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Ma drole de famille

Chapitre 26

Zoophilie
Je me réveille le matin de très bonne heure, les deux filles dorment enlacées, Julie légèrement sur Charlotte. Je vais acheter du pain et des croissants pour préparer le petit déjeuner. Quand je rentre, elles dorment toujours, mais Julie a bougé et n’est plus sur Charlotte. Celle-ci est sur le dos, complètement découverte tellement il fait chaud. Comme tous les hommes le matin, elle bande très fort, je suis obnubilée par ce sexe en érection qui me nargue. Je retourne à la cuisine pour surveiller le café, mais je ne peux m’empêcher de retourner dans la chambre pour regarder ce très beau sexe bien raide. Je ne résiste pas et me penche pour l’emboucher. Je me redresse, me déshabille et viens à califourchon sur elle. Je guide son sexe vers mes lèvres et me laisse descendre pour m’empaler sur ce vit vigoureux. Charlotte ne réagit pas, ce qui m’étonne beaucoup, je la soupçonne de faire semblant de dormir. Je m’active sur sa bite jusqu’à ce qu’elle bouge et pose ses mains sur mes hanches pour me guider. Elle ne tarde pas à jouir, je sens des jets de sperme m’arroser le col, je la suis immédiatement. Je me couche sur elle, nos bouches se soudent dans un long baiser juste interrompu par Julie qui se joint à nous. Nous nous levons pour aller déjeuner. Après avoir déjeuner, nous allons prendre une douche, ce qui est prétexte à des jeux érotiques, Julie a entre autres fait une fellation à Charlotte avec qui elle a partagé son sperme. Nous faisons toutes les trois une toilette intime de nos orifices de manière à être prêtes à toutes éventualité.
–Tu sais, j’ai parlé à Charlotte de Léonard et de Tonnerre, elle m’a parue très intéressée, surtout par Tonnerre.–Tu sais, je n’ai jamais rien fait avec Tonnerre, c’est un jeune étalon entier, il est nerveux et je me méfie de ses réactions.–D’après ce que j’ai compris, c’est une cavalière émérite, elle est galop 5. Je ne sais pas ce que ça signifie exactement, mais je pense qu’elle doit savoir maîtriser un cheval.–Pour l’instant, nous nous contenterons d’un âne, de toute manière, je ne peux rien faire avec Tonnerre sans en parler à Alexandre. Il m’appelle vers huit heures trente, dans un petit quart d’heure au plus tard.
–Ok, tu lui demande.–Je ne sais pas, j’aimerais qu’il soit là pour la première fois.
Charlotte est assise sur le divan, elle est nue comme nous toutes. Je suis fascinée par cette personne d’un genre indéfinissable. J’aime son corps de femme, sa superbe poitrine, ses fesses fermes et hautes et son sexe d’homme vigoureux. J’ai envie d’approfondir cette relation, tout comme Julie. Je suis dans mes pensées quand le téléphone sonne, c’est Alexandre.
–Allo.–Bonjour chérie, tu as passé une bonne nuit ?–Oui, j’ai dormi d’une seule traite, j’étais crevée.–je présume que tu as abusé de ton corps hier.–Oui, et de différentes façons.
Je lui raconte ma journée, les révélations de ma mère, Charlotte, Hector, Julie, Léonard.
–Et bien, tu ne t’es pas ennuyée.–Pas une seconde, mais j’aimerais faire tout ça avec toi.–Quand tu as acheté cet âne plutôt qu’un autre cheval, je me doutais bien que tu avais une autre idée derrière la tête. De toute manière, il va falloir que moi aussi je vois ce qu’il donne.–Je te le prête quand tu veux.–Et Tonnerre ne t’inspire pas ?
