Je me réveille de la sieste vers dix-huit heures seule dans le lit. Je me lève, vais prendre une douche et me dirige vers le salon. Là, Julie est à cheval sur la bite de Charlotte, elle monte et descend sur ce beau braquemard. Mon arrivée ne les dérange pas, elles continu jusqu’à ce qu’elles expriment leur jouissance simultanée. Julie se dégage et vient poser sa vulve sur la bouche de Charlotte qui aspire son sperme pour le boire. –Elle adore son sperme, elle veut toujours le boire, c’est pour ça qu’elle n’apprécie pas beaucoup quand on lui fait une fellation, sauf avec moi qui partage de temps en temps.–Il est seize heures les filles, trop tard pour aller faire des courses, je vous propose un peu de farniente dans le parc.–Hector est là ?–Bien sûr. Julie traduit tout à Charlotte qui parait moyennement intéressée, elle signe une phrase à Julie. –Elle aime bien Hector, mais elle préfère Léonard et Tonnerre, il est possible qu’on y retourne ?–Non, pas pour aujourd’hui, il faut quand même les laisser se reposer un peu, je ne sais pas comment un âne et un cheval gère ce genre de situation.–Ok, je lui explique.–Dis-lui qu’on aura d’autres occasions de se voir et de profiter de leurs belles bites. Julie traduit à Charlotte qui acquiesce un peu déçue. Nous sortons dans le parc, Hector se précipite, il sent qu’il va être à la fête. Je fais un détour par ma chambre pour prendre un pot de graisse. Quand j’arrive dans le parc, Julie est déjà à quatre pattes, elle fait une fellation à Charlotte, qui s’est agenouillée, et a Hector sur son dos qui la baise avec ardeur. Je me mets à quatre pattes à côté de Julie, Charlotte quitte la bouche de Julie. Je me déplace et vient me mettre en face de Julie pour poser mes lèvres sur les siennes. Charlotte se déplace et vient m’empaler la vulve de son magnifique sexe. Elle me saisit par les hanches et me besogne au même rythme qu’Hector. Je sens la bite de Charlotte me perforer la chatte pendant que nous échangeons un long baiser avec Julie. Quand je sens un puissant jet de sperme m’éclabousser le col, je ne résiste pas longtemps et parts dans un sublime orgasme imité par Julie qui se fait remplir de sperme par Hector. Je m’écarte de Julie pour m’allonger sur le sol, accompagnée de Charlotte qui se maintient toujours en moi. Elle me couvre de baisers sur le dos pendant que son sexe se ramolli et finit par me quitter. Elle me met sur le dos et se précipite sur mon sexe pour récupérer la totalité de son sperme. Une fois qu’elle m’a bien nettoyé, elle vient s’allonger sur moi. Nous sommes rejoints par Julie qui se blotti elle aussi contre moi. Hector tourne autour de nous, manifestement il en redemande. Après s’être enduite de graisse, Charlotte se met à quatre pattes. Hector se précipite sur elle et lui plante son dard d’un seul coup bien au fond. Je me glisse sous son ventre pour voir ce sexe animal perforer la rondelle de mon amie et lui donner du plaisir. Julie s’occupe de mon minou et de mon cul avec sa langue et ses doigts. Quand je sens que Charlotte est sur le point de jouir, je l’embouche et reçois tout son jus dans la bouche juste au moment où je pars moi-même dans un délire jouissif. Je n’avale pas pour aller l’embrasser et lui rendre ce nectar qu’elle aime tant. Après ces petits plaisirs, la chaleur devenant insupportable, nous allons nous amuser dans la piscine. Cela dure une petite heure, mais Charlotte et Julie ont encore envie de profiter d’Hector, elle ne le voit pas tous les jours comme moi. Nous sortons donc de la piscine pour aller le rejoindre. Il comprend tout de suite et se précipite vers nous, il tourne surtout autour de Charlotte, il ne cesse de