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Ma drole de famille

Chapitre 28

Inceste
Le lendemain, tout le monde est sur le pont à sept heures du matin, il faut que nous préparions la réception de midi. Nous sommes tous habillés très léger, débardeurs longs et amples arrivant juste sous les fesses avec un grand décolleté en pointe et de grandes échancrures sur le côté ne cachant pas grand chose des seins pour les trois filles, haut de jogging pour Alexandre. Nous sommes tous à poil dessous. Après le petit déjeuner, Alexandre part s’occuper des bêtes. Nous sommes toutes dans le salon quand un livreur vient nous apporter tout ce que nous avons commandé la veille pour faire une grande variété de toasts. Il porte trois grandes caisses en plastique. Je l’accompagne dans la cuisine en marchant devant lui et remarque qu’il est très intéressé par ce qui peut y avoir sous mon débardeur. Je lui demande de poser les caisses sur la table et vais me mettre de l’autre côté, en face de lui.  Ne voulant pas le laisser dans l’ignorance, je me penche en avant pour vérifier la livraison. Ses yeux sont rivés sur mes seins qui sortent presque du large décolleté de mon débardeur, il peut même admirer mon ventre plat et constater l’absence de poil sur mon pubis. Son attention est détournée par l’arrivée de Julie qui prend un malin plaisir à vouloir chercher quelque chose tout en haut dans l’armoire. Pour ce faire, elle pose un petit tabouret devant l’armoire et monte dessus, elle lève les bras pour ouvrir la porte du haut dégageant entièrement ses fesses. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour regarder à l’intérieur en se tournant un peu. Nous pouvons admirer son pubis glabre laissant apparaitre une petite protubérance en haut des lèvres. Les yeux du livreur ont failli sortir de leurs orbites, j’ai eu peur qu’il ne lui saute dessus, mais il s’est contenté du spectacle. Elle prend un pot et redescend du tabouret pour s’assoir dessus les jambes ouvertes. Elle nous expose sa vulve brillante de cyprine dégageant son clitoris gonflé. Le livreur est au bord de l’apoplexie, mais reste stoïque, j’admire sa maîtrise. Il ne manquait plus que Charlotte qui arrive. Je constate que son tee-shirt fait une bosse vers le bas qu’elle dissimule au livreur avec un magazine tenu négligemment devant elle. Une fois arrivée à la table, elle pose le magazine et, comme moi, elle se penche sur les caisses, offrant ses seins au regard concupiscent du livreur. J’ai l’impression qu’il va avoir une syncope quand il constate que sous les magnifiques seins de cette non moins magnifique fille, se trouvent une belle bite raide, prête à l’emploi. Charlotte le regarde droit dans les yeux avec un magnifique sourire, il devient écarlate, je m’attends à ce qu’il pette les plombs, mais il reste calme. Il nous regarde toutes les trois, récupère les caisses que nous avons vidées, sort par la baie vitrée de la cuisine et se dirige vers sa voiture. Je le rattrape pour lui donner un pourboire généreux, il se retourne, ouvre de grands yeux en regardant derrière moi, prend les billets et monte dans sa voiture avec un grand sourire à priori très content de ce qui vient de se passer. Je me retourne pour voir Julie nue les seins collés sur la table en train de se faire sodomiser par Charlotte elle aussi à poil. Je comprends le regard éberlué du livreur. Je me mets derrière elles, écarte les fesses de Charlotte pour lui lécher l’anus ce qui déclenche son orgasme, Julie la suit dans les dix secondes. Alexandre nous rejoint quelques minutes plus tard, nous lui racontons ce qui vient de se passer avec le livreur, il est mort de rire, regrettant simplement de ne pas avoir été présent.  