–Si, mais je ne suis encore pas très à l’aise avec lui.–Il suffit de les connaitre un peu, les chevaux sont comme les hommes, ils ont besoin d’avoir confiance.–Charlotte est une cavalière émérite, elle connait bien les chevaux.–Tu crois qu’elle est intéressée par lui ?–Absolument.–Et bien tu n’as qu’à voir ce que ça donne avec elle, mais tu arrêtes tout dès que tu sens le moindre problème.–Ok, je vais voir avec elle.–A demain chérie.–A demain, je t’aime.–Je t’aime.
Je retourne au salon ou Julie et Charlotte discutent en faisant de grands gestes. Je dis à Julie qu’Alexandre est d’accord pour que nous essayons de faire quelque chose avec tonnerre, mais seulement à la condition que le cheval soit calme. Je prends une feuille de papier et écris tout ce que je viens de dire à Julie. Charlotte le lit est son visage s’éclaire, elle trépigne de joie. Je vois qu’elle est impatiente d’y aller, il fait déjà presque trente degrés à neuf heures du matin, la journée s’annonce brulante dans tous les sens du terme. Je prends la graisse anale et j’emmène tout le monde dans le box de Léonard. Charlotte entre la première dans le box, elle enlace Léonard par le cou pour lui faire un câlin. Il se laisse faire, mais je vois que le sexe de Charlotte commence à se redresser.
–Un rien la fait bander.–Comme tu dis, elle est très tactile.
Léonard bouge un peu, Charlotte se penche et lui prend la gaine de son sexe dans une main. Je vois son gland apparaitre et sa verge sortir doucement. Charlotte s’en saisi et le masturbe lentement. Léonard commence à bouger un peu plus nerveusement. Son sexe est maintenant complètement sorti et il se redresse violemment pour retomber aussitôt. Charlotte s’agenouille et lui lèche la bite d’où sortent des gouttes de liquide qu’elle nettoie avec sa langue. Je vais chercher le tabouret et le positionne sous le ventre de léonard. Julie prend de la graisse sur ses doigts et en badigeonne l’anus et le sillon de Charlotte. Elle se retourne et lui sourit puis va s’allonger sur le ventre sur le tabouret. Léonard est nerveux, sa bite n’arrête pas de monter et descendre, il veut sa femelle. Je réussi à lui prendre la bite pour la diriger vers le fion de Charlotte. Elle écarte ses fesses pour que j’amène son gland juste au niveau de sa rondelle. Cette fois-ci Léonard comprend tout de suite et donne un grand coup de rein. Sa verge s’enfonce violemment dans les entrailles de charlotte qui pousse un énorme grondement. Il donne de grands coups de rein, de plus en plus profonds, mais très vite il se retire, il a rempli le fion de Charlotte de son sperme. Il coule le long de ses cuisses. Julie se précipite pour le récupérer, elle vient en donner à Charlotte pendant que je la remplace pour récupérer le reste du sperme. Charlotte ne bouge pas, elle reste allongée sur le tabouret comme si elle attendait autre chose. Léonard recommence à avoir des signes de nervosité. Sa bite monte et descend en fouettant l’air. Je réussi de nouveau à le diriger vers Charlotte qui se fait de nouveau défoncer la rondelle par l’énorme bite de Léonard. Encore une fois, ça ne dure pas très longtemps, mais elle est toujours aussi remplie de sperme. Cette fois-ci c’est moi qui arrive la première, son sphincter met plus de temps à se refermer, je glisse ma langue dans l’ouverture pour lui lécher l’intérieur. Ma langue pénètre d’au moins trois ou quatre centimètre à l’intérieur de son anus. Je lui lèche la rondelle, je vois aux ondulations de son bas ventre que ça lui plait. Prise d’une soudaine envie, je présente ma main en pointe et m’enfonce jusqu’au poignet sans rencontrer la moindre résistance. Je ne bouge pas pour sentir le sphincter se refermer sur moi. Doucement sa rondelle se referme et m’emprisonne la main. Je fais bouger mes doigts à l’intérieur, ce qui la rend folle de plaisir. Julie se positionne sous elle, gobe sa bite juste au moment où elle jouit. Elle avale tout, cette fois-ci, elle ne partage pas. Léonard reste dans son coin, nous attendons que Charlotte émerge de la torpeur dans laquelle elle est tombée. Elle finit par se redresser et vient vers moi, tout sourire, pour m’enlacer et m’embrasser. Il est évident qu’elle a beaucoup aimé.