lui renifler le fion. Je vois sa bite commencer à sortir de sa gaine, il fait mine de sauter sur elle. Elle lui caresse la tête et va vers les arbres. Elle s’allonge sur un transat les fesses au bord en écartant au maximum les jambes. Hector lui grimpe dessus, Charlotte enserre les flancs du chien avec ses jambes, offrant sa rondelle au bon vouloir d’Hector. Il donne de grands coups de rein et fini par trouver l’ouverture. C’est à ce moment que je remarque que Charlotte se fait sodomiser à sec, elle n’a pas mis de graisse. Je la vois faire une petite grimace lors de la pénétration, mais son visage s’éclaire assez vite quand le sexe d’Hector commence à glisser plus facilement dans son conduit. Il donne de grands coups de rein en tirant la langue. Charlotte se redresse un peu et vient lui lécher la langue. Il répond à son geste, ils s’embrassent !!!! Hector fini par se vider en elle, mais il ne lui introduit pas sa boule, la position doit l’en empêcher. Il descend du transat et vient lécher l’anus de Charlotte qui est restée les jambes en l’air bien écartées. Je vois qu’elle ne reste pas indifférente à la langue d’Hector et vais lui gober la bite. Quelques secondes plus tard, elle se vide dans ma bouche. Je libère sa bite pour aller l’embrasser et lui rendre ce qui lui appartient. Nous passons la fin d’après-midi en compagnie d’Hector qui s’en donne à cœur joie en nous faisant jouir chacune notre tour, mais il s’est très vite lassé et est allé se coucher dans sa niche. Monsieur devient difficile ! Nous rentrons dans la maison et après un rapide repas, nous finissons la soirée à discuter et nous couchons très vite, la fatigue nous terrasse. Le lendemain matin, je suis réveillée par une sensation d’humidité sur le pubis, c’est Julie qui m’a écarté les jambes doucement, sans me réveiller et qui me fait une minette. Je me laisse aller au plaisir qui monte. Julie est à genou entre mes jambes, la tête sur mon clitoris et les fesses bien en l’air juste au bord du lit, Charlotte est debout derrière elle, les mains sur ses hanches et la baise en lui donnant de grands coups de rein. C’est Julie qui jouit la première, je la suis de très près et Charlotte ferme le bal. Charlotte allonge Julie sur le lit, lui ouvre les jambes et se précipite sur son sexe, elle aspire son sperme pour le boire ce qui fait repartir Julie dans un nouvel orgasme. Tout le monde se calme et nous allons prendre notre petit déjeuner. Vers dix heures, Nous allons toutes faire une toilette intime, en particulier notre fondement, et nous sortons dans le parc, il ne fait pas encore trop chaud et nous décidons de faire plaisir à Hector. Seulement, monsieur n’est pas très en forme et ne se manifeste pas quand nous arrivons dans le parc. Les yeux suppliants de Charlotte me font comprendre qu’elle aimerait bien aller voir du côté des box. Nous allons donc voir Léonard. Quand il voit Charlotte, il lui tend sa tête qu’elle caresse avec tendresse. Elle entre dans le box, le sexe de Léonard commence à sortir doucement de sa gaine. Elle se penche sous son ventre et lui prend dans la bouche comme elle peut. Elle réussit à gober le gland plat qui goutte légèrement. Le sexe de Léonard s’allonge de plus en plus et charlotte est obligée de reculer, mais elle choisit de passer à l’action et se retourne pour présenter sa croupe à la bite de Léonard. Celui-ci s’agite et devient très excité, sa bite monte et descend sans arrêt comme un énorme fouet. Charlotte s’en empare et le présente devant son fion. Sans même que je puisse réaliser ce qui se passait, Charlotte est empalée à sec par cet énorme vit. –HHHHHHAAAAAANNNNNN Elle pousse un grondement de douleur, mais, contre toute attente, elle insiste et se positionne pour être de plus en plus défoncée par Léonard. Sa bite s’enfonce de plus en plus dans son fondement, il entre d’au moins trente centimètres, je suis étonnée de la capacité d’absorption de ce cul. Au bout de deux minutes, Léonard se dégage après avoir rempli le fion de Charlotte de sperme. Elle se redresse la bite dressée vers le ciel, vient vers moi, me fait me retourner et me présente sa bite sur ma rondelle. –Je n’ai pas mis de graisse.