Il est presque dix heures, la température étant montée de plusieurs degrés, j’imite Charlotte et Julie assez vite suivi par Alexandre, tout le monde est à poil. Une fois Charlotte et Julie redevenues calmes, nous continuons à préparer les toasts comme si de rien était. Cependant, au bout d’une demi-heure, je remarque que Charlotte regarde de plus en plus souvent Alexandre, sa bite se redresse un peu. Alexandre la regarde aussi, je sais, parce qu’il me l’a dit, qu’il est fasciné par elle, il aime ce côté moitié femme, moitié homme, comme moi, il aime ses fesses et ses seins de femme et son sexe d’homme. Les toasts sont finis, les invités arrivent dans une petite heure, nous allons tous nous préparer, toilette complète, y compris lavement anal, et mise en place du buffet autour de la piscine. Nous avons décidé de rester nus, il fait trop chaud pour s’habiller, de toute manière, il est évident que tout le monde va se retrouver à poil au bout de très peu de temps.  Charlotte a une idée, elle prend un grand carton sur lequel elle inscrit « Réception naturiste, vous êtes priés de vous déshabiller et de pendre vos vêtements au portes habits mis à votre disposition ». Elle pose le panneau sur le chemin de la maison, Alexandre amène deux portes habits avec des cintres. Il prend le panneau pour l’attacher à un tronc d’arbre bien visible. Se faisant, il lève les bras pour passer une cordelette autour du tronc. Charlotte est derrière lui, elle bande comme un âne, elle s’approche de lui, se colle à son dos en glissant son sexe entre ses fesses, l’enlace et donne un petit coup de rein. Une fois le panneau fixé, Alexandre pointe ses fesses en arrière, les écarte avec ses mains, ce qui permet à Charlotte de s’enfoncer entièrement en lui.  –Oui, vas-y, j’aime te sentir en moi. Charlotte s’active comme un diable, elle devait être très excitée car elle jouit très vite. –Oui, vide toi, rempli moi, c’est bon, j’aime. Une fois calmés, ils rentrent à la maison, enlacés. Ils vont prendre une douche tous les deux, Alexandre me fait signe de les suivre. Une fois sous la douche, Charlotte se penche en avant pour lui faire une fellation. Elle pompe mon homme sous l’eau qui ruissèle sur son corps. Alexandre est adossé à la paroi, les yeux fermés, les bras le long du corps. Il profite au maximum de l’instant. Charlotte se remet à bander, je me glisse sous elle pour lui gober le sexe. Je suis assise sous Charlotte, les jambes ouvertes, une main qui titille mon clitoris. Très vite, j’entends Alexandre jouir, suivi presque aussitôt d’une giclée de sperme qui me remplit la bouche. Mon corps est lui aussi secoué de spasme de jouissance. Charlotte se redresse, elle m’aide à me lever, je pose ma bouche sur la sienne pour lui restituer son sperme. Nous nous rinçons, séchons et retournons rejoindre Julie. Evidemment, elle se fait besogner par Hector, à quatre pattes sous un arbre. Je me dirige vers elle pour participer un peu, mais au moment où j’arrive à sa hauteur elle explose dans un puissant orgasme, les bras repliés, la tête sur l’herbe et les fesses pointées vers le ciel. Hector continu de lui donner de puissants coups de reins jusqu’à ce qu’elle s’écroule au sol, terrassée par son orgasme. Hector la regarde un instant puis se tourne vers moi. Je lui fais comprendre que ce n’est pas le moment et le ramène à sa niche. Vers onze heures, le buffet est prêt, même les seaux à champagne remplis d’eau et de glace pour le champagne de doit amener Jacques, les premiers invités arrivent. Les premiers à arriver sont papa et maman, je dois dire que j’ai encore un peu de difficulté à les considérer comme mes parents, c’est encore un peu neuf, mais j’en suis très heureuse. En voyant le panneau, ils sourient, papa déshabille maman d’une manière assez érotique et lui pose un baiser sur le pubis. Quand maman finit de déshabiller papa en descendant son bermuda, il bande, elle le gobe une seconde et le libère. Ils arrivent à