Je m’enduis la rondelle de graisse et vais me mettre sur le tabouret, mais sur le dos. Je veux que Léonard me sodomise dans la position du légionnaire. Il bande toujours, sa queue monte et descend sans arrêt. Julie l’amène vers moi, j’ai tout juste le temps de lui enserrer les côtés avec mes jambes que je sens une douleur fulgurante m’exploser la rondelle. C’est Léonard qui m’a planté son sexe dans l’anus et le sphincter n’a pas eu le temps de réagir, mais la douleur disparait aussi vite. Il me défonce la pastille quelques secondes avant de se vider en de longs jets de sperme dans mes entrailles. Je sens que je déborde de partout, sa queue me libère et une bouche vient récupérer le sperme qui coule à flot. Je sens des doigts se glisser dans ma rondelle ouverte. C’est Charlotte qui me rend ma gâterie. Sa main s’enfonce jusqu’à mi avant-bras. Sa bouche se pose sur mon clitoris pendant que sa main m’explore les entrailles. Elle écarte les doigts, me chatouille la parois anale, ferme son poing jusqu’à ce que mon sphincter se referme complètement sur son bras. Elle se retire doucement tout en me titillant le clitoris, ce qui me fait exploser de plaisir. Je plaque sa tête sur mon sexe pour mieux apprécier le moment. Je me calme lentement, me lève, récupère le tabouret et nous sortons toutes du box de Léonard.
Nous nous dirigeons vers le box de Tonnerre. Quand nous arrivons, il sort sa tête du box pour voir ce qui se passe. Charlotte lui caresse la tête, il se laisse faire docilement. Elle entre dans le box et lui donne de petites tapes sur le flan. Tonnerre reste impassible, il a l’air d’apprécier. Nous rentrons avec Julie et le caressons. Il ne bouge toujours pas. Charlotte se penche sous lui et pose sa main sur la gaine de son sexe. Ce spectacle me fait mouiller, tout comme Julie qui se caresse la vulve. Je vois que Charlotte commence à bander. Je viens vers elle et me saisit de sa verge pour la masturber. Elle bande fort tout de suite. Elle me fait me retourner, me plaque face contre la paroi du box et me plante sa verge d’un grand coup de rein dans la vulve. Elle me pistonne violemment, je ruissèle de cyprine. Julie se masturbe devant Tonnerre. Il se dégage une atmosphère de sexe. Les narines de Tonnerre bougent, il humecte l’odeur de cyprine qui règne dans le box. C’est une odeur de femelle en chaleur. Quand Charlotte voit qu’il commence à réagir, elle me laisse et va s’occuper de sa verge qui commence à sortir de son fourreau. Elle la prend à pleine main et le masturbe un peu. Elle le laisse et vient devant lui pour lui caresser la tête. Il apprécie en baissant la tête. Charlotte ma fait signe d’aller m’occuper de sa verge. Elle pend sous son ventre, mais je suis complètement hypnotisée par ce membre énorme, il est bien plus gros que celui de Léonard et j’ai envie de le recevoir devant comme derrière, je suis sûre que j’en suis capable. Julie me regarde.
–Moi, je crois que je vais arrêter là, ce calibre me semble bien au-dessus de mes capacités.–Comme tu veux ma chérie, mais tu restes au cas où on aurait besoin de toi.–Bien sûr que je reste.