–Ça ne fait rien, tu vas ressentir de nouvelles sensations. Je me crispe un peu, mais sa bite m’ouvre le sphincter comme une fleur. Je ne ressens pas de douleur particulière, juste un frottement plus intense. Au bout de quelques aller-retour, mon sphincter se détend et la bite de Charlotte progresse plus librement dans mon cul. Cette sodomie à sec me fait partir encore plus vite dans un sublime orgasme surtout quand je sens son sperme me remplir le tube anal. Elle se dégage, me fait pencher en avant et pose ses lèvres sur ma rondelle encore ouverte et y aspire le maximum de son jus. Quand ma rondelle s’est définitivement fermée, elle se redresse et vient m’embrasser. Pendant ce temps, Julie se masturbait en nous regardant. Je décide de rentrer à la maison et de piquer une tête dans la piscine. Julie et Charlotte me quittent, en fin de matinée, juste avant l’arrivée d’Alexandre qui m’a fait la surprise de rentrer plus tôt. Il a pris une semaine de congé et a décidé de finir la piscine. Je l’aide comme je peux, surtout en lui passant le matériel dont il a besoin. Il fait tout le carrelage et l’installation de la filtration. Nos journées sont composées de travail sur la piscine, manger, travail sur la piscine, manger, une ou de fois l’amour et dormir de fatigue. Au bout de six jours, la piscine est enfin finie, le lendemain, nous la mettons en eau. Une fois le bon fonctionnement du système de filtrage vérifié, Alexandre décide de faire une fête pour inaugurer la piscine, il faut que je contacte tout le monde. Nous arrêtons la date au samedi suivant, tout le monde sera là, mes parents, mes sœurs et mon frère, Brigitte, Julie, jacques, Charlotte, Sophie et Lisa. Je réalise que nous serons treize, j’espère qu’il n’y a pas de superstitieux. Nous avons passé six jours à travailler comme des fous plus de douze heures par jour pour finir à temps. Je crois qu’Alexandre avait un peu sous-estimé la quantité de travail que cela impliquait. Pendant les travaux, j’ai raconté à Alexandre ce que nous avions fait avec Julie et Charlotte, ça l’a intéressé, et il veut essayer lui aussi, au moins avec Léonard, il a vu le sexe de Tonnerre bien raide une fois et il ne pense pas pouvoir le recevoir dans le fion. Je lui propose de s’assouplir la rondelle par des travaux pratiques. Il trouve l’idée géniale mais il ne se doutait pas que je pensais à Charlotte. Nous décidons de passer à la pratique la veille de la fête. Je téléphone à Julie pour lui demander de venir pour m’aider à communiquer avec Charlotte, elle accepte. J’envoie un SMS à Charlotte pour lui expliquer en détail ce que j’attends d’elle et de passer prendre Julie, elle est bien sûr entièrement d’accord. Le jour dit, elles arrivent vers neuf heures du matin, nous sommes au petit déjeuner. Comme d’habitude, vu la chaleur, nous sommes nus dans la maison. Elles se mettent tout de suite au diapason et se retrouvent à poil en un clin d’œil, je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit. Julie va embrasser Alexandre par un baiser langoureux, Charlotte se dirige vers lui, elle commence à bander, elle pose ses lèvres sur celles d’Alexandre qui lui rend son