la maison, nus comme des vers les fringues dans une main pour les mettre au porte habit, papa a débandé. Je me colle à Elisa, elle m’étreint en me caressant les fesses, notre baiser est plus sensuel qu’il ne devrait l’être entre mère et fille, de même avec Henri. Lui me gratifie même d’une nouvelle petite érection vite maîtrisée. Les autres invités arrivent les uns après les autres. Tous se déshabillent bien volontiers. Sophie et Lisa arrivent bras dessus, bras dessous, elles font sensation, de même que Michel entouré de ses sœurs et de Brigitte. Jacques arrive en dernier avec six bouteilles de Ruinart blanc de blanc, mon champagne préféré. Tout le monde admire cette superbe piscine en forme de haricot avec un arbre au milieu, leur premier réflexe est de plonger dedans et de s’accrocher au bord intérieur à l’ombre du chêne. Les couples se forment, Paule et Brigitte ne se quittent pas, je vois que Jacques n’arrête pas de discuter avec Charlotte qui ne se prive pas de lui caresser les fesses. Michel est très intéressé par Lisa qui semble réceptive. Aline semble aussi être intéressé par Sophie qui ne fait rien pour la repousser, elle se colle littéralement à elle. Vers midi, nous sommes tous autour du buffet à boire l’apéritif, je remarque que tout le monde est intégralement bronzé, même Michel. Maman me prend la main, se détache du groupe et prend la parole. –Nous sommes tous ici pour inaugurer cette magnifique piscine, mais je dois dire que je suis particulièrement heureuse de ne pas le faire avec ma sœur, mais avec ma fille adorée. Elle m’enlace, en me serrant fort dans ses bras, ses seins s’écrasent sur les miens, son pubis se colle au mien, j’ai l’impression qu’elle en rajoute. Elle dépose deux bises chastes sur mes joues en me glissant à l’oreille.
 –Ne t’en fait pas ma chérie, c’est pour la galerie.  Il est vrai que tout le monde n’est pas au courant de nos relations intimes.  –Je te promets que je vais m’occuper de ton somptueux corps, rien que de te serrer dans mes bras, je coule comme une fontaine.–Moi aussi je mouille dans tes bras serrée contre ton corps maman chérie, tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse d’avoir une maman, mais maintenant, je réalise que je t’ai toujours considérée comme ma mère, en tous cas, tu l’as bien remplacée.–Merci mon amour, arrête, tu vas me faire pleurer. Nous nous séparons sous les applaudissements de tout le monde, quand nous arrivons vers le buffet, Michel et Alexandre me prennent par les bras et les jambes et me jette dans la piscine. Tout le monde me rejoint dans l’eau, je sens une multitude de mains qui glissent sur mon corps. Un doigt vient me titiller le clitoris, je ne résiste que quelques secondes avant de jouir accrochée au bord de la piscine. Je reste accrochée, les jambes pendantes, collée à la paroi. Un sexe vient se glisser entre mes cuisses, je reconnais le gland de Michel. J’écarte au maximum mes jambes, le gland se faufile pour arriver aux portes du paradis. Il s’enfonce en moi en m’écartant la rondelle, je donne des petits coup en arrière pour lui faciliter le passage. Quand je sens son pubis contre mes fesses, il s’immobilise, je referme mes jambes pour le sentir encore mieux. Cet énorme pieu au fond de mon anus suffirait à lui seul à me faire jouir, même sans bouger, mais, Michel commence des va et vient, il s’agrippe à mes hanches pour me pistonner plus à l’aise. Je recule un peu mes fesses pour qu’il me sente mieux. Je sens le plaisir monter en moi quand tout à coup une langue se pose sur mon clitoris et le titille, dix secondes plus tard, elle me quitter immédiatement remplacée par une autre. Je vois Aline émerger à côté de moi, la seconde langue me quitte, Paule émerge au moment où une troisième langue s’occupe de mon clitoris. Je sens le sperme de Michel m’inonder le rectum, s’en est trop, j’explose dans un gigantesque orgasme. Quand j’émerge de ma béatitude, je vois Brigitte émerger à côté de moi, elle pose ses lèvres deux secondes sur mes lèvres.  –Alors Laure tu aimes tes petites sirènes ?–Je les adore, et vous avez intérêt à recommencer régulièrement !!–Mais bien sûr madame. Elle replonge mais je me sens enlevée, deux mains m’ont agrippée et me tire au milieu de l’eau. Alexandre me plaque contre lui en nageant, je sens son sexe glisser entre mes fesses. Il est lubrifié et arrive sans mal sur ma rondelle. Mon anus s’ouvre comme une fleur sous la poussée d’Alexandre, il n’est pas encore entièrement refermé. Nos mouvements pour rester à flot facilite sa progression. Michel attend que je sois entièrement prise pour venir se plaquer sur moi. Son sexe de nouveau raide comme un bout de bois se glisse dans mon sexe jusqu’au fond. Je sens ces deux sexes aller et venir dans mon corps, je me laisse aller, les deux hommes me maintiennent à l’eau bien que de temps en temps ils se donnent des coups de pied. Je finis par jouir comme une folle, quand je sens que mes deux hommes m’inondent de leur sperme, mon corps est anéanti dans une explosion extraordinaire. Heureusement qu’ils me soutiennent sinon, je coulerais. Michel me ramène vers les escaliers de la piscine, il m’aide à sortir et à m’allonger sur un transat. –Repose toi tata.–Dis donc, je ne suis plus ta tata, mais ta grande sœur, il ne faudrait pas l’oublier.–Ça va être dur de me le faire rentrer dans la tête, j’ai trop l’habitude.–Peut-être, mais tu crois que c’est facile pour moi ?–Non grande sœur, je pense que c’est comme pour moi, mais j’adore savoir que tu es ma sœur, je t’aime sœur chérie, comme j’aime mes autres sœurs.–C’est si difficile que ça de m’appeler Laure.–Je te promet que je vais faire des efforts.–Merci Michel. Je finis par m’endormir sur le transat, quand je me réveille c’est pour constater qu’il ne reste plus que Charlotte et Jacques en soixante-neuf sur le transat d’à côté, tout le monde a disparu. Je patiente jusqu’à ce qu’ils jouissent, ils me regardent. –Laure chérie, je te présente la personne qui va partager ma vie pendant un bon moment, cette fille est extraordinaire de beauté, sensualité, énergie, intelligence. Tu n’es pas prête de nous voir l’un sans l’autre. En entendant ça, Charlotte se jette sur lui pour l’embrasser fougueusement, je vois ses fesses bouger à côté de moi, je ne peux m’empêcher de poser une main dessus pour les caresser, j’adore sa peau douce. Quand leurs bouches se séparent, ils s’assoient sur le transat et me regardent. –J’ai dormi combien de temps ?–Un petit quart d’heure.–Où sont les autres ?–Ils sont allés voir Léonard et Tonnerre, je pense qu’ils doivent les essayer.–Pauvres bêtes, ils vont les épuiser.–Ne t’en fais pas, Alexandre est avec eux, il connait ses bêtes, elles ne risquent rien.–Tu as raison, et vous n’y êtes pas allé ?–Non, on avait autre chose à faire.–J’ai vu, moi je préfère être là, c’est calme, mais j’ai simplement un manque entre mes jambes, comment faire pour le combler.–Ne t’en fais pas chérie, on va s’occuper de ça.  Ils se lèvent et me prennent chacun par une main et me font lever. Charlotte prend un pot dans son sac à côté de son transat, c’est de la graisse anale, je commence à mouiller rien qu’en la voyant. Elle me badigeonne entre les fesses en insistant sur et dans mon anus. Jacques bande comme un âne, elle lui badigeonne le sexe en le masturbant lentement. Une fois prête, Charlotte me tourne dos à Jacques qui se saisi de mes hanches et me transperce le cul d’un seul coup. –Oh putain, oui, j’aime qu’on m’encule comme ça. Charlotte se colle à moi, je sens son sexe se glisser vers le mien, elle aussi me pénètre d’un seul coup. Une nouvelle fois en quelques minutes, je sens deux sexe dans mes orifices qui