Je m’occupe toujours de sexe de Tonnerre, Charlotte lui caresse toujours la tête, je sens toutefois qu’il devient un peu nerveux. Son sexe m’échappe et bat l’air de haut en bas. Je fais glisser le tabouret sous son ventre et m’installe dessus, sur le dos. J’écarte les jambes au maximum, j’ai du mal à enserrer son flan. Julie réussi à maitriser sa bite et la dirige vers ma vulve pendant que Charlotte le fait avancer. D’un seul coup, vingt-cinq centimètres de bite monstrueuse me défonce la chatte. Aucunes douleurs, aucunes gênes, elle glisse comme dans un fourreau bien lubrifié. Il donne de grands coups de rein, très rapidement, mais comme Léonard, ça ne dure pas longtemps et je sens un énorme jet me remplir le vagin. Je sens le trop plein de sperme dégouliner sur mes fesses. Sa queue m’abandonne, je sens un énorme vide dans mon sexe, vide que s’empresse de combler Julie en m’enfonçant sa main poing fermé jusqu’à mi avant-bras. Elle me pistonne vigoureusement, au même rythme que Tonnerre toujours le poing fermé. Je n’ai jamais ressenti une telle chose, je me laisse défoncer par ce poing qui s’enfonce jusqu’au col. Elle s’immobilise une fois enfoncée, déplie ses doigts et me caresse le col de l’utérus. On ne m’a jamais fait ça, et je pars dans un orgasme géant. Je ne sais ce que ressent Tonnerre, mais sa queue se redresse et fouette une nouvelle fois l’air. Julie me libère, s’empare de sa bite et la présente devant mon sexe. Elle s’enfonce une nouvelle fois, mais cette fois-ci, elle va un peu trop loin et cogne violemment sur mon utérus. Charlotte le fait un peu reculer et tout redevient normal, comme tout à l’heure, son monstrueux sexe coulisse sans librement dans mon sexe. Il jouit au bout de six ou sept coups de bite et me libère très vite. Cette fois c’est Charlotte qui vient boire le sperme qui déborde. Elle me lèche jusqu’à ce que mon sexe se soit bien refermé, elle s’attaque à mon clitoris et je repars dans un nouvel orgasme.
Je me lève pour laisser la place à Charlotte, je lui enduis l’anus et la raie de graisse. J’enfonce trois doigts dans son fion pour graisser au maximum l’intérieur. Elle s’installe sur le dos comme moi, Julie caresse la tête de Tonnerre, il reste très calme. Je me saisis de sa bite qui pend et essaye de la masturber, mais ma main est trop petite. Néanmoins, ça lui fait de l’effet car sa bite se redresse et commence à battre l’air. Je la dirige vers le fion de Charlotte, elle me fait un signe pour que je plaque contre son anus. Le gland plat de Tonnerre a à peine toucher la rondelle de Charlotte qu’il donne un grand coup de rein et s’enfonce d’au moins trente centimètres dans ses entrailles. Charlotte ouvre la bouche comme si elle manquait d’air, mais son visage se détend très vite. Contrairement à l’habitude, Tonnerre résiste plus longtemps, et il ne se vide qu’au bout d’une bonne douzaine de coup de buttoir. Je vois Charlotte partir dans un délire sexuel, sa tête va de gauche à droite, ses yeux sont fermés et son visage respire la joie. La joie d’avoir un énorme sexe de cheval dans le cul, et je suis impatiente qu’elle me laisse sa place. Quand Tonnerre la libère, Julie va récupérer le sperme qui coule de sa rondelle encore grande ouverte, Charlotte lui fait comprendre qu’elle désire que Julie la sodomise avec ses deux mains jointes. Julie se présente devant son fion en joignant ses mains comme pour faire une prière. Elle s’enfonce doucement dans son anus. Elle ne rencontre pas de résistance jusqu’au paumes, là, le sphincter résiste. Charlotte lui fait signe d’insister, je rajoute un peu de graisse, Julie force plus et s’enfonce d’un seul coup jusqu’aux poignets. Le sphincter