baiser. Charlotte lui caresse les fesses, ce que lui rend Alexandre. Je suis heureuse que le premier contact se soit bien passé, mais je remarque que la bite d’Alexandre gonfle elle aussi. Maintenant Charlotte bande ferme et sa bite s’est glissée entre les cuisses d’Alexandre. Quand ils se séparent, Alexandre bande fort, sa bite est à la verticale. Charlotte lui fait un sourire et s’agenouille devant lui, l’agrippe par les fesses pour lui faire une fellation. Il se laisse faire, me regarde en souriant et ferme les yeux. Ne voulant pas rester à les regarder, Julie s’agenouille devant moi, me prend les fesses, me plaque contre sa bouche et me gratifie d’une superbe minette. J’écarte au maximum mes cuisses et pose mes mains sur sa tête pour l’encourager. De voir mon homme se faire faire une fellation par une femme qui bande comme un âne pendant qu’on s’occupe de mon minou me fait jouir assez vite. Juste après, je vois Alexandre se raidir, il va jouir. Charlotte le sent et le plaque encore plus contre sa bouche pour recevoir son jus de vie et l’avaler. Quand elle se redresse, elle bande toujours, pour ne pas dire encore plus raide. Alexandre lui sourit et s’agenouille devant elle. Il embouche goulument sa bite et lui rend la politesse, ce que je fais avec Julie. Elle jouit très vite, surement l’excitation de la minette qu’elle m’a fait et le spectacle qui s’offre à elle. Nous nous retournons pour voir que Alexandre toujours agenouillé devant Charlotte. Nous nous approchons, je ne sais pas si Alexandre acceptera de recevoir le sperme de Charlotte dans la bouche. Je vois à certains signes que Charlotte est sur le point de jouir, mais contrairement à mes craintes, Alexandre s’en rend compte et plaque bien Charlotte sur sa bouche. Elle pousse un grondement de plaisir, et se vide dans sa bouche, comme je lui ai dit qu’elle adorait boire son sperme, il se redresse et vient l’embrasser pour lui rendre son bien. Nous nous installons pour petit déjeuner, l’ambiance est à la rigolade, Charlotte n’arrête pas de toucher la bite d’Alexandre qui, lui, s’intéresse beaucoup à ses seins. Vers dix heures, nous allons tous dans la salle de bain pour se faire chacun notre tour un lavement approfondi. Quand tout le monde est prêt, nous nous dirigeons vers le box de Léonard. Une fois arrivés, Charlotte vient vers Alexandre et lui caresse les fesses, elle le fait pivoter, le fait se pencher en avant et lui lèche la rondelle. –Hum, c’est vraiment bon. Elle lui glisse un doigts puis deux dans le fion et le pistonne. Je lui donne la graisse pour qu’elle le prépare. Pendant ce temps, Julie s’occupe de Léonard et le prépare pour Alexandre. Quand le cul d’Alexandre est bien lubrifié, Charlotte présente sa bite, déjà raide comme un manche à balai, sur sa rondelle. Elle pousse un grand coup et s’enfonce jusqu’à ce que ses couilles lui touchent les fesses. –Ouais, j’aime. Charlotte s’applique à lui donner de grands et rapides coups de bite, comme le fera Léonard tout à l’heure. Elle se donne à fond et fini par s’épandre au fond du cul d’Alexandre. –Ouais, je sens son jet dans mon cul, c’est le pied. Mais il ne jouit pas, il se redresse et va s’installer à plat ventre sur le tabouret, Julie amène léonard qui commence à être habitué et redresse sa queue pour qu’elle vienne se planter dans le fondement d’Alexandre. Il donne un grand coup de rein et, au bout de plusieurs essais infructueux, le pénètre profondément. –Putain, quelle bite, c’est génial. Léonard le pistonne violemment et fini par se vider en lui juste au moment où je vois le sexe raide d’Alexandre arroser la paille au sol, il jouit en même temps. –HHHHHHHHAAAAAAAA Je