vont et viennent pour mon plus grand plaisir. Jacques passe sa tête à côté de la mienne, je sens qu’il embrasse Charlotte en me pistonnant de plus en plus profond. Mon corps commence à réagir, en général, il ne m’en faut pas beaucoup pour jouir, mais cette fois, je sens que ça va être très rapide, je me concentre sur autre chose, je ne veux pas jouir tout de suite, je veux leur laisser le temps à eux aussi. Rien n’y fait, mon ventre se noue, mes muscles se contractent, je sens mon corps se raidir, mais celui de Charlotte aussi, elle va jouir en même temps que moi. Elle abandonne Jacques et vient poser ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un merveilleux baiser au moment où j’explose dans un merveilleux orgasme en sentant de violent jets de sperme m’inonder le sexe. Quelques secondes plus tard, c’est mon rectum qui réceptionne celui de Jacques, je suis sur le point de m’écrouler, mes jambes ne me tiennent plus. Jacques me serre contre lui, Charlotte s’est un peu reculée, elle me caresse les seins et le pubis. Un doigt vient titiller mon clitoris, elle me regarde droit dans les yeux et le fait tourbillonner dessus, l’effet est immédiat, je jouis de nouveau. Jacques se retire aussi, je sens mon anus se refermer lentement, mais des doigts viennent se glisser dedans, au début, il y en a trois, ils me pistonnent pour arrêter la réaction de mon anus. Un quatrième vient les rejoindre.  –Tu crois que je peux ?–Oui, vas-y franchement, il en a vu d’autre. Les doigts se retirent pour revenir en pointe. Mes fesses encore badigeonnées de graisse laissent passer la main. Mon sphincter se détend doucement, au bout de dix secondes, la main est entièrement dans mon anus. Je le sens s’enfoncer de plus en plus, l’avant-bras de Jacques est assez gros, c’est un athlète, il me dilate l’anus, mais j’aime. Mon anus s’ouvre sans problème, jusqu’à ce que je sente le biceps de Jacques se coller sur mes fesses. –Putain, je lui ai entré l’avant-bras complet, son cul est un vrai boulevard.–Oui, tu peux le dire, et je dois te dire que j’adore sentir un tel membre dans mon fion, à par Tonnerre, c’est le plus long que j’ai pris.–Tonnerre est hors catégorie.–Tu peux le dire, mais j’ai comme un vide devant. Charlotte, qui bande toujours, comprend et me glisse son sexe dans le mien. Jacques retire légèrement son bras jusqu’à ce que sa main puisse être au niveau de son sexe. Il la positionne de manière à caresser cette bite qui me remplit à travers la paroi vaginale.  –Oui, vas-y mon Jacques, ça fait du bien ta main sur ma bite au travers de cette douce chatte. –Oui, moi aussi j’aime sentir ta main glisser sur sa bite.  Jacques accélère le mouvement, ça dure quelques minutes sublimes. au bout d’un certain temps, je commence à voir venir l’orgasme, je me penche sur Charlotte. –Viens avec moi, je veux jouir avec toi, viens, viens, ça y est, je jouis, viens.–Je t’attendais. Je sens son sperme envahir mon vagin, j’explose dans un sublime orgasme soutenu par l’autre bras de Jacques qui me plaque contre lui. –Oui, vas-y, joui, j’adore sentier ton corps vibrer contre le mien. Je mets un certain temps à me remettre de ce nouvel orgasme, je ne les compte plus depuis une demi-heure, mais je suis épuisée, mes jambes ne me tiennent plus. Jacques libère mon anus, Charlotte se retire aussi, ils m’aident à m’allonger sur un transat, Charlotte m’ouvre les jambes. –Tu ne crois pas t’en tirer comme ça j’espère. Sans attendre ma réponse, il plonge sa tête entre mes cuisses pour aspirer son sperme et commence à me titiller le clitoris. Jacques s’agenouille derrière lui, je sens comme un coup de butoir, il s’est enfoncer dans son cul.  –Oui, vas-y mon Jacques chéri. La tête de Charlotte monte et descend sur mon sexe au rythme des coups de rein de Jacques. Je m’abandonne au plaisir, je veux une nouvel fois jouir, mais sans rien faire, je laisse mes deux compagnons s’occuper de moi. Mon corps finit par exulter dans un nouvel orgasme, je suis complètement ailleurs, je ne vois plus rien, je suis dans les nuages, à sentir une langue se glisser entre mes lèvres pour récupérer mon jus d’amour. Je ne peux plus bouger, mon corps est comme une chiffe molle, avachi sur le transat. Les coups de butoir s’arrêtent, Jacques a joui, il se redresse en même temps que Charlotte. Ils s’assoient sur le transat à côté de moi. –Ça va petite sœur ?–Tu sais que je ne suis pas ta sœur.–Peut être génétiquement parlant, mais pour moi, tu seras toujours ma petite sœur adorée.–Viens m’embrasser grand frère adoré. Il se penche sur moi pour échanger un long baiser, sa main glisse sur mon corps en une caresse aérienne. Il se redresse et s’allonge sur son transat, Charlotte sur un autre, nous restons un long moment sans parler ni bouger, jusqu’à ce que le reste des invités viennent nous rejoindre. Alexandre pose ses lèvres sur les miennes. –Ça va mon amour.–Oui, très bien, je suis bien ici avec toi. Tout le monde plonge dans la piscine, je reçois des éclaboussures d’eau mais je n’ai pas encore la force de me lever, Jacques et Charlotte sont comme moi, ils restent sur leurs transats.  La journée s’est terminée assez tard, personne ne voulait partir, vers minuit, nous avons fini de ranger avec Alexandre et Julie. Nous sommes allés nous coucher, Julie a partagé notre lit, mais simplement pour ne pas dormir seule.  La vie a repris son cours, en février deux mille un, nous nous sommes mariés Alexandre et moi, ainsi que Michel et Lisa qui vivaient ensemble depuis la réception, ils ont eu une fille en juillet deux mille un, cinq mois après leur mariage. Julie a rencontré un jeune homme très séduisant, Pascal, ils se sont mariés en deux mille huit, ils vivent à Paris avec la sœur de Pascal qui est lesbienne. Je sais qu’ils font très souvent des fêtes, nous avons participé à certaines lors de séjours à Paris. Laurence est une superbe fille, elle n’aime pas les hommes et s’entend très bien avec Julie.  Hector nous a quitté il y a quatre ans, mort de vieillesse, nous l’avons remplacé par Achille, un doberman qui a maintenant cinq ans, excellent gardien, très obéissant, très affectueux et bon baiseur une fois dressé par nos soins, il a une langue divine.  Il nous arrive assez souvent de faire des fêtes dans la piscine ou dans la maison en hiver. Seuls Michel et Lisa ne viennent pas systématiquement, ils ont leur fille et ne veulent pas la faire garder à chaque fois. Paule, Brigitte, Aline, Sophie, Jacques, Charlotte, papa et maman viennent pratiquement tout le temps. Ce sont des réunions chaudes et très jouissives.  Nous sommes de nouveau à la maison pour une nouvelle réunion de la famille, nous sommes en juillet deux mille quinze, nous célébrons le triple mariage de Paule et Brigitte, Aline et Sophie et Jacques et Charlotte, tous vivaient en couple depuis l’inauguration de la piscine. tout le monde est là, y compris Julie, Pascal et Laurence, mais cette fois, pas de débordement, il y a Elodie, la fille de Michel, elle n’a que quatorze ans, il est hors de question de nous laisser aller. Nous sommes tous nus dans la piscine, mais ça ne la dérange pas, elle fait du naturisme depuis sa naissance et continu de se déshabiller en public, c’est exceptionnel pour une adolescente.  La vie que je vis est belle, agréable, sans problème. Egoïstement, nous n’avons pas voulu avoir d’enfant, heureusement, car suite à une analyse du sperme d’Alexandre qu’il venait de donner à une banque du sperme, on nous a annoncé qu’il était stérile. Malgré tout, je suis heureuse avec mon homme, mes animaux et mes frères et soeurs et rien ne pourra me faire changer de vie.
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