se referme sur ses poignets. Charlotte ferme les yeux, son sexe est raide, Julie me penche sur lui et le gobe. Elle bouge un peu ses mains pendant qu’elle lui fait une fellation d’enfer. Charlotte pose ses mains sur sa tête, elle se raidi et pousse un grondement de plaisir, elle se vide dans la bouche de Julie qui avale tout. Quand Julie juge qu’elle est assez calmée, elle retire ses mains une à une. Je remarque que son fion est grand ouvert. Je vois sa rondelle se fermer doucement, Julie lui lèche pour boire tout ce qui en sort. Charlotte se lève, elle vient vers moi pour me remercier en m’enlaçant. Je vois que Tonnerre est resté au-dessus du tabouret, sa bite pend sous son ventre, mais elle est toujours aussi longue, de temps en temps elle se redresse violemment, il est toujours partant pour une autre saillie. Charlotte me badigeonne l’anus et la raie, m’enfonce trois doigts dans le fion pour le lubrifier à l’intérieur. Je m’installe sur le dos, Julie fait avancer Tonnerre et Charlotte s’occupe de son vit. J’ai juste le temps de sentir son gland contre ma rondelle qu’il s’enfonce d’un seul coup sur trente centimètres. Je n’ai jamais eu un tel morceau de chair dans le fion, mais je ne ressens aucunes douleurs particulières, ça glisse librement. Il résiste un peu plus que tout à l’heure, j’ai compté treize coups de bite avant qu’il ne me remplisse le fondement. Sa bite me libère et c’est Charlotte qui vient entre mes jambes. Elle présente ses deux mains à l’entrée de mon anus et pousse fort. A ma grande surprise, elle réussit à s’enfoncer jusqu’au-delà de ses poignets sans que je ressente la moindre gêne. Ses mains bougent dans mon conduit anal, sa bouche se pose sur mon clitoris, sa langue me le titille et je pars de nouveau dans un sublime orgasme. Je sens les mains de Charlotte sortir et sa bouche me lécher la rondelle, je dois être ouverte comme jamais. Mon sphincter met un certain temps pour se refermer. Il est presque treize heures, nous sommes toutes un peu fatiguées et nous rentrons à la maison.
Heureusement que l’ensemble des bâtiments est clos, car c’est un sacré spectacle que ces trois superbes femmes, dont une avec une bite, à poil traversant la cour. Quand nous arrivons dans le parc, Hector se précipite sur nous, il est comme un fou, il doit sentir l’odeur de notre cyprine, mais aussi celle du sperme de Léonard et de Tonnerre, sans parler de celui de Charlotte. Il vient derrière elle et lui lèche la raie des fesses, elle les écarte avec ses mains pour lui faciliter le travail. Mais cela excite Hector, sa bite sort de son fourreau et Charlotte le vois bien, elle se met à quatre pattes, Hector lui monte dessus en l’empale à sec d’un seul coup de rein. Cela n’a pas l’air de gêner Charlotte qui pousse des grognements de plaisir pendant qu’Hector la sodomise violemment. Je me jette sous elle et lui gobe la bite, quelques secondes plus tard, une bouche prend possession de mon clitoris. Charlotte pousse un grondement plus fort que les autre juste au moment où elle m’inonde la bouche avec de grands jets de sperme. Je suis au bord de l’extase, et un dernier coup de langue de Julie me fait une nouvelle fois jouir. Il nous faut cinq bonnes minutes pour récupérer, mais quand je me lève, je constate que Julie a déplacé Hector pour se faire baiser. Elle jouit au bout de cinq minutes, Hector est toujours verrouillé en elle, mais elle réussit à se dégager. Tout le monde se lève et nous rentrons à la maison pour manger. Après le repas, nous allons toutes les trois nous coucher dans mon lit. Nous nous endormons en peu de temps, repues de plaisir.…/…
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