regrette de ne pas avoir pu le récupérer, mais à plat ventre sur le tabouret, c’est impossible. Je vois que Charlotte s’est enduit la rondelle de graisse, elle veut se faire prendre par Léonard, mais contrairement à l’habitude, elle ne se met pas sur le tabouret, mais reste debout face au mur, en s’appuyant sur le bord du box. Léonard vient derrière elle, sa bite fouette l’air, il se cabre et pose ses pattes avant autour de sa tête, son ventre à trente centimètres du dos de Charlotte, sa bite pend. Il la dresse et donne de grands coups de rein, mais sa bite flotte et passe à droite ou à gauche des fesses de Charlotte, jusqu’au moment où elle trouve le chemin et se glisse entre elles. Il la pénètre d’un seul coup, lui donne quatre ou cinq coups de bite rapides et se retire la queue pendante laissant couler quelques gouttes de sperme. Alexandre se précipite et lui lèche le gland. –C’est aussi bon que du sperme d’homme, différent, mais aussi bon. Je suis ébahie, je savais Alexandre un peu fou de sexe, mais à ce point, je n’en reviens pas. Ceci dit, ça me plait beaucoup.Léonard se retire dans un coin du box, on dirait qu’il en a assez. Je décide d’aller voir Tonnerre. Quand nous arrivons dans le box, il reconnait Alexandre et lui tend sa tête. Alexandre lui caresse pendant que j’entre dans le box avec Julie et Charlotte. Alexandre préfère rester en dehors du box. J’ai l’impression que Tonnerre comprend ce qui va se passer, je vois ses narines bouger, il sent l’odeur de femelles en chaleur autour de lui. Son sexe sort de sa gaine sans que nous n’ayons à intervenir. J’entre avec Julie et Charlotte dans le box, Julie pose le tabouret à côté de Tonnerre mais Charlotte veut faire comme avec Léonard, se faire prendre debout. Elle s’est bien enduit le fion et se positionne devant Tonnerre en lui tournant le dos. Celui-ci se cabre et vient se poser sur elle. Sa bite se redresse d’un seul coup, il donne de grands coups de rein et fini par la pénétrer. –GGGGGRRRRR Charlotte pousse un grondement de satisfaction et se laisse défoncer le cul par cette bite gigantesque. Tonnerre redescend après une petite minute, la bite pendante sous son ventre, mais elle se redresse et il se cabre de nouveau pour une nouvelle fois la perforer sans douceur. –GGGGGRRRRR Comme d’habitude, son rut ne dure pas longtemps et il redescend au bout d’une minute, la bite pendante. Le cul de Charlotte déborde et laisse échapper le sperme que lui a généreusement donné Tonnerre. Charlotte sort du box, apparemment satisfaite de la tournure des évènements. Julie va prendre sa place devant Tonnerre, elle aussi debout, accrochée au bord du box et attend qu’il se manifeste. Il ne tarde pas et lui monte dessus la bite raide. Mais cette fois, il trouve le chemin de la vulve et la besogne à grands coups de rein. Comme avec Charlotte, cela ne rude qu’une petite minute avant qu’il ne la libère. Sa bite pend sous son ventre et se rétracte doucement, c’est fini pour l’instant. Nous quittons tous le box, Julie est un peu déçue de ne pas avoir joui. Nous nous dirigeons vers la piscine pour nous rafraîchir. Quand nous sommes tous dans l’eau, je glisse un mot à l’oreille d’Alexandre. Il se dirige vers Julie, la plaque contre la paroi de la piscine et se colle à elle. Aux soubresauts que fait Julie, je comprends tout de suite qu’il la baise dans l’eau. Elle me regarde avec un magnifique sourire et ferme les yeux. Alexandre se donne à fond jusqu’à ce que Julie exprime sa satisfaction. –Oui, je vais jouir, oui, oui, viens en moi, vides toi, ça y est, je jouis, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiis. A voir le comportement d’Alexandre, je comprends