seule l’envie de jouir me maintient éveillée. Je suis dans une phase ou je suis constamment en manque, je veux jouir et jouit encore. Julie se redresse et vient vers moi.
–C’est le pied de se faire défoncer le cul par une bite de chien.–Oui, mais tu ne sais pas ce que c’est que de se faire défoncer la chatte par une bite d’âne.–Une bite d’âne, tu t’es faite défoncer par Léonard ?–Oui, et c’était divin.–Putain, j’aimerais bien essayer moi aussi.–Tout de suite ?–Si c’est possible, je suis comme une folle en ce moment.–Ok, allons voir s’il peut remettre ça.
Nous allons vers le box de Léonard, en laissant nos fringues dans le parc avec Hector qui se lèche la bite consciencieusement. Quand nous arrivons près du box, Léonard sort sa tête. Je le caresse et nous entrons dans le box. Julie va vers lui. Comme tout à l’heure, nos odeurs le font réagir, sa bite sort lentement de son fourreau et pend sous son ventre. Julie la regarde fascinée. Elle tend la main pour s’en saisir. Elle le masturbe lentement. Léonard reste calme, mais je vois qu’il n’attend que le moment où il va pouvoir saillir l’une d’entre nous. Je vais chercher le tabouret et le positionne sous le ventre de Léonard. Julie s’allonge sur le dos, écarte les jambes pour les passer de chaque côté du ventre de Léonard. Je m’empare de son sexe qui est maintenant très dur et bien rigide, et le présente sur la vulve de Julie. Comme tout à l’heure, Léonard comprend et donne un grand coup de rein. Je vois son sexe s’enfoncer d’un seul coup entre les lèvres distendues de Julie.
–Oh putain que c’est bon une grosse bite.
Léonard donne quelques coups de rein et se vide rapidement dans l’antre de Julie.
–Putain, il me remplit, ça déborde.
Léonard se retire, je me précipite sur la vulve de Julie pour boire l’élixir de vie que lui a donné Léonard. J’arrive à peine à tout prendre dans ma bouche.
–S’il te plait, donnes m’en un peu.
Je remonte le long du corps de Julie et pose mes lèvres sur les siennes. Le sperme que j’avais dans la bouche coule dans la sienne. Nous avalons ce que nous pouvons. Je retourne à la source qui coule toujours, rempli ma bouche et vais en déposer la moitié dans celle de Julie qui apprécie beaucoup. Je recommence plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle jouisse sous l’effet de ma langue. Léonard est dans un coin, sa bite bien protégée dans son fourreau, mais je ne compte pas en rester là. Après ma chatte par mon âne, mon cul par mon chien, pourquoi pas mon cul par mon âne ? je sais que je peux le faire, d’une part, il est bien assoupli par ce qu’il vient de subir et d’autre part, j’ai l’habitude de me sodomiser avec des godes de plus de neuf centimètres de diamètre, ce que ne fait pas tout à fait Léonard. Je suis sûre d’y arriver. Je me dirige vers lui. De nouveau il réagit à ma présence. Son sexe sort doucement de sa gaine. Julie vient me rejoindre.
–Tu compte baiser de nouveau avec lui ?–Non, me faire enculer.–Enculer ?–Oui, je suis capable de me prendre un tel engin dans le fion, d’autant qu’Hector m’a bien préparé. Attends-moi, je reviens tout de suite.
Je me précipite dans la maison pour prendre ce qu’il faut pour une grosse sodomie. La bite d’Hector est belle, mais rien à voir avec le braquemard que je m’apprête à me mettre dans le cul. Quand j’arrive dans le box, Julie est accroupie à côté de Léonard et lui fait une pipe du bout des lèvres.
–Je te l’ais entretenu.–Merci.
Léonard est à côté du tabouret, il bande grave. Je me lubrifie au maximum l’anus avec ma graisse, je fais déborder sur les fesses. Je me mets à plat ventre sur le tabouret. Julie amène Léonard juste au-dessus de moi, je sens son gland plat contre mes fesses. Julie s’en empare et le dirige vers ma rondelle. J’écarte les fesses au maximum avec mes mains. Son gland se colle à ma pastille. Je lâche mes fesses qui lui enserrent la bite. Je suis prête, je n’attends plus que le moment où il va donner un grand coup de rein et m’ouvrir le fion. Léonard n’a apparemment pas bien compris ce qu’on attend de lui, il ne bouge pas. Julie lui enserre la bite et le masturbe, c’est ce qu’il fallait faire car il donne un grand coup de rein et me défonce la rondelle. Je ressens comme un énorme coup de poignard dans l’anus, mais je m’y attendais et je pense même que je l’espérais pour mieux ressentir le bien être qui suit.
–Putain, il t’en a mis une bonne soixantaine de centimètres, il en reste presque autant, il va t’ouvrir le ventre.
Léonard me pistonne, il s’enfonce de plus en plus en moi, je sens mon sphincter se détendre, s’ouvrir pour laisser le plaisir monter. Je suis sur le point de jouir quand Léonard se vide en moi, me remplissant le conduit anal de son sperme. J’explose dans un gigantesque feu d’artifice. Léonard se retire assez vite, mais sa bite est immédiatement remplacée par la bouche de Julie qui vient boire à cette source de nectar de vie. Comme tout à l’heure, elle se rempli la bouche pour venir m’en faire partager la moitié. Ce coup-ci, Léonard a l’air de demander grâce, il va dans un coin du box. Quand Julie a fini de me nettoyer, elle m’aide à me redresser.
–Allez, on rentre.–J’aimerais bien pouvoir faire comme toi, pouvoir me faire sodomiser par n’importe quelle bite, même les plus grosses. Moi, le calibre de Michel, c’est bien le maximum.–Ne t’en fais pas, ce n’est qu’une question d’entrainement, et ton cul n’oublie pas, même si tu ne pratique pas pendant quelque temps, ça revient très vite.
J’entends un bruit de foin foulé, je regarde Léonard qui mange un peu. Nous quittons le box, rangeons le tabouret, j’ajoute un peu d’eau à Léonard et nous retournons à la maison. Nous récupérons nos affaires dans le parc et allons, toujours nues, vers la maison. Là, mon sang se glace, Jacques est là, assis dans un fauteuil, un whisky à la main.…/…
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