qu’il se vide aussi en elle. Pendant ce temps, Charlotte m’a introduit son sexe dans le fion et me pistonne allégrement. Je sens sa poitrine contre mes omoplates, j’adore cette sensation d’être sodomisée par la bite d’une femme. Sa main me caresse le clitoris et quand je sens son sperme m’inonder, je l’accompagne dans un super feu d’artifice. Nous sortons toutes les deux de la piscine pour aller préparer à manger. Au bout d’une demi-heure, le repas est prêt, je vais vers la piscine pour appeler Alexandre et Julie, mais il n’y a personne dans l’eau. Je vais dans le parc, personne. J’en déduis qu’ils doivent être dans un box avec Léonard ou Tonnerre, je vais voir dans le box de Léonard, là je trouve Julie, debout les mains sur le mur qui se fait défoncer la rondelle par mon âne. Alexandre se tourne vers moi. –Elle voulait absolument se faire sodomiser par Léonard.–Ok. Léonard redescend derrière Julie qui ne bouge pas, je vais me mettre entre le mur et elle, m’accroupie et pose ma langue sur son clitoris, elle pose ses mains sur ma tête. –Oui. Léonard remonte sur elle, sa bite trouve très vite le chemin du bonheur et lui défonce de nouveau la rondelle. Julie, déjà au bord de la jouissance, explose dans un orgasme violent. Léonard donne de grands coups de rein, il s’enfonce encore un peu plus en se vidant en elle, ce qui fait réagir Julie qui manque de s’écrouler sur moi, heureusement que je suis devant elle. Léonard redescend, sa bite pend toujours sous son ventre, elle reste prête pour une nouvelle saillie. N’y tenant plus, je prends la place de Julie, debout devant Léonard qui comprend tout de suite et me monte dessus. Sa bite tape contre mes fesses, mais fini par se glisser entre elles et me perforer d’un seul coup. Seulement, je ne me suis pas lubrifier et ma cyprine qui a coulé sur ma rondelle ne suffit pas. Je ressens une violente douleur, mais elle s’estompe très rapidement pour se transformer en plaisir. Cette énorme bite dans le fion me fait perdre la tête, mais Léonard se retire ma laissant le cul ouvert, mais frustrée de ne pas avoir joui. C’est à ce moment que je sens la langue de Julie sur mon clitoris, elle me rend le plaisir que je lui ai donné. Léonard me remonte dessus et m’empale de nouveau. C’en est trop, je parts dans un formidable orgasme. Léonard redescend et va se mettre dans un coin, je crois que monsieur veut se reposer. Nous quittons le box pour rejoindre Charlotte. Elle n’est pas dans la maison, prise d’une intuition, je vais dans le parc ou je la trouve allongée sur le dos sur un transat avec Hector sur elle qui lui défonce le fion. Ils l’embrassent en se léchant la langue. La boule d’Hector est complètement rentrée, je vois qu’il se vide en elle, un léger filet blanchâtre s’échappe de la rondelle de Charlotte. Quand elle me voit, elle me fait signe qu’elle arrive une fois libérée par Hector. Je retourne à la salle à manger ou nous sommes rejoints par Charlotte un quart d’heure plus tard. Après le repas, nous allons faire une petite sieste, j’ai donné une seule chambre aux filles qui veulent rester ensemble. Vers quinze heures, nous retournons voir Léonard et Tonnerre. Alexandre se fait prendre deux fois de suite par Léonard, mais il ne veut pas se faire prendre par Tonnerre, je pense qu’il craint de perdre son autorité sur lui s’il le laisse le sodomiser. A dix-sept heures, nous allons, Alexandre et moi-même, faire des courses pour le lendemain, nous laissons Julie et Charlotte dans le box de Tonnerre. Elles en ont bien profité. Quand nous rentrons, elles sont encore avec Léonard, mais viennent nous aider à commencer à préparer la réception du